Meyrieux-Trouet
Meyrieux-Trouet est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Meyrieux-Trouet | |||||
Mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Savoie | ||||
Arrondissement | Chambéry | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Yenne | ||||
Maire Mandat |
Jean-Jacques Dantin 2020-2026 |
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Code postal | 73170 | ||||
Code commune | 73156 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | les Meyriolans | ||||
Population municipale |
313 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
220 118 hab. (2013) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 38′ 38″ nord, 5° 46′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 359 m Max. 1 480 m |
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Superficie | 11,05 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Chambéry (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bugey savoyard | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Savoie
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Géographie
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Meyrieux-Trouet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,4 %), prairies (45,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
Les formes anciennes du toponyme Meyrieux sont Meyrieux : Mayriaco, Myerieu au cours du XIVe siècle, puis au cours des deux siècles suivant Meriacum (1581), Meirieu, Mairieu et Merieux-Trevouet (1691)[7]. Au XVIIIe siècle, on trouve Meirieu, Merieux-Trevouet (1729), Meyrieux-Trevouet (1793).
Pour Trouet, on retrouve Trevoy au XIVe siècle, puis Trevouet (1692, 1728, 1793)[7].
Meyrieux pourrait être liée avec l'antique racine peu connue « Meyre »[8]. Un village homonyme est à seulement 46 km : Meyrieu-les-Étangs.
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Maryeu (graphie de Conflans) ou Mèriox / Mériœx (ORB)[9].
Histoire
Le 15 germinal an II ()[10], Maxime Sevez (1761-1802), commissaire de la Révolution, est à Trouet, il apprend que le clocher est démoli et qu'il n'existe aucun château dans la commune. Le lendemain on lui donne la même assurance à Meyrieux.
Au hameau du Villaret se dressait, encore en 1907, l'ancienne maison forte du Villaret, qui fut le siège de la seigneurie du Villaret.
Politique et administration
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Meyriolans[7].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[12].
En 2019, la commune comptait 313 habitants[Note 3], en augmentation de 2,62 % par rapport à 2013 (Savoie : +3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Voir aussi
Bibliographie
- Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Chambéry et ses environs. Le Petit Bugey (vol. 1), Roanne, Éditions Horvath, , 475 p. (ISBN 978-2-7171-0229-1), p. 403-406. ([PDF] lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chambéry », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 403.
- Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 403, Historique.
- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 22Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou..
- Jean Létanche, Les vieux châteaux maisons fortes et ruines féodales du canton d'Yenne en Savoie, Le livre d'Histoire-Lorisse, 2005 (1907), 99 p., p. 95 lire en ligne.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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