Mignaloux-Beauvoir

Mignaloux-Beauvoir est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans la banlieue sud-est de Poitiers, dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Mignaloux-Beauvoir

Le château de la Cigogne.

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Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté urbaine du Grand Poitiers
Maire
Mandat
Dany Coineau
2020-2026
Code postal 86550
Code commune 86157
Démographie
Gentilé Mignaliens
Population
municipale
5 026 hab. (2019 )
Densité 233 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 32′ 39″ nord, 0° 25′ 02″ est
Altitude 129 m
Min. 99 m
Max. 141 m
Superficie 21,56 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mignaloux-Beauvoir
(ville isolée)
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Poitiers-4
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Mignaloux-Beauvoir
Géolocalisation sur la carte : France
Mignaloux-Beauvoir
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Mignaloux-Beauvoir
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Mignaloux-Beauvoir
Liens
Site web http://www.ville-mignaloux-beauvoir.fr/

    Géographie

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 759 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buxerolles », sur la commune de Buxerolles, mise en service en 1948[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 733,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Voies de communication et transports

    La ligne de Saint-Benoît au Blanc passe par le territoire communal. La commune possède une gare ferroviaire.

    La commune est traversée par deux Routes Nationales :

    Urbanisme

    Typologie

    Mignaloux-Beauvoir est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mignaloux-Beauvoir, une unité urbaine monocommunale[17] de 4 577 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,6 %), zones agricoles hétérogènes (27,8 %), forêts (14,2 %), zones urbanisées (13 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4 %), prairies (3,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Il existe une Villa Magnalorum citée dès 848 ; elle dépendait alors de l'abbaye de Nouaillé.

    À l'époque médiévale la commune est composée de multiples hameaux, les deux paroisses de Beauvoir et de Mignaloux vivent sous la dépendance de Poitiers. Plusieurs lieudits portent encore le nom de propriétés ecclésiastiques.

    Durant la guerre de Cent Ans, le , lors de la chevauchée du Prince noir, ce dernier, parti de Châtellerault fonce avec 200 hommes d'armes, à travers la forêt de Moulière et débouche sur la route de Poitiers à Chauvigny où il tombe par surprise sur l'arrière-garde de l'armée française forte 700 hommes d'armes et chevaliers à la Chaboterie au Breuil l'Abbesse situé sur la commune. Les Français totalement décontenancés s'enfuirent dans la forêt, perdant 240 hommes dont les comtes de Joigny et d'Auxerre et le sieur de Châtillon. C'est le prélude d'une défaite catastrophique pour le royaume de France.

    Le territoire communal était partagé entre quatre seigneurs religieux : le commandeur de la Villedieu, les abbayes de Saint-Hilaire-de-la-Celle, de Sainte-Croix et de la Trinité. En 1798 les deux communes sont réunies. Beauvoir en est d'abord le chef-lieu, puis Mignaloux. En 1819, la route Poitiers - Limoges traverse la commune la coupant littéralement en deux. En 1892 la mairie et l'école sont édifiées.

    La Luftwaffe bombarde la gare le , sans faire de victime[23].

    Durant l’été 1944, les aviations alliées mènent de nombreuses opérations de strafing : des chasseurs patrouillent sur les axes (voies ferrées, routes principales) à la recherche de cibles d’opportunité (convoi allemand, train militaire, camp, etc.). C’est ainsi que des chasseurs alliés mitraillent la gare le [24].

    C'est à partir de 1968 que l'accroissement de la population s'accélère. Les limites communales changent en 1974 à la suite des constructions du campus et du centre hospitalier de Poitiers. À partir de cette date la commune commence à changer d'habitat, essentiellement rural jusqu'alors.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1955 Gaston Petit    
    1955 mars 1965 Louis Chauvet    
    mars 1965 mars 1971 René Petit    
    mars 1971 mars 1983 André Lafay    
    mars 1983 juin 1995 Roger Delbos    
    juin 1995 mars 2001 Jacques Quillet    
    mars 2001 mai 2020 Gérard Sol PS Retraité de l'enseignement
    Réélu en 2008[25]et 2014[26]
    mai 2020 En cours
    (au 19 janvier 2021)
    Mme Dany Coineau[27] PS-DVG Cadre retraitée de l'Éducation nationale, ancienne 1re adjointe

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Jumelages

    Mignaloux-Beauvoir est jumelé avec Midleton (comté de Cork, en Irlande) et avec Kąty Wrocławskie (Basse-Silésie, en Pologne). L'association Objectif Jumelages se charge de pérenniser ces liens et participe à la recherche de nouvelles villes jumelles.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[28].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2019, la commune comptait 5 026 habitants[Note 8], en augmentation de 23,52 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    234460464436456517476480535
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    531542546560552647721720725
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    728685692638619602662684696
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    7311 3001 2071 6382 3573 3413 7043 8233 998
    2014 2019 - - - - - - -
    4 1275 026-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La densité de population de la commune est de 183 hab./km2. Celle du département est de 61 hab./km2. Elle est de 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et de 115 hab./km2 pour la France (INSEE- 2008).

    La commune appartient à la communauté d’agglomération de Poitiers qui connait un certain dynamisme démographique puisque sa population s’est accrue de 1,32 % par an en moyenne sur la période 1999-2006 (Ce taux est de 0,7 % pour le département). Ceci illustre le constat démographique suivant : des zones rurales qui perdent de plus en plus d’habitants au profit d’une zone périurbaine autour de Poitiers et de Châtellerault. Cette vaste zone concentre 70 % de la population du département (soit environ 300 000 personnes) et 25 % des moins de 20 ans. En outre, en supposant le maintien des tendances démographiques depuis 1990, entre 2006 et 2020, la population de l’aire urbaine de Poitiers devrait s’accroître de + 16,5 % et celle de Châtellerault de + 5,0 %[33]. La population de la commune devrait donc continuer à croitre.

    Cependant, la population du Grand Poitiers [34] n'a quasiment pas augmenté entre 2007 et 2012 (141 986 habitants en 2007 pour 142 751 habitants en 2012). Le dynamisme démographique concerne surtout les communes limitrophes de la capitale poitevine. Ainsi, c’est le cas de Mignaloux-Beauvoir qui profite de sa proximité avec le Centre hospitalier universitaire (CHU) et l’université tout en restant une commune encore très rurale et malgré les difficultés grandissantes de circulation aux heures et aux jours de pointe.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[35], il n'y a plus que 10 exploitations agricoles en 2010 contre 33 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont paradoxalement augmenté de 22 % et sont passées de 847 hectares en 2000 à 1 035 hectares en 2010[35]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[36].

    51 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 30 % pour les oléagineux (2/3 de colza et 1/3 de tournesol) et 11 % pour le fourrage. En 2000, un hectare (0 en 2010) était consacré à la vigne[35].

    Les élevages d'ovins et de volailles ont disparu au cours de cette décennie[35]. La disparition de l'élevage des moutons est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[37].

    Commerce

    Un marché a lieu une fois par semaine le jeudi de 15h à 19h, sur la Place des Alisiers[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Maurice Rat , célèbre écrivain et philologue. Ancien élève de Ecole Normale Supérieure (Ulm), professeur agrégé de grammaire au lycée Janson-de-Sailly à Paris, est né le 2 mars 1891 à Mignaloux-Beauvoir et est décédé le 13 mai 1969 à Paris.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Buxerolles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Mignaloux-Beauvoir et Buxerolles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Buxerolles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Mignaloux-Beauvoir et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Mignaloux-Beauvoir », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. Christian Richard, 1939-1945 : la guerre aérienne dans la Vienne, Geste éditions, , 348 p. (ISBN 2-84561-203-6), p. 28.
    24. Christian Richard, op. cit., p. 161.
    25. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    26. « Un 3e mandat pour Gérard Sol », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    27. « Mignaloux-Beauvoir : Dany Coineau succède comme maire à Gérard Sol », La Nouvelle République, (lire en ligne)
    28. Site des villes et villages fleuris, consulté le 3 février 2021.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    33. Étude de KPMG pour le Conseil Général de la Vienne : FuturS en Vienne – diagnostic – novembre 2009
    34. INSEE 2014 : les chiffres sont ceux des populations totales. C'est-à-dire celles retenues pour établir les subventions que l'État verse aux communes. Pour obtenir la population totale, l'Insee ajoute la population « comptée à part » à la population municipale. Cette population comprend les personnes qui ont conservé une résidence dans une autre commune que celle où ils sont recensés. Ce sont les lycéens ou étudiants qui habitent Poitiers en période scolaire et rentrent chez leurs parents le week-end et/ou pendant les vacances. Ce sont aussi les personnes hospitalisées ou en établissement de convalescence, les militaires, les religieux et les personnes sans domicile fixe
    35. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    36. Agreste – Enquête Structure 2007
    37. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
    38. « Un nouveau marché place des Alisiers - 02/07/2016, Mignaloux-Beauvoir (86) - La Nouvelle République », sur www.lanouvellerepublique.fr (consulté le ).
    39. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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