Mine de sel de Khewra

La mine de sel de Khewra est la plus importante source de sel gemme du Pakistan au début du XXIe siècle, produisant en moyenne plus de 350 000 tonnes par an. Elle est située à Khewra dans le Pendjab pakistanais.

Mine de sel de Khewra
Dépôts de sel sur les murs d'une galerie de la mine de sel de Khewra
Ressources
Exploitant
Pakistan Mineral Development Corporation
Propriétaire
Pakistan Mineral Development (en)
Ouverture
Exploitation artisanale à partir du XIIIe siècle
Exploitation industrielle à partir du XIXe siècle
Pays
Pendjab
Pendjab pakistanais
Subdivision administrative
Khewra
Coordonnées
32° 38′ 53″ N, 73° 00′ 30″ E
Géolocalisation sur la carte : Pakistan

Découverte par les troupes d'Alexandre le Grand au IVe siècle av. J.-C., son exploitation commerciale ne commence qu'avec l'Empire moghol (1526 – 1857), plusieurs siècles plus tard. À partir de 1872, pendant l'occupation britannique, plusieurs modifications sont apportées dans le but d'augmenter sa production. Elle revient au gouvernement pakistanais après la partition des Indes en 1947.

En 2012, la société Pakistan Mineral Development Corporation exploite la mine, dont les réserves exploitables prouvées sont de 82 millions de tonnes minimum. Cette mine est aussi une importante destination touristique, qui attire plus de 40 000 visiteurs chaque année.

Géographie

À la droite au bout du pont, entrée de la mine à flanc de montagne.

La mine de sel de Khewra se trouve dans le Pind Dadan Khan Tehsil, une sous-division administrative du district de Jhelum dans le Pendjab pakistanais[1]. Située à environ 200 km d'Islamabad et à environ 260 km de Lahore, elle est accessible à partir de la Lilla road qui se rend à Pind Dadan Khan, la capitale de la sous-division[2],[3]. La mine est creusée dans une montagne qui fait partie de la Salt Range pakistanaise, un système de chaînes montagneuses riche en minéraux qui s'étend sur environ 300 km à partir du sud du plateau Pothohar jusqu'à l'endroit où la rivière de Jhelum se jette dans l'Indus[4],[5],[6]. La Salt Range pakistanaise s'est formée il y a plus de 800 millions d'années, lors de l'évaporation d'une mer intérieure suivie d'un événement géologique[5],[7].

Histoire

Un dépôt de sel gemme est découvert lors de la traversée des futurs districts de Jhelum et de Mianwali pendant la campagne militaire d'Alexandre le Grand en Inde, entre 327 et 325 av. J.-C. Ce sont les chevaux de son armée qui, fatigués après une bataille, reprennent des forces après avoir léché des pierres dans des grottes, découvrant ainsi le dépôt salin[8],[9],[10]. Sous l'Empire moghol, le sel de Khewra est commercialisé à grande échelle, jusqu'en pleine Asie centrale[11]. Au début du XIXe siècle, les sikhs prennent le contrôle de la mine.

En 1872, quelques années après avoir soumis les Sikhs, les Britanniques décident d'augmenter la production de la mine[5]. Ils découvrent que les galeries sont étroites et irrégulières et que les points d'entrée sont dangereux et difficiles à utiliser. L'approvisionnement d'eau à l'intérieur de la mine est insuffisant et aucun entrepôt n'est prévu pour le sel extrait. Pour se rendre à la mine, il faut emprunter une route dangereuse construite sur un terrain montagneux. Pour éliminer ces problèmes, le gouvernement fait niveler la route, construire des entrepôts, mettre en place un système d'approvisionnement en eau, modifier les entrées et les galeries pour les rendre plus sécurisées et introduit un système plus efficace d'extraction du sel. La contrebande de sel est sévèrement punie[12].

Après la Partition des Indes en 1947, le gouvernement pakistanais prend le contrôle de la mine. Il fonde en 1974 la Pakistan Mineral Development Corporation (PMDC), une agence responsable de l'exploitation de différents gisements miniers, dont la mine de sel de Khewra[13]. En 1994, des mineurs réclamant de l'eau non polluée obtiennent gain de cause lors d'une poursuite judiciaire contre PMDC[14]. En 2003, alors que le gouvernement du Pakistan cherche des moyens d'augmenter sa réserve stratégique de pétrole à 90 jours de consommation, le PMDC propose d'utiliser la mine de sel de Khewra comme lieu de stockage[15]. Des études scientifiques confirment la viabilité du projet, mais la proposition est rejetée[16]. L'eau consommée par les habitants de Khewra a été polluée par les activités minières à proximité. Ce dossier est étudié depuis 2003 par la Commission économique et sociale pour l'Asie et le Pacifique (UNESCAP) qui s'intéresse à la relation humain-environnement[17],[18]. En 2008, le gouvernement du Pakistan souhaite se départir de 17 organisations rentables, dont la mine[19], mais cette proposition est rejetée.

Lors des inondations de 2010 au Pakistan, des précipitations accumulées dans un nullah, vallée étroite aux parois raides, à proximité du site se déversent dans la mine[20], rendant la circulation dangereuse. La mine est alors fermée[21]. En novembre 2011, elle est rouverte aux visiteurs[9].

Elle est aussi appelée « mine de sel de Mayo » en l'honneur du gouverneur général des Indes Richard Southwell Bourke, Lord Mayo, qui la visite durant son mandat (1869-1872)[22]. Le PMDC supervise le Survey Institute, fondé en 1971, qui mène des études sur la mine et organise des formations à l'intention des futurs mineurs[23].

Exploitation minière

Au début des années 1870, on extrait annuellement entre 28 000 et 30 000 tonnes de sel de la mine de Khewra. À partir de 1872, l'ingénieur des mines britannique H. Warth supervise son exploitation, qui profite des améliorations apportées au site à la demande du gouvernement britannique. La production atteint 187 400 tonnes par an pendant les cinq années fiscales se terminant en 1946-47, année de la Partition des Indes, puis diminue à 136 800 tonnes pendant les deux années fiscales se terminant en 1949-50[24]. En 1969, c'est la plus vieille et la plus importante mine de sel gemme en exploitation au Pakistan[25] et, en 1998, la seconde mine de sel en exploitation au monde en termes de production[26],[27],[4], précédée par les mines de sel de Wieliczka[8]. En 2003, la production totale de sel gemme du Pakistan atteint 725 000 tonnes[28]. La mine de Khewra est la principale source de sel gemme du Pakistan, avec une production de 350 000 tonnes en 2004[8], 450 000 tonnes en 2009[29] et 400 000 tonnes en 2011-2012 [30]. La société AkzoNobel, qui a racheté les unités de production pakistanaises de la société ICI en 2008, consomme entre 220 000 et 240 000 tonnes de sel annuellement pour la production de carbonate de sodium, utilisé dans différentes productions industrielles[31],[32]. En 1974, les réserves exploitables prouvées de la mine sont au minimum de 82 millions[33]. En 1982, les réserves de sel sont estimées à 600 millions de tonnes au minimum[34]. Si le rythme de production est maintenu, son exploitation devrait se poursuivre pendant quelques siècles[8].

En 2012, la mine comprend dix-neuf niveaux, dont onze souterrains[13]. À partir de l'entrée, la mine s'étend jusqu'à 730 mètres dans la montagne ; la longueur totale des galeries est d'environ 40 km ; la partie souterraine couvre une superficie d'au moins 110 km2[26],[35],[36]. L'extraction du sel gemme se fait selon la méthode des chambres et piliers : la moitié du sel est extraite, le reste sert à soutenir le toit[37]. La température dans la mine se situe entre 18 et 20 °C en tout temps[10]. À l'intérieur de la mine, le sel gemme est transporté par des wagons qui circulent sur un chemin de fer construit pendant l'occupation britannique[7]. L'extraction du sel se fait manuellement par des travailleurs « détenteurs d'un titre d'exploitation héréditaire » qui leur est transmis par un système établi du temps de l'occupation britannique[8],[29].

Lampes de sel vendues dans un marché de Khewra.

Le minerai brut est une halite qui comprend au moins 90 % de chlorure de sodium et de petites quantités de calcium, magnésium, potassium, sulfates et humidité, mélangés à des traces de fer, zinc, cuivre, manganèse, chrome et plomb[23],[38],[39]. Le sel extrait de la mine est rouge, rose, blanc cassé ou transparent[40]. Sel le plus réputé au Pakistan[34], il sert en cuisine, comme sel de bain, pour produire de la saumure[40] et comme matériau industriel[29] (par exemple, en 1940, il est utilisé dans une usine de carbonate de sodium appartenant à la société britannique ICI[41]). En tant que sel de cuisine, il est vendu sous le titre de « diamants de sel » (rose ou de l'Himalaya)[42],[43]. Il sert aussi à fabriquer des objets décoratifs, tels des lampes, des vases, des cendriers et des statues[44], qui sont exportés vers les États-Unis, l'Inde et plusieurs pays européens[7],[45]. Son usage comme matériau artistique a débuté pendant l'Empire moghol, des artisans fabriquant de la vaisselle et des décorations en sel[46]. L'ingénieur des mines H. Warth a introduit l'usage du tour de potier pour fabriquer des objets à partir des pierres de sel, ayant déterminé que sous cette forme, le sel gemme présente des propriétés mécaniques semblables à l'albâtre[47].

Tourisme

Une petite mosquée construite à l'aide de briques de sel se trouve à l'intérieur de la mine de sel de Khewra. Photo prise en décembre 2008.

La mine de sel de Khewra est une importante destination touristique au Pakistan, ayant par exemple accueilli plus de 40 000 visiteurs pendant l'année 2005[48],[diff 1], ce qui lui procure une source appréciable de revenus[15]. Depuis février 2011, Pakistan Railways offre un service ferroviaire reliant Lahore à Rawalpindi à Khewra. La gare de Khewra a été modernisée dans ce but[49].

La visite de la mine se fait à bord d'un train tracté par un véhicule électrique construit dans les années 1930[10]. La mosquée Badshahi a été construite dans l'une des galeries avec des briques multicolores[5],[50] dans les années 1950[3]. La mine expose des sculptures, tels une réplique de la tour Minar-e-Pakistan, une statue de Mohamed Iqbal, un agrégat de cristaux qui forme le nom de Mahomet en écriture ourdou, un modèle réduit de la Grande Muraille et un autre de la Mall Road route de Mall ») à Murree[10],[3]. Elle abrite également une pièce haute de 75 m appelée Assembly Hall Salle de réunion »), un pont en sel sans pilier, Pul-Saraat, qui enjambe un étang d'eau saumâtre profond de 25 mètres, le Shish Mahal Palais aux miroirs »), où les cristaux de sel sont de couleur rose pâle, et un café[2],[3].

En 2003, un projet de développement touristique en deux phases est achevé, au coût total de neuf millions de roupies pakistanaises (RPK)[51]. En 2007, une clinique médicale pouvant accueillir vingt personnes est mise en place pour le traitement par l'halothérapie de l'asthme et d'autres maladies respiratoires[36],[52], au coût de dix millions de RPK[53].

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Khewra Salt Mine » (voir la liste des auteurs).

Différences

  1. Selon une autre source, c'est plutôt 250 000 visiteurs[23].

Références

  1. (en) O. H. K. Spate, Andrew T. A. Learmonth et B. H. Farmer, India, Pakistan and Ceylon : The Regions, Methuen Publishing Ltd, , 456 p. (ISBN 978-0-416-75530-5, lire en ligne), p. 502.
  2. (en) F. I. Dar et Safdar Vail, « The Beauty of Khewra Salt Range », Dawn, (lire en ligne, consulté le ).
  3. (en) F. D. Sheikh, « Khewra Salt Mines : A fascinating place », Dawn, (lire en ligne, consulté le ).
  4. (en) Pete Heiden, Pakistan, Essential Library, , 144 p. (ISBN 978-1-61783-117-1, lire en ligne), p. 27.
  5. (en) Sarina Singh, Lindsay Brown, Rodney Cocks et John Mock, Lonely Planet Pakistan and the Karakoram Highway, Footscray, Vic./Londres, Lonely Planet, , 7e éd., 432 p. (ISBN 978-1-74104-542-0, lire en ligne), p. 138.
  6. (en) Stacy Taus-Bolstad, Pakistan in Pictures, Lerner Publishing Group, , 80 p. (ISBN 978-0-8225-4682-5, lire en ligne), p. 55.
  7. (en) Neil Morris, Salt, North Mankato, Minnesota, Smart Apple Media, (ISBN 1-58340-633-6), p. 9.
  8. (en) Matthew Pennington, « Pakistan Salt Mined Old-Fashioned Way Mine », The Seattle Times, (lire en ligne, consulté le ).
  9. [vidéo] (en) Karen Zarindast, « Pakistan salt mine is open to tourists in the Punjab province », BBC News, (consulté le ).
  10. (en) Zeeshan Faisal Khan, « Khewra: Above the salt », Dawn, (lire en ligne, consulté le ).
  11. (en) Andre Wink, Al Hind : The Making of the Indo Islamic World, Brill Academic Publishers, , 396 p. (ISBN 978-90-04-09249-5, lire en ligne), p. 171.
  12. (en) Sir Edwin Arnold, The Marquis of Dalhousie's Administration of British India, vol. 1, Saunders, Otley, and Co., (ISBN 978-1-290-28762-3, lire en ligne), p. 166.
  13. (en) PMDC, « Introduction », Pakistan Mineral Development Corporation (consulté le ).
  14. (en) General Secretary, West Pakistan Salt Miners Labor Union Khewra, Jhelum v. The Director, Industries and Mineral Development, Punjab, Lahora, Human Rights Case No. 120 of 1993, (1994) S.C.M.R. at 2061.
  15. (en) Dawn, « PMDC offers salt mine for oil reserves », Dawn, (lire en ligne, consulté le ).
  16. (en) Khaleeq Kiani, « Building oil reserves with taxpayers' money », Dawn, (lire en ligne, consulté le ).
  17. (en) UNESCAP Virtual Conference, « Pakistan - Constitutional Rights, Mining Operations, Water Pollution », United Nations, (consulté le ).
  18. (en) Louis J. Kotzé (dir.) et Alexander Paterson (dir.), The Role of Judiciary in Environmental Governance : Comparative Perspectives, Alphen aan den Rijn, Wolters Kluwer Law & Business, , 637 p. (ISBN 978-90-411-2708-2, lire en ligne), p. 396–397.
  19. (en) Naveed Butt, « Steel Mills to be sold this fiscal », The Nation, (lire en ligne, consulté le ).
  20. (en) The Nation, « Floodwaters enter Khewra Salt Mines », The Nation, (lire en ligne, consulté le ).
  21. (en) « Breach floods 10 villages », The Express Tribune, (lire en ligne, consulté le ).
  22. (en) Royal Society of Arts (Great Britain), « (Inconnu) », Journal of The Society of Arts, vol. 43, , p. 258 (lire en ligne, consulté le ).
  23. (en) PCP, « Khewra Salt Mines Project », Privatisation Commission of Pakistan (consulté le ).
  24. (en) J. Coggin Brown, Mineral Wealth : Part III. Materials used in building construction, civil engineering, etc, Isha Books, , 761 p. (ISBN 978-81-8205-483-7, lire en ligne), p. 507.
  25. (en) Stanley J. Lefond, Handbook of World Salt Resources, Springer, , 1re éd. (ISBN 978-0-306-30315-9, lire en ligne), p. 347.
  26. (en) Camerapix, Spectrum Guide to Pakistan, Interlink Books, , 359 p. (ISBN 978-1-56656-240-9, lire en ligne), p. 150.
  27. (en) Masud ul Hasan, Short Encyclopaedia of Pakistan, Ferozsons, , 1re éd. (ASIN B007EU8QHS, lire en ligne), p. 118.
  28. (en) Kogan Page, Asia & Pacific Review 2003/04 : The Economic and Business Report, World of Information, , 22e éd., 320 p. (ISBN 978-0-7494-4063-3, lire en ligne), p. 279
    L'ouvrage donne la masse en tonne courte anglo-saxonne, unité plus légère que la tonne métrique.
    .
  29. Guillaume Pitron, « A Khewra, travailler à la mine de sel reste un privilège », L'Express, (lire en ligne, consulté le )
    L'article donne une masse de 500 000 tonnes, qui est probablement la tonne courte, unité qui correspond à 907 kg en Système international.
  30. (en) PMDC, « Khewra Salt Mines », Pakistan Mineral Development Corporation, (consulté le )
    La page web donne une masse de 441 533 tonnes, qui est probablement la tonne courte, unité qui correspond à 907 kg en Système international.
  31. (en) Abrar abbasi, « Information of Khewra Salt Mines », Abrar abbasi, (consulté le ).
  32. (en) AkzoNobel, AkzoNobel Fact File 2011, AkzoNobel, (lire en ligne [PDF]), p. 22.
  33. (en) Natural Resources of Humid Tropical Asia (Natural Resources Research), UNESCO, , 1re éd., 456 p. (ISBN 978-92-3-101056-9, lire en ligne), p. 101.
  34. (en) Frank C. Whitmore et Mary Ellen Williams, Resources for the Twenty-First Century, Washington D.C, U.S. Geological Survey, (OCLC 623259129, lire en ligne), p. 175.
  35. (en) Attique ur Rehman, Amjad Aslam et Muhammad Akhyar Farrukh, « Preparation of Analytical Grade Sodium Chloride from Khewra Rock Salt », World Applied Sciences Journal, IDOSI Publications, vol. 9, no 11, , p. 1223 (ISSN 1818-4952, lire en ligne [PDF], consulté le ).
  36. AFP, « Le Pakistan tente de soigner l'asthme dans la deuxième mine de sel du monde », Agence France-Presse, (lire en ligne, consulté le ).
  37. (en) Bushra Khalid, « Effect of Temperature and Humidity on Salt Mine Environment », Pakistan Journal of Meteorology, Pakistan Meteorological Department, vol. 7, no 13, , p. 73 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  38. (en) Robert V. Titler et Paul Curry, Chemical Analysis of major constituents and trace contaminants of Rock Salt, Pennsylvania Department of Environmental Protection, (lire en ligne [PDF]), p. 17.
  39. (en) Qazi Muhammad Sharif, Mumtaz Hussain,, Muhammad Tahir Hussain, Viqar Uddin Ahmad (dir.) et Muhammad Raza Shah (dir.), « Chemical Evaluation of Major Salt Deposits of Pakistan », Journal of the Chemical Society of Pakistan, Chemical Society of Pakistan, vol. 29, no 6, , p. 569–574 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  40. (en) Dorothy K. Moore, The Significance of Salt, Eugene, Oregon, Material Science Institute, University of Oregon (lire en ligne [PDF]), p. 33.
  41. (en) A. K. Madan, The Economic Prospects of Chemical Industries in India, Thacker, (ASIN B007HDU8LY, lire en ligne), p. 119.
  42. (en) Désirs de Provence, « Diamants de sel », Désirs de Provence, (consulté le ).
  43. (en) BienManger.com, « Diamant de sel de l'Himalaya et sa râpe », BienManger.com, (consulté le ).
  44. (en) PTDC, « Production », Pakistan Tourism Development Corporation, (consulté le ).
  45. (en) Associated Press of Pakistan, « PMDC To Increase Salt Exports », Dawn, (lire en ligne, consulté le ).
  46. (en) Annemarie Schimmel, The Empire of the Great Mughals : History, Art and Culture, Reaktion Books, , 352 p. (ISBN 978-1-86189-185-3, lire en ligne), p. 102.
  47. (en) James Joseph Louis Ratton, Hand-book of Common Salt, Nabu Press, (ISBN 978-1-178-95413-5, lire en ligne), p. 10–11.
  48. (en) Om Gupta, Encyclopaedia of India Pakistan & Bangladesh, Isha Books, , 2666 p. (ISBN 978-81-8205-389-2, lire en ligne), p. 1250.
  49. (en) Dawn, « Khewra railway station restored », Dawn, (lire en ligne, consulté le ).
  50. (en) Annemarie Schimmel, Islam in the Indian Subcontinent, Brill Academic Publishers, , 303 p. (ISBN 978-90-04-06117-0, lire en ligne), p. 107.
  51. (en) TouristLink.com, « Khewra Salt Mine », TouristLink.com, (consulté le ).
  52. (en) Khurram Shahzad, « Asthma treatment in Pakistani salt mine », The Telegraph, (lire en ligne, consulté le ).
  53. (en) « Salt mine resort for asthma patients », Dawn, (lire en ligne, consulté le ).

Articles connexes

  • Portail de la mine
  • Portail du Pakistan
  • Portail du sel alimentaire
La version du 18 février 2013 de cet article a été reconnue comme « bon article », c'est-à-dire qu'elle répond à des critères de qualité concernant le style, la clarté, la pertinence, la citation des sources et l'illustration.
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.