Ministère de l'Écologie (France)

Le ministère de l'Écologie, renommé ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires en 2022, est en France, l'administration chargée de préparer et mettre en œuvre la politique du Gouvernement dans les domaines du développement durable, de l'environnement et des technologies vertes, de la transition énergétique et de l'énergie, du climat, de la prévention des risques naturels et technologiques, de la sécurité industrielle, des transports et de leurs infrastructures et de l'équipement.

Pour les articles homonymes, voir Ministère de l'Écologie.

Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
Histoire
Fondation
1830 : ministère des Travaux publics
1966 : ministère de l'Équipement
1971 : ministère de la Protection de la nature et de l'environnement
2007 : ministère de l'Écologie et du Développement durable
2012 : ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie
2016 : ministère de l’Environnement, de l'Énergie et de la Mer
2017 : ministère de la Transition écologique et solidaire
2020 : ministère de la Transition écologique
2022 : ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
Cadre
Sigles
MEDD, MEEM, MTES, MEEDM, MTE
Type
Forme juridique
Domaines d'activité
Protection de l'environnement, administration publique générale
Siège
Pays
Langue
Organisation
Effectif
40 805 (2018)[1]
Ministre
Personnes clés
Organisation mère
Budget
26,153 milliards d’euros (2016)[2]
Site web
Identifiants
data.gouv.fr

Depuis le 16 mai 2022, la Première ministre, Élisabeth Borne est chargée de conduire la politique de la Planification écologique et énergétique. Le ministère de l'Écologie est dorénavant divisé en deux ministères :

  • Christophe Béchu à la tête du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires depuis le 4 juillet 2022.
  • Agnès Pannier-Runacher est chargée du ministère de la Transition énergétique depuis le 20 mai 2022.

Les ministres et leur cabinet occupent l'hôtel de Roquelaure, sur le boulevard Saint-Germain à Paris ; l'administration centrale du ministère est implantée dans l'arche de la Défense et la tour Séquoia, au quartier d'affaires de La Défense.

Historique

Ministère de l'Environnement (1971-2007)

Le ministère de l'Environnement est créé en janvier 1971, quand Robert Poujade, sous le gouvernement Jacques Chaban-Delmas est nommé ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la Protection de la nature et de l’Environnement[3]. C'est donc une création récente, qui suit la vague de renouveau de l'écologie en 1970 et s'inscrit dans la lignée des mesures de protection de la faune et de la flore de 1957.

En 2002, le ministère de l'environnement devient le ministère de l'Écologie et du Développement durable, sa première titulaire étant Roselyne Bachelot dans le premier gouvernement Raffarin.

Ministère des Transports et de l'Équipement (1967-2007)

Dans les années 1960, Charles de Gaulle modernise l’État, afin d’atteindre ses objectifs de reconstruction de la France. Dans le gouvernement Georges Pompidou (3), Edgard Pisani est nommé ministre de l’Équipement. Ce ministère est le résultat de la fusion de l’ancien ministère des Travaux Publics et des Transports (hérité de l’ancien régime et fortement décentralisé), et de celui de la Construction (créé en 1945 et très centralisé). Les dépenses d’investissement de ce ministère couvriront plus du tiers des dépenses en capital de l’État. En 1967 l’administration est constituée en deux directions opérationnelles : la DAFU (aménagement foncier et urbanisme) et la DC (construction) ; et au niveau territorial des directions départementales de l’Équipement (DDE). La Loi d'orientation foncière de décembre 1967 permet la maîtrise des sols et de l’urbanisme. Dans les années 1970, le ministère (dont les contours varient selon les gouvernements) est chargé de la construction de 27 500 km de routes et de planifier l’évolution de l’urbanisme. Dans le même temps, l’institution subit de premières critiques à propos de la construction des grands ensembles, ou encore de la prise en compte des questions d’environnement qui s’oppose aux « bétonneurs ». En 1978, le gouvernement Raymond Barre (3) tente pour la première fois de fédérer urbanisme et environnement avec la nomination de Michel d'Ornano, ministre de l’Environnement et du Cadre de Vie (mais les Transports restent à part) ; la DAFU devient DUP (Direction de l’urbanisme et des paysages). Cette organisation restera inachevée, à cause de l’alternance de 1981[4].

Le gouvernement Pierre Mauroy (2) fait voter les lois de décentralisation, et les DDE sont mises à disposition des conseils généraux, seules les routes restent sous la responsabilité de l’État. La direction de l’Architecture fusionne avec la direction de l’Urbanisme et des Paysages, ce qui donne la direction de l’Architecture et de l’Urbanisme (DAU). À partir de ce moment, d’une administration les DDE se transforment en un prestataire de service travaillant pour les collectivités locales. Lors de la cohabitation, le gouvernement Jacques Chirac (2) (où l’Équipement est à nouveau réuni avec l’Environnement) poursuit cette modernisation. Au début des années 1990, un système de contractualisation entre l’État et la DDE est mis en place. Dans le même temps, la « politique de la ville » apparaît, mais échappe au ministère, le Grand projet Urbain vise à arrêter toute politique nationale, au profit de la restructuration profonde d’un nombre restreint de sites. Le gouvernement Lionel Jospin procède à quelques réformes, comme la promulgation de la loi SRU et la fusion entre la DAU et la DHC, qui aboutit à la naissance de la DGUHC (direction générale de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Construction) en mars 1998. Le gouvernement Jean-Pierre Raffarin fait voter la loi d'orientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine en 2003, qui symbolise une rupture dans la politique de la ville. Cette loi privilégie la démolition-construction à la rénovation. Dans le même temps, une nouvelle étape de la décentralisation transfère la responsabilité du réseau routier aux départements. Ainsi près de 30 000 agents sont transférés aux Conseils Généraux en même temps que 375 000 km de routes départementales, l'État conservant la gestion de 11 800 km de routes nationales[5] via la création de onze directions interdépartementales des Routes. En 2004, le Logement ne fait plus partie des attributions du ministère, et l’année suivante les directions générales sont redécoupées : Routes ; Mer et Transports ; Urbanisme, Habitat et Construction ; Aviation civile ; Sécurité et Circulation routières, Tourisme. Avec le gouvernement Dominique de Villepin c’est l’Aménagement du territoire qui quitte le ministère, et le terme « Équipement » ne représente plus qu’une tradition. Déjà évoquée au début des années 1990, la fusion entre les DDE et les directions départementales de l'Agriculture et de la Forêt (DDAF) permet de créer les directions départementales de l'Équipement et de l'Agriculture à partir de 2007[6].

Ministère de l'Écologie et du Développement durable (2007-2017)

Entre 2002 et 2007, Jean-Louis Borloo fut à la tête de plusieurs ministères, mais a toujours eu la responsabilité de la Ville et de la Rénovation urbaine. Il est ensuite ministre d’État, ministre de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de la Mer, chargé des technologies vertes et des négociations sur le climat de 2007 à 2010.

La création d’un grand ministère par la fusion de deux fonctions historiquement distinctes, l’Écologie et l’Équipement est décidée par le président de la République Nicolas Sarkozy lors de sa prise de fonction. Son but est de créer un grand ministère à confier à un ministre d'État et de respecter ainsi sa signature du « pacte écologique » de Nicolas Hulot qui stipulait la création d’un poste de « vice-premier ministre chargé du développement durable[7] ». Après un court passage d’Alain Juppé, c’est Jean-Louis Borloo qui prend la fonction de « Ministre d’État, ministre de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de la Mer, chargé des technologies vertes et des négociations sur le climat », abrégé en MEDAD. Avec la révision générale des politiques publiques, les services déconcentrés se regroupent en Direction départementale des Territoires (DDE, DDAF et services Environnement des Préfectures).

Le , lors de la formation du gouvernement François Fillon, il est rebaptisé « ministère de l'Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement ». Jean-Louis Borloo quitte le gouvernement, et est remplacé par Nathalie Kosciusko-Morizet. Celle-ci n'a pas le titre de ministre d'État que portaient les précédents titulaires du poste depuis 2007.

Depuis mai 2012, sous la présidence de François Hollande, l’Énergie revient dans les attributions du ministère qui devient « ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l'Énergie ». En juillet 2013, la direction des pêches maritimes et de l'aquaculture (DPMA) est détachée du ministère de l'agriculture pour être incorporée au ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie[8].

Le ministre porte les négociations sur le climat dans son intitulé entre 2007 et 2010, et de 2016 à 2017. Ségolène Royal est à la tête du ministère au moment de la COP 21. Le ministère est renommé ministère de la transition écologique et solidaire lors de la nomination du gouvernement Édouard Philippe. Il est alors confié à Nicolas Hulot. Les attributions du ministère sont globalement conservées mais la Direction des Pêches Maritimes et de l'Aquaculture réintègre le Ministère de l'agriculture et de l'Alimentation. Il reste chargé de la politique environnementale, de la politique énergétique, de la politique de la mer et des transports.

Ministère de la Transition écologique et solidaire (2017-2020)

Le ministère de la Transition écologique et solidaire[9] est organisé en directions exerçant leurs compétences au niveau central et des territoires, régions ou départements. Nicolas Hulot, démissionnaire en 2018, est remplacé par François de Rugy. Ce dernier, démissionnaire à son tour l'année suivante, est remplacé par Élisabeth Borne.

En 2019, le gouvernement prévoit de réduire de 5 % les effectifs du ministère d’ici la fin du quinquennat, soit près de 5 000 emplois, notamment dans les domaines de la prévision météorologique, de la protection des parcs nationaux et des inspecteurs de l’environnement. Le ministère avait déjà supprimé plus de 7 200 emplois entre 2017 et 2019[10].

Ministère des Transports

Un ministère des Transports est rattaché au ministère de la Transition écologique et solidaire.

Ministère de la Transition écologique (2020-2022)

Le , le nom et le périmètre du ministère évoluent à nouveau. Le poste de ministre de la Transition écologique est occupé par Barbara Pompili. Le ministre et son cabinet occupent l'hôtel de Roquelaure, sis 246 boulevard Saint-Germain à Paris.

L'administration centrale du ministère est implantée dans l'arche de la Défense et la tour Séquoia, dans le quartier d’affaires de La Défense, situé deux kilomètres à l’ouest de Paris.

Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires | Ministère de la Transition énergétique (depuis 2022)

Lors de la nomination du gouvernement d’Élisabeth Borne, le ministère de la Transition écologique voit son périmètre élargi avec la fusion du ministère de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales. Ce grand ministère réunit les domaines suivants : l'aménagement et la cohésion des territoires, l'urbanisme, les transports, le logement, la protection de la nature et la biodiversité[11].

Dorénavant, la politique environnementale est supervisée par la Première ministre, qui est également chargée de la Planification écologique et énergétique. L'hôtel de Roquelaure est maintenant divisée en deux ministères : le ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, placé sous l'égide de Christophe Béchu et le ministère de la Transition énergétique[12] qui se voit être confié à Agnès Pannier-Runacher.

Le ministère occupe, à la suite du remaniement de juillet 2022, la 10e place protocolaire[13].

Identité visuelle (logotype)

Le logotype du ministère varie régulièrement au gré des changements de dénominations. Il suit systématiquement les règles et principes de la charte graphique de la communication gouvernementale en France avec le système du « bloc marque » depuis 1999.

Volet Équipement et transports (jusqu'en 2007)

Volet Écologie et environnement

Organisation et attributions

Ministre

Le cabinet du ministre est situé à l'hôtel de Roquelaure (ci-dessus, le bureau du ministre en septembre 2012). Les bureaux de l'administration centrale se trouvent à La Défense.
Renault Fluence Z.E, véhicule électrique du ministère.

La mission du ministre est ainsi définie :

« Il prépare et met en œuvre la politique du Gouvernement dans les domaines du développement durable, de l'environnement, notamment de la protection et de la valorisation de la nature et de la biodiversité, des technologies vertes, de la transition énergétique et de l'énergie, notamment en matière tarifaire, du climat, de la prévention des risques naturels et technologiques, de la sécurité industrielle, des transports et de leurs infrastructures, de l'équipement et de la mer. Il élabore et met en œuvre la politique de lutte contre le réchauffement climatique et la pollution atmosphérique. Il promeut une gestion durable des ressources rares[14],[15]. »

Christophe Béchu est le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires depuis le .

Ministre des Transports

Le ministre chargé des Transports, placé auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, traite « des affaires relatives aux transports et à leurs infrastructures et à l'aviation civile ».

Sa mission est ainsi définie :

« Au titre des transports et de leurs infrastructures, elle suit les politiques relatives aux transports ferroviaires, guidés et routiers, y compris les transports publics particuliers, aux voies navigables, aux transports maritimes, à la marine marchande, à la plaisance et aux activités nautiques, aux ports, à la sécurité, à la navigation, à l'aviation civile, aux applications satellitaires, à la météorologie et à l'organisation des transports pour la défense. Elle veille à la mise en œuvre des politiques de sécurité des infrastructures routières et de réglementation technique des véhicules. En lien avec les autres ministres intéressés, elle prépare et suit la politique de l'État à l'égard des taxis et des voitures de transport avec chauffeur. Elle suit la politique d'intermodalité et veille en particulier au développement des plates-formes multimodales ferroviaires, fluviales et portuaires. En liaison avec les ministres intéressés, elle contribue à la réglementation sociale et suit les questions sociales du secteur. Elle suit la politique relative à la formation et aux gens de mer. Elle suit la politique industrielle dans le domaine des transports. Au titre de l'équipement, elle suit la politique d'équipement routier et autoroutier[14],[16]. »

Administration centrale

Le ministre dispose d'une administration centrale dont l'organisation est définie par décret[17] et se compose de deux structures transversales :

Les directions opérationnelles du ministère sont :

Services d’inspection et d'audit du ministère

Réseau scientifique et technique

Le réseau scientifique et technique (RST) constitue un réseau de seize mille experts rattachés au ministère de l'équipement, présents sur tout le territoire national et intervenant dans de très nombreux domaines (urbanisme, gestion du patrimoine et des infrastructures, exploitation de la route, sécurité routière, environnement, prévention des risques…)[19].

Ce réseau permet l’articulation entre recherche et applications au service de la collectivité.

Services à compétence nationale

Depuis du 1er janvier 2014, le CERTU, le CETMEF, le SETRA ainsi que les 8 CETE sont regroupés au sein d'un nouvel établissement public à caractère administratif appelé Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (CEREMA).

Écoles

Le ministère dispose de nombreuses écoles (dont cinq écoles d'ingénieurs) :

Plusieurs de ces écoles constituent des établissements publics sous tutelle.

Services déconcentrés ou à compétences territoriales

Le MTE exerce une tutelle unique ou partagée sur les services déconcentrés suivants :

Services régionaux

Dans chaque région, sauf en Île-de-France, les directions régionales de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) remplacent, depuis le 3 mars 2009 pour les premières, depuis le 1er janvier 2010 pour les autres, les 26 directions régionales de l'Équipement (DRE), les 26 directions régionales de l'Environnement (DIREN) et les 26 directions régionales de l'Industrie, de la Recherche et de l'Environnement (DRIRE). Dans les régions d'outre-mer, ces directions sont appelées « direction de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement » (DEAL) et n'existent que depuis le 1er janvier 2011.

En Île-de-France, la direction régionale et interdépartementale de l'Hébergement et du Logement (DRIHL), la direction régionale et interdépartementale de l'Équipement et de l'Aménagement (DRIEA) et la direction régionale et interdépartementale de l'Environnement et de l'Énergie (DRIEE) participent à la mise en œuvre des activités entrant dans le champ du MTES.

Services interrégionaux et interdépartementaux

Services départementaux et territoriaux

Les directions départementales interministérielles, notamment les directions départementales des Territoires (DDT) et les directions départementales des Territoires et de la Mer (DDTM) travaillent aussi dans le champ du ministère.

C'est le cas aussi des directions de l'Équipement (DE) pour les collectivités d'outre-mer.

Les unités départementales de l'Architecture et du Patrimoine (UDAP), issues des Agences des Bâtiments de France, et qui sont rattachées aux directions régionales des Affaires culturelles (services déconcentrés du ministère de la Culture) interviennent dans le domaine de l'urbanisme et de l'architecture.

Autres directions et services à compétences territoriales

Établissements publics

Le MTE exerce une tutelle unique ou partagée, outre les écoles déjà mentionnées, sur plusieurs établissements publics. À l'issue de fusions effectuées de 2016 à 2020, ces établissements sont les suivants :

Sociétés dont le ministère assure la représentation de l'État

Ces entités sont des sociétés anonymes contrôlées totalement ou partiellement par l’État, qui étaient auparavant des établissements publics à caractère industriel et commercial.

Agents du MTE

Corps de fonctionnaires rattachés au MTE (par ordre alphabétique) :

D'autres corps de fonctionnaires ne sont pas rattachés au MTES, bien que leurs membres sont nombreux dans le périmètre du ministère. En particulier, les deux corps suivants sont en gestion au ministère de l'Économie et des Finances, employés majoritairement au sein des directions régionales : DREAL, DEAL, DRIEE:

Le ministère emploie aussi des administrateurs civils et des attachés d'administration de l'État (AAE), corps interministériels d'encadrement supérieur.

Le ministère emploie aussi des ouvriers des parcs et ateliers (OPA) qui ne sont pas des fonctionnaires mais des ouvriers d'État.

Notes et références

  1. [PDF] sur le site www.performance-publique.gouv.fr
  2. En 2022, les autorisations de paiement des crédits dont dispose le ministre dans le budget général sont, selon le décret no 2021-1939 du 30 décembre 2021 portant répartition des crédits et découverts autorisés par la loi no 2021-1900 du 30 décembre 2021 de finances pour 2022 :
    • 20 220 262 438  pour sept programmes de la mission « Écologie, développement et mobilité durables »
    • 4 204 530 026  pour le programme « Régimes sociaux et de retraite des transports terrestres » de la mission « Régimes sociaux et de retraite »
    • 1 729 120 775  pour le programme « Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables » de la mission « Recherche et enseignement supérieur »
  3. Institut Ina.fr, « 1971 : création du ministère de l'environnement - Archives vidéo et radio Ina.fr » (consulté le )
  4. Alain Billon, « L’histoire du ministère de l’Équipement n’est pas un long fleuve tranquille Première partie : 1966- 1981 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), Pour Mémoire, , p. 7-31
  5. Dominique Buffier, « Les départements héritent de 18 000 km de routes nationales », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
  6. Alain Billon, « L’histoire du ministère de l’Équipement n’est pas un long fleuve tranquille Deuxième partie : 1981-2007 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), Pour Mémoire, , p. 7-53
  7. « Première proposition »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?)
  8. Décret no 2013-667 du 23 juillet 2013 modifiant le décret no 2008-636 du 30 juin 2008 fixant l'organisation de l'administration centrale du ministère chargé de l'agriculture, de l'alimentation et de la pêche
  9. Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire MTES [PDF].
  10. Sophie Chapelle, « Prévisions météo, biodiversité, lutte contre les pollutions : le gouvernement supprime des emplois », Bastamag, (lire en ligne).
  11. « Attributions du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires », sur legifrance.gouv.fr, (consulté le )
  12. « Attributions du ministre de la transition énergétique », sur legifrance.gouv.fr, (consulté le )
  13. « Remaniement ministériel: l'écologie tombe au 10e rang protocolaire », sur BFMTV (consulté le )
  14. « Organisation générale, bulletin officiel et projet de loi de finances », sur Ministère de la Transition écologique et solidaire (consulté le ).
  15. Décret no 2014-401 du relatif aux attributions du ministre de l'environnement, de l'énergie et de la mer, chargé des relations internationales sur le climat, sur Légifrance.
  16. Décret no 2017-1086 du relatif aux attributions de la ministre auprès du ministre d’État, ministre de la transition écologique et solidaire, chargée des transports, sur Légifrance.
  17. Décret no 2008-680 du 9 juillet 2008
  18. En ce qui concerne la radioprotection, ce service est sous l'autorité du ministre des Affaires sociales et la Santé.
  19. « Internet RST », sur rst.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. Arrêté du 1er juillet 2019 portant nomination (administration centrale) - Legifrance Service du Numérique.

Voir aussi

Ouvrages

Textes légaux

Décrets d'attribution :

Décrets d'organisation :

Articles connexes

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