Mirabeau (Alpes-de-Haute-Provence)

Mirabeau (Mirabèu en occitan provençal), alias Mirabeau-lez-Digne, est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Mirabeau.

Ne doit pas être confondu avec Mirabeau (Vaucluse).

Mirabeau

Le village et le Piégu.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Hugo Decroix
2020-2026
Code postal 04510
Code commune 04122
Démographie
Gentilé Mirabellens (Mirabelènes)
Population
municipale
511 hab. (2019 )
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 03′ 49″ nord, 6° 05′ 27″ est
Altitude Min. 437 m
Max. 1 053 m
Superficie 18,22 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Digne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Digne-les-Bains-2
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Mirabeau
Géolocalisation sur la carte : France
Mirabeau
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Mirabeau
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Mirabeau
Liens
Site web www.mirabeau-04.fr

    Le nom de ses habitants est Mirabellens et Mirabellenes[1],[2].

    Géographie

    Mirabeau et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).
    Le village, le Piégu, la Paroisse à droite et au fond, le sommet du Ruth

    La commune est traversée par les Duyes.

    Environnement

    La commune compte 292 ha de bois et forêts[1].

    Village et lieux-dits

    Ruines du village perché de Beauveset.

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Digne-les-Bains-Ouest auquel appartient Mirabeau est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[3], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[4]. La commune de Mirabeau est également exposée à trois autres risques naturels[4] :

    • feu de forêt,
    • inondation (dans les vallées des Duyes et de la Bléone),
    • mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort[5].
    Vallée des Duyes ; au fond, le Cousson.

    La commune de Mirabeau est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses, par rail, route et canalisations[6]. En ce qui concerne la voie ferrée, la ligne de Saint-Auban à Digne traverse la commune est désaffectée, et n’est plus empruntée par aucun train, ni de fret ni de passagers. La route nationale 85 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[7]. Enfin, le gazoduc servant à alimenter Digne en gaz naturel traverse la commune et constitue donc un facteur de risque supplémentaire[8].

    Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 2008 pour le risque de mouvement de terrain[6] ; le Dicrim n’existe pas[9].

    La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle : en 1984 pour un tremblement de terre, pour des inondations et des coulées de boue en 1996 et 2001, pour des sécheresses en 1989, 1990 et 1998, et en 1996 pour des glissements de terrain[4]. Le seul tremblement de terre fortement ressenti dans la commune, dépassant une intensité macro-sismique ressentie de V sur l’échelle MSK (dormeurs réveillés, chutes d’objets), est le séisme du 19 juin 1984, d’une intensité ressentie à Mirabeau de V et dont l’épicentre était situé à Aiglun[10],[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Mirabeau est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (30,4 %), forêts (30,1 %), zones agricoles hétérogènes (16,9 %), terres arables (16,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,2 %), zones urbanisées (1,3 %), cultures permanentes (0,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Économie

    Bâtiment de la coopérative de Mirabeau.

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 255 personnes, dont 20 chômeurs[19] (11 fin 2011[20]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (82 %)[21] et travaillent majoritairement hors de la commune (83 %)[21]. Le principal secteur d’activités de la commune est le secteur tertiaire.

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 18 établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et deux emplois salariés[22]. La commune compte une coopérative agricole céréalière.

    Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de 13 en 2010. Il était de 14 en 2000[23], de 28 en 1988[24]. Actuellement, ces exploitants sont essentiellement spécialisés dans l’élevage, notamment ovin, et les grandes cultures[23]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a doublé, de 561 à 1 084 ha (la surface moyenne des exploitations passant de 20 à 77 ha dans le même temps)[24]. La SAU a légèrement augmenté lors de la dernière décennie, à 1 155 ha[23].

    Industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait cinq établissements, n’employant aucun salarié[22].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait 20 établissements (avec cinq emplois salariés), auxquels s’ajoutent les sept établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant 30 personnes[22].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est secondaire pour la commune, avec moins d’un touriste accueilli par habitant[25], les seules capacités d'hébergement de Mirabeau étant des meublés labellisés[26].

    Les résidences secondaires apportent un complément à la capacité d’accueil[27] : au nombre de 43, elles représentent 16 % des logements[28],[29].

    Toponymie

    La localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1300 (Mirabel). Son nom signifie lieu élevé, bien en vue[30],[31]. En provençal, le gentilé est Mirabelèn[réf. nécessaire]. Dans le Dictionnaire d'Expilly (1766), elle est encor appelée Mirabel[32].

    Le lieu-dit Beauvezet, où une chapelle est construite, apparaît en 1274 dans les textes. Il signifie en occitan bel aspect[33].

    Histoire

    Monument aux morts

    Dans l’Antiquité, les Bodiontiques (Bodiontici) peuplaient la vallée de la Bléone, et sont donc le peuple gaulois de l’actuelle commune de Mirabeau. Les Bodiontiques. Les Bodiontiques, qui sont vaincus par Auguste en même temps que les autres peuples présents sur le Trophée des Alpes (avant 14 av. J.-C.), sont rattachés à la province des Alpes-Maritimes lors de sa création[34].

    La localité apparaît pour la première fois au XIIIe siècle dans les chartes (Mirabellum, Belle Vue)[35]. Le prieuré Saint-Jean-de-Barrabine dépendait de l’abbaye de Ganagobie, qui percevait les revenus attachés à cet établissement, qui servait également d’église paroissiale au Moyen Âge[36].

    La communauté de Beauvezet est signalée en 1200 pour la première fois (Belvezer). Le prieuré Saint-Christophe (ou Saint-Christol) dépendait de l’abbaye Saint-Victor de Marseille, qui en percevait les revenus[36]. La communauté comptait 12 feux en 1315, est fortement dépeuplée par la crise du XIVe siècle (Peste noire et guerre de Cent Ans) et annexée par celle de Mirabeau au XVe siècle[37]. Les deux communautés relevaient de la baillie de Digne[36].

    C’est au XVIIIe siècle que le village de Mirabeau se forme, autour du hameau du Riou. Auparavant, la population était dispersée en de multiples petits hameaux[36].

    Beauvezet/Beauveset connaît une brève existence de commune indépendante en 1790-1794, avant d’être à nouveau rattaché à Mirabeau[38].

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[39].

    Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : Mirabeau, avec deux habitants traduits devant la commission mixte, est relativement peu touchée[40].

    Comme de nombreuses communes du département, Mirabeau se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède une, installée au village chef-lieu[41]. Bien que la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants, Mirabeau en possède également une, et les deux sexes reçoivent donc une instruction primaire[42]. Une autre école est ouverte ensuite au hameau de Beauvezet ; la commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve au village et rénover celle de Beauvezet[43].

    Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Mirabeau. Le vin produit, de qualité médiocre, était destiné à l’autoconsommation. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[44].

    Héraldique

    Les armes de Mirabeau se blasonnent ainsi :

    De gueules à deux fasces d'or[45].


    Politique et administration

    Municipalité

    La mairie
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
             
    1835 1845 Jean-Louis Eyglunenc[46]    
             
    1848 1851 Ferdinand Eyglunenc   Prend part à la résistance au coup d’État de 1851,
    déporté en Algérie[46]
             
    mai 1945   Victor Nalin[47] Résistant ancien Résistant, se présente sous cette étiquette.
             
    mars 1965 décembre 1980 Paul Plan    
    octobre 1981 mars 1983 Gérard Sauvecane    
    mars 1983 mars 2008 Claude Astoin    
    mars 2008 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Serge Carel[48],[49] PS puis LREM Conseiller départemental (2015-)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Mirabeau a fait partie, de 1992 à 2016, de la communauté de communes des Duyes et Bléone. Celle-ci a fusionné avec d'autres communautés de communes pour constituer la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération, existant depuis le .

    Enseignement

    La commune est dotée d’une école primaire[50]. Dans l'histoire, elle a souvent changé de place. Jusqu'en 2007, elle était dans le même bâtiment que la mairie ; depuis elle se trouve à l'entrée du village.

    Démographie

    Fontaine au village, à trois bassins.


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[52].

    En 2019, la commune comptait 511 habitants[Note 3], en augmentation de 2 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,48 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1765 1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    485541474541515502536536521
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    519506500515507481411404388
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    374355314255220213220187161
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    144142200262323394426429477
    2014 2019 - - - - - - -
    501511-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique avant 1765
    1315 1471
    72 feux36 feux

    Personnalités liées à la commune

    Paul Plan (né en 1928 à Aix en Provence - 02/06/2014). Passionné de Mirabeau et d'histoire, cet ingénieur en agronomie retraité, ancien maire du village, a écrit plusieurs ouvrages sur le village. Son premier livre HISTOIRE et histoires de Mirabeau lez Digne raconte la vie du village, ses monuments et anecdotes. Ses autres ouvrages Les quatre saisons de la révolution, L’assassinat du chirurgien, Un bas alpin au XIXe siècle et Les bas alpins célèbres sont liés, de prés ou de loin, avec Mirabeau.

    Lieux et monuments

    Château de Fontenelle, isolé dans la forêt sur une colline dominant la Bléone.
    • Le château de Fontenelle (milieu du XVIe siècle), propriété privée. Le domaine bâti actuel comprend le château composé d'un corps central rectangulaire avec quatre tours d'angle. Les murs sont construits en galets roulés de la Durance. Chaque étage est divisé globalement en deux grandes salles. Trois caves voûtées accueillent d’immenses foudres[54], dont les dernières dates de cuvées inscrites sont 1914, car ce domaine a été un centre viticole au XIXe où l'on pressait et élevait du vin (le pressoir est toujours en place dans l'une des salles du rez-de-chaussée). Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[55]. Un bâtiment à fonction agricole (non restauré) est situé en contrebas, composé d'écuries, de greniers à foin et de deux colombiers. La construction du château a été commandée en 1565, par le Capitaine Hellion de Barras, ayant pris parti en 1563 dans les conflits religieux de Haute-Provence contre les protestants. Le château à son origine, de type forteresse, est donc pourvu de quelques éléments défensifs à type de canonnières (9 par tour) dont il reste encore une dizaine[56].
    • Le château de Mirabeau, situé non loin de Thoard, qui datait du XVIIIe siècle, a été à moitié incendié. En avant du château, se trouvent deux tourelles qui couronnent le terre-plein[57].
    • Le château de Saint-Christol, en ruines.
    • Une fontaine date de 1826[58].
    • La ferme fortifiée aux Thumins.
    Église paroissiale

    L’église paroissiale est une ancienne chapelle ; située au Riou, sous le vocable de Notre-Dame-du-Bon-Secours, elle mesure environ 40 m de long sur 6 de largeur. Construite en 1639, elle est choisie pour tenir le rôle d’église paroissiale en 1772. La nef, qui comprend trois travées, est couverte d’un plafond incurvé qui imite la voûte en berceau (il date des réparations de l’église en 1888). Le chœur est placé sous une coupole[59].

    Chapelle Saint-Christol de Beauvezet, après sa rénovation de 2009.

    La chapelle Saint-Christol (ou Saint-Christophe) est citée en 1079. La forme de sa nef (sans division), l’abside en cul-de-four, peuvent témoigner de cette époque. Elle est construite en galets[60].

    L’ancienne église paroissiale, placée sous l’invocation de Saint-Jean-de-Barrabine, ou Barbarine, ou appelée encore Notre-Dame-des-Grenouilleurs, est en ruines, sur une colline éloignée du village actuel. Datable du XVIe siècle, de style gothique, il en subsiste le chœur et le clocher[61].

    La chapelle Saint-Philippe, située sur le sommet des Usclats à 800 m d’altitude[36], est le but du pèlerinage du 1er mai (XVIe ou XVIIe siècle). Le clocher-mur est percé de trois arcades[62].

    • Chapelles : Notre-Dame-de-Bon-Secours, Saint-Jean.
    • Église Saint-Valentin à l’extérieur du village[63].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Bibliographie

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Roger Brunet, « Cantons de Digne-les-Bains », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013.
    2. Mairie Mirabeau, portail des départements
    3. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39.
    4. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 3 août 2012.
    5. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37.
    6. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96.
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80.
    8. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 81.
    9. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 3 août 2011.
    10. BRGM, « fiche 40176 », Sisfrance, consultée le 3 août 2012.
    11. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Mirabeau », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 3 août 2012.
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    19. Insee, Dossier local - Commune : Mirabeau, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012).
    20. Insee, Dossier local, p. 8.
    21. Insee, Dossier local, p. 7.
    22. Insee, Dossier local, p. 16.
    23. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio).
    24. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio).
    25. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6.
    26. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32.
    27. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44.
    28. Insee, Dossier local, op. cit., p. 17.
    29. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio).
    30. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne). § 21093, p. 1124.
    31. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 103.
    32. Expilly, Dict... des Gaules et de la France, tome 4 (1766), p 751a.
    33. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne). § 21122, p. 1127.
    34. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22.
    35. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7).
    36. Daniel Thiery, « Mirabeau », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 5 décembre 2011, consulté le 3 août 2012.
    37. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 164.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
    40. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 72.
    41. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    42. Labadie, op. cit., p. 16.
    43. Labadie, op. cit., p. 11.
    44. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59.
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    47. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
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    54. Raymond Collier, op. cit., p. 258.
    55. Arrêté du 13 juin 1988, Notice no PA00080433, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 12 novembre 2008.
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    57. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 266.
    58. Raymond Collier, op. cit., p. 429.
    59. Raymond Collier, op. cit., p. 211.
    60. Raymond Collier, op. cit., p. 141.
    61. Raymond Collier, op. cit., p. 172 et 173.
    62. Raymond Collier, op. cit., p. 232.
    63. Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 184.
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