Montlaux
Montlaux est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Montlaux | |||||
Une ferme sur une colline, proche du Vieux-Montlaux. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Forcalquier | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pays Forcalquier - Montagne de Lure | ||||
Maire Mandat |
Camille Feller 2020-2026 |
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Code postal | 04230 | ||||
Code commune | 04130 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Moularains | ||||
Population municipale |
203 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 10 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 02′ 52″ nord, 5° 50′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 492 m Max. 807 m |
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Superficie | 19,75 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Forcalquier | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Le nom des habitants de Montlaux est Moularains[1],[2].
Géographie
Le village est une commune à l'habitat dispersé sur tout son territoire. Le hameau des Jacons regroupe quelques maisons, la mairie et l'église, à 550 m d’altitude[1].
Géologie
Hydrographie
La commune est traversée par le Lauzon[3], bordé de nombreux moulins, ce qui a fait dire que le village aurait pu s'appeler Mont de l'eau vu le grand nombre de sources. À ce jour, il reste trois moulins : le moulin du Mitan (moulin du milieu) situé au bord de la RD 16, sur la route de Sigonce, le moulin de Lure, en bordure du C1 en direction de Saint-Étienne-les-Orgues, et le moulin de Pologne à la sortie de Montlaux sur la RD 16 direction Sigonce, rendu célèbre par le titre de Jean Giono du même nom mais dont certains disent qu’il s’agit d’une déformation du Moulin de Poulonne. Après avoir été exploité comme gîte sous le nom du Moulin d’Anaïs, il a retrouvé son nom original de Moulin de Pologne et est une propriété privée.
À l’extérieur du village, en suivant la départementale RD 16, en direction de Sigonce, le Lauzon traverse un affleurement calcaire, créant une cascade et une « marmite de géant » pittoresques.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes de Montlaux sont[4],[5] :
Cruis | Mallefougasse-Augès | |||
Saint-Étienne-les-Orgues | N | |||
O Montlaux E | ||||
S | ||||
Revest-Saint-Martin | Sigonce |
Climat
Les stations météos proches de Montlaux sont situées à Château-Arnoux-Saint-Auban (mais dans le contexte de la vallée de la Durance) et à Forcalquier[6].
Environnement
La commune compte 921 ha de bois et forêts, soit 47 % de sa superficie[1].
Risques majeurs
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Saint-Étienne-les-Orgues auquel appartient Montlaux est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Montlaux est également exposée à trois autres risques naturels[8] :
- feu de forêt,
- inondation,
- mouvement de terrain : plusieurs versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[9].
La commune de Montlaux n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[10] et aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[10] ; le Dicrim existe depuis 2010[11].
Toponymie
Le nom du village, tel qu’il apparaît pour la première fois dans les textes (Montelauro), est interprété de différentes manières :
- soit comme Mons Lauro, le mont de saint Laurus d’après Dauzat et Rostaing, mais qui envisagent la possibilité d’une homonymie avec le laurier[12] ;
- soit comme un composé de l’occitan mons et du nom de personne Laur[13].
En occitan provençal, le nom est Montlaur.
La toponymie de la commune est celle d’une commune montagneuse de l’aire occitane. Le nom du Pech Jean est dérivé du latin podium (éminence) et signifie ainsi « la montagne de Jean »[14]. Les formations géologiques servent encore à désigner la Baume (une grotte, un abri sous roche), et la classique distinction des versants ensoleillés et ombragés avec l’Ubac et l’Adrech[15]. Plusieurs noms de collines peuvent dériver de podium sous la forme pi, comme la Pinée, le Pied des Adrechs (?)
La Royère désigne une forêt de chênes blancs[15], les sources, rares, donnent leur nom à des lieux : Font-Roumieu aux Jacons, les Neuf-Fontaines au Joncas[16].
L’agriculture a également donné quelques toponymes : Grange Neuve est le nom d’une ferme[15], mais aussi Grand-Champ, le Champ de Simian.
Les Gipières à limite de Cruis sont la trace d’un lieu où l’on extrayait du gypse[15].
Urbanisme
Typologie
Montlaux est une commune rurale[Note 1],[17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,2 %), forêts (29 %), zones agricoles hétérogènes (15,3 %), terres arables (13,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (8,3 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Histoire
Dans l’Antiquité, le territoire de Montlaux fait partie de celui des Sogiontiques (Sogiontii), qui peuplent la montagne de Lure, en étant fédérés aux Voconces. Après la Conquête, ils sont rattachés avec eux à la province romaine de Narbonnaise. Au IIe siècle, ce peuple est détaché des Voconces et forme une civitas distincte, avec pour capitale Segustero (Sisteron)[24].
Alors que le sud-est de la Gaule était une terre burgonde, le roi des Ostrogoths Théodoric le Grand fait la conquête de la région entre la Durance, le Rhône et l’Isère en 510. La commune dépend donc brièvement à nouveau de l’Italie, jusqu’en 526. En effet, pour se réconcilier avec le roi burgonde Gondemar III, la régente ostrogothe Amalasonthe lui rend ce territoire[25].
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1203. Le village était un fief ecclésiastique, appartenant d’abord à l’abbaye de Cruis puis à l’évêché de Sisteron[26]. La communauté relevait de la viguerie de Forcalquier[27]. L’église paroissiale relevait de l’abbaye de Cruis et revint comme l’ensemble de ses possessions à l’évêque de Sisteron au XVe siècle[27]. Un autre prieuré était installé au lieu-dit Saint-Pierre[27].
Mahaut de Bourbon, épouse de Gui II de Dampierre mourut à Montlaux en . Elle était la seule fille et héritière de son père Archambault VII de Bourbon, décédé prématurement en 1169 à l'âge de 29 ans, et de son grand-père Archambault VI, mort en Israël en 1171[28],[29].
Au XVe siècle c’était pourtant l’un des villages les plus riches et les mieux fortifiés du pays de Forcalquier et même le seul à avoir résisté aux assauts de Raymond de Turenne vers la fin du XIVe siècle. Témoin ces restes de grandes demeures à étages, chose étonnante pour l’époque, et qui atteste qu’une population nombreuse se partageait un espace restreint.[réf. nécessaire]
Comme de nombreuses communes du département, Montlaux se dote d’une école bien avant les lois Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[30]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[31], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Montlaux[32]. Si la municipalité profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour rénover son école[33], ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Montlaux sont régulièrement scolarisées.
Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Montlaux. Le vin produit, de qualité médiocre, était destiné à l’autoconsommation. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[34].
Politique et administration
Administration municipale
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 11 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[35]). Lors du scrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et Claude Durand a été réélu conseiller municipal avec le huitième total de 71 voix, soit 57,26 % des suffrages exprimés. La participation a été de 88,57 %. Il a ensuite été élu maire par le conseil municipal[36].
Liste des maires
L'élection du maire est la grande innovation de la Révolution de 1789. De 1790 à 1795, les maires sont élus au suffrage censitaire pour deux ans. De 1795 à 1800, il n’y a pas de maires, la commune se contente de désigner un agent municipal qui est délégué à la municipalité de canton.
En 1799-1800, le Consulat revient sur l'élection des maires, qui sont désormais nommés par le pouvoir central. Ce système est conservé par les régimes suivants, à l'exception de la Deuxième République (1848-1851). Après avoir conservé le système autoritaire, la Troisième République libéralise par la loi du l'administration des communes : le conseil municipal, élu au suffrage universel, élit le maire en son sein.
Intercommunalité
Montlaux fait partie de la communauté de communes du pays de Forcalquier et montagne de Lure.
Fiscalité
Taxe | Part communale | Part intercommunale | Part départementale | Part régionale |
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Taxe d'habitation | 4,56 % | 0,00 % | 5,53 % | 0,00 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties | 14,40 % | 0,00 % | 14,49 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties | 42,24 % | 0,00 % | 47,16 % | 8,85 % |
Taxe professionnelle | 0,00 % | 19,22 % | 10,80 % | 3,84 % |
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (les deux formant la contribution économique territoriale qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[47]).
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[49].
En 2019, la commune comptait 203 habitants[Note 3], en augmentation de 45 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,48 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Montlaux comptait 65 feux en 1315 et 20 en 1471[26].
L'histoire démographique de Montlaux, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu'au début du XIXe siècle, est marquée par une période d'« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période de 1846 à 1866. L'exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1921, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population du maximum historique de 1856[52]. Le mouvement de recul se poursuit jusqu'aux années 1960. Depuis, la population s'est remis à croître.
Enseignement
La commune ne dispose pas d'école primaire publique, les enfants sont scolarisés à Cruis[53]. Ensuite, les élèves sont affectés au collège Henri-Laugier à Forcalquier[54]. Puis les élèves sont dirigés vers les lycées de Manosque[55], soit le lycée polyvalent Les Iscles[56], soit le lycée Félix-Esclangon[57].
Santé
La commune ne dispose ni de structures ni de personnel médicaux. À proximité on trouve un médecin à Cruis (à 1,6 km) et aussi à Saint-Étienne-les-Orgues (à 5,0 km)[58]. La pharmacie se trouve également à Saint-Étienne-les-Orgues[59]. L'hôpital local des Mées est le plus proche à (10,6 km)[60].
Cultes
La commune fait partie du secteur paroissial Montagne de Lure[61].
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 51 personnes, dont cinq chômeurs[62] (dix fin 2011[63]). Ces travailleurs sont salariés aux deux tiers (31 sur 47)[64] et travaillent majoritairement hors de la commune (même proportion)[64].
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait douze établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salarié[65].
Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de 10 en 2010. Il était de 13 en 2000[66], de 21 en 1988[67]. Actuellement, ces exploitants sont essentiellement tournés vers l’élevage ovin et les grandes cultures[66]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement augmenté, de 659 à 849 ha[67]. La SAU a régressé lors de la dernière décennie, à 738 ha[66].
Les agriculteurs de la commune de Montlaux ont droit à trois labels appellation d'origine contrôlée (AOC) (dont l’huile essentielle de lavande de Haute-Provence et le banon) et à neuf labels indication géographique protégée (IGP) (miel de Provence, agneau de Sisteron)[68]. L’olivier n’était pas présent dans la commune au début du XIXe siècle. Actuellement, il occupe quelques surfaces restreintes, avec une oliveraie de moins de 1000 pieds[69]. L’huile produite à partir des olives récoltées dans la commune bénéficie de l’AOC huile d’olive de Provence[68].
Parmi les labels couvrant la commune, ceux concernant le vin (alpes-de-haute-provence (IGP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé) ne sont pas utilisés, la vigne n’étant pas cultivée pour une production commerciale dans la commune[34].
- Champ de lavande sur le plateau d'Albion
- Alambics pour distiller la lavande
- Huile de Provence AOC
- Agneau de Sisteron élevé sous sa mère
- Ruches à la combe du Pommier
- Plateau d'AOC banon dans un restaurant de Revest-du-Bion
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait un seul établissement, employant un salarié[65].
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait neuf établissements, auxquels s’ajoute l’unique établissement du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant une personne[65].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est d’une importance moyennepour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[70], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non marchande[71]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :
- un camping à la ferme[72] ;
- des chambres d’hôtes[73].
Les résidences secondaires apportent un complément à la capacité d’accueil[74] : au nombre de 69, elles représentent la moitié des logements, chiffre incluant 28 mobil-homes[75],[76].
Lieux et monuments
Comme beaucoup de villages de Haute-Provence, le village s’est d’abord établi en hauteur, sur un éperon barré, puis a migré vers le site actuel, plus accessible. L’ancien village et son donjon, le Vieux Montlaux, sont en ruines[77],[78].
L’église paroissiale Saint-Jacques-et-Saint-Christophe est reconstruite en 1828[79],[78],[27].
Il subsiste les restes d’un moulin des moines chalaisiens, sur la route de Cruis[80].
Personnalités liées à la commune
- Monticelli a vécu à la ferme des Colomblancs
Héraldique
Blasonnement : |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Montlaux sur le site de l'Institut géographique national
- Notice géographique et historique sur la commune de Montlaux, par Louis Pelloux (1887). Texte intégral en ligne.
- Comment les familles montent et disparaissent, par l'abbé J. Corriol (1937). Cette étude généalogique concerne, entre autres, la famille des Valavoire (seigneurs de Montlaux, Sigonce, Volx, Mallefougasse et Volonne).
Sources
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
- Guy Barruol, Nerte Dautier, Bernard Mondon (coord.), Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Réélue le [44].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Roger Brunet, « Cantons de Digne-les-Bains », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
- « Nom des habitants des communes françaises, Montlaux », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
- SANDRE, « rivière Le Lauzon »
- Carte de la communauté de communes sur le site du Pays de Forcalquier-Montagne de Lure, consultée le 22 octobre 2008
- Carte IGN série verte n°60
- Météo-France, « Réseau des postes du Sud-Est », Climathèque, consultée le 11 mars 2013
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 5 août 2012
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
- Document en ligne, base Dicrim, consultée le 5 août 2011
- Claude Martel, « L’oronymie d’une montagne provençale » in Guy Barruol, André de Réparaz et Jean-Yves Royer (directeurs de la publication), La montagne de Lure, encyclopédie d’une montagne en Haute-Provence, Forcalquier, Alpes de Lumière, coll. « Les Alpes de Lumière », , 320 p. (ISBN 2-906162-70-1), no 145-146 p. 222
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne). § 29430, p 1679
- Claude Martel, Ibid., p. 219
- Guy Barruol, Claude Martel, Jean-Yves Royer, « Glossaire lié à la topographie et à la toponymie de Lure », in Barruol, Réparaz, Royer, op. cit., p. 229
- Guy Barruol, « L’eau apprivoisée »,in Barruol, Réparaz, Royer, op. cit., p. 53
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 18-19
- Audrey Becker-Piriou, « De Galla Placidia à Amalasonthe, des femmes dans la diplomatie romano- barbare en Occident ? », Revue historique, 2008/3, n° 647, p. 531.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 186
- Daniel Thiery, « Montlaux », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 5 décembre 2011, consulté le 5 août 2012
- Eugène François Joseph Tailliar - Recueil d'actes des XIIe et XIIIe siècles en langue romane wallonne du Nord de la France
- A. d'Aubers, La Maison de Bourbon
- Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
- Labadie, op. cit., p. 16.
- Labadie, op. cit., p. 18.
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- André de Réparaz, op. cit., p. 56 et 59
- « nombre des membres du conseil municipal des communes », Legifrance
- « Résultats élections municipales 2008 à Montlaux », sur linternaute.com
- [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 3 avril 2014.
- Alexis Pellegrin est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Arlette Laguiller (LO) à l’élection présidentielle de 1988, cf Conseil constitutionnel, liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 12 avril 1988, page 4801, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
- Claude Durand est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Jean Saint-Josse (CPNT) à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010, et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
- Claude Durand est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Nicolas Sarkozy (UMP) à l’élection présidentielle de 2007, cf Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010, et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Montfuron à Puimichel (liste 5), consulté le 8 mars 2013
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
- « Camille Feller maire de Montlaux », sur Haute Provence Info, (consulté le ).
- « Compte rendu de la séance du » [PDF], sur montlaux.fr, Mairie de Montlaux (consulté le ).
- Constitution du conseil municipal de Montlaux, sur montlaux.fr, Mairie de Montlaux (consulté le ).
- « Impôts locaux à Montlaux », taxes.com.
- Loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 289.
- « Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence », Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
- « Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence », Académie Aix-Marseille,
- « Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence », Académie Aix-Marseille,
- « Site du lycée Les Iscles », Académie Aix-Marseille,
- « Site du lycée Félix-Esclangon », Académie Aix-Marseille,
- « Médecins à proximité de Montlaux », sur pagesjaunes.fr
- « Pharmacie à proximité de Montlaux », sur pagesjaunes.fr
- « Hôpitaux à proximité de Montlaux », sur pagesjaunes.fr
- Secteur Montagne de Lure « Copie archivée » (version du 27 novembre 2010 sur l'Internet Archive)
- Insee, Dossier local - Commune : Montlaux, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
- Insee, Dossier local, p. 8
- Insee, Dossier local, p. 7
- Insee, Dossier local, p. 16
- Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
- Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
- « Liste des appellations AOC et IGP à Montlaux », sur INAO
- Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 58
- Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 7
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 21 et 22
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 38
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
- Insee, Dossier local, op. cit., p. 17
- Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 313
- Irène Magnaudeix et alii, Pays de Haute-Provence : de Lure au Luberon. Manosque, pays de Forcalquier, de la montagne de Lure au Luberon, guide de découverte par les chemins, ADRI/Les Alpes de Lumière, 1999, (ISBN 2-906924-25-3), (ISBN 2-906162-47-7), p. 139
- Raymond Collier, op. cit., p 379
- Raymond Collier, op. cit., p 431
- Banque du Blason
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