Montsoult

Montsoult [mɔ̃su] est une commune du Val-d'Oise située à flanc de coteau à l'orée de la forêt de L'Isle-Adam, dominant la plaine de France, et à environ 25 km au nord de Paris.

Montsoult

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité Communauté de communes Carnelle Pays-de-France
Maire
Mandat
Silvio Biello
2020-2026
Code postal 95560
Code commune 95430
Démographie
Gentilé Montsoultois
Population
municipale
3 633 hab. (2019 )
Densité 946 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 00″ nord, 2° 19′ 00″ est
Altitude Min. 102 m
Max. 192 m
Superficie 3,84 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Montsoult
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Domont
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Montsoult
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Montsoult
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Montsoult
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Montsoult
Liens
Site web https://montsoult.fr/

    Ses habitants sont les Montsoultois(es).

    Géographie

    La commune est limitrophe de Maffliers, Attainville, Baillet-en-France, Chauvry, Villiers-Adam et Nerville-la-Forêt.

    La gare de Montsoult - Maffliers.

    Montsoult est desservie par la gare de Montsoult - Maffliers, sur la ligne H du Transilien, branches Paris-NordPersan-Beaumont / Luzarches. La gare est desservie à raison d'un train omnibus au quart d'heure en heures creuses et par 8 trains semi-directs en heures en pointe, soit en alternance un train semi-direct au quart d'heure (omnibus de Paris à Sarcelles - Saint-Brice puis direct) et un autre train semi-direct (direct de Paris à Sarcelles - Saint-Brice et omnibus ensuite) au quart d'heure. La desserte se réduit à un train omnibus à la demi-heure en soirée (après 20 h 30). Il faut de 26 à 31 minutes de trajet à partir de la gare du Nord.

    Urbanisme

    Typologie

    Montsoult est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montsoult, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[6] et 7 282 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].

    Histoire

    Le nom de Montsoult provient probablement du latin Monticelis, altération de Montis Cellariensis, mont relatif au cellier des moines, ou peut-être de l'anthroponyle Monte-Ceodi, chevalier de 1233.[citation nécessaire]

    Le village est mentionné pour la première fois dans un diplôme de Charles le Chauve en 862.[citation nécessaire] Vers 1275, la seigneurie est partagée entre une branche de la famille de Montmorency et la famille La Queue. Les deux domaines sont réunis en 1744 par Geoffroy Macé Camus de Pontcarré, baron de Maffliers. La population s'élève à un peu plus de 400 habitants au XIXe siècle.

    Avec l'arrivée du chemin de fer en 1875, la commune connaît une lente évolution démographique et s'étend vers la gare, située dans la plaine. Une première vague de lotissement débute en 1926 provoquant un important afflux de population. En 1940, le château est réquisitionné par les Allemands ; la mairie y aménage un internat en 1943 puis le revend en 1945 à l'ambassade d'URSS. Des barres d'immeubles sont construites dans les années 1960.

    Politique et administration

    Montsoult fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d'instance d'Écouen en [11]), et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[12],[13].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[14]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1925  ? M. Fourcade    
    Les données manquantes sont à compléter.
    /1962  ? Henri Coquelle DVD-UNR Conseiller général du canton d'Ecouen (1953 → 1961)
     ? mars 2001 Émile Combres    
    mars 2001 mars 2014[15] Jean-Claude Boistard[16],[17] DVD  
    mars 2014[18],[19] mars 2020 Lucien Mellul DVD Retraité
    7e vice-président de la CC Carnelle Pays de France (2018 → 2020)
    mars 2020[20] En cours Silvio Biello SE Artisan
    11e vice-président de la CC Carnelle Pays de France (2020 → )

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

    En 2019, la commune comptait 3 633 habitants[Note 3], en augmentation de 6,41 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    457398450478433437447441412
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    355382350334354395458418417
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4243854425437278889519901 209
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 5351 7772 4983 1753 5233 5193 5253 4923 416
    2014 2019 - - - - - - -
    3 4313 633-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Monuments historiques

    Église Saint-Sulpice.
    Croix devant l'église.

    Montsoult compte deux monuments historiques sur son territoire.

    • Église Saint-Sulpice, rue de la Mairie (inscrite monument historique par arrêté du [25]) : Elle succède à une église du XIIe ou du XIIIe siècle, qui a été presque entièrement reconstruite pendant la première moitié du XVIe siècle dans le style gothique flamboyant. Sa dédicace a été célébrée en 1543. C'est un édifice assez simple, qui se distingue par son plan inhabituel à double nef, ce qui en fait une église-halle. L'instabilité du terrain a motivé plusieurs reprises, et l'extérieur est sans grand caractère. La façade du XVIIIe siècle est influencée par le style classique, et devrait normalement être enduite. L'intérieur tient son caractère des huit voûtes d'ogives, dont certaines retombent sur des piliers agrémentés de frises sculptées. Des désordres de structure ont motivé une longue campagne de restauration entre 1967 et 1976. Pratiquement tout le mobilier ancien a été enlevé de l'église, et elle a été redécorée par la suite. Les fonts baptismaux, quatre statues et un tableau sont les seuls éléments antérieurs à la Révolution française maintenus en place[26]. Aujourd'hui, l'église Saint-Sulpice est le principal lieu de culte d'un regroupement paroissial qui s'étend sur quatre communes.
    • Ancienne croix de cimetière, devant l'église (inscrite monument historique par arrêté du [27]) : Elle n'a pas été déplacée lors du transfert du cimetière vers la périphérie est du village. La croix proprement dite est en fer forgé et très simple. Elle est plantée sur un fût cylindrique à la base carrée, qui se dresse sur un piédestal Renaissance particulièrement élaboré, mais mal conservé. Une niche est ménagée dans chacune des quatre faces, dont la partie supérieure est moulurée à la façon d'une coquille Saint-Jacques : Montsoult était effectivement situé sur l'un des chemins de pèlerinage vers Saint-Jacques-de-Compostelle. Des petits frontons en arc de cercle légèrement saillants surmontent les niches[28]. Ces frontons prennent appui, à chacune des deux extrémités, sur deux consoles ayant apparemment été sculptées en têtes.

    Autres éléments du patrimoine

    • Le trou Floquet, rue Paul-Rimet : L'origine de cette dépression du terrain est inconnue, mais il s'agit probablement d'un vestige de l'exploitation du gypse qui existe dans la région depuis le haut Moyen Âge. Le trou Floquet est déjà mentionné sous ce nom dans une charte de 1584[28]. Après des périodes pluvieuses, le fond du trou se remplit d'eau, évacuée ensuite par une canalisation. La cavité est conforté par des murs en moellons pour stabiliser le terrain.
    • Croix de Montsoult, au carrefour rue de Maffliers / rue des Charmilles / rue de Villaines : Cette croix s'élève à l'emplacement d'une croix plus ancienne connue depuis la fin du XVIIe siècle, marquant l'entrée est du village sur la route royale de Beauvais à Paris qui passait jadis par les hauteurs de Montsoult[28].
    • Maison 26 rue des Charmilles : Cette maison conserve une inscription d'époque, « Commune de Montsoult, Service des Eaux, Forage n° 2, 1927 ». Un second puits profonds a été foré en cette année pour alimenter en eau potable les nouveaux lotissements. L'adduction d'eau potable remonte déjà à 1909 en Montsoult, du fait du débit insuffisant des trois fontaines existant préalablement[28].
    • Villa Béthanie, rue de Baillet : Cet ancien séminaire oratorien s'élève depuis 1889 à l'emplacement de l'ancien château médiéval du Pied-de-Fer, détruit en 1875. Les hauts murs de clôture du grand domaine occupé pour l'essentiel par un parc longent la rue de la Mairie en face de l'église, la rue de Pontoise et la rue de Baillet. L'allée des Clématites délimite le parc au sud et à l'est.
    • Passerelle, sente de derrière le Moulin : Ce petit pont surplombant une sente rurale date du début du XXe siècle et relie les deux parties du parc de l'ancien château de Montsoult (disparu), réunies de nouveau après leur rachat par les mêmes propriétaires. Il s'agit de Fernand Fourcade, banquier et industriel, maire de Montsoult de 1899 à 1932, et de son beau-frère Georges Provost. La ruelle du Moulin a par ailleurs été déplacée sur leur demande. D'autres passerelles ont été construites entre les deux composantes de la propriété, mais une seule subsiste. Les garde-corps en béton armé imitent la texture du bois[28].
    • Maison de l'Ange-gardien, 23 rue de la Mairie : Construite dans un style néo-Renaissance, cette maison en brique rouge et pierre de taille est l'une des plus remarquables du village. La statue d'un ange gardien orne l'angle nord-est de la façade, surmonté par un petit clocher. La maison est l'ancienne porterie de la villa Béthanie (voir ci-dessus) et passe entre les mains de plusieurs ordres religieux : Les franciscaines de Sainte-Élisabeth de Hongrie y installent un pensionnat, puis les pères Oratoriens en font leur noviciat en tant que dépendance de la villa Béthanie[28].
    • Villa des Tilleuls, 18 rue de Pontoise : Cette grande demeure est l'une des plus importantes de la commune. Son nom vient des tilleuls qui bordent la rue de Pontoise. Elle a été construite pour le docteur Bujon, médecin et maire de la commune, puis passe dans la propriété de M. Champenois, conseiller municipal. Les fêtes de l'école communale sont alors organisées annuellement dans le parc de la villa. Elle appartient aujourd'hui à la commune qui l'utilise pour ses activités culturelles. La maison de gardien à l'entrée du domaine et les anciens communs sont occupés par les services techniques de la mairie[28].
    • Pont d'Arcole, à l'entrée de la forêt de l'Isle-Adam, dans la prolongation ouest de la rue de la Mairie : Ce pont a été construit en 1830 pour le compte du comte du Choiseul, qui souhaite pouvoir relier le parc de son château de Baillet-en-France à celui de Maffliers, propriété du duc de Périgord. Du fait que les deux propriétés ne sont pas exactement limitrophes, le comte doit tout d'abord acquérir le quartier des Bois, se composant d'une plâtrière, d'une ferme et de plusieurs maisons, habitées par dix-sept ménages au total. Une fois qu'il a tout racheté, il fait raser l'ensemble. Ce sont les bûcherons qui donneront au pont son nom[28], à l'instar d'un pont à Paris, en souvenir d'un jeune républicain mort au cours des Trois Glorieuses. Abattu alors qu'il plantait un drapeau tricolore, il s'écria avant de mourir : « Rappelez-vous que je m'appelle Arcole »[29].
    • Ancienne muraille du château du Pied-de-Fer : Remontant au XVIe ou XVe siècle, elle provient du château démoli par les franciscaines de Sainte-Élisabeth de Hongrie en 1875, et délimite aujourd'hui un lotissement à l'ouest du village[28].

    Personnalités liées à la commune

    • Dan Jacobson, artiste peintre et lithographe né en 1942, vit à Montsoult.

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au 1er d'or à quatre alérions d'azur, ordonnés 2 et 2, au 2e d'azur à trois fleurs de lys d'or, au 3e d'azur au lion d'or, au 4e d'or à dix billettes de gueules ordonnées 4, 3, 2 et 1 ; à la à la croix de gueules brochant sur la partition.
    Détails
    Les créneaux représentent les anciennes fortifications du village.

    La croix de gueules qui divise les quartiers rappelle que les seigneurs de Montsoult ont participé aux Croisades. Le premier quartier d’or aux alérions d’azur figure est emprunté au blason de la famille de Montmorency, qui a été seigneur de Montsoult. Le deuxième quartier d’azur aux fleurs de lys d’or indique l'appartenance de Montsoult au pays de France. Le troisième quartier d’azur au lion d’or évoque la famille de Beaumont.

    Le quatrième quartier d’or à dix billettes de gueules renvoie à Antoine de Bucy, seigneur de Gournay, inhumé en l’église de Montsoult dont seule subsiste la pierre tombale qui forme le seuil de l’église.
    Adopté par la municipalité.
    Alias
    Alias du blason de Montsoult
    D'or à la croix de gueules cantonnée de seize alérions d'azur, quatre dans chaque canton ; au franc-canton d'argent à l'étoile de sable.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références1

    1. « Communes limitrophes de Montsoult » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes de Montsoult » sur Géoportail..
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Montsoult », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Décret du 15 février 2008 publié au Journal Officiel du 17 février 2008
    12. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
    13. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    14. « Les maires de Montsoult », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    15. « Municipales à Montsoult : un Boistard peut en cacher une autre », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    16. Bénédicte Agoudetsé, « La majorité municipale se déchire au conseil », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    17. Site officiel de la préfecture du Val d‘Oise-liste des maires, 3 août 2009 [PDF]
    18. « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, Préfecture du Val-d'Oise, (consulté le ).
    19. Julien Ducouret, « Vidéoprotection : sept nouvelles caméras à Montsoult : Le maire divers droite, Lucien Mellul, l'a annoncé il y a quelques jours », La gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    20. France info, « Résultats des élections municipales : Montsoult », .
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    25. « Église Saint-Sulpice », notice no PA00080135, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    26. Mathieu Lours, « Montsoult - Saint-Sulpice », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France, , p. 212-213 (ISBN 9782953155402).
    27. « Ancienne croix de cimetière », notice no PA00080134, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. Pierre Autin, Daniel Baduel, Yves Breton et M. Johnson, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II, , p. 954-960 (ISBN 2-84234-056-6).
    29. Félix Lazare et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, (lire en ligne).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • A. Courcelle, « Notice pour servir à l'histoire de Montsoult », Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, Pontoise, vol. 36, , p. 108-116 (ISSN 1148-8107, lire en ligne)
    • Éliane Beau et Jean-Pierre Beau, Histoire de Montsoult et de Maffliers : Seigneurs et barons de Maffliers - Montsoult - Béthemont ; notes historiques sur les pays voisins : Villaines et Nerville, éd. du Valhermeil, , 415 p. (ISBN 2-905684-66-6), p. 211-369

    Articles connexes

    Liens externes

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