Naizin

Naizin [nɛzɛ̃] (en breton Neizin, parfois abrégé en Nein) est une ancienne commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

Naizin

La Grand Rue en .
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Centre Morbihan Communauté
Statut Commune déléguée
Maire délégué Philippe Cadoret
Code postal 56500
Code commune 56144
Démographie
Gentilé Naizinois
Population 1 790 hab. (2013)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 59′ 24″ nord, 2° 49′ 50″ ouest
Altitude 110 m
Min. 57 m
Max. 136 m
Superficie 40,99 km2
Élections
Départementales Grand-Champ
Historique
Date de fusion
Commune(s) d'intégration Évellys
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Naizin
Géolocalisation sur la carte : France
Naizin
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Naizin
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Naizin

    Le , elle prend le statut administratif de commune déléguée de la nouvelle commune d'Évellys de statut administratif commune nouvelle.

    Géographie

    Localisation

    Vue Générale de Naizin

    Traversée par l'Ével, la commune est située à 17 km au sud-est de Pontivy.

    Lieux-dits

    Le territoire de la commune comprend de nombreux lieux-dits : le Pudy ; Corgarho ; Kermaprio ; le Cosquer ; le Boterff ; Kerrrobin ; Kerjaujic ; le Clandy ; Tocplouz ; le Salut ; Pont Dran ; Kergat ; la lande de Porhman ; Coëtdan ; la lande de la Chataigneraie ; le Perzo ; la Poste ; Pembual ; Pervern ; Kerabevin : Saint Brigitte ; Hembord ; Kerdréan ; Kermaria ; Kergicquel ; les Trois Alouettes ; Kerlagadec ; Kerdec ; Luzunin ; le Stimoès ; le Camper ; Siviac .

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Naizin, Neidin[1], Neizin, prononcée Nein en breton vannetais ; Naizain en 1793 ; Naizin en 1801[2],[3].

    Naizin [nɛzɛ̃], en breton Neizin, parfois abrégé en Nein dérive du vieux breton Nith signifiant « lieu où l'on s'établit ».[réf. nécessaire]

    Histoire

    Moyen Âge

    Naizin a probablement été évangélisée vers le VIe siècle. Au moment des invasions normandes vers le IXe siècle, Naizin dépend du doyenné du Porhouët. Déjà, la paroisse a comme saints patrons Cosme et Damien, alors que l'église est placée sous le vocable du Saint-Sauveur. On pense que le bourg primitif n'était pas à son emplacement actuel, mais plutôt au Humborg « vieux bourg »[4].

    Temps modernes

    Tout au long des décennies, la situation évolue et au XVIIe siècle, il y avait autant d'habitants au Humborg qu'au bourg[4].

    Révolution française et Empire

    Après la Révolution, Napoléon cherche à ramener la paix religieuse dans les campagnes. L'annonce du Concordat signé entre le Vatican et le gouvernement français est accueillie avec satisfaction. Le nouvel évêque de Vannes Mgr Mayneaud de Pancemond convoque les prêtres du diocèse pour faire connaissance et pour réorganiser le diocèse en 37 cures. Concernant Naizin, les paroissiens n'ayant pas accepté les nouvelles limites, les choses restent en l'état comme avant la Révolution[5].

    Le XIXe siècle

    Plusieurs missions sont prêchées à Naizin, en 1869, 1875 et 1885.

    Lors des élections législatives de 1876 « de nombreux témoins ont déposé qu'à Pluméliau, à Cléguérec, à Moustoir-Ac, à Baud, à Séglien, à Locuon, à Naizin, à Noyal-Pontivy, et dans un grand nombre d'autres communes, les curés et les vicaires se tenaient, le jour du scrutin, à la porte des sections de vote, surveillaient les bulletins, déchiraient ceux de M. Cadoret, forçaient les électeurs à prendre ceux de M. de Mun, et les conduisaient voter »[6].

    Le XXe siècle

    En 1909, le père Le Clainche de Naizin préside la grand-messe du avant de regagner définitivement sa mission du Tanganyika. À Naizin comme dans toute la Bretagne, une forte opposition se manifeste à l'application de la loi de séparation des Églises et de l'État. Le , plus de 300 paroissiens de Naizin attendent le receveur de Locminé qui a bien du mal à effectuer son inventaire. Les biens de la fabrique sont estimés à 15 310 francs[7]. En 1920, le recteur Pédronno crée une association sportive, L'Avant Garde avec une fanfare et une équipe de football qui fonctionne jusqu'en 1986[8]. Des missions sont prêchées, en 1924, 1934, 1949, 1954 et 1971[8]. L'école des filles au couvent voit le jour en 1874 grâce au marquis de Langle qui cède un terrain aux sœurs de Kermaria. En 1902, la loi interdisant aux sœurs d'enseigner, elles sont contraintes de déménager. Le couvent est alors acheté par la municipalité pour y installer l'école publique des filles, en 1904. Un nouveau couvent voit le jour en 1930 grâce à l'impulsion de Françoise le Métayer qui quête avec d'autres paroissiennes dans toute la commune. La nouvelle école ouvre ses portes le avec 65 élèves. L'école des garçons « École Saint-Joseph » est construite en 1890 grâce au don de monsieur de Cuy. On note, 54 élèves en 1899, 81 en 1902 et 72 en 1906, 75 en 1940, 133 en 1944 pour descendre à 51 en 1966. Les frères abandonnent l'enseignement aux vicaires jusqu'à la mixité en 1966. L'école continue à recevoir des élèves jusqu'en 1983, elle ferme définitivement, puis est démolie en 1998. L'ancien presbytère est construit en 1895, sous le ministère du recteur Le Moing. Le frère Théodule Guével de Plouharnel, alors directeur des Saints-Anges de Pontivy en réalise les plans, pour un coût total de 15 975 francs. Lors de la séparation des biens de l'Église et de l'État, la commune devient alors propriétaire. En 1908, après négociations le loyer était fixé à 125 francs par mois. En 1936, le vieux presbytère datant du XVIIIe siècle s'écroule. De nombreuses solutions étudiées par la municipalité pour réhabiliter cette demeure, ont toutefois conduit à sa démolition[9].

    Le XXIe siècle

    Le , la commune fusionne avec les communes de Moustoir-Remungol et Remungol au sein de la nouvelle commune d'Évellys[10].

    Politique et administration

    En 2010, la commune est récompensée par le label « Ville Internet @@[11] ».

    Liste des maires

    La Mairie
    Liste des maires successifs[12]
    Période Identité Étiquette Qualité
    2 mars 1790 novembre 1791 François Le Bouvier   Laboureur
    novembre 1791 7 mai 1796 Yves Le Roy   Laboureur
    Les données manquantes sont à compléter.
    9 mars 1797   Guillaume Eonet   Officier public
    Les données manquantes sont à compléter.
    6 juin 1800 22 septembre 1802 Pierre Le Maguet    
    29 octobre 1802 14 avril 1803 Guillaume Eonet    
    23 septembre 1803 4 septembre 1815 Guillaume Le Dimna    
    9 septembre 1815 février 1826 Guillaume Audrin    
    23 février 1826 29 décembre 1840 Pierre Coetmeur    
    29 décembre 1840 11 septembre 1844 Guillaume Eonet    
    11 septembre 1844 8 septembre 1845 Cosme Le Maguet    
    8 septembre 1845 30 juillet 1848 Vincent Le Gouge    
    2 août 1848 17 mai 1849 Joseph Le Gouge    
    17 mai 1849 octobre 1852 Guillaume Raulin    
    27 octobre 1852 septembre 1861 Guillaume Le Gouge    
    16 septembre 1861 septembre 1871 Jacques Heno    
    10 décembre 1871 8 octobre 1876 Guillaume Le Gouge    
    8 octobre 1876 21 janvier 1878 Jean-Joachim Heno    
    21 janvier 1878 28 juin 1884 Guillaume Le Gouge    
    14 décembre 1884 20 mai 1888 Pierre Le Fellic    
    20 mai 1888 20 mai 1900 Mathurin Le Bohec    
    20 mai 1900 3 février 1947 Jean Coetmeur    
    23 février 1947 20 novembre 1950 François Bellec    
    17 décembre 1950 20 mars 1983 Pascal Bellec    
    20 mars 1983 31 décembre 2015 Gérard Corrignan    

    La création de la commune nouvelle d'Évellys entraîne la création d'une commune déléguée gérée par un maire délégué  :

    Liste des maires délégués
    Période Identité Étiquette Qualité
    1er janvier 2016 5 janvier 2016 Gérard Corrignan
    par dérogation[13]
    -  
    5 janvier 2016 En cours Philippe Corbel[14] -  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[16],[Note 1].

    En 2013, la commune comptait 1 790 habitants, en augmentation de 6,8 % par rapport à 2008 (Morbihan : 3,36 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

               Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 9071 7541 8601 9312 0202 0952 0032 1392 110
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0672 1092 0801 9892 0452 1432 2032 2682 321
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 4592 6012 6212 5112 2802 2922 2302 2382 087
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2013
    2 0261 8871 7341 6351 5121 5241 6441 7331 790
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Cultes

    Le territoire de la commune correspond à une ancienne paroisse. Dans son ouvrage Naizin au cours des siècles, Charles Floquet publie la liste des recteurs de la paroisse[18] :

    • vers 1453, Yves Gludic, originaire du Léon,âge de 64 ans ;
    • vers 1456-1470, Gilles Le Goeff ;
    • 1470-1488, Guillaume de Cléguennec ;
    • 1488-1504, Noël Le Roy ;
    • 1504-avant 1526, Alain Le Bourbon ;
    • avant 1526-avant 1545, Gilles du Fresne ;
    • 1545-1550 , Alain du Bouyer, de Moréac ;
    • 1550-avant 1578, Vincent de Kerveno ;
    • 1578-1579, Jean Pringué, de la famille des seigneurs de Penturban en Naizin ;
    • 1579-1583, Louis Trifen ;
    • 1583-1586, François Le Poitevin ;
    • 1589-1601, Pierre Maugain, de Noyal-Pontivy, ancien recteur de Séglien ;
    • 1601-1631, Guillaume de Querbic, de Moustoir-Remungol. En 1622, il commence la rédaction d'un registre des baptêmes ;
    • 1631-1638, Guillaume Cabelguen, de Moréac ;
    • 1638-1639, Alain Le Tutour, de Guénin ;
    • 1639-1641, François Le Pré, de Locminé ;
    • 1642-1652, Amaury Alliot, de Noyal-Pontivy ;
    • 1652-1670, Étienne Bunel ;
    • 1671-1673, François Quéro ;
    • 1674-1683, François Gaultier, de Crach ;
    • 1683-1708, Laurent Helleco ;
    • 1708-1736, François Pringué, de Josselin ;
    • 1737-1768, Colomban Hyacinthe Le Bigot ;
    • 1769-1780, Louis Le Bihan, de Remungol ;
    • 1780-1791 , Charles Le Franc, de Guern (1) ;
    • 1791-1792, J. Guillouzic, « recteur constitutionnel » (1) ;
    • janvier-mai 1792, Charles Le Franc (2) ;
    • 1792-1794, J. Guillouzic (2) ; les églises sont fermés jusqu'en 1795, Guillouzic est incarcéré d'avril à septembre 1794 ;
    • 1795, J. Guillouzic (3) ;
    • juin-décembre 1795 , Charles Le Franc (3). Après cette date, Charles Le Franc, prêtre réfractaire, célèbre des messes clandestines.

    pis la liste depuis la Révolution :

    • 1802-1817, le père Tanguy de Réguiny, premier recteur nommé après la Révolution. Il décède au presbytère en 1817.
    • 1817-1821, le père Guillouzo, il avait pour vicaire Olivier Coetmeur. Il est nommé recteur de Stival en 1820.
    • 1821-1857, Joseph Danigo de Plouhinec, les abbés Boursicault, Cadoret, Malenne, Mahé, Le port et Philippe ont été ses vicaires, il est resté 37 ans à la tête de la paroisse, on lui doit la reconstruction de l'église actuelle. Fatigué, il démissionna en 1857, mais il resta à Naizin où il mourut cinq ans plus tard.
    • 1857-1868, Georges Le Rozo est né à l'Île-aux-Moines le . Il fut ordonné prêtre le . Il fut vicaire à Pluneret en 1839, recteur à l'Île d'Arz en 1855, recteur de Naizin de 1857 à 1868. Ses vicaires étaient les abbés, Cohéléach et Philippe. Il décède à Naizin le et est inhumé dans le cimetière entourant l'église. Il assura les finitions des travaux de reconstruction de l'église. Ce recteur est désormais célèbre à Naizin car il fit reparler de lui en 2004, avec sa pierre tombale[19].
    • 1868-1881, Joseph Marie Jubin de Neuillac, il avait pour vicaires les abbés, Philippe, Mitouard, Alléhaux, Le Guen, Jobet, Stéphan, Le Port et Monnier.Il fit construire le couvent de sœurs de Kermaria. Il décède à Naizin en 1881 à l'âge de 62 ans.
    • 1881-1887, Jean Marie Le Beller, il avait pour vicaires les abbés, Monnier et Le Roux. On lui doit la reconstruction de la chapelle de sainte Brigitte.
    • 1887-1897, Joseph Le Moing de Kerfourn, ses vicaires étaient les abbés, Monnier et Le Roux. C'est lui qui ajouta les tribunes au fond de l'église. Il décède en 1897 au presbytère à l'âge de 67 ans.
    • 1897-1923, Jean Marie Pédronno de Bignan, ses vicaires étaient les abbés, Monnier, Le Douarin, Le Duigou, Dréan, Rivalain, Larboulet, Le Bourlot, Le Roch, Le Gal, Le Liboux et Carrer. Il décède à Naizin en 1924 à l'âge de 75 ans.
    • 1923-1935, Laurent Breurec de Riantec, il avait pour vicaire l'abbé Carrer. Malade, il démissionne et meurt à Grand-Champ en 1935.
    • 1935-1940, Joseph Guézel de Carnac, il avait pour vicaires, les abbés Carrer et Le Deault.
    • 1940-1941, Eugène Le Gallo de Ploërdut il décède subitement en 1941 à l'âge de 60 ans.
    • 1941-1946, Julien Loisel de Plaudren, il décède après la guerre au presbytère en 1946, à l'âge de 50 ans, son vicaire était l'abbé Thébault
    • 1946-1973, Clément Quistrebert de Plaudren, il allait avoir pour vicaires : Eugène Perron, Joseph Lorho, Jean Le gal, Louis Videlo, Guillo, Paul Guillemot et Pierre Questel. Le père Quistrebert est décédé en 1994 à Saint-Joachim à l'âge de 94 ans.
    • 1973-1995, Pierre Le Lannic de Noyal-Pontivy. Il a été remplacé par le père Lecuyer pendant sa convalescence en 1994.
    • Depuis 1995, Joseph Hémon est le recteur, nous lui devons la restauration de nombreux sites religieux de la paroisse, ainsi que l'embellissement et la rénovation permanente de l'église Saint-Sauveur.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Étang et base de Loisirs de coetdan[20],
    • Église Saint-Cosme-et-Saint-Damien (XIXe siècle) de style néo-roman.
    • Chapelle Saint-André de Luzunin[21], Sainte-Brigitte et Saint-Nicolas de Kerdréan[22]
    • Il y a de nombreuses croix ou calvaires[22] et des fontaines[22].
      • Croix de Kernicolas (1671)
      • Croix de Kerdec (1753)
      • Croix de Coëtdan (1815)
      • Croix de Pembual (1892)
    • Château de Kerdréan (Manoir du XVIe siècle et Château du XIXe siècle)
    • Manoir de Kerguzangor
    • Résidence de Ty-Hubert (Demeure du XXe siècle)

    Clubs et associations sportives

    D’un point de vue sportif, le football est le sport dominant à Naizin, son club, le Football-Club Naizinois est né le 10 mai 1986 de la fusion de l'Amicale laïque et de l'Avant-Garde, clubs rivales à cette époque. Les couleurs respectives de ces deux anciens clubs étants le rouge et le noir pour l’Amicale laïque et le jaune et le noir pour l’Avant-Garde ont ainsi donné, suite à un mélange, la couleur orange si caractéristique des Naizinois avec une pointe de noir. L’histoire du FCN a connu depuis des hauts et des bas, notamment entre 2010 et 2013 (descente de l'équipe A en D2, puis D3). Mais, en 2015, l’équipe première accédait enfin, pour la première fois de son histoire, en Régional 3, palier qu’elle maintiendra 7 saisons de suite entre 2015 et 2022 avant la montée inattendue des oranges et noirs en Régional 2 suite à la saison 2021-2022.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Références

    1. Dans les archives de l'abbaye de Lanvaux.
    2. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    3. Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, p.11
    4. Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, p.15
    5. Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, pp.86-87
    6. Auguste Vacquerie, « L'enquête sur l'élection de Mun », Journal Le Rappel, (lire en ligne, consulté le ).
    7. Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, pp.88-90
    8. Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, p.90
    9. Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, pp.126-127
    10. Arrêté préfectoral portant création de la commune nouvelle d’Évellys, [lire en ligne].
    11. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
    12. Source : mairie de Naizin
    13. « Arrêté portant création de la commune nouvelle d’Évellys », sur Préfecture du Morbihan, (consulté le )
    14. « Gérard Corrignan élu maire de la commune nouvelle Évellys », sur Ouest-France, (consulté le )
    15. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
    18. Charles Floquet, Naizin au cours des siècles, éd. Association du 14 juillet-Naizin, 1999, 191pp.
    19. L'histoire de la pierre tombale du recteur Le Rozo mérite que l'on s'y attarde un peu. Le 16 avril 2004 M. le recteur Hémon recevait un coup de fil de Georges Sauzereau, charcutier à Locminé. Alors qu'il entreprenait des travaux dans son laboratoire, il découvrit la pierre tombale qui lui servait jusqu'alors de table de travail pour sa charcuterie. Le lendemain accompagné de Joachim Audo, Edouard Guillard et Armel Le Clainche, le recteur récupéra la pierre tombale du Père Le Rozo. Après un nettoyage et une dorure, la pierre a été fixée sur le mur sud de l'église, elle témoignera pour la postérité de la présence d'un ancien cimetière autour de l'église. Lors de la démolition du cimetière en 1923, il est vraisemblable que l'entreprise chargée des travaux, récupéra les plus belles pierres pour les monnayer. C'est fortement regrettable, mais cela préserva la pierre.
    20. Article dans le télégramme base de coetdan alicia accueille les estivants sur http://www.letelegramme.fr, consulté le 12/08/2014
    21. Chapelle de Luzunin
    22. Paroisse de Naizin
    23. communiques-de-presse sur http://www.eglise.catholique.fr, consulté le 12/08/2014

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail du Morbihan
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.