Noyal-Pontivy
Noyal-Pontivy [nwajal pɔ̃tivi] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.
Pour les articles homonymes, voir Noyal.
Noyal-Pontivy | |
![]() Porche de l'église Sainte-Noyale. | |
![]() Héraldique |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Bretagne |
Département | Morbihan |
Arrondissement | Pontivy |
Intercommunalité | Pontivy Communauté |
Maire Mandat |
Lionel Ropert 2020-2026 |
Code postal | 56920 |
Code commune | 56151 |
Démographie | |
Gentilé | Noyalais, Noyalaise |
Population municipale |
3 605 hab. (2019 ![]() |
Densité | 67 hab./km2 |
Population agglomération |
42 209 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 04′ 03″ nord, 2° 52′ 51″ ouest |
Altitude | 120 m Min. 54 m Max. 162 m |
Superficie | 53,45 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Noyal-Pontivy (ville isolée) |
Aire d'attraction | Pontivy (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Pontivy |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel de la commune de Noyal-Pontivy |
Géographie
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Communes limitrophes
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Neulliac | Saint-Gérand | Gueltas | ![]() |
Pontivy | N | Kerfourn | ||
O Noyal-Pontivy E | ||||
S | ||||
Saint-Thuriau | Évellys | Évellys |
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontivy », sur la commune de Pontivy, mise en service en 1968[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 968,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Brieuc », sur la commune de Saint-Brieuc, dans le département des Côtes-d'Armor, mise en service en 1997 et à 50 km[10], la température moyenne annuelle évolue de pour 1981-2010[11] à pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Noyal-Pontivy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Noyal-Pontivy, une unité urbaine monocommunale[16] de 3 639 habitants en 2017, constituant une ville isolée[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pontivy, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC). Noyal-Pontivy appartient au bassin agricole de Pontivy, parfois surnommé la « Petite Beauce », un territoire s'étendant au nord, à l'est et au sud de cette ville voué à l'agriculture intensive caractérisé par la présence de grandes parcelles de céréales et la rareté des espaces boisés[21].
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 4,0 % | 213 |
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques | 1,2 % | 64 |
Équipements sportifs et de loisirs | 0,8 % | 41 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 72,9 % | 3894 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 2,8 % | 147 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 17,3 % | 925 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 0,3 % | 14 |
Forêts de feuillus | 0,7 % | 39 |
Plans d'eau | 0,1 % | 7 |
Source : Corine Land Cover[22] |
Toponymie
Dès le Ve siècle, il est fait mention de Noala, révélant un peuplement dès le Bas-Empire[23], (Nuial en 1082[24]). Dérive du gaulois Noviios[25] nouveau (devenu nevez (nouveau) en breton contemporain standard et néhué[Quoi ?] en breton morbihannais) et ialon lieu défriché, clairière, village[25],[26],[27]. Noyal-Pontivy pourrait, en son temps, avoir été une ville nouvelle par rapport à un habitat plus ancien situé dans la région, la cité légitimant par la suite son nom par une figue sainte légendaire, sainte Noyale fille d'un prince de Grande-Bretagne, issue de l'émigration bretonne en Armorique au VIe siècle[28]. Le culte de cette sainte y est resté très vivace jusqu'au début du XXe siècle où « se déroulait une cérémonie issue d'un vieux culte agraire : les vaches de la paroisse étaient amenées au cours d'une procession jusqu'à la fontaine de Sainte-Noyale, à deux kilomètres du bourg actuel »[29].
Noal-Pondi en breton[30].
Histoire
Moyen-Âge
Dès le haut Moyen Âge, Noyal-Pontivy est devenue une foire de première importance et semble avoir joué un rôle notable entre l'Oust et le Blavet[31].
Temps modernes
Vers 1780, on dénombrait 8 000 communiants dans la paroisse de Noyal-Pontivy, y compris ses trèves de Gueltas, Kerfourn, Saint-Gérand et Saint-Thuriau . Le terroir est fertile en grains, lin et fruits. Il se tient trois foires par an à Noyal-Pontivy, à savoir celles de Noyal, de la Houssaye et de La Brolade. Elles sont très anciennes, d'autant plus considérables qu'elles sont franches et exemptes de droits d'entrée. La plus célèbre est celle de Noyal, qui s'y tient au mois de Juillet. On y observait jadis des coutumes singulières. Tout marchand qui aurait osé vendre avant que le receveur de la vicomté de Rohan, ou autre commis du vicomte, eut porté le gant levé pour cette foire, aurait perdu toutes ses marchandises qui étaient confisquées au profit du seigneur. On trouvait à cette foire plus de trois mille chevaux mais on ne pouvait en vendre un seul qu'après le gant levé. Les marchands faisaient ensuite passé en revue, devant le vicomte ou son commis, tous les chevaux à vendre et il en prenait le nombre qu'il voulait au prix fixé par son écuyer ou son maître d'hôtel. Pour le bien général de ceux qui étaient à la foire, le seigneur de Rohan y tenait ses plaids généraux et on y jugeait toutes les causes pendantes dans les cours ou siège du ressort de Pontivy, de Corlay, de Loudéac, de Baud. Toutes ces cérémonies se faisaient au lieu accoutumé, nommé Bellechère.[32].
XIXe siècle
En 1806, lors de la grande enquête linguistique effectué sous le Premier Empire par Charles Coquebert de Montbret, la paroisse de Noyal-Pontivy est placée en Bretagne bretonnante ainsi que ses trêves de Saint-Thuriau et Kerfourn, tandis que ses trêves de Saint-Gérand et Gueltas sont placées en pays gallo.
Jusqu'en 1840, la commune de Noyal-Pontivy était la plus grande de Bretagne. Sa superficie était de 135,47 km2. En 1840, la commune de Noyal-Pontivy est démembrée au profit de ses quatre trèves : Gueltas, Kerfourn, Saint-Gérand et Saint-Thuriau, qui sont érigées en commune. Sa superficie n'est plus que de 53,79 km2 dont 2 132 ha de terres labourables, 1 830 ha de landes, 511 ha de prés et pâturages, 359 ha de vergers et jardins, 63 ha de bois[33].
Lors des élections législatives de 1876 « de nombreux témoins ont déposé qu'à Pluméliau, à Cléguérec, à Moustoir-Ac, à Baud, à Séglien, à Locuon, à Naizin, à Noyal-Pontivy, et dans un grand nombre d'autres communes, les curés et les vicaires se tenaient, le jour du scrutin, à la porte des sections de vote, surveillaient les bulletins, déchiraient ceux de M. Cadoret, forçaient les électeurs à prendre ceux de M. de Mun, et les conduisaient voter »[34].
L'ossuaire et ses boîtes à crânes

Au début du XXe siècle on pouvait encore voir un curieux spectacle à Noyal-Pontivy. Les habitants avaient l'habitude d'enfermer dans des petites boîtes en bois en forme de chapelle les chefs de leur défunts parents comme s'il s'agissait de saintes reliques. Les caveaux n'étaient pas assez nombreux à l'époque dans le cimetière et les anciens morts étaient exhumés pour faire de la place aux nouveaux. Les ossements ainsi récupérés étaient ensuite placés dans l'ossuaire et finissaient pour certains dans ces étranges boîtes.
L'Entre-deux-guerres
Le club de football des "Moutons blancs" est créé en 1926. Son nom original proviendrait du costume traditionnel porté par les paysans dans les grandes occasions, qui était fait de laine de mouton à dominante blanche. Le bagad et cercle celtique local, la "Kerlenn Pondi", issu de la fusion en 1953 entre la "Garde Saint-Ivy" et les "Moutons blancs", porte un costume qui en est inspiré[35].
Blasonnement
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Les armoiries de Noyal-Pontivy se blasonnent ainsi :
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Politique et administration
Liste des maires
Démographie
En 1839, la commune est scindée pour donner naissance à celles de Gueltas, Kerfourn, Saint-Gérand et Saint-Thuriau.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].
En 2019, la commune comptait 3 605 habitants[Note 7], en diminution de 1,96 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,97 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
La commune héberge le premier point de « rebours » de gaz naturel de France, installé en 2019 pour permettre le développement d'unités de production de biométhane dans les environs en injectant dans le réseau de transport l'excédent de production locale[42],[43].
Langue bretonne
L'adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le conseil municipal le .
À la rentrée 2013, 21 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue catholique (soit 6,2 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[44].
Lieux et monuments
Églises ou chapelles
- La chapelle de Sainte-Noyale (XVe et XVIe siècles), classée monument historique
- La chapelle Sainte-Barbe (
Inscrit MH (2018)) au village du Poulvern du XVe siècle
- La chapelle Saint-Arnould de 1842
- La chapelle Petite Sainte-Noyale du début du XVIIIe siècle
- L’église paroissiale Sainte-Noyale, édifice du XVe siècle
Monuments anciens
Personnalités liées à la commune
- L'abbé François Cadic, né le à Noyal-Pontivy et décédé le à Saint-Jean-Brévelay (Morbihan), connu pour ses travaux de collectages sur les contes et les chansons, avait fondé La Paroisse Bretonne de Paris en 1897 pour notamment aider les Bretons venant trouver du travail à Paris.
- Jean-Charles Cavaillé a exercé la fonction de maire, en parallèle à ses mandats successifs à l’Assemblée nationale (RPR, puis UMP).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Pontivy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Noyal-Pontivy et Pontivy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pontivy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Noyal-Pontivy et Saint-Brieuc », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Noyal-Pontivy », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pontivy », sur insee.fr (consulté le ).
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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- Pierre Bernard, « Station de rebours. Marc Kerrien : « Une grande fierté » », sur letelegramme.fr, (consulté le ).
- http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm
- Notice no IA00010357, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Voir aussi
Archives
- Seigneurie de Coëtuhan, siège à Noyal-Pontivy, concerne aussi Moustoir-Remungol, Naizin, Pluméliau, Saint-Thuriau, cotes 15 J 6 à 15 J 13 > Fonds de Langle (15 J), Archives I&V.
Articles connexes
Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressources relatives aux organisations :
- Noyal-Pontivy sur le site de l'Institut géographique national
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