Oroux

Oroux est une commune du centre-ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine.

Oroux

Le château de Maurivet.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Parthenay
Intercommunalité Communauté de communes de Parthenay-Gâtine
Maire
Mandat
Mickaël Chartier
2020-2026
Code postal 79390
Code commune 79197
Démographie
Population
municipale
91 hab. (2019 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 41′ 34″ nord, 0° 05′ 18″ ouest
Altitude Min. 142 m
Max. 177 m
Superficie 6,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Parthenay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Gâtine
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Oroux
Géolocalisation sur la carte : France
Oroux
Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
Oroux
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Oroux

    Géographie

    Implantée dans l'est du département des Deux-Sèvres, la commune d'Oroux est limitée à l'est par le ruisseau de l'Altrère.

    Le bourg d'Oroux, traversé par la route départementale 121, se situe en distances orthodromiques, douze kilomètres à l'est-nord-est de Parthenay et six kilomètres au sud-ouest de Thénezay.

    La commune est également desservie par la route départementale 165.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 785 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Thenezay », sur la commune de Thénezay, mise en service en 1978[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 692,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, dans le département de la Vienne, mise en service en 1921 et à 33 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Oroux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Parthenay, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (55,1 %), terres arables (37,7 %), prairies (7,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1981 mars 2001 Louis Chauvière    
    mars 2001 mars 2013 Josette Collon    
    mars 2013 En cours Mickaël Chartier    

    Population et société

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

    En 2019, la commune comptait 91 habitants[Note 8], en diminution de 16,51 % par rapport à 2013 (Deux-Sèvres : +0,87 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    201207207239264284280274291
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    281303292297293305300320298
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    288276258225238233233221191
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    17915511911410610710010898
    2019 - - - - - - - -
    91--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Château d'Oroux
      Le château d'Oroux, XIIe et XVIIe siècles, monument agréé patrimoine national, est ouvert à la visite depuis 2005. Certains éléments intérieurs sont inscrits à l'Inventaire des Monuments historiques.

    Situé à proximité d’une voie romaine et sur le chemin de saint-Jacques de Compostelle, édifié sur une base fort ancienne : une villa gallo-romaine dont de nombreuses traces sont visibles, le château d’Oroux (Ororio en 1090 ou Houroux en 1400) dépendait de la châtellenie de la Ferrière, de la sénéchaussée, de l’élection de Poitiers et de l'archiprêtré de Parthenay. Occupant un plan en U, il est aujourd’hui composé d’un corps de bâtiments du XIIIe siècle flanqué d’une première tour carrée percée de trois grandes archères au rez-de-chaussée : celle-ci supporte au premier étage une petite salle décorée d’une grande fenêtre à coussièges. Elle est pourvue d’un pigeonnier au dernier étage. Le bâtiment composé de deux niveaux est agrémenté de trois cheminées en granit du XIVe siècle, de diverses portes ogivales en granit (XIIIe siècle) et de fenêtres à meneaux. Il est prolongé par une seconde grande pièce soutenant une charpente ancienne, le niveau supérieur étant aujourd’hui détruit, ainsi que la tour d’angle carrée qui le prolongeait. De nombreuses fenêtres sont ornées de coussièges en pierre et de grilles en fer forgé. Cette aile se prolonge (troisième corps du U), appuyée sur une grosse tour ronde en partie arasée (aujourd’hui la chapelle du château, Sainte-Néomaye). Une seconde tour carrée, identique aux quatre autres, percée de grandes meurtrières, d’une porte donnant sur l’ancien mur de rempart, sert aujourd’hui de clocher. Une porte ouvre sur ce qui fut autrefois un haut mur de défense : ce dernier fermait le U et reliait la tour à l’autre corps de la bâtisse. Seules les fondations de cette défense demeurent aujourd’hui. Elles supportent la terrasse qui occupe l’ancienne cour.

    La seconde tour du corps principal, elle aussi carrée, abrite un grand escalier à vis en granit datant du XIVe siècle. Celui-ci donne accès à un second corps de bâtiments à quatre niveaux dont une double cave voûtée d'époque romane. Muni d’une ancienne tour carrée, il est édifié sur une base très ancienne. Il est aujourd’hui couvert d’un toit à la Mansart.

    L’ensemble a subi une première dégradation à la fin du XVIe siècle lors des guerres de religion, puis à la fin du XVIIIe siècle pendant la guerre de Vendée, en 1793 (« En 1598, l’église d’Oroux était dépourvue de clocher, de cloche et de couverture. En 1695, en 1731, deux travées de la nef étaient écroulées, le bâtiment sous la latte. Le , on a pu assister à la chute de la charpente et des murs. »). Une nef fut bâtie avec des éléments de réemploi afin que la tour du château puisse accueillir la cloche, « puis bénie le  ». Le château est agrémenté de nombreux autres éléments anciens dont un four du XIVe siècle que prolonge un logis de la même époque. Le château fut une première fois restauré et modernisé au XVe siècle, puis aux XVIIe et XVIIIe siècles (en 1746). Il ne fut pas modifié jusqu’à ce jour.

    Un ensemble de dix colonnes géminées, surmontées de chapiteaux romans en marbre et calcaire du XIIe siècle supporte la charpente d’une dépendance : cette galerie abrite trois sarcophages mérovingiens, un important fragment de chapiteau gallo-romain qui atteste de l’existence de fondations gallo-romaines, divers vestiges gallo-romains, des bois sculptés du XVe siècle.

    Une chapelle située dans le parc du château, Sainte-Marie d'Oroux, a été édifiée en 2014, rassemblant des éléments des XVe et XVIIe siècles. Elle a été consacrée, en , par Mgr Pascal Wintzer, archevêque de Poitiers. Une stèle dédiée à sainte Jeanne d'Arc, un bronze, œuvre d'Henri Chapu, datant de 1863, a été bénite en 2016.

    Arthus Rataud, chevalier, seigneur de Curzay, d’Oroux, d’Ardin et du Plessis, fut bailli de Gâtine de 1514 à 1524. Le , à Poitiers, Louis Jourdain, écuyer, seigneur des Forges, échangea le château d’Oroux qu’il tenait du précédent avec Adrien Vernon, seigneur de Montreuil-Bonnin, écuyer, qui lui céda l’hôtel de Boisfremyn à Quinçay dans la Vienne. À partir de 1680, la seigneurie d’Oroux a appartenu à César des Francs, seigneur de la Bretonnière et de la Vergnaudière, puis à son fils François des Francs, commandant du Terrible, célèbre vaisseau de la Marine Royale : tous deux sont dits seigneurs de Saint-Denis d’Oroux. Pierre des Francs, frère de César est également qualifié seigneur de Saint-Denis. Il épousa le , Marie Main. De cette union, naquirent plusieurs enfants. Parmi eux, Pierre des Francs, écuyer, seigneur de Saint-Denis d’Oroux, qui épousa le , Élisabeth Bégaud. François I Garnier de Maurivet a pour parent le 10e Grand Maître de l’Ordre de Malte. Le dernier des Garnier est mort et inhumé à Oroux le  : les terres de Maurivet et d’Oroux furent saisies sur sa sœur Françoise Garnier et adjugées en 1702 à Pierre Cossin, son cousin. Dès 1740, les Cossin sont dits seigneurs d’Oroux. Charles Cossin, seigneur d’Oroux, époux de Marie Godrie, est mort à Oroux en 1785. Louis-Joseph Cossin, membre de la Compagnie des Mousquetaires noirs émigra en 1792. En 1815, il reprit le combat dans l’armée d’Anjou. En 1845, Jacqueline Cossin de Maurivet épousa Charles le Vaillant de Chaudenay. Le , après avoir participé à des battues organisées pour rechercher des Chouans ayant participé au combat de la Monnère, les villageois d’Oroux purent voir flotter sur la tour du château un drapeau blanc fleurdelisé et portant l’inscription « vive Henri V ». La famille Le Vaillant de Chaudenay a vendu le château en 1999. La famille Ambrogi y réside depuis lors et conduit d’importants travaux de restauration.

    Bibliographie :
    Beauchet-Filleau, Tome 1, page 705
    Maurice Poignat, Le pays de Gâtine
    Ledain Belisaire, La Gatine historique et monumentale, 1874
    Ledain Belisaire, Essai sur la hiérarchie féodale dans l’ancienne Gâtine, 1897
    Le château de Maurivet.

    Personnalités liées à la commune

    Pascal-Raphaël Ambrogi, écrivain et haut fonctionnaire, réside à Oroux.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Thenezay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Oroux et Thénezay », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Thenezay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Oroux et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Parthenay », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    24. « Inscription du château de Maurivet à l'inventaire des monuments historiques », notice no PA00101298, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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