Palairac

Palairac est une commune française située dans le sud du département de l'Aude en région Occitanie.

Palairac

Village de Palairac depuis le castrum médiéval.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Narbonne
Intercommunalité Communauté de communes de la Région Lézignanaise, Corbières et Minervois
Maire
Mandat
Daniel Langlois
2020-2026
Code postal 11330
Code commune 11271
Démographie
Gentilé Palairacois, Palairacoises
Population
municipale
33 hab. (2019 )
Densité 1,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 57′ 30″ nord, 2° 39′ 44″ est
Altitude 266 m
Min. 252 m
Max. 633 m
Superficie 17,93 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Corbières
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Palairac
Géolocalisation sur la carte : France
Palairac
Géolocalisation sur la carte : Aude
Palairac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Palairac

    Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Libre, le Rivière du Mas de Ségure, le ruisseau du Rémouly, le ruisseau du Moulin et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « Corbières orientales ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Palairac est une commune rurale qui compte 33 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 230 habitants en 1836. Ses habitants sont appelés les Palairacois ou Palairacoises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Saturnin, inscrite en 1998.

    Généralités

    Palairac est la seule commune de ce nom en France, et ne partage donc pas d'homonymie. Le nom de Palairac viendrait de Palarius ou Palearius, nom gallo-romain issu de palearium, grenier à paille, suivi du suffixe acum désignant la villa ou le domaine de Palarius.

    Avec ses 25 habitants au recensement de 2004, Palairac est la commune la moins peuplée du canton de Mouthoumet après Salza, mais n'est pas la moindre en superficie, avec 18 km², elle se situe en neuvième place des 18 communes du canton.

    Géographie

    Commune des Corbières située au pied du Mont Tauch sur le terroir Corbières (AOC).

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[2], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[3]. Elle est drainée par le Libre, la rivière du Mas de Ségure, le ruisseau du Rémouly, le ruisseau du Moulin, le ruisseau de Chibillière, le ruisseau de Courtillou, le ruisseau de Gournet, le ruisseau de Guilloumet, le ruisseau de l'Abeille, le ruisseau de la Canal, le ruisseau de la Dreille, le ruisseau de la Minierme, le ruisseau de la Peyre, le ruisseau de Laprade,, qui constituent un réseau hydrographique de 26 km de longueur totale[4],[Carte 1].

    Le Libre, d'une longueur totale de 14,8 km, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Orbieu à Saint-Martin-des-Puits, après avoir traversé 6 communes[5].

    La rivière du Mas de Ségure, d'une longueur totale de 15,5 km, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le sud-est. Elle traverse la commune et se jette dans rivière Tarrasac à Paziols, après avoir traversé 4 communes[6].

    Le ruisseau du Rémouly, d'une longueur totale de 16,8 km, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Nielle à Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse, après avoir traversé 4 communes[7].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[8].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 887 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 8,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mouthoumet », sur la commune de Mouthoumet, mise en service en 1989[13]et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 844,6 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, dans le département des Pyrénées-Orientales, mise en service en 1924 et à 35 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[17], à 15,7 °C pour 1981-2010[18], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[19].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « Corbières orientales »[21], d'une superficie de 25 371 ha, correspondant à la partie la plus orientale du massif des Corbières audoises. Ce site inclut, dans sa partie la plus orientale, le couloir de migration majeur du littoral languedocien, d'où la présence régulière d'espèces en étape migratoire[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[23] : les « Corbières centrales » (68 810 ha), couvrant 56 communes dont 54 dans l'Aude et 2 dans les Pyrénées-Orientales[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Palairac est une commune rurale[Note 6],[25]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,1 %), prairies (3 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Histoire

    Héraldique

    Son blasonnement est : De sable au pal fuselé d'argent et de sable.
    d'après l'armorial général de France, dressé en vertu de l'édit de 1696, par Charles René d'Hozier (1640-1732) - Volume 14, page 236[28].


    Sources historiques

    • En 876, Charles II le Chauve fit don au monastère de Lagrasse, des mines de Palayrac, de Couize, de Maisons et de Montgaillard[29].
    • En 1283, le roi de France Philippe III le Hardi rencontre à Palairac Jacques II, roi de Majorque, comte de Roussillon et de Cerdagne, et seigneur de Montpellier, pour discuter du ressort de Montpellier ainsi que les autres châteaux et villages de la baronnie. Jacques reconnut par un acte daté du , l'appartenance de ces lieux au royaume de France[30].
    • En 1839, les travaux d'exploitation de la mine d'antimoine de la Boussole, commune de Palairac, concédée à la compagnie Paliopy, et dirigés par un ingénieur des mines distingué, ont été mis sur un pied convenable ; ils ont le double but de rendre plus facile et moins coûteux, à l'avenir, les travaux d'exploitation, et bien reconnaître le filon de minerai. Les produits de cette mine, en 1838, ont été 60 000 kilogrammes de minerai brut, qui se sont réduits à 30 000 kilogrammes de sulfure d'antimoine fondu, représentant une valeur de 18 000 francs ; elle a occupé 16 ouvriers[31].
    • Au début du XXe siècle, il a été découvert le squelette fossilisé d'un pachyderme (rhinocéros) en décapant un gîte de minerai de fer dans la commune de Palairac. Le squelette, dont les ossements ont été inconsciemment brisés et jetés en remblai par des ouvriers ignorants, une grande partie de la tête a été envoyé au Muséum de Paris[32].
    • 1877 Palairac - Réseau subventionné[33]:
      • Chemin no 1, de Palairac à Lagrasse. - Entre le village de Palairac et le ruisseau de la Combe, amené 245 mètres de l'état de construction à celui d'entretien,
      • Construit sur le ruisseau de la Combe, au profit no 22, un aqueduc de m d'ouverture et de 1,70 m de hauteur,
      • Entre les profils nos 1 et 6, construit un mur de soutènement de 56,50 m de longueur, sur 1,40 m de hauteur moyenne,
      • Au profil no 18, construit également un mur de soutènement de 3,30 m de longueur sur 1,30 m de hauteur moyenne,
      • À la suite de l'entreprise Bergé, fait passer 30 m de l'état de construction à l'état de viabilité,
      • Construit, dans cette même partie, un aqueduc de 0,80 m d'ouverture sur 1,30 m de hauteur.

    Politique et administration

    Élus

    Liste des maires successifs[34],[35],[36]
    Période Identité Étiquette Qualité
    2020   Daniel Langlois    
    2001 2020 Michel Rzepecki    
    1989 2001 Jean-Marie Moreno    
    1941 1989 Ulysse Tisseyre PS  

    Communauté de communes

    Bien que faisant partie du canton de Mouthoumet, la commune a adhéré dès 1995 à la communauté de communes des Hautes Corbières située à Tuchan. La communauté de communes du Massif de Mouthoumet du canton de Mouthoumet n'ayant été créé qu'en 2001.

    Village de Palairac.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].

    En 2019, la commune comptait 33 habitants[Note 7], en augmentation de 3,13 % par rapport à 2013 (Aude : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    128148177180179230225216220
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    216215209189168144157166156
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    160175157133129115898167
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    493020192618252731
    2014 2019 - - - - - - -
    3233-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 4]14,3 %33,3 %0 %
    Département[I 5]10,2 %12,8 %12,6 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 15 personnes, parmi lesquelles on compte 62,5 % d'actifs (62,5 % ayant un emploi et 0 % de chômeurs) et 37,5 % d'inactifs[Note 8],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 7]. Elle compte 10 emplois en 2018, contre 8 en 2013 et 1 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 9, soit un indicateur de concentration d'emploi de 102,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 31,2 %[I 8].

    Sur ces 9 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 7 travaillent dans la commune, soit 70 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 10 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    Deux établissements[Note 9] seulement relevant d’une activité hors champ de l’agriculture sont implantés à Palairac au [I 11].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations4312
    SAU[Note 10] (ha)1333392492

    La commune est dans la « Région viticole » de l'Aude, une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département[45], également dénommée localement « Corbeilles Minervois et Carcasses-Limouxin »[Carte 4]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (quatre en 1988). La superficie agricole utilisée est de 92 ha[47],[Carte 6],[Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Saturnin, construite au XIIe siècle, inscrite au titre des Monuments Historiques depuis 1998.

    Elle se compose de :

    - un porche d'entrée du XVIIIe siècle
    - une nef du XIe siècle
    - un transept formé par deux chapelles gothiques des XIIIe ou XIVe siècles.
    - une abside semi-circulaire du XIIe siècle qui prolonge le chœur
    - une sacristie refaite au XIXe siècle
    - un clocheton refait au XVIIIe siècle

    Par ailleurs dans le cimetière, très en pente, une croix de Malte et une croix de mission de 1859 sont dignes d'intérêt.

    Les mines de Palairac

    Palairac se trouve au centre de la plus importante région minière des Corbières. Le plateau de Lacamp et le Monthaut étaient les sites majeurs de cette zone. Les ingénieurs du XIXe siècle ont recensé près de 300 lieux d'extraction uniquement sur Palairac. Les mines de Palairac et des environs furent l'objet de conflits entre les seigneurs de Termes et l'abbaye de Lagrasse au Moyen Âge[49]

    Personnalités liées à la commune

    Village fleuri et sentier botanique

    Malgré sa modeste existence, Palairac est titulaire depuis 2003 d'une fleur au Concours des villes et villages fleuris

    Depuis 2003, Palairac est titulaire d'une fleur (classé village fleuri).

    Par ailleurs, Palairac dispose d'un sentier botanique de 40 espèces végétales (méditerranéennes pour la plupart persistantes) qui poussent à l'état naturel, indiquées par 40 balises tout au long d'un sentier de 1 300 mètres, en grande partie ombragé.

    Parcours "Découverte des pierres du village"

    Neuf pierres sont à découvrir en vous promenant dans les rues du village (vous pouvez demander le prospectus à la mairie ou le consulter sur le site de palairac.com). Ces pierres sont parfois anciennes, parfois récentes et fruit de l’imagination ou du désir du propriétaire. On peut trouver parmi ces neuf pierres, le sceau de Rodolfe Pie de Savoie, maître abbé de Lagrasse au XVIe siècle.

    Maison Abbaye de Lagrasse avec sceau de Rodolfe Pie de Savoie.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[46].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Palairac » sur Géoportail (consulté le 8 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles (PRA) dans l’Aude », sur www.aude.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Découpage en régions hydrographiques », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
    3. « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le )
    4. « Fiche communale de Palairac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « le Libre »
    6. Sandre, « la rivière du Mas de Ségure »
    7. Sandre, « le ruisseau du Rémouly »
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Mouthoumet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Palairac et Mouthoumet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Mouthoumet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Palairac et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    21. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Palairac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « site Natura 2000 FR9112008 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Palairac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « Corbières centrales » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. BNF/Gallica
    29. Bulletin de la Société d'études scientifiques de l'Aude (1921, A30, T27), page 78
    30. Histoire générale de Languedoc, tome sixième, page 213
    31. Rapports et délibérations du Conseil général de l'Aude (1839) pages 10 et 11
    32. Bulletin de la Société d'études scientifiques de l'Aude (1921, A30, T27), page XCIV
    33. Rapports et délibérations du Conseil général de l'Aude (1877) page 120
    34. Base FranceGenWeb
    35. Liste des maire de Palairac établie par Gauthier Langlois
    36. Compléments d'informations communiqué par la Mairie de Palairac
    37. À la suite de la démission de la moitié du conseil municipal, à deux convocations aux urnes où les électeurs se sont abstenus, le conseil municipal a été dissous le 15 janvier 1903 et une délégation spéciale de la commune a été nommée, composée d'un président et de deux membres.
    38. Mandat écourté par dissolution du Conseil municipal
    39. Mort en cours de mandat.
    40. Maire démissionnaire
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    45. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    46. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    47. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Palairac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    48. « Eglise paroissiale Saint-Saturnin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    49. http://www.palairac.com/mines.php

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Gauthier Langlois, Olivier de Termes, le cathare et le croisé (vers 1200-1274), Toulouse, Éditions Privat, coll. « Domaine cathare », , 288 p. (ISBN 2-7089-7520-X)

    Articles connexes

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