Paris-Nice 2004
La 62e édition de Paris-Nice a eu lieu du 7 au .
Course |
62e Paris-Nice |
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Étapes |
8 |
Date |
7 - |
Distance |
1 309 km |
Pays traversé(s) | |
Lieu de départ | |
Lieu d'arrivée | |
Équipes |
20 |
Partants |
160 |
Vainqueur | |
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Deuxième | |
Troisième | |
Classement par points | |
Meilleur grimpeur | |
Meilleur jeune | |
Meilleure équipe |
L'Allemand Jörg Jaksche (CSC) vainqueur du contre-la-montre inaugural remporte cette édition après avoir été leader de bout en bout. Il devance de quinze secondes l'Italien Davide Rebellin (Gerolsteiner). L’Américain Bobby Julich (CSC) complète le podium avec 43 secondes de retard sur le vainqueur.
Pour les autres classements, Rebellin s'adjuge celui par points, tandis que l'Espagnol Aitor Osa (Liberty Seguros) s'adjuge le maillot de meilleur grimpeur et l'Australien Michael Rogers (Quick Step-Davitamon) celui de meilleur jeune. L'équipe CSC, avec quatre coureurs dans le top 10 du classement général gagne le classement par équipes.
Présentation
Équipes
20 équipes de 1re divisions sont invitées pour participer à ce Paris-Nice :
Favoris
Parmi les favoris qui se présentent au départ de la Course au soleil à Chaville, on peut citer le vainqueur sortant, le Kazakh Alexandre Vinokourov (T-Mobile) qui tentera de remporter son troisième Paris-Nice de rang. Parmi ses adversaires, on peut trouver Dario Frigo (Fassa Bortolo), Tyler Hamilton, Alex Zülle (Phonak), Levi Leipheimer (Rabobank), Denis Menchov (Illes Balears-Banesto), Axel Merckx (Lotto-Domo), David Millar (Cofidis), Isidro Nozal (Liberty Seguros), Franco Pellizotti (Alessio-Bianchi), Davide Rebellin (Gerolsteiner), Samuel Sánchez (Euskaltel-Euskadi), sans oublier le trio Ivan Basso-Jörg Jaksche-Jens Voigt (CSC).
Du côté des Français, on peut retrouver Florent Brard (Chocolade Jacques), Laurent Brochard (AG2R Prévoyance), Sandy Casar (FDJeux.com), David Moncoutié (Cofidis), Christophe Rinero (RAGT Semences-MG Rover), Richard Virenque (Équipe cycliste Quick Step-Davitamon) ou encore Sylvain Chavanel et Jérôme Pineau (Brioches La Boulangère).
Étapes
![]() | Date | Villes étapes | type | Distance (km) | Vainqueur d'étape | Leader du classement général |
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1re étape | 4 mars | Chaville – Vanves | ![]() contre-la-montre individuel | 13,2 | ![]() | ![]() |
2e étape | 5 mars | Chaville – Montargis | ![]() étape de plaine | 185,5 | ![]() | ![]() |
3e étape | 6 mars | La Chapelle-Saint-Ursin – Roanne | ![]() étape vallonnée | 227 | ![]() | ![]() |
4e étape | 7 mars | Roanne – Le Puy-en-Velay | ![]() étape vallonnée | 179 | annulation de l'étape | ![]() |
5e étape | 8 mars | Le Puy-en-Velay – Rasteau | ![]() étape de moyenne montagne | 215 | ![]() | ![]() |
6e étape | 9 mars | Rasteau – Gap | ![]() étape de moyenne montagne | 173,5 | ![]() | ![]() |
7e étape | 10 mars | Digne-les-Bains – Cannes | ![]() étape de moyenne montagne | 185,5 | ![]() | ![]() |
8e étape | 11 mars | Nice – Nice | ![]() étape vallonnée | 144 | ![]() | ![]() |
Déroulement de la course
1re étape
La première étape est donc un contre-la-montre de 13,2 kilomètres entre Chaville et Issy-les-Moulineaux. L'Italien Davide Rebellin (Gerolsteiner) réalise dans une première partie le meilleur temps sur une route sèche[1]. Les autres favoris effectuent ensuite le parcours sur la pluie[2]. Le champion du monde de la discipline anglais David Millar (Cofidis) termine 4e à 13 secondes, le Suisse Alex Zülle (Phonak) 6e à 14 secondes, l'Allemand Jens Voigt (CSC) 9e à 22 secondes[2]. On retrouve ensuite Fabian Cancellara à 32 secondes, Levi Leipheimer à 40 secondes et Santiago Botero à 56 secondes. Viennent après Dario Frigo à 39 secondes alors que l'Espagnol Isidro Nozal se présente sur la rampe de lancement avec une minute de retard. Pour son retour, Tyler Hamilton (Phonak) signe le 28e temps à 38 secondes du vainqueur. Le Kazakh Alexandre Vinokourov (T-Mobile), réalise un bon chrono avec une 16e place à 26 secondes. Des autres favoris, on notera l'excellent résultat de Frank Vandenbroucke (Fassa Bortolo), 11e à 22 secondes[3]. Mais le vainqueur du jour est Jörg Jaksche (CSC) qui devance Rebellin et Erik Dekker (Rabobank) de 4 secondes[1].
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2e étape
Cette première étape en ligne tracée entre Chaville et Montargis est destinée aux sprinteurs. Sans grandes difficultés, les rois de la dernière ligne sont favoris pour cette étape[4]. L'échappée du jour est réalisée par le Letton Raivis Belohvoščiks (Chocolade Jacques-Wincor Nixdorf), prenant jusqu'à dix minutes d'avance sur le peloton[5]. L'équipe du leader, CSC se met alors à rouler pour revenir sur le Letton. Mais avec le vent, une fois l'échappé repris, l'équipe danoise poursuit son effort et provoque des cassures dans le peloton. Michele Bartoli, Ivan Basso, Michael Blaudzun, Jörg Jaksche, Jakob Piil, Fränk Schleck et Jens Voigt s'échappent avec seulement les Français Christophe Le Mével et Geoffroy Lequatre (Crédit agricole) et les Belges Geert Verheyen et Jurgen Van de Walle (Chocolade Jacques-Wincor Nixdorf)[5]. Il faudra 80 kilomètres à un groupe de poursuivants de 25 coureurs pour revenir sur le groupe de tête[5]. À Montargis, le Basque Pedro Horrillo (Quick Step-Davitamon) s'impose devant Beat Zberg et Bartoli[4]. Parmi les favoris, seuls José Azevedo (US Postal), Fabian Cancellara et Frank Vandenbroucke (Fassa Bortolo), Sylvain Chavanel (Brioches La Boulangère), Óscar Pereiro (Phonak), Davide Rebellin (Gerolsteiner) et Michael Rogers (Quick Step-Davitamon) ne perdent pas de temps sur le leader du classement général. Les autres leaders comme Dario Frigo (Fassa Bortolo), Levi Leipheimer (Rabobank), Denis Menchov (Illes Balears-Banesto), Alexandre Vinokourov (T-Mobile) ou Alex Zülle (Phonak) perdent plus de cinq minutes à l'arrivée[5].
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3e étape
La troisième étape entre La Chapelle-Saint-Ursin et Roanne tracée sur 227 kilomètres offre aux sprinteurs l'occasion de prendre leur revanche après le coup de force de l'équipe CSC la veille. Sous des températures presque négatives, le peloton s'élance bien couvert. L'échappée du jour se forme au kilomètre 31 par l'impulsion de l'Allemand Thomas Ziegler (Gerolsteiner), suivi par le Néerlandais Léon van Bon (Lotto-Domo). Alors qu'ils comptent jusqu'à treize minutes d'avance, les équipes de sprinteurs commencent la poursuite. L'avance du duo de tête diminue fortement, elle n'est plus que de 6 minutes et 15 secondes à 45 km de l'arrivée puis 3 minutes 15 aux 30 km, 2 minutes aux 25 km et 1 minute 40 aux 20 km. Ils rentrent dans la ville d'arrivée avec 50 secondes d'avance, avance qui leur permet de se disputer la victoire d'étape. Van Bon devance Ziegler qui se console avec le maillot de meilleur grimpeur. Le Belge Tom Boonen (Quick Step-Davitamon) règle le peloton avec 25 secondes de retard. L'Allemand Jörg Jaksche conserve le maillot de leader et pas de changement notable au classement général.
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4e étape
La quatrième étape de cette 62e édition de ce Paris-Nice est tracée entre Roanne et Le Puy-en-Velay sur 179 kilomètres. Au programme de cette étape, on retrouve le col de la Croix du Lac (3e catégorie), la côte des Essarts (3e catégorie) et surtout le col de la Croix de l'Homme Mort (2e catégorie), point culminant de l'épreuve avec ses 1 163 mètres de haut. Malheureusement, la neige tombée pendant la nuit encombre les premiers kilomètres de l'épreuve. Les 50 premiers kilomètres de la course sont donc neutralisés, les coureurs les font en défilé. Lors du nouveau départ à Saint-Germain-Laval, les conditions climatiques s'aggravant, les équipes et la direction entament des négociations et l'étape est donc annulée dans sa totalité. Aucun changement donc au classement général et aux différents classement annexes.
5e étape
La cinquième étape se déroule entre les villes du Puy-en-Velay et de Rasteau sur 215 kilomètres. Lancée sur des bases élevées, la course voit l'échappée du jour se former au kilomètre 15 par l'intermédiaire du Polonais Dariusz Baranowski (Liberty Seguros), le Vénézuélien Unai Etxebarria (Euskaltel-Euskadi) et l'Espagnol Aitor Osa (Illes Baleras-Banesto). Après avoir compté sept minutes d'avance, ils sont repris à 28 kilomètres de l'arrivée. Le vent souffle sur la course et l'équipe CSC tente de refaire le coup de la deuxième étape. Des bordures se forment de nouveau et on retrouve seulement dix coureurs en tête de la course, Michele Bartoli, Jörg Jaksche, Bobby Julich, Jakob Piil, Fränk Schleck, Jens Voigt (CSC), Baden Cooke (FDJeux.com), George Hincapie (US Postal), Davide Rebellin (Gerolsteiner) et Alexandre Vinokourov (T-Mobile). Jaksche surveille Rebellin, son poursuivant au classement général et le Kazakh Vinokourov en profite pour attaquer une première fois sans résultat puis une seconde fois de façon décisive. Il remporte l'étape avec quatre secondes d'avance sur le reste du groupe, victoire qu'il dédie à son compatriote Andrei Kivilev, mort en course un an auparavant jour pour jour.
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6e étape
La sixième étape se déroule entre Rasteau et Gap sur une distance de 173,5 kilomètres. Après une minute de silence en mémoire des victimes de l'attentat de la veille à Madrid, le départ est donné et l'Espagnol Aitor Osa s'échappe en solitaire. Il est rejoint ensuite par le Français Nicolas Portal (AG2R Prévoyance). Après avoir eu plus de dix minutes d'avance à 65 kilomètres de l'arrivée, l'Espagnol lâche Portal et passe en tête du Col de la Sentinelle, empochant le maillot de meilleur grimpeur. À 25 kilomètres de l'arrivée, Alberto Contador (Liberty Seguros), Gorka González (Euskaltel-Euskadi), Bobby Julich (CSC), Kim Kirchen (Fassa Bortolo) et Denis Menchov (Illes Balears-Banesto) s'échappent mais sont repris juste avant le premier passage dans la ville de Gap où Jörg Jaksche prend quelques secondes de bonification à un sprint intermédiaire. Le Col de Manse voit des nouvelles attaques avec Dave Bruylandts (Chocolade Jacques-Wincor Nixdorf), Floyd Landis (US Postal-Berry Floor) et Samuel Sánchez (Euskaltel-Euskadi) dans un premier temps, repris un peu plus haut par Denis Menchov. Ces quatre-là font le trou et vont se disputer la victoire à Gap. Le Russe Menchov se montre le plus rapide sur la ligne et dédie sa victoire au peuple espagnol. Le groupe Maillot Jaune se présente sur la ligne 24 secondes plus tard, Jörg Jaksche conserve le maillot jaune.
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7e étape
La septième étape se déroule entre les villes de Digne-les-Bains et Cannes sur une distance de 185,6 kilomètres. Trois coureurs s'échappent en début de courses, le Néerlandais Erik Dekker (Rabobank), l'Espagnol Íñigo Landaluze (Euskaltel-Euskadi) et le Français David Moncoutié (Cofidis). Ils sont repris à 28 kilomètres du but au pied du col du Tanneron où le Kazakh Alexandre Vinokourov (T-Mobile) lance les débats. Il ne creuse pas d'écart puis est repris par le groupe Maillot jaune. Frank Vandenbroucke (Fassa Bortolo) et Samuel Sánchez (Euskaltel-Euskadi) attaquent ensuite et franchissent le col en tête. Sanchez lâche ensuite le Belge dans la descente mais est repris par Vinokourov sur la portion plate. Le Kazakh remporte l'étape avec 18 secondes d'avance sur le peloton Maillot jaune réglé par Kim Kirchen (Fassa Bortolo) devant Jens Voigt (CSC). Pas inquiété par ses poursuivants au classement général, Jörg Jaksche conserve son maillot de leader de la course, reprenant même une seconde par le jeu des bonifications.
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8e étape
La huitième et dernière étape de la Course au Soleil est une boucle tracée autour de Nice avec au programme la montée du Col de Châteauneuf (2e catégorie) et trois montées du Col d'Èze (1re catégorie). Le Belge Frank Vandenbroucke (Fassa Bortolo) attaque le premier dans la première escalade du col d'Eze, au kilomètre 5. Suivi par l'Américain Bobby Julich , coéquipier du leader Jörg Jaksche, il est repris mais cinq coureurs s'échappent juste après : les Espagnols Íñigo Cuesta (Cofidis), Aitor Osa (Illes Balears-Banesto) et Marcos Serrano (Liberty Seguros), l'Américain Tyler Hamilton (Phonak) et l'Allemand Mathias Kessler (T-Mobile). Dans la seconde montée du col d'Eze, Benoît Poilvet (Crédit agricole), Denis Menchov (Illes Balears-Banesto), David Moncoutié (Cofidis) et Alexandre Vinokourov (T-Mobile) attaquent. Menchov et Vinokourov s'isolent ensuite alors que le reste du groupe est repris par le peloton. Ils se disputent la victoire d'étape et le Kazakh l'emporte à Nice, sa troisième victoire d'étape de la semaine. Le podium final ne change pas au cours de l'étape et donc Jörg Jaksche s'impose devant l'Italien Davide Rebellin à 15 secondes et son coéquipier Bobby Julich à 43 secondes.
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Classements finals
Classement général
Classement par points
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Classement de la montagne
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Classement des jeunes
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Classement par équipes
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Classements UCI
Les tableaux suivants présentent les classements mondiaux (individuel et par équipes) établit par l'UCI au lendemain de l'arrivée de Paris-Nice, le [6]. Parmi les dix premiers du classement individuel, seuls Davide Rebellin et Alexandre Vinokourov marquent des points lors de l'épreuve. Au classement par équipe, l'équipe CSC, avec deux coureurs sur le podium, prend les rênes du Top 10.
Classement individuel
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Classement par équipes
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Évolution des classements
Le classement général, dont le leader porte le maillot jaune, s'établit en additionnant les temps réalisés à chaque étape, puis en ôtant d'éventuelles bonifications.
Le classement par points, dont le leader porte le maillot vert, est l'addition des points attribués à l'arrivée des étapes et aux sprints intermédiaires. En cas d'égalité de points, les critères de départage, dans l'ordre, sont : nombre de victoires d'étape, de sprints intermédiaires, classement général.
Le classement du meilleur grimpeur, dont le leader porte le maillot à pois, consiste en l'addition des points obtenus au sommet des ascensions de 1re, 2e et 3e catégorie. En cas d'égalité de points, les critères de départage, dans l'ordre, sont : nombre de premières places dans les ascensions de 1re, puis de 2e, enfin de 3e catégorie, classement général.
Le classement du meilleur jeune, dont le leader porte le maillot blanc et bleu, est le classement général des coureurs nés depuis le .
Le classement par équipes de l'étape est l'addition des trois meilleurs temps individuels de chaque équipe. En cas d'égalité, les critères de départage, dans l'ordre, sont : addition des places des trois premiers coureurs des équipes concernées, place du meilleur coureur sur l'étape. Calculer le classement par équipes revient à additionner les classements par équipes de chaque étape. En cas d'égalité, les critères de départage, dans l'ordre, sont : nombre de premières places dans le classement par équipes du jour, nombre de deuxièmes places dans le classement par équipes du jour, etc., place au classement général du meilleur coureur des équipes concernées[7].
Étape | Vainqueur | Classement général | Classement par points | Classement de la montagne | Classement du meilleur jeune | Classement par équipes |
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1 | Jörg Jaksche | Jörg Jaksche | Jörg Jaksche | Non décerné | Alberto Contador | CSC |
2 | Pedro Horrillo | Davide Rebellin | Raivis Belohvoščiks | Michael Rogers | ||
3 | Léon van Bon | Jens Voigt | Thomas Ziegler | |||
4 | Annulée | |||||
5 | Alexandre Vinokourov | Davide Rebellin | ||||
6 | Denis Menchov | Jörg Jaksche | Aitor Osa | |||
7 | Alexandre Vinokourov | Davide Rebellin | ||||
8 | Alexandre Vinokourov | |||||
Classements finals | Jörg Jaksche | Davide Rebellin | Aitor Osa | Michael Rogers | CSC |
Liste des participants
Légende | |||
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Num | Dossard de départ porté par le coureur sur ce Paris-Nice | Pos | Position finale au classement général |
![]() |
Indique le vainqueur du classement général | ![]() |
Indique le vainqueur du classement par points |
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Indique le vainqueur du classement de la montagne | ![]() |
Indique un maillot de champion national ou mondial, suivi de sa spécialité |
# | Indique la meilleure équipe | NP | Indique un coureur qui n'a pas pris le départ d'une étape, suivi du numéro de l'étape où il s'est retiré |
AB | Indique un coureur qui n'a pas terminé une étape, suivi du numéro de l'étape où il s'est retiré |
HD | Indique un coureur qui a terminé une étape hors des délais, suivi du numéro de l'étape |
DSQ | Indique un coureur qui a été disqualifié de la course, suivi du numéro de l'étape |
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Notes et références
- Jaksche annonce la couleur sur eurosport.fr, le 7 mars 2004, consulté le 20 juin 2004
- Paris-Nice # 1 : Jaksche rattrape le temps perdu sur velo10.com, le 7 mars 2004, consulté le 20 juin 2004
- C’est Jaksche qui ouvre le bal sur velochronique.com, le 7 mai 2004, consulté le 21 juin 2012
- Horrillo et CSC dans le vent sur eurosport.fr, le 8 mars 2004, consulté le 20 juin 2004
- Paris-Nice # 2 : CSC, trois lettres de noblesse sur velo10.com, le 8 mars 2004, consulté le 20 juin 2004
- Dernières brèves du cyclisme sur velo101.com, le 15 mars 2004, consulté le 20 juin 2012
- « Règlement particulier », sur letour.fr
Liens externes
- (fr) (en) Site officiel
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