Plainville (Eure)
Plainville est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Pour les articles homonymes, voir Plainville.
Plainville | |
L'église Saint-Saturnin, Classé MH (1886). | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | Communauté de communes Intercom Bernay Terres de Normandie |
Maire Mandat |
Jean-Louis Vila 2020-2026 |
Code postal | 27300 |
Code commune | 27460 |
Démographie | |
Gentilé | Plainvillais |
Population municipale |
205 hab. (2019 ) |
Densité | 32 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 05′ 08″ nord, 0° 30′ 00″ est |
Altitude | Min. 150 m Max. 185 m |
Superficie | 6,41 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Bernay (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Bernay |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Géographie
Plainville se situe à l'Ouest du département de l'Eure dans le Lieuvin[1] et le canton de Bernay.
Communes limitrophes
Les villages bordant Plainville sont Saint-Vincent-du-Boulay au nord, Saint-Martin-du-Tilleul au nord-est/est, Caorches-Saint-Nicolas au sud-est, Saint-Victor-de-Chrétienville au sud, Capelles-les-Grands au sud-ouest et Saint-Mards-de Fresne à l'ouest.
Le village est composé de plusieurs hameaux, lieux-dits et triages : le triage du Bois d'Aufresne, le Tourmesnil, la Héberdiere, le Village, le Vast, les Épines, le Château, le Lieu de Bas, la Vassourie, la Londe et le Bosc-Ricard.
La ligne Paris-Cherbourg
Depuis 1855, Plainville est traversée en son milieu par la ligne Paris-Cherbourg.
La ligne Bernay-Cormeilles
De 1905 à 1934, Plainville est desservie par une ligne à voie unique reliant Bernay à Cormeilles, longeant la limite nord/nord-est de Plainville (entre Tourmesnil et La Croix Blanche (Saint-Vincent-du-Boulay) avant de suivre l'actuelle RD 22. La desserte est assurée au moyen d'une petite gare installée aux abords de cette limite. Ce projet de gare fut défendu devant le conseil général de l'Eure par le conseiller du canton de Brionne Arthur Join-Lambert[4].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Menneval », sur la commune de Menneval, mise en service en 1962[11] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 780,8 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à 43 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[15] à 10,7 °C pour 1981-2010[16], puis à 11 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Plainville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[18],[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bernay, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,9 %), prairies (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), forêts (2,9 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Il est fait mention de Plainville à partir du XIIe siècle sous la formes latinisée Peleavilla (cartulaire de Lyre)[25]. Au XVe siècle, on trouve le nom de Pelleville et Tortmesnil dans les archives du notariat de Bernay, puis Plainville-Tour-Menil jusqu'au début du XIXe siècle. Le Tourmesnil est aujourd'hui un hameau de la commune.
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville, appellatif issu du gallo-roman VILLA « domaine rural ». L'interprétation du premier élément Plain- pose problème et a divisé les toponymistes.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing ont vu dans le premier élément un nom de personne germanique Pellin[26]. En effet, la plupart des toponymes en -ville sont formés avec un anthroponyme. Cependant, la forme la plus ancienne, qu'ils ne devaient pas connaître, ainsi que celles des autres Plainville s'opposent à cette interprétation.
- François de Beaurepaire se fonde sur les formes anciennes et propose la traduction « ville pelée » en référence à une terre peu fertile. Cette proposition a l'avantage de correspondre aux formes anciennes des différents Plainville. En outre, même si cette interprétation semble a priori obscure, elle est confortée par quelques toponymes en -ville se référant à la nature du sol du domaine rural, de manière dépréciative ou positive. Ainsi, trouvait-on jadis en Seine-Maritime, Merdeuseville, aujourd'hui Belleville-en-Caux[27] et dans la Manche, Merdosavilla au XIIe siècle aujourd'hui La Bonneville[28]. Inversement, Richeville se réfère probablement à la fertilité de la terre ou à la richesse domaine rural. Il existe aussi un type Grigneuseville (Seine-Maritime), Grenieuseville (Eure) dont le premier élément représente l'ancien français grignos « triste »[29]. Ces formations toponymiques sont toutes composées à partir d'un adjectif roman.
- René Lepelley reprend la proposition du précédent.
Histoire
Les origines
Dans l'Antiquité, Plainville est située sur une portion de terres dépendant initialement des Lexoviens (peuple gaulois occupant un territoire situé approximativement entre la Manche, la Touques, la Charentonne et la Risle soit le territoire de l'ancien grand Lieuvin décomposé aujourd'hui en pays d'Auge (essentiellement Calvados et Orne) et l'actuel Lieuvin (Eure).
À partir du XIIIe siècle, on possède davantage d'informations sur la paroisse actuelle. Ainsi, l'église gothique fut-elle édifiée durant ce siècle et c'est à cette période que l'on retrouve plusieurs premiers écrits traitant de chartes et donations concernant le fief de Plainville et les environs et impliquant les seigneurs ou le curé.
Les familles seigneuriales de Plainville
Au cours de l'histoire du village, au moins deux grandes familles seigneuriales sont répertoriées et citées fréquemment dans différents textes et ouvrages, il s'agit de la famille Néel et de la famille du Bosc-Henry. Cependant, quelque traces écrites montrent l'existence d'une famille de Pelville entre le XIIIe et le XVe siècle[30].
- La famille de Pelville
Seules quelques traces écrites concernent cette famille. Ainsi l'on retrouve deux actes mentionnant pour le premier la présence d'un certain Cardot de Pelville lors d'une charte de Gilbert du Val et pour le deuxième la présence de Richard de Pelville pour une charte en faveur de Saint-Nicolas à Capelle-les-Grands.
- La famille Néel
Plus de membres de cette famille sont mentionnés dans les écrits disponibles. Le premier se prénomme Antoine, il est seigneur de Plainville à partir de 1463. Il présentera son fils lors de la montre de Beaumont de 1470. Saturnin Néel possède le fief au début du XVIIe siècle ; et serait ainsi le dernier Néel qui possédera le fief.
- La famille du Bosc-Henry
On trouve ici la famille qui aura sans doute eu le plus d'importance pour la commune de Plainville. Le premier de la lignée fut Jean du Bosc-Henry qui a rendu hommage au fief de Plainville en 1577, celui-ci fut aussi baron de Drucourt (ces enfants reprendront la seigneurie de ce village par la suite). Son frère Philbert (ce nom apparait dans les recherches de généalogie mais le nom de Philippe apparait dans certaines œuvres[30],[31]) reprit probablement la seigneurie à sa suite et sa descendance en garda la possession. Cela commença par son fils Robert, il ne posséda sûrement pas longtemps le fief étant donné qu'il mourut en 1648 seulement 3 ans après Philbert (1645). Son fils Jean-Baptiste, né en 1647, dut reprendre la seigneurie dès qu'il en fut d'âge avant de mourir en 1684. François, né en 1675 fut son héritier et ne dut passer le flambeau que très tard étant donné qu'il ne mourra qu'à l'âge de 92 ans soit en 1767.
Enfin la dernière génération de seigneurs de la famille fut plus abstraite, Esprit-Jean-Baptiste qui était communément appelé chevalier de Plainville, capitaine du régiment de Monaco et a qui l'on doit probablement la construction du château actuel (daté de 1754)[32], mourut assassiné et jeté dans la Seine à Ambourville en 1768. Lors du dépôt de ses bans de mariage en 1752 avec Marguerite Suzanne De Ragayne De Tallonay, il est décrit comme seigneur de Plainville, son père lui laissa donc probablement le fief bien avant sa mort. Cependant entre 1768 et la Révolution, il n'y a pas de trace d'un réel seigneur, Esprit-Jean-Baptiste n'ayant pas eu de fils, c'est probablement un de ses deux frères (certainement Jacques Hubert[30]) qui dut reprendre la seigneurie.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].
En 2019, la commune comptait 205 habitants[Note 8], en augmentation de 8,47 % par rapport à 2013 (Eure : +0,75 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune de Plainville compte un édifice classé au titre des monuments historiques :
- l'église Saint-Saturnin (XIIIe, XVIe et XVIIIe), Classé MH (1886)[38]. La nef et le portail date du XIIIe siècle. La charpente de la nef fait l'objet d'une reconstruction au XVIe siècle. Les fenêtres du chœur sont du XVIIIe siècle. Enfin, la croix monumentale porte la date 1763[39].
Par ailleurs, plusieurs autres édifices sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :
- un château du milieu du XVIIIe siècle[40]. Ce château a été bâti en 1754 d'après A. Leprevost. Le fronton porte la date 1761 ;
- six fermes : une du XVIe siècle au lieu-dit le Val-Auger[41], deux du XVIIe siècle au lieu-dit Tourmesnil[42] et au lieu-dit le Lieu de Bas[41], une du XVIIIe siècle au lieu-dit la Héberdière[43], une des XVIIIe et XIXe siècles au lieu-dit le Bosc-Ricard[44] et enfin, une du XIXe siècle au lieu-dit la Vassourie[45].
Ancienne mairie. Mairie. Monument aux morts. Croix de chemin. Salle des fêtes.
Personnalités liées à la commune
L'abbé Bessin
Alexandre-Jacques Bessin, ou l'abbé Bessin, né en 1754 à Glos-la-Ferrière et mort en mars en 1810 à Plainville (Plainville-Tour-Ménil à l'époque) était curé de cette dernière commune. Il était réputé pour ses poèmes tel « L'école des Sages » et ses liens avec les nombreux philosophes et grands écrivains de l'époque comme Voltaire ou Delille. Ce dernier venait même régulièrement en séjour au presbytère de Plainville, chez l'abbé Bessin, pour y écrire ses œuvres. Peu avant sa mort, Voltaire écrivit à l'abbé pour lui faire part de sa sympathie pour son travail et sa personne[46].
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- http://www.atlaspaysages.hautenormandie.fr/CONNAITRE-LES-PAYSAGES-HAUTS-NORMANDS/Les-pays-de-l-ouest-de-l-Eure/Le-Lieuvin (consulté le 27 mars 2017).
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- Rapports et délibérations - Conseil Général de l'Eure - 1904
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Menneval - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Plainville et Menneval », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Menneval - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Plainville et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 158.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6).
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, éditions Picard 1979. p. 40.
- François de Beaurepaire, op. cit.
- François de Beaurepaire, op. cit., p. 88.
- M. Charpillon, Dictionnaire historique de toutes les communes du département de l’Eure. Histoire, géographie, statistiques, réédition 1968 (de l'original 1868 - 1879 ), F.E.R.N., Avallon, 2 volumes, Volume 2.
- Histoire de Saint-Martin du Tilleul par Auguste Le Prévost p. 115.
- Gentilhommières des pays de l'Eure, Franck Beaumont, Philippe Seydoux , Morande, 1999
- Archives départementales de l'Eure
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Église », notice no PA00099510, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église paroissiale Saint-Saturnin », notice no IA00018189, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château », notice no IA00018190, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme », notice no IA00018196, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme », notice no IA00018197, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme », notice no IA00018193, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme », notice no IA00018192, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme », notice no IA00018195, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Œuvres complètes de Voltaire avec des remarques et des notes historiques
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