Plazac

Plazac est une commune française située en Périgord noir dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Plazac

Le village de Plazac.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de l'Homme
Maire
Mandat
Florence Gauthier
2020-2026
Code postal 24580
Code commune 24330
Démographie
Population
municipale
688 hab. (2019 )
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 02′ 10″ nord, 1° 02′ 17″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 289 m
Superficie 33,77 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Homme
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Plazac
Géolocalisation sur la carte : France
Plazac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Plazac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Plazac
Liens
Site web http://plazac.fr/

    Géographie

    Généralités

    À l'est du département de la Dordogne, la commune de Plazac se trouve en partie nord-ouest du Périgord noir. Proche de la vallée de la Vézère, elle est arrosée par un petit affluent de la Vézère, le Vimont.

    En rive gauche du Vimont et traversé par la route départementale 6, le bourg de Plazac se situe, en distances orthodromiques, dix kilomètres à l'ouest-sud-ouest de Montignac-Lascaux et douze kilomètres au sud-sud-ouest de Thenon.

    La commune est également desservie au sud-est par la route départementale 45. Au nord, le territoire communal est traversé ou bordé sur environ dix kilomètres par le sentier de grande randonnée GR 36.

    Communes limitrophes

    Carte de Plazac et des communes avoisinantes.

    Plazac est limitrophe de cinq autres communes. À l'est, son territoire est éloigné d'environ 450 mètres de celui de Thonac.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Plazac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3b-c, date du Coniacien moyen à supérieur, composée de calcaires bioclastiques grossiers et quartzeux jaunes à bryozoaires et gastéropodes, à niveaux gréseux (formation des Eyzies). La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 783 - Thenon » et « no 784 - Terrasson » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

    Carte géologique de Plazac.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 82 mètres[6] au sud, à côté du château du Peuch, là où le Vimont quitte la commune pour entrer sur celle de Fleurac, et 289 mètres[6] à l'ouest, en limite de la commune de Rouffignac-Saint-Cernin-de-Reilhac[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 33,77 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 34,4 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Vimont et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 29 km de longueur totale[15],[Carte 1].

    Le Vimont, d'une longueur totale de 12,67 km, prend sa source à Bars et se jette dans la Vézère en rive droite, en limite de Tursac et de Peyzac-le-Moustier[16],[17]. Il traverse la commune du nord au sud sur près de six kilomètres, dont un kilomètre et demi sert de limite naturelle à Rouffignac-Saint-Cernin-de-Reilhac.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 945 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[26] et qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[27],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 41 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[30], à 12,7 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Plazac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[33],[34],[35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36],[37].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,8 %), prairies (17,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,1 %), terres arables (4,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %)[38].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Toponymie

    Le nom de Plazac vient d'un nom de personnage gallo-roman Plasius ou latin Platius suivi du suffixe -acum, indiquant le « domaine de Plasius ou de Platius »[39],[40].

    En occitan, le nom de la commune s'écrit Plasac[41].

    Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après la commune[42].

    Histoire

    Plaque située à Plazac, commémorative des réfugiés de Bootzheim.

    La première mention connue du village remonte à 1169 sous la forme « Plazat ». Trois siècles plus tard, le château est identifié en latin comme Fortalitium de Plazaco[39].

    En 1939, des habitants du village alsacien de Bootzheim ont trouvé refuge à Plazac.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Plazac a, dès 1790, été rattachée au canton de Rouffignac qui dépendait du district de Montignac.

    En 1800, le canton de Rouffignac est supprimé et la commune est rattachée au canton de Montignac dépendant de l'arrondissement de Sarlat renommé en arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965.

    Intercommunalité

    En 2002, elle intègre dès sa création la communauté de communes de la Vallée de la Vézère. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes de la Vallée de l'Homme.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[43],[44].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs[45]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1791 1794 Jean Lafarge    
    1794 1796 Pierre Larmandie    
    1796 1799 Jean Lafarge    
    1799 1800 François Dufaure    
    1800 1805 Jean Cubellie Larigaudie    
    1805 janvier 1814 Bernard Dalbavie-Laborie    
    janvier 1814 1840 Jean Debord Laudonie[Note 8]    
    février 1840 1848 François Fayard   Notaire
    février 1848 janvier 1856 Pierre Tibeyrant[Note 8]   Chirurgien major
    février 1856 septembre 1870 Paul Armand-Laroche    
    septembre 1870 octobre 1870 Debord Laudonie    
    octobre 1870 1871 Jean Dupont    
    1871 1879 Léonard Paul Armand-Laroche    
    1879 mai 1888 Jean Dupont    
    mai 1888 1893 Edgard d'Argy    
    août 1893 1900 Marc Armand-Laroche    
    1900 1935 Jacques Hippolyte de Molènes   Conseiller général
    mai 1935 mai 1953 Élie Léonard    
    mai 1953 mars 1977 Pierre Lamothe    
    mars 1977 août 1989 Maurice Estardier[Note 8]    
    septembre 1989 mai 1992 Christian Pharizin    
    mai 1992 avril 2014 Robert Delbary PS[46] Agriculteur en retraite
    avril 2014[47]
    (réélue en mai 2020[48])
    En cours Florence Gauthier   Infirmière

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Plazac relève[49] :

    Jumelages

    Panneau de jumelage avec Bootzheim.

     Bootzheim (France) (Bas-Rhin).

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[51].

    En 2019, la commune comptait 688 habitants[Note 9], en augmentation de 0,15 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5801 4151 4671 6911 6211 6941 6451 6371 723
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7261 6361 6381 5861 5241 4131 5231 3891 415
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1791 1571 064809798761690626603
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    522424427502543577686703699
    2019 - - - - - - - -
    688--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    En 2013, Plazac est organisée en regroupement pédagogique intercommunal[53] (RPI) avec les communes de Peyzac-le-Moustier et Saint-Léon-sur-Vézère au niveau des classes de maternelle et de primaire. La commune se charge des classes de cours élémentaire et de cours moyen. La maternelle et le cours préparatoire ont lieu à Saint-Léon-sur-Vézère.

    Manifestations culturelles et festivités

    • De 2003 à 2012, festival Mixi-Thé chaque année en janvier, manifestations sur le thème du thé[54]. Il n'a pas été reconduit en 2013[55].
    • Festival Più di Voce en Périgord, chaque année durant la deuxième quinzaine de juillet depuis 2006, festival professionnel d'art lyrique[56].

    Économie

    Emploi

    En 2015[57], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 281 personnes, soit 40,4 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (cinquante-trois) a augmenté par rapport à 2010 (quarante-cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 18,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 131 établissements[58], dont 81 au niveau des commerces, transports ou services, quinze dans la construction, quinze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quinze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et cinq dans l'industrie[59].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    À l'extrême limite sud-est du territoire communal, la Côte de Jord, coteau calcaire ensoleillé en rive droite de la Vézère, est un site protégé pour sa flore aussi bien en tant que zone Natura 2000[65] que comme zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I[66],[67].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Coupé, au premier de gueules parti à l'église fortifiée d'or ouverte du champ et aux trois lions couronnés de même et posés en bande, au deuxième d'azur à deux fûts de canon en sautoir accompagnés d'une fleur de lys et d'une crosse épiscopale, le tout d'or.
    Détails
    Officiel, blason présent sur le site internet de la commune[69].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Décédé en fonctions.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Plazac » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Plazac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Plazac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 783 - Thenon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. « Notice associée à la feuille no 784 - Terrasson de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Plazac », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Plazac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. « Confluence Vimont-Vézère au sud-ouest du Moustier » sur Géoportail (consulté le 30 août 2022)..
    17. Sandre, « le Vimont »
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    21. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    22. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    23. Glossaire – Précipitation, Météo-France
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