Pleuville
Pleuville est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Pleuville | |||||
L'église de Pleuville. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Confolens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Charente Limousine | ||||
Maire Mandat |
Eliane Ginette Pautrot 2020-2026 |
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Code postal | 16490 | ||||
Code commune | 16264 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pleuvillois | ||||
Population municipale |
323 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 9,6 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 05′ 28″ nord, 0° 29′ 48″ est | ||||
Altitude | Min. 130 m Max. 187 m |
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Superficie | 33,63 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Charente-Vienne | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation et accès
Pleuville est une commune du nord-est de la Charente, limitrophe du département de la Vienne, située à 16 km au nord-ouest de Confolens et 56 km au nord-est d'Angoulême.
Le bourg de Pleuville est aussi à 9 km au sud-est de Charroux, 13 km au nord-est de Champagne-Mouton, 13 km à l'ouest d'Availles-Limouzine, 24 km à l'est de Ruffec, 56 km au sud de Poitiers[2].
La route principale traversant la commune et desservant le bourg est la D 30, route de Confolens à Charroux. La D 148 (D 948 en Charente) de Confolens à Niort traverse le nord de la commune et passe à 4 km du bourg[3].
Hameaux et lieux-dits
L'habitat est assez dispersé et la commune compte des hameaux : la Courcelle au nord-ouest du bourg, le Chaffaud à l'ouest, Vaine au sud, Nouaille, la Péranche à l'ouest de la commune, ainsi que de nombreuses fermes[3].
Communes limitrophes
Géologie et relief
Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique, non loin du seuil du Poitou. Le Lias et le Dogger apparaissent sur les flancs de la vallée du Transon. Le plateau est toutefois recouvert sur une grande partie par des altérites sous forme d'argile sableuse, dépôts du Tertiaire en provenance du Massif central et remaniées au Quaternaire[4],[5],[6].
La commune occupe un plateau d'une altitude moyenne de 170 m, et le relief est plus vallonné au sud de la commune traversé par la vallée du Transon. Le point culminant est à une altitude de 187 m, situé au sud-est à Maltard. Le point le plus bas est à 130 m, situé le long du Transon sur la limite départementale à l'ouest. Le bourg est à 160 m d'altitude[3].
Réseau hydrographique
La commune est située pour partie dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7] et pour partie dans la région hydrographique de « la Loire de la Vienne (c) à la Maine (nc) », une partie du Bassin de la Loire, au sein du Bassin Loire-Bretagne[8]. Elle est drainée par le Maury, le Payroux, le Transon, le ruisseau de la Grande Homarie, le ruisseau de Saunier et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 34 km de longueur totale[9],[Carte 1].
Le Transon, affluent de la Charente sur sa rive droite à Chatain (Vienne), arrose le sud de la commune.
Le Transon reçoit sur sa rive droite de nombreux petits affluents communaux, parfois à sec l'été, dont le ruisseau de Saunier et le ruisseau de la Grande Homarie, au sud, et un autre passant au pied du bourg. Sur la rive gauche, le ruisseau des Vergnades limite la commune au sud.
La ligne de partage des eaux entre Charente et Loire traverse le nord-est de la commune, et le ruisseau de la Grollière qui fait la limite départementale au nord et le ruisseau de Torigné à l'est se dirigent vers le Clain, affluent de la Vienne qui naît à Hiesse.
Dû au sol argileux, de nombreuses retenues d'eau et étangs jalonnent la commune, comme les étangs de Chez le Besson, de la Roucherie, de la Courcelle, etc. ainsi que de nombreuses sources et fontaines, comme la Font de la Gorge au sud-ouest.
- La route de Benest traversant le Transon.
- Réseaux hydrographique et routier de Pleuville
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Clain ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].Le SAGE « Clain», dont le territoire correspond au bassin du Clain, d'une superficie de 2 882 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Vienne[12]. Il est quant à lui une déclinaison du SDAGE du Bassin Loire-Bretagne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [13].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, mais assez dégradé car la commune se situe aux abords de la Charente limousine et du seuil du Poitou. Les précipitations sont plus nombreuses et les températures plus fraîches.
Urbanisme
Typologie
Pleuville est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,7 %), terres arables (33 %), forêts (15,6 %), zones agricoles hétérogènes (14,8 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Une forme ancienne est Plevilla (non datée)[20].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville (ou occitan -villa) au sens ancien de « domaine rural », dont le premier élément Pleu- représente un nom de personne germanique selon le cas général. Peut-être s'agit-il de Pleon[21], d'où une forme initiale latinisée *Pleone villa (non attestée) signifiant « domaine (rural) de Pleon ».
Limite dialectale
La commune autrefois en domaine marchois (langue d'oc, mi-poitevin, mi-limousin)[22],[23] a progressivement glissé au XXe siècle, au moins en partie, en domaine poitevin (langue d'oil), le domaine marchois étant au sud-est[23].
Histoire
Antiquité
En 1997, les vestiges d'une ancienne villa gallo-romaine ont été trouvés par archéologie aérienne aux Petits Champs[24].
En limite avec la commune de Chatain, près de Tralbot, un retranchement rectangulaire a été décrit, appelé localement le camp romain. Il peut être lié à une voie antique de Chassenon à Charroux[25],[26].
Moyen Âge et Ancien Régime
Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1623.
Première moitié du XXe siècle
Au début du XXe siècle, des gisements de pierre à chaux étaient exploités, à la Courcelle et à la Péranche. La chaux était destinée dans le canton à l'amendement des terres. En plus de l'élevage du bétail, celui des oies et dindons était assez important. Les foires avaient lieu le 21 de chaque mois, et on y trouvait principalement des moutons gras, mais aussi des porcs gras et des veaux de lait[27].
Seconde Guerre mondiale
La ligne de démarcation passait par la commune[28].
Peu après le débarquement de Normandie, l'équipe « IAN » de la commission inter-alliée Jedburgh est parachutée dans la nuit du 15 au près de Lussac-les-Châteaux (Vienne). Elle est composée du capitaine français Delorme, du commandant américain Jo Gildee et du sergent radio canadien Louis Bourgoin.
Le capitaine Delorme, sous les ordres du lieutenant colonel Michel, donne l’ordre à l’escorte de regagner Cherves-Châtelars (Charente) avec l’intention de rejoindre Joussé où le maquis Renard a été inquiété par les Allemands.
À Pleuville viennent d’arriver 200 soldats SS près de l’église : ce sont les fantassins de la Trupp motorisée 608. À cet instant, une moto transportant deux maquisards du groupe D1, venant de Pressac, arrive au bourg de Pleuville pour se diriger vers Charroux. Le hasard veut que la moto précède d’environ 100 mètres la voiture du capitaine Delorme.
Le , près du monument aux morts, des Allemands tirent sur la moto qui continue sa route malgré un blessé. Puis les Allemands attaquent la voiture. Le capitaine veut faire marche arrière mais ne peut pas. Mandinaud, le chauffeur, est grièvement blessé et ne peut descendre de la voiture. Il est tué d’une balle en pleine tête. Delorme, Gildee et le lieutenant André Very peuvent se cacher derrière un coin de mur. Bourgoin, quant à lui, se dirigeant vers les champs, « est tiré comme un lapin » et succombe. Déjà les maisons brûlent à Pleuville, 17 sont entièrement détruites.
Après avoir pris position dans le clocher et tiré sur tout ce qui bouge, ils se dirigent vers les Écures : une partie par le chemin de Fellet et l’autre, par la route en direction de Pressac. Les maquisards de RAF prévenus par Lucien Chaussonnaud de Pleuville peuvent prendre leurs armes et se disperser : cette initiative a certainement sauvé des vies.
Vers 16 heures, les premiers éléments allemands arrivent à l’entrée de Pressac, conduits par un milicien français. Cette commune ne doit pas être prévue dans l’ordre de mission car ils font demi-tour et reviennent aux Écures où ils mettent le feu aux gerbiers et se regroupent pour continuer à incendier les bâtiments.
Un détachement du maquis Maurice arrive en renfort avec des éléments des maquis Adolphe et Joël. Une partie prend position sur le champ de foire et l’autre partie s’arrête à Thorigné (un lieu-dit entre Pleuville et Pressac, dans la Vienne) pour organiser l’encerclement.
Au moment du déploiement, les Allemands incendient les bâtiments : les premiers coups de feu éclatent et l’accrochage est très violent. Après l’incendie des maisons du bourg (ce sont les fermes des Écures et les gerbiers qui ont été détruits), l’intensité du combat ne diminue qu’avec la tombée de la nuit. Les hommes se replient et doivent revenir à Thorigné où doit s’effectuer le regroupement.
Les pertes allemandes, selon Max Surville, sont : 10 tués, 25 blessés et 3 camions détruits et du côté de la Résistance : 4 tués (le sergent radio canadien Louis Bourgoin et les maquisards Mandinaud du maquis Bayard, Jerassier et Quiring du maquis RAF) et 2 blessés.
Administration
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].
En 2019, la commune comptait 323 habitants[Note 2], en diminution de 13,4 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 19,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 49,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 172 hommes pour 161 femmes, soit un taux de 51,65 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Équipements, services et vie locale
Lieux et monuments
- Le château de Pleuville, situé au bourg, du XVIIe siècle très remanié au XIXe siècle.
- Le château de Gorce date de la fin du Moyen Âge. Les bâtiments forment un U composé du châtelet d'entrée qui communique avec le logis par un pont volant et d'un bâtiment de commun attenant et, de part et d'autre d'une cour ouverte, des communs dont l'aile sud est cantonnée, aux extrémités, d'une tour de section carrée. Une partie des communs est du XVIIe siècle avec la date de 1654 sur une poutre. Il a été inscrit monument historique le [36].
- Le château de la Grollière[37].
- Menhir Le Bénitier des Sorciers : autrefois un lieu de sabbat des sorciers de la région[38],[39].
Personnalités liées à la commune
- Jean-François Migaud né en 1937 à Pleuville, est un auteur charentais d'expression française et poitevine-saintongeaise, dans sa variété poitevine méridionale de contact avec l'oc.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Pleuville » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Confolens », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Carte et liste des communes du Bassin Loire-Bretagne », sur agence.eau-loire-bretagne.frr, (consulté le )
- « Fiche communale de Pleuville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « SAGE Clain », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Loire-Bretagne 2022-2027 », sur sdage-sage.eau-loire-bretagne.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 190
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 537.
- Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. [[ Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne]]
- Éric Nowak, Histoire et géographie des parlers poitevins et saintongeais, Éditions des Régionalismes, 2010.
- « Vestiges d'une villa gallo-romaine », notice no 971609328ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 125
- Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 160
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 272-273
- « La Ligne passait par Combiers », sur sudouest.fr, (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pleuville (16264) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- « château de Gorce », notice no PA16000025, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 552
- Brouillet, François-André-Ernest, Indicateur archéologique de l'arrondissement de Civrai : depuis l'époque anté-historique jusqu'à nos jours, pour servir à la statistique monumentale du département de la Vienne, Civrai, P.-A. Ferriol, (lire en ligne), p. 42
- « Pleuville : Menhir "Le Bénitier des Sorciers" », sur GRAHT (consulté le ) (46° 06′ 01″ N, 0° 26′ 46″ E)
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Dujardin V., Moinot É., Ourry Y. (2007) - Le Confolentais, entre Poitou, Charente et Limousin, Images du patrimoine, no 243, Geste éditions, 2007.
Liens externes
- Page sur Pleuville, site de la Communauté de Communes du Confolentais
- Catillus Carol, « Pleuville », (consulté le )
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