Porcheville
Porcheville est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.
Porcheville | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Mantes-la-Jolie | ||||
Intercommunalité | CU Grand Paris Seine et Oise | ||||
Code postal | 78440 | ||||
Code commune | 78501 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Porchevillois | ||||
Population municipale |
3 174 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 687 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 58′ 20″ nord, 1° 46′ 44″ est | ||||
Altitude | 20 m Min. 17 m Max. 61 m |
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Superficie | 4,62 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Limay | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.porcheville.fr/ | ||||
Ses habitants sont appelés les Porchevillois.
Géographie
Situation
Porcheville est une commune du Vexin français riveraine de la Seine, située sur la rive droite du fleuve, dans le nord-ouest du département des Yvelines, à sept kilomètres à l'est de Mantes-la-Jolie et à 38 km environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Issou au nord-est, Mézières-sur-Seine et Guerville au sud, communes dont elle est séparée par la Seine, Limay à l'est et Guitrancourt au nord.
Géologie et relief
Le territoire, en légère pente du nord, s'étageant de 50 mètres à 20 mètres environ, se trouve dans la plaine alluviale de la Seine.
Urbanisme
Typologie
Porcheville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[4] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].
Morphologie urbaine
Le territoire communal est fortement urbanisé et industrialisé, mais conserve encore des zones naturelles boisées sur environ 20 % de sa surface.
L'habitat est concentré dans le bourg situé au sud-est de la commune près de la Seine. La partie nord-est est englobée dans la zone industrielle de Limay-Porcheville.
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 1 158, alors qu'il était de 1 163 en 2014 et de 996 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 93 % étaient des résidences principales, 0,8 % des résidences secondaires et 6,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 85 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 14,2 % des appartements[I 2].
La commune ne respecte pas ses obligations prévues par l'article 55 de la loi SRU de 2000 qui lui imposent de disposer d'au moins 25 % de son parc de résidences principales comme logements sociaux : En 2018, elle ne dispose que de 14,9 % et est astreinte au paiement d'un pénalité annuelle, qui s'est élevée, cette année-là, à 52 662 €[7].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Porcheville en 2019 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,8 %) inférieure à celle du département (2,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,9 % en 2014), contre 58,6 % pour les Yvelines et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Porcheville[I 1] | Yvelines[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 93 | 91 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,8 | 2,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,2 | 6,4 | 8,2 |
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[8],[9].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par deux axes routiers principaux orientés est-ouest parallèlement à la Seine : la route départementale 146 qui relie Gargenville à Limay en traversant le centre du village, la route départementale 190 (ex-route nationale 190) qui longe une partie du territoire communal au nord et donne accès à la zone industrielle.
Elle est traversée par la voie ferrée Paris-Saint-Lazare - Mantes-la-Jolie via Argenteuil et desservie par la gare d'Issou - Porcheville (cette gare se trouve à la limite de Porcheville mais dans le territoire d'Issou). Des embranchements particuliers desservent la centrale EDF et la zone industrielle.
Un appontement privé sur la Seine, conçu pour l'approvisionnement en fioul lourd, desservait la centrale thermique. Le port fluvial de Limay-Porcheville, port public géré par Ports de Paris (établissement public de l'État), est situé principalement dans le territoire de Limay, à la limite ouest de la commune de Porcheville[10].
Plusieurs lignes à haute tension (400 et 225 kV) du réseau national d'électricité, convergeant vers le poste de transformation situé près de la centrale thermique, traversent le territoire communal. Plusieurs d'entre elles, orientées nord-sud, appartiennent à la « boucle 400 000 volts » qui ceinture Paris et assure l'alimentation générale de l'Île-de-France en énergie électrique[11].
Du fait de la présence de l'ancienne centrale thermique de Porcheville alimentée en fioul lourd et de la proximité du stockage pétrolier de Gargenville, la commune est traversée par divers oléoducs, dont le réseau LHP (Le Havre - Paris) affecté au transport d'hydrocarbures et exploité par la société Trapil[12] et le « pipeline de l'Île-de-France (PLIF) exploité par la société ELF-Antar France[13].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Porciaco villa en 680[14], Villa porcariorum en 690[14],[15], Porchevrevilla en 1249[16], Porcheuville sur les cartes de Cassini (levés de 1756 à 1789).
Les spécialistes tels qu'Albert Dauzat ou Ernest Nègre n'ont pas analysé ce toponyme[17],[18] montrant sans doute qu'ils en ignorent l'origine.
Il s'agit vraisemblablement d'un toponyme médiéval en -ville, au sens ancien de « domaine rural », plus tardivement « village » (appellatif toponymique issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural »).
Il est peut-être précédé d'un toponyme gallo-roman antérieur en -acum, combiné avec un nom de personne Porcius, si la première forme Porciaco de 680 est juste (cf. Tonneville (Seine-Maritime), anciennement Taunacum villa[19]). Cependant, l'évolution phonétique normale du type toponymique Porciacum (Porciaco) « propriété de Porcius » est Porci en ancien français, d'où les Pourcy et Poursay[20], ensuite, si la seconde forme Porchevreville de 1249 est exacte, elle est incompatible phonétiquement avec cette explication.
Histoire
- 1952 : construction de la Centrale thermique de Porcheville d'EDF, qui cesse son activité en 2017[21].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du [22], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Mantes-la-Jolie, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la huitième circonscription des Yvelines.
Elle fait partie depuis 1793 du canton de Limay[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 17 à 20.
Elle est également incluse dans le territoire de l'opération d'intérêt national Seine-Aval[24].
Sur le plan judiciaire, Porcheville fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[25],[26].
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté d'agglomération de Mantes-en-Yvelines (CAMY) créée fin 1999.
Dans le cadre de la Loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPAM) qui impose la création en Île-de-France d'intercommunalités d'au moins 200 000 habitants, cette intercommunalité fusionne avec d'autres pour former, le la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (GPS&O), dont la commune est désormais membre.
Liste des maires
Équipements et services publics
Justice, sécurité, secours et défense
2008 : construction d'un établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de 60 places.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2019, la commune comptait 3 174 habitants[Note 3], en augmentation de 4,03 % par rapport à 2013 (Yvelines : +2,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 666 hommes pour 1 527 femmes, soit un taux de 52,18 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,68 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
- Centrale thermique de Porcheville : elle comprenait jusqu'à sa fermeture en 2017[21] quatre tranches de 600 MW pour une puissance totale de 2 400 MW. La centrale EDF était flanquée d'un poste de transformation électrique RTE (400 kV, 225 kV, 90 kV, 63 kV)
- Zone industrielle de Limay-Porcheville.
Revenus de la population et fiscalité
Le revenu fiscal médian par ménage était en 2008 de 21 348 €, contre 24 414 € au niveau du département des Yvelines[40].
Population active et emploi
En 2007, la population active s'élevait à 1694 personnes, dont 1162 actifs (soit un taux d'activité de 68,8 %). Parmi les actifs, 1029 avaient un emploi, soit un taux d'emploi de 60,7 %). Le taux de chômage s'élevait à 7,9 %, tandis que les inactifs (élèves, étudiants, retraités...) représentaient 31,4 % de la population active[41].
La même année, la commune comptait 1216 emplois, soit un taux d'emploi (comparé aux actifs ayant un emploi) supérieur à 100 %. Parmi ces emplois, 1033 sont occupés par des actifs résidant dans la commune, soit un taux de concentration d'emploi de 117,7 %. On comptait parmi ces emplois 1152 salariés (94,7 %) et 65 non-salariés (5,3 %)[41].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Séverin-et-Saint-Fiacre : église en pierre construite au XIIIe siècle et restaurée au XIIIe. Clocher en tour carrée munie de contreforts.
- Église Saint-Séverin-et-Saint-Fiacre.
- Façade nord de la centrale.
- Monument aux morts.
- Blason floral.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Loutrel (1916-1946), gangster connu sous le nom de « Pierrot le fou », est mort le à Porcheville où ses complices l'avaient transporté blessé après son dernier braquage d'une bijouterie parisienne le . Enterré clandestinement dans une île de la Seine aujourd'hui disparue, son corps ne fut découvert par la police qu'en 1949[42].
Héraldique
Blason | ||
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Détails |
Voir aussi
Bibliographie
- Corinne GOMOND, Porcheville, hier & aujourd'hui, éditions Wauquier, , 106 p. (ISBN 978-2-915749-08-3)
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Porcheville (78501) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Porcheville », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Porcheville » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Porcheville » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Porcheville - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Porcheville - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Yvelines » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Maxime Vaudano, « HLM : les quotas de construction fonctionnent-ils ? : La politique des quotas de logements sociaux, dessinée en 2000 par la loi SRU, produit des résultats encourageants, même si de nombreuses communes restent loin du compte », Le Monde, 11/1/2018 mis à jour le 9/5/2018 (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Port de Limay-Porcheville », Ports de Paris (consulté le ).
- « La sécurité de l’alimentation électrique en Ile-de-France », Annales des Mines (consulté le ).
- « Les communes traversées », Trapil (consulté le ).
- « Le pétrole en Ile-de-France - De la ressource aux consommateurs », DRIRE Île-de-France (consulté le ).
- Mémoires de la Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, (1977), t. 67 à 70, p. 28.
- CASSAN (Armand) Statistique de l'arrondissement de Mantes, Seine-et-Oise, p. 538.
- COCHERIS (Hippolyte) Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6).
- NEGRE ( Ernest), Toponymie générale de la France, Librairie Droz, Genève.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
- DAUZAT (Albert) et ROSTAING (Charles), op. cit., p. 542ab.
- Mehdi Gherdane, « Porcheville : la centrale EDF, c’est fini ! », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les communes et les intercommunalités du territoire de l’OIN Seine Aval », Epamsa (consulté le ).
- « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
- « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
- « Les maires de Porcheville », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « L'ancien adjoint soupçonné de prise illégale d'intérêt », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « Ernest Minisini, maire de 1992 jusqu'à son décès en 2003 ».
- Réélu en 2001 : « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes, .
- Christian Thomas, « Le projet de prison fait peur aux habitants », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « le maire, Maurice Robert, élu à ce poste il y a quelques semaines en remplacement du maire précédent, décédé ».
- « Porcheville : le maire Paul Le Bihan cède sa place à son premier adjoint », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « Âgé de 73 ans, Paul Le Bihan a été élu premier magistrat de cette commune de 3 000 habitants en 2008 avant de repartir pour un second mandat en 2014 ».
- Réélu en 2014 : Y.F., « Les habitants sont libres de voter pour le candidat de leur choix », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « A Porcheville, l’équipe municipale est apolitique. » Elu depuis 32 ans, Paul Le Bihan rappelle qu’il a été élu dès le 1er tour lors des municipales de 2014, « avec plus de 60 % des suffrages ».
- M. G., « Didier Martinez est le nouveau maire de Porcheville : Paul Le Bihan a cédé son fauteuil lors d’un conseil municipal extraordinaire ce mardi soir », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « À 73 ans, Paul Le Bihan a décidé de prendre du recul dans la gestion au quotidien de cette commune de 3 000 habitants. Ce passage de témoin était prévu de longue date. Paul Le Bihan restera élu à Porcheville ».
- Mehdi Gherdane, « Porcheville : le maire démissionne à cause de « soucis de santé » : Didier Martinez, le premier magistrat de cette ville de 3 000 habitants, démissionne pour raisons de santé. Il sera remplacé la semaine prochaine », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ) « Ancien cadre de Renault originaire du Sud-ouest, Didier Martinez avait repris les rênes de la commune en novembre 2017, après que Paul Le Bihan lui a cédé son fauteuil au terme d’un accord prévu de longue date entre les deux hommes. Ironie de l’histoire, Paul Le Bihan s’était présenté contre son « poulain » lors des élections municipales de 2020. Il avait été battu ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Porcheville (78501) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
- « Porcheville (78501 - Commune) », Insee - Chiffres clés sur un territoire (consulté le ).
- « Porcheville (78501 - Commune) - Chiffres clés », Insee Statistiques locales (consulté le ).
- Corinne GOMOND, Porcheville, hier & aujourd'hui, éditions Wauquier, (ISBN 978-2-915749-08-3), p. 102-105.
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