Université de Limoges
L’université de Limoges est une université nationale française pluridisciplinaire comptant 17 883 étudiants et 2 000 enseignants, chercheurs et enseignants-chercheurs, délivrant notamment des licences, masters et doctorats dans tous les secteurs traditionnels du savoir et dans des filières innovantes. Elle s'est structurée le par le regroupement d'établissements d'enseignement supérieur à Limoges. La plus ancienne continuité historique est celle des facultés de pharmacie et de médecine remontant à .
Fondation |
---|
Type | |
---|---|
Forme juridique |
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d) |
Nom officiel |
Université de Limoges |
Régime linguistique | |
Président |
Isabelle Klock-Fontanille (d) (depuis ) |
Devise |
Université ouverte, source de réussite |
Membre de | |
Site web |
Étudiants |
17 883 (- |
---|---|
Enseignants-chercheurs |
1 120 |
Budget |
163 151 352 € () |
Pays | |
---|---|
Campus |
Vanteaux, La Borie, Centre-Ville, Turgot, Forum, Marcland, Ester Technopole, Guéret, Ahun, La Souterraine, Tulle, Brive, Neuvic, Égletons, Meymac |
Localisation |
Elle est un des principaux établissements d'enseignement supérieur dans la région Nouvelle-Aquitaine. C'est une composante de l'Université confédérale Léonard de Vinci et du réseau des universités de l’Ouest Atlantique qui regroupe les dix universités présentes en Bretagne, Limousin, Pays de la Loire, Poitou et Charentes. L'établissement a accédé aux « compétences élargies » des universités (applications de la LRU) en janvier 2009.
Historique
Genèse
De toutes les offres d'enseignement supérieur à Limoges, la formation en médecine est la plus ancienne. Une maîtrise des apothicaires est en effet mise en place dès 1626, dispensée dans une salle du couvent des Jacobins de la ville. Le Collège royal de médecine de Limoges est fondé en 1646[1].
Au XXe siècle, l'École de droit et de notariat, fondée en 1909 avec le soutien de la Ville[1], devient la Faculté libre de droit en 1927. La Faculté de droit et des sciences économiques du XXIe siècle occupe, sur le site de l'ancien Hôtel-Dieu, l'emplacement exact d'un carré de rues de l'antique ville romaine à côté de la présidence de l'université et de la Bibliothèque francophone multimédia de Limoges.
À partir des années 1950, l’enseignement supérieur de type universitaire (c'est-à-dire associé à la recherche, par opposition aux classes préparatoires ou aux écoles supérieures professionnelles) s'organise selon les structures facultaires traditionnelles d'abord sous le patronage de l'université de Poitiers : en 1955, Médecine et Pharmacie ; en 1958, Sciences exactes et naturelles ; en 1966, Droit et Sciences Économiques, en 1966 également, Lettres et sciences humaines (au sein du Collège littéraire universitaire de la rue Albert-Thomas[1]) ; ces établissements sont finalement intégrés en 1968 comme composantes de l'université de Limoges.
Ce nouvel essor est contemporain de la création en 1965 de l'Académie de Limoges (circonscription éducative) démembrée des académies de Poitiers et de Clermont-Ferrand.
Fondation officielle
Au moment de sa constitution en université le [2] par regroupement des principaux établissements d'enseignement supérieur à vocation de recherche, elle compte 7 000 étudiants et comprend les quatre facultés traditionnelles (droit et sciences économiques, sciences exactes et naturelles, médecine et pharmacie et lettres et sciences humaines) et un institut universitaire de technologie. Les statuts du nouvel ensemble sont adoptés en 1970 par l’Assemblée Constitutive présidée par Robert Savy, professeur à la Faculté de droit et Sciences économiques (ensuite président de l'ancien conseil régional du Limousin). La création d'une université autonome de celle de Poitiers a été notamment soutenue par Jacques Chirac, alors secrétaire d'État et député de Corrèze, et le maire de Limoges Louis Longequeue[1].
Les implantations de l'université de Limoges couvrent tout le territoire de l'académie. Seule université du Limousin et de l'Académie de Limoges, donc clairement identifiée à son espace naturel, elle n'en possède pas moins un net pouvoir d'attraction à l'extérieur (un centre d'accueil international, avec résidence et services, gérant le rayonnement de l'université, s'est installé en 2008 dans les bâtiments des anciens services de sélection et d'orientation de l'armée de terre, rue Saint-Martial).
Développement
L'École nationale supérieure de Céramique industrielle (ENSCI) créée en 1893 à Sèvres près de Paris s'installe à Limoges en 1979, puis intègre l'université de Limoges en 2001[3]. En 1986, l'Institut de préparation à l'administration générale est constitué[1]. L'École nationale supérieure d'ingénieurs de Limoges (ENSIL) est créée en 1991 par l'université de Limoges, soutenue par la région Limousin ; elle devient en 1993 un élément d'Ester Technopole de Limoges dont l'une des fonctions est de servir d'interface entre l'université et l'industrie. Les deux écoles fusionnent en janvier 2017 pour devenir l'ENSIL-ENSCI.
En 2005, l'IUFM (Institut universitaire de formation des maîtres du Limousin), ancienne école normale d'instituteurs devient à son tour une composante de l'Université de Limoges. L'Institut d'administration des entreprises est fondé en 2007[1].
Le 3iL (Institut d'ingénierie informatique de Limoges), l'école d'ingénieurs à spécialité informatique, réseaux et systèmes embarqués, de statut consulaire (gérée par la Chambre de commerce et d'industrie du Limousin), obtient pour la recherche son rattachement à l'université de Limoges en 2010.
En 2011, une « Fondation partenariale de l'université de Limoges » a été créée dans le but, entre autres objectifs, de susciter des chaires d’excellence et d'attirer des financements extraordinaires pour de grands projets innovants.
En novembre 2017, l'université invite la militante Houria Bouteldja à l'occasion d'un séminaire d'« études décoloniales », ce qui provoque une polémique, celle-ci étant régulièrement accusée de sexisme, de racisme et d'homophobie. Dans un premier temps, le président de l'université Alain Célérier assume cette sollicitation, avant de finalement annuler sa venue, évoquant un « risque de trouble à l'ordre public », la ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal appelant pour sa part les universités « à la vigilance »[4],[5]. Le sociologue Stéphane Dorin, en conflit ouvert avec sa hiérarchie, notamment pour avoir dénoncé l'influence des théories décoloniales dans son université, est écarté de son laboratoire fin novembre 2018 par Choukri Ben Ayed, le directeur adjoint du groupe de recherches sociologiques sur les sociétés contemporaines (GRESCO). Il dépose un recours auprès du tribunal administratif de Limoges[6].
Bien que ne faisant pas partie formellement de l'université, l'Académie de l'Union participe dans le domaine du théâtre à l'offre de formation en Lettres ; c'est l'une des onze écoles supérieures d'Art Dramatique habilitées par le Ministère de la Culture et de la Communication à délivrer le Diplôme national supérieur professionnel de comédien (DNSPC).
Présidents de l'université
- ?-1979 : Pierre Fauchais
- 1979-? : Raymond Julien
- 1995-2001 : Bernard Vareille
- 2001-2005 : Antonin Nouailles
- 2005-2012 : Jacques Fontanille
- 2012-2016 : Hélène Pauliat, professeure de droit public[7]
- 2016-2021 : Alain Célérier
- Depuis 2021 : Isabelle Klock-Fontanille
Composantes
Unités de formation et de recherche
L’université est structurée en cinq Unité de formation et de recherche (UFR) :
- Faculté de droit et des sciences économiques,
- Faculté de médecine,
- Faculté de pharmacie,
- Faculté des lettres et des sciences humaines
- Faculté des sciences et techniques.
Instituts et écoles
- Institut universitaire de technologie (IUT) du Limousin,
- Institut d'administration des entreprises (IAE),
- Institut de préparation à l'administration générale (IPAG),
- Institut du Limousin de formation aux métiers de la réadaptation (ILFOMER),
- École supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE),
- École d'ingénieurs ENSIL-ENSCI.
Par ailleurs, l'école d'ingénieurs en informatique 3iL est associée à l'université.
L'université comprend aussi le Centre de droit et d'économie du sport, à la fois centre de formation et laboratoire de recherche, notamment connu pour son diplôme de manager de club sportif professionnel.
Campus
L'université de Limoges est répartie sur plusieurs campus dans l'ensemble de l'académie de Limoges : Limoges, Brive-la-Gaillarde, Égletons, Tulle, Guéret, Meymac, Ahun et La Souterraine.
Enseignement et recherche
Elle offre des formations en :
Arts, Lettres, Langues (Licence, Licence professionnelle, Master)
Droit, Économie, Gestion (DUT, Licence, Doctorat d'Université, Diplôme Universitaire, Licence professionnelle, Master)
Sciences humaines et sociales (DUT, Licence, Préparation aux concours, Master)
Sciences, Technologie, Santé (DUT, DEUST, Licence, Docteur d'État en médecine, Licence professionnelle, Diplôme Universitaire, Master)
Relations internationales
L’université de Limoges entretient des collaborations avec plusieurs universités européennes et à travers le monde.
Elle possède 482 accords coopération actifs :
- Europe (dont Erasmus) : trente accord-cadres, 241 conventions, neuf DPI (diplômes en partenariat international)
- Afrique : vingt-neuf accords-cadres, vingt-et-une conventions, six DPI
- Asie : 27 accord-cadres, onze conventions, un DPI
- Amérique du Nord : treize accord-cadres, vingt-et-une conventions, cinq DPI
- Amérique latine : trente-quatre accords-cadres, vingt-six conventions, quatre DPI
- Océanie : deux accord-cadres, deux conventions
Elle a accueilli 2 276 étudiants internationaux durant l'année universitaire 2017-2018.
Recherche
L'université de Limoges a réuni ses laboratoires de recherche en cinq grands instituts[8] :
- XLIM, unité mixte de recherche (UMR), en association avec le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), résulte de la fusion de quatre laboratoires (LACO, LMSI, UMOP, IRCOM). Il fédère 350 enseignants-chercheurs, chercheurs du CNRS et doctorants, qui travaillent dans l'informatique, les mathématiques, l'optique, l'électromagnétisme ou l'électronique[9].
- IPAM (Institut des Procédés Appliqués aux Matériaux), regroupant deux laboratoires de l'université et de l'École nationale supérieure de céramique industrielle, travaillant autour des matériaux et du génie des procédés[10].
- GEIST (Génomique, Environnement, Immunité, Santé et Thérapeutiques)[11]
- SHS (Sciences de l'Homme et de la Société)[12]
- GIO (Gouvernance des Institutions et des Organisations)[13]
L'université soutient également les activités de l'ONG Europa, qui siège à Limoges et qui est engagée dans le champ des politiques publiques européennes.
Vie étudiante
Évolution démographique
Effectifs par composante
- Effectifs étudiants pour l'année 2007-2008[35], l'année 2010-2011[36], l'année 2013-2014[37], l'année 2016-2017[38] et l'année 2019-2020[39].
Lettres et sciences humaines 2690
2314
2272
2689
2910 |
Sciences et techniques 2668
2742
2862
3098
3463 |
Droit et sciences économiques 2587
2429
2502
2639
2966 |
IUT 2230
2264
2261
2364
2438 |
Médecine, pharmacie, para-médical[N 1] 2836
3103
3473
3537
4020 |
ENSIL-ENSCI[N 2] 457
454
516
774
844 |
IPAG 88
74
43
34
40 |
IAE 339
441
450
441
520 |
ESPE 288
552
682
665 |
Effectifs par origine géographique
Répartition des étudiants par origine géographique (2010-2011)[36] :
Origine | % |
---|---|
Haute-Vienne | 38.1 |
Corrèze | 14.7 |
Creuse | 6 |
Autres départements | 39.0 |
Autres pays | 2.2 |
Total | 100 |
Réussite
En 2009, le Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a comparé la totalité des quatre-vingt-trois universités françaises (métropole et outre-mer) en fonction du taux de réussite au niveau licence, et suivant trois méthodes différentes[40].
- Pour la première méthode, le classement est établi selon l'université d'inscription en première année, déterminante dans la poursuite du cursus. Avec 39,5 % de réussite, l'université de Limoges se place au 4e rang national.
- Le classement issu de la seconde approche met l'accent sur l'université de la troisième année d'études. Limoges se positionne en 26e place, ex æquo avec l'université Lyon 3.
- La troisième méthode est établie autour des étudiants ayant suivi leur cursus dans la même université. Le classement place Limoges en 9e place.
En 2010, l'université de Limoges occupe le 2e rang des universités françaises pour le taux de réussite en licence, et le 7e pour la réussite des étudiants ayant fait tout leur parcours à l'université de Limoges.[réf. nécessaire]
Personnalités liées
- Michèle Gendreau-Massaloux, hispaniste et haut fonctionnaire française.
Enseignants
- Philippe Depreux, professeur d'histoire médiévale à la faculté des lettres et des sciences humaines, spécialiste du Haut Moyen Âge.
- Jacques Fontanille, président de l'université de 2005 à 2012, chaire de sémiotique de l'Institut Universitaire de France, vice-président de la Conférence des Présidents d'Université.
- Janine Garrisson, professeur honoraire, spécialiste de l'histoire politique et religieuse du XVIe siècle.
- Olivier Guillot, professeur honoraire à la faculté de droit, spécialiste de l'histoire du droit et des institutions du haut Moyen Âge.
- Jean Morange, professeur à la faculté de droit et de sciences économiques, spécialiste des droits de l'homme et des libertés publiques.
- Alain Policar, professeur à la faculté de droit et de sciences économiques, spécialiste de l'histoire de la pensée sociologique.
- Bertrand Westphal, théoricien de la géocritique, directeur de l'équipe de recherche « Espaces humains et interactions culturelles ».
Étudiants
- Bernard Combes, maire de Tulle.
- Ha Ilji, écrivain sud-coréen.
- Jean-Michel Valade, écrivain.
- Marie-Ange Magne, députée de la troisième circonscription de la Haute-Vienne.
- Christophe Jerretie, député de la première circonscription de la Corrèze.
- Michel Baury, écrivain, poète et critique littéraire.
- Fabrice Garcia-Carpintero, éditeur, écrivain et réalisateur.
Notes et références
Notes
- Dont Institut limousin de formation aux métiers de la reéducation (statistiques 2017).
- ENSIL seule pour les statistiques avant 2017.
Références
- Université de Limoges, « Historique », sur 50ans.unilim.fr (consulté le ).
- Décret no 68-923 du 23 octobre 1968, Fac similé sur Légifrance
- « Décret n°2001-804 du 3 septembre 2001 » portant rattachement de l’École nationale supérieure de céramique industrielle de l'université de Limoges
- Marie-Estelle Pech, « Quand un antiracisme dévoyé s'immisce dans l'éducation », Le Figaro, samedi 25 / dimanche 26 novembre 2017, page 11.
- Alain Policar et Emmanuel Debono, « À l'université, attention à « la banalisation de l’antisémitisme », lemonde.fr, 30 novembre 2017.
- «Théories décoloniales» : un professeur de Limoges conteste son « exclusion » en justice, lefigaro.fr, .
- « Hélène PAULIAT: biographie et actualités sur EducPros », sur www.letudiant.fr (consulté le )
- « Laboratoires - Université de Limoges Recherche », sur Université de Limoges Recherche (consulté le ).
- Institut de recherche Xlim
- L'IPAM sur le site de l'Université de Limoges
- Le GEIST sur le site de l'université de Limoges
- SHS sur le site de l'université de Limoges
- « GIO - Université de Limoges Recherche », sur Université de Limoges Recherche (consulté le ).
- R. Lacotte, O. Balabanian, G. Bouet, « L'université de Limoges et le recrutement de ses étudiants », Norois, 1988, Volume 138, no 138, p. 232
- Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 18 septembre 2010
- Les chiffres clés de la Haute-Vienne, édition 2011, consulté le 18 octobre 2011
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2013, Imprimerie moderne de l’Est, p. 182, consulté sur www.education.gouv.fr le 14 janvier 2016
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2014, Imprimerie moderne de l’Est, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 14 janvier 2016
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2015, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-139145-1), consulté sur www.education.gouv.fr le 14 janvier 2016
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2016, Imprimerie moderne de l’Est, p. 165, consulté sur www.education.gouv.fr le 4 août 2017
- http://cache.media.education.gouv.fr/file/2017/41/3/depp_rers_2017_801413.pdf
- http://cache.media.education.gouv.fr/file/RERS_2018/83/2/depp-2018-RERS-web_986832.pdf
- https://cache.media.education.gouv.fr/file/2019/51/6/depp-rers-2019_1162516.pdf
- https://www.education.gouv.fr/reperes-et-references-statistiques-2020-1316 (p.163)
- « Tableau de bord de l'université de Limoges (TABUL), 2007-2008 », sur carrefourdesetudiants.unilim.fr (consulté le )
- « Tableau de bord de l'université de Limoges (TABUL), 2010-2011 », sur carrefourdesetudiants.unilim.fr (consulté le )
- « Tableau de bord de l'université de Limoges (TABUL), 2013-2014 », sur unilim.fr (consulté le )
- « Chiffres 2017 », sur unilim.fr (consulté le ).
- Université de Limoges, « Les étudiantes et étudiants 2019-2020 », sur unilim.fr, (consulté le ).
- Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche - Note d'information 09.23, Parcours et réussite en licence des inscrits en L1 en 2004, consulté le 25 décembre 2010
Annexes
Articles connexes
Bibliographie
- C. Cels-Pinelli, Histoire de l'École de médecine et de pharmacie de Limoges ; 1646-1991, Limoges : PULIM, 1992.
Liens externes
- Ressource relative à la recherche :
- Site officiel
- Portail des universités françaises
- Portail de la Nouvelle-Aquitaine