Lamothe-Cassel

Lamothe-Cassel est une commune française, située dans le centre du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.

Pour les articles homonymes, voir Lamothe et Cassel.

Lamothe-Cassel
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Quercy-Bouriane
Maire
Mandat
Patrick Delpech
2020-2026
Code postal 46240
Code commune 46151
Démographie
Population
municipale
117 hab. (2019 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 36′ 43″ nord, 1° 30′ 23″ est
Altitude Min. 269 m
Max. 444 m
Superficie 11,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cahors
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Causse et Bouriane
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Lamothe-Cassel
Géolocalisation sur la carte : France
Lamothe-Cassel
Géolocalisation sur la carte : Lot
Lamothe-Cassel
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Lamothe-Cassel

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par divers petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « vallées de la Rauze et du Vers et vallons tributaires ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Lamothe-Cassel est une commune rurale qui compte 117 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 812 habitants en 1806. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Cahors. Ses habitants sont appelés les Motacasselois ou Motacasseloises.

    Géographie

    Commune située dans le Quercy en Bouriane sur l'ancienne route nationale 677.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Lamothe-Cassel[1]
    Frayssinet
    Montamel Cœur de Causse
    Ussel Les Pechs du Vers

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 963 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gery », sur la commune de Saint Géry-Vers, mise en service en 1974[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 862,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 17 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    La commune est dans le périmètre du « géoparc des causses du Quercy », classé Géoparc en mai 2017 et appartenant dès lors au réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[16],[17].

    La commune fait également partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[18],[19].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « vallées de la Rauze et du Vers et vallons tributaires »[21], d'une superficie de 4 807 ha, présentant, en zone alluviale, un intérêt majeur pour des prairies de fauche souvent riches en orchidées (Dactylorhiza sesquipedalis, Orchis laxiflora, ponctuellement Coeloglossum viride) et constituant le biotope de Lycaena dispar[22].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[23] :

    • les « combes de Lagasse, de Geniés et des Carmes » (163 ha), couvrant 2 communes du département[24] ;
    • les « ruisseaux du Bondou, de la Jonquière et bois des Dames » (493 ha), couvrant 3 communes du département[25],
    • la « vallée du Vers » (3 782 ha), couvrant 11 communes du département[26] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[23] : la « vallée du Vert » (4 238 ha), couvrant 17 communes du département[27].

    Urbanisme

    Typologie

    Lamothe-Cassel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[28],[I 1],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (51,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,5 %), forêts (46 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Lamothe-Cassel est basé sur le diminutif moteta qui a été francisé en mothe avec les lettres th. Mota, mot occitan d'origine pré-latine désigne une levée de terre puis un château érigé sur cette levée : la motte castrale[31].

    Histoire

    Sur le territoire paroissial se dressait une motte castrale, la Mothe-Cassel, érigée aux abords d'un chemin de pèlerinage[32].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[33]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1795 1796 Guillaume Tregou    
    1796 1799 Antoine Sudres    
    1799 1802 Jean-pierre Montal    
    1802 1818 Jean-baptiste Montal    
    1818 1825 Jean Astorg (d')    
    1825 1835 Jean-baptiste Montal    
    1835 1836 Antoine Calmeille    
    1836 1847 Jean-pierre Montal    
    1848 1857 Jean-pierre Hyacinthe Astorg (d')    
    1857 1900 Jean Meulet    
    1900   M. Belibio    
    avant 1981  ? Robert Grenier    
    1995 2011 Sylvette Montal    
    2011 2014 Georges Martinot    
    2014 En cours Léopold Martinot    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

    En 2019, la commune comptait 117 habitants[Note 9], en diminution de 3,31 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    326380812581552585671653676
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    645580559550524526530512514
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    509430311227233200180182132
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    116126109121107107101107100
    2014 2019 - - - - - - -
    131117-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]4,3 %15,8 %3 %
    Département[I 5]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 70 personnes, parmi lesquelles on compte 79,1 % d'actifs (76,1 % ayant un emploi et 3 % de chômeurs) et 20,9 % d'inactifs[Note 10],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Cahors, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 7]. Elle compte 16 emplois en 2018, contre 12 en 2013 et 18 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 55, soit un indicateur de concentration d'emploi de 28,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,5 %[I 8].

    Sur ces 55 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 14 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 86,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,8 % les transports en commun et 9,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    12 établissements[Note 11] sont implantés à Lamothe-Cassel au [I 11]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 12 entreprises implantées à Lamothe-Cassel), contre 13,9 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations107115
    SAU[Note 12] (ha)459508406424

    La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 3]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (dix en 1988). La superficie agricole utilisée est de 424 ha[40],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Georges Kuntz, connu pour avoir organisé les révoltes étudiantes en 1968 en Hollande, notamment dans la ville de la Haye[réf. nécessaire].

    Voir aussi

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lamothe-Cassel » (consulté le ).
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lamothe-Cassel » (consulté le ).
    9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lamothe-Cassel » (consulté le ).
    12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Gery - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Lamothe-Cassel et Saint Géry-Vers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Gery - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Lamothe-Cassel et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    17. « géoparc des causses du Quercy », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    19. « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    21. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lamothe-Cassel », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « site Natura 2000 FR7300910 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lamothe-Cassel », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « combes de Lagasse, de Geniés et des Carmes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « ruisseaux du Bondou, de la Jonquière et bois des Dames » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF la « vallée du Vers » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF la « vallée du Vert » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 61.
    32. Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 54.
    33. « Les maires de Lamothe-Cassel », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    38. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    39. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    40. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Lamothe-Cassel - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    41. « Église paroissiale Saint-Georges », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    42. « Eglise de Puycalvel », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[39].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

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