Rodern

Rodern est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Ne doit pas être confondu avec Roderen.

Rodern

Le village vu depuis les vignes et, au fond,
Saint-Hippolyte.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Colmar-Ribeauvillé
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Ribeauvillé
Maire
Mandat
Robert Sprolewitz
2020-2026
Code postal 68590
Code commune 68280
Démographie
Gentilé Rodernois
Population
municipale
374 hab. (2019 )
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 13′ 32″ nord, 7° 21′ 16″ est
Altitude Min. 228 m
Max. 760 m
Superficie 7,05 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Colmar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sainte-Marie-aux-Mines
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Rodern
Géolocalisation sur la carte : France
Rodern
Géolocalisation sur la carte : Haut-Rhin
Rodern
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Rodern

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    C'est une des 188 communes[1] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.

    La commune a été récompensée de deux fleurs au concours des villes et villages fleuris.

    Dans le jargon des cisteurs alsaciens, Rodern a reçu le surnom de Cistheim.

    Géographie

    Rodern est un petit village viticole d'une superficie de 705 hectares située légèrement en retrait de la route des vins d'Alsace, au pied du Haut-Koenigsbourg, à flanc des collines ensoleillées près du ruisseau de l'Eckenbach qui séparait autrefois la haute et la basse-Alsace. Le village est situé dans le creux des collines vosgiennes dont les plus hautes parties se trouvent à 756 mètres d'altitude.

    La rue principale de l'agglomération d'est en ouest est longée par des maisons vigneronnes et à colombages formant un conglomérat très dense. L'église et la mairie-école, le presbytère[2] se trouvent au centre du village à partir de l'unique croisement de la rue transversale.

    Rodern se trouve à km de Saint-Hippolyte, autant de Rorschwihr et à 1,5 km de Bergheim. Rodern est réputé pour son grand cru gloeckelberg et de son pinot noir. Le point culminant est le Spitzenberg (760 m) situé à l'extrémité nord-ouest du ban communal.

    Écarts et lieux-dits

    La Cave de Rodern est un hameau situé au pied du Schaentzelkopf, au milieu des bois, sur la D 42. Le château du Haut-Koenigsbourg est bien visible depuis ce site.

    Cours d'eau

    • L'Eckenbach est un petit ruisseau du bassin rhénan, traversant la commune, et qui coule entre Rodern et Saint-Hippolyte (Haut-Rhin), qu’on a nommé pendant de nombreux siècles le Landgraben (fossé des régions)[3],[4].

    Urbanisme

    Typologie

    Rodern est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (85,7 %), cultures permanentes (9 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Histoire

    Préhistoire et antiquité

    Le site de Rodern fut d'abord occupé pendant l'ère néolithique, donc avant l'avènement du christianisme. Il a même fait partie d'un territoire séparant les peuples celtes des Séquanes et des Triboques ; c'est le ruisseau de l'Eckenbach, aussi connu sous le nom de Landgraben, qui faisait alors office de frontières entre les deux peuples.

    Le Moyen Âge

    Un peu plus tard, vraisemblablement vers l'année 740, Rodern faisait partie du patrimoine de l'évêché de Bâle. Le territoire s'étendait vers le nord de l'Eckenbach qui rejoint le village de Rodern et de Saint-Hippolyte. À cette époque, l'évêché de Bâle qui englobait les régions du sud de la région badoise, le nord de la Suisse, la Franche-Comté et la Haute-Alsace contrôlait cette partie de territoire. Pour connaître l'entendue de son patrimoine, l'évêque de Bâle avait fait procéder à un recensement de toutes les paroisses de sa zone viticole. C'est donc dans l'un de ces documents qu'apparut pour la première fois le terme Rodern. Ce nom figure également dans un autre document de l'année 813.

    Le toponyme est probablement issu du mot allemand roden qui veut dire « défricher » ou « essarter ». L'année 1200 marqua en effet une intense campagne de défrichement de la région.

    Un acte établi en 1298 partage le village de Rodern entre les seigneurs de Ribeaupierre. Celui-ci était alors entièrement détenu par Henri IV de la famille des Ribeaupierre. Pendant très longtemps, Rodern et le village voisin Rorschwihr faisaient partie de la seigneurie de Bergheim. Dès l'année 1313, la seigneurie fut transférée à la maison d'Autriche qui contrôlait alors la région jusqu'à la guerre de Trente Ans. On trouve d'ailleurs encore sur quelques linteaux de portes des maisons de Rodern quelques armoiries du village de Bergheim et des emblèmes ayant trait aux métiers des viticulteurs et des tonneliers : serpette, cuve, équerres et compas[12].

    Les invasions

    Au cours de son histoire la commune de Rodern a connu de nombreuses invasions : guerre des Armagnacs et surtout guerre de Trente Ans qui a été particulièrement meurtrière pour la commune. Ce fut le lot de nombreux villages alsaciens dont certains ont même été rayés de la carte. En 1650, la commune de Rodern ne comptait plus qu'une trentaine d'habitants et quelques maisons.

    Le repeuplement

    Le village se repeupla assez rapidement grâce à l'arrivée massive d'habitants venant de Picardie, du pays de Bade, du Tyrol et de la Suisse. Les Ribeaupierre et la France ont tout fait pour repeupler la région qui manquait cruellement de main-d'œuvre. Tous les arrivants furent gratifiés d'avantages matériels considérables : distribution de bois gratuit pour rebâtir les maisons, exonération d'impôts pendant cinq ans. Le prince évêque de Bâle, qui avait gardé une certaine mainmise sur l'Alsace, déployait également de son côté d'importants efforts en faveur du repeuplement des régions meurtries par les guerres de Trente Ans. À partir de 1750, d'autres vagues d'émigrants venus des Vosges vinrent se fixer à Rodern. On vit alors apparaître des noms d'origine française : Benoît, Chanteraine, Gedon. Plus tard certains de ces noms furent à nouveau germanisés.

    Mine

    La commune fait partie de la concession des houillères de Saint-Hippolyte qui exploite une partie du bassin houiller de la vallée de Villé entre le XVIIIe siècle et le XIXe siècle. La compagnie exploitante fusionne avec celle de Saint-Hippolyte en 1775. La production reste faible et artisanale, elle n’excède pas 1 000 tonnes par an.

    Héraldique

    Les armes ( ou armoiries ) de Rodern se blasonnent ainsi :
    « D'or à la roue de voiture de sable à six rais, deux rais formant un diamètre vertical. »[13]


    Politique et administration

    Sous l'ancien régime, l'administration communale était composée du prévôt, du maire et de 4 échevins qui désignaient chaque année le receveur municipal (chargé de collecter les redevances dues à la commune) et le receveur de la fabrique de l'église (chargé de collecter les redevances dues à l'église). Ils attribuaient également les autres fonctions communales, le plus souvent à vie : la sage femme, l'aubergiste, le sergent communal (officier chargé du maintien de l'ordre, mais aussi de porter les messages), le berger communal, les tonneliers et enfin le sacristain qui exerçait aussi comme maître d'école.

    Budget et fiscalité 2015

    La mairie.

    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[14] :

    • total des produits de fonctionnement : 344 000 , soit 994  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 346 000 , soit 999  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 217 000 , soit 627  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 405 000 , soit 1 170  par habitant ;
    • endettement : 169 000 , soit 487  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 14,59 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,11 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 41,98 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,60 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 21,25 %.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2011 En cours
    (au 26 mai 2020)
    Robert Sprolewitz [15]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
       
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].

    En 2019, la commune comptait 374 habitants[Note 3], en augmentation de 11,64 % par rapport à 2013 (Haut-Rhin : +1,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    579586638688719687653652654
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    579536532538501519484438429
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    422387360315328344315307295
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    277279264264266313325328335
    2018 2019 - - - - - - -
    371374-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    La mairie (autrefois auberge communale)

    Depuis le début du XVIe siècle, l'endroit est le siège de l'administration communale. Le bâtiment actuel date de 1830, date à laquelle une école de garçons remplace l'auberge communale[20], c'est-à-dire un lieu de convivialité siège de la confrérie des vignerons. Au sein de l'auberge s'appliquait un règlement précisant les règles de bonne conduite (interdiction de se soulager devant la porte, de vomir à table ou de lâcher un pet) et les contrevenants étaient passibles dune amende[21] !

    Église Saint-Georges

    Église Saint-Georges de Rodern.

    Vers 1310, une première église gothique fut construite sur une élévation naturelle de terre au centre du village, avec autour le cimetière, l'ensemble ceints d'une palissade qui servait de refuge en cas de danger. Il ne reste plus de ce premier édifice que le rez-de-chaussée de la tour qui sert aujourd'hui encore de base au clocher de l'église actuelle[21].

    L'idée de reconstruire l'église date du . La population fut conviée à participer après la messe dominicale à un rassemblement dans la mairie pour fixer les modalités de reconstruction d'une nouvelle église. Il fut décidé au cours de cette assemblée de financer les travaux par des coupes de bois exceptionnelles. Dans le protocole d'accord qui suivit la décision se trouve la signature de 44 noms, dont dix personnes qui apposèrent un signe ou une croix en guise de signature car elles ne savaient ni lire ni écrire.

    L'église Saint-Georges date de 1755. À l'époque, la commune participa financièrement à la construction de la nef alors que les descendants des Ribeaupierre s'occupèrent de financer le chœur et la sacristie. L'église comprend un clocher rectangulaire révélant pour la partie inférieure un style gothique. L'église actuelle a sans doute été construite sur un ancien emplacement qui comprenait déjà un édifice religieux puisque dans la nouvelle construction on retrouve les anciens murs dont l'épaisseur est de un mètre[22].

    L'orgue de tribune de Valentin Rinckenbach est de 1862[23],[24],[25],[26].

    Plaque à la mémoire de Hans Dietsch, prévôt de Rodern.

    Pierre tombale de Hans Dietsch prévôt de Rodern

    Une pierre tombale de Hans Dietsch se trouvant à l'arrière de l'église a été découverte lors des travaux de l'église. Elle est située au pied du clocher. Hans Dietsch a été prévôt de Rodern de 1554 à 1602 et représentait les intérêts de l'Autriche qui gouvernait alors la province. Une plaque portant son sceau et sa marque personnelle figurent sur le cartouche qui est scellé sur le mur de l'église[27].

    Monument aux morts 1914-1918/1939-1945 et grotte de Notre-Dame de Lourdes à Rodern.

    Monument aux morts et grotte de Notre-Dame de Lourdes

    Ce monument aux morts est un témoignage aux anciens de Rodern qui sont morts au cours des guerres 1914-1918 et 1939-1945. Ce monument se trouve à côté d'une grotte dédiée à Notre-Dame de Lourdes[28] et en face de l'église Saint-Georges. Sur le monument aux morts figure les noms de toutes les personnes du villages qui sont mortes pendant les deux guerres mondiales[29],[30].

    Porte de cellier (le Schloessel)

    Cette porte de cellier située 7, rue des Seigneurs est en grès rose et bois. Elle porte une inscription directement gravée dans le grès qui pourrait être la marque personnelle du propriétaire du lieu encadrée par les initiales L.W. pour Laurentz Walter. Ces lettres se trouvent au centre de la date de 1617. Laurentz Walter a ensuite transmis l'actuel bâtiment à ses descendants qui l'on ensuite cédés, en 1726, aux Jésuites de Strasbourg à la recherche d'un bâtiment pour leur vignes. En 1740, la maison passe dans les mains de Me Kieffer[21], alors doyen des avocats du Conseil souverain d'Alsace, qui en fait une maison bourgeoise (en alsacien un Schloessel, c.à.d. un petit château) puis la transmet à son gendre, François de Boug[31], alors 1er président du Conseil. La maison reste dans cette famille jusqu'au début du XIXe siècle. C'est aujourd'hui une maison d'hôtes.

    La porte en bois est ornée, conformément à la tradition fort répandue dans le vignoble alsacien, d'assemblages de planchettes divers : chevrons et losanges, symboles de la fécondité, dans la partie inférieure et soleil radiant dans la partie haute[32].

    Toitures à la Mansard

    Les maisons situées aux numéros 2 et 10 de la rue du Seigneurs présentent des toitures à la Mansard, style typiquement français, favorisé dès le XVIIIe siècle par la nouvelle administration de la province, de préférence au style allemand[21].

    Personnalités liées à la commune

    La famille de Boug, très influente au niveau local, était propriétaire de plusieurs maisons bourgeoises dans la rue du seigneur. Le village fut la résidence de François Henri de Boug[31] (président du Conseil Souverain d'Alsace), puis de son fils Mgr Georges de Boug, Vicaire général du diocèse de Bâle puis de Strasbourg au début du XIXe siècle[21].

    Lors de la révolution française, le curé et maire du village, l'abbé François- Xavier Delévieleuse (1741 - 1817)[33] fut à l'origine de plusieurs réformes qui améliora la vie des villageois : il organisa le microcrédit, obtint la construction d'une route reliant le village à la route royale (actuelle N83) et lutta pour une répartition plus juste de l'impôt. Quand la Révolution française prit un tour anticlérical, ayant refusé de prêter serment, et de signer la Convention du Clergé, il dut s'exiler en Suisse jusqu'en 1796[21].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
    2. « Presbytère », notice no IA68005905, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    3. Les origines du village
    4. « Ruisseau l'Eckenbach » (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Colmar », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. « Les bâtiments recensés de la commune de Rodern », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    13. Archives Départementales du Haut-Rhin
    14. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur l'Internet Archive).
    15. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    20. « Mairie, école », notice no IA68005904, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    21. Rodern- Berceau du pinot noir - Office du tourisme du pays de Ribeauvillé et de Riquewihr
    22. « L'église Saint-Georges », notice no IA68005903, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    23. Notice no PM68000932, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue de tribune de l'église paroissiale Saint-Georges
    24. Notice no PM68000325, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue
    25. Notice no IM68009109, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue de l'église paroissiale Saint-Georges
    26. Inventaire de l'orgue
    27. Notice no IM68009114, base Palissy, ministère français de la Culture Dalle funéraire de Hans Dietsch
    28. Voir : Liste de répliques de la grotte de Lourdes
    29. Monument aux Morts, Stèle commémorative
    30. Monument aux morts
    31. (en-US) « BOUG (de) François Henri Archives • Alsatia Numerica », sur Alsatia Numerica (consulté le ).
    32. « La maison Schloessel », notice no IA68005917, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Le micro-crédit à Rodern en 1784 » (consulté le ).
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