Roquecor
Roquecor est une commune française située dans le nord-ouest du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Quercy Blanc, correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.
Roquecor | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Castelsarrasin | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Serres en Quercy | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Villeneuve 2020-2026 |
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Code postal | 82150 | ||||
Code commune | 82151 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Roquecortois | ||||
Population municipale |
401 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 20 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 19′ 22″ nord, 0° 56′ 39″ est | ||||
Altitude | 192 m Min. 106 m Max. 265 m |
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Superficie | 20,55 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Serres Sud-Quercy | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Liens | |||||
Site web | http://www.roquecor.fr/ | ||||
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Petite Séoune et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Roquecor est une commune rurale qui compte 401 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 372 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Roquecortois ou Roquecortoises.
Géographie
Localisation
Commune située dans le Quercy et plus précisément en Quercy Blanc. Elle est limitrophe du département de Lot-et-Garonne.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par la Petite Séoune, un bras de la Petite Séoune, un bras de la Petite Séoune le ruisseau de la Combe de la Molle et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[3],[Carte 1].
La Petite Séoune, d'une longueur totale de 28,4 km, prend sa source dans la commune de Montaigu-de-Quercy et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Séoune à Puymirol, après avoir traversé 12 communes[4].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montaigu », sur la commune de Montaigu-de-Quercy, mise en service en 1992[11] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 840,5 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 47 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[15] à 14 °C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[17] : les « Penchants d'Auriac » (481 ha), couvrant 3 communes du département[18].
Urbanisme
Typologie
Roquecor est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[19],[I 1],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,6 %), zones agricoles hétérogènes (36,3 %), forêts (17,9 %), prairies (4,9 %), zones urbanisées (1,2 %), eaux continentales[Note 7] (1,2 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Dès 1244 Ruppe Cornu est cité, cette seigneurie sera vassale de l'évêque d'Agen. Son nom évoluera vers "Roquecor" ; « Roque » provenant de l'occitan butte rocheuse ou hauteur et « cornu » du latin signifiant corne.
Histoire
Les premières traces de peuplement remontent à l'Age du Bronze, notamment au niveau du site troglodytique « Lou Roc des Nobis », situé en contrebas du village.
C'est au Bas Moyen Âge que le village se constitue, autour des châteaux de Roquecor et de Couyssels, tous deux construits au XIIIe siècle. Ils changeront plusieurs fois de mains, et seront maintes fois reconstruits et remaniés au cours de l'histoire, et notamment de la guerre de Cent Ans.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23]. En 2019, la commune comptait 401 habitants[Note 8], en diminution de 5,65 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +4,13 %, France hors Mayotte : +2,17 %). |
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 185 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 387 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 400 €[I 4] (20 140 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 6] | 10,2 % | 10,1 % | 14,2 % |
Département[I 7] | 8,4 % | 10,2 % | 10,3 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 224 personnes, parmi lesquelles on compte 75,1 % d'actifs (60,9 % ayant un emploi et 14,2 % de chômeurs) et 24,9 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 71 emplois en 2018, contre 79 en 2013 et 78 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 142, soit un indicateur de concentration d'emploi de 50 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,3 %[I 10].
Sur ces 142 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 44 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,8 % les transports en commun, 5,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
51 établissements[Note 11] sont implantés à Roquecor au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 51 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 4 | 7,8 % | (9,6 %) |
Construction | 11 | 21,6 % | (14,9 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 14 | 27,5 % | (29,7 %) |
Information et communication | 3 | 5,9 % | (1,9 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 2 % | (3,4 %) |
Activités immobilières | 1 | 2 % | (3,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 10 | 19,6 % | (14,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 3 | 5,9 % | (13,6 %) |
Autres activités de services | 4 | 7,8 % | (9,3 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,5 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 51 entreprises implantées à Roquecor), contre 29,7 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[26] :
- Auchevalquirit, hébergement touristique et autre hébergement de courte durée (36 k€)
- Le Grenier Aux Artistes SARL, autres commerces de détail spécialisés divers (3 k€)
- Anthurium Hotels, activités des sociétés holding (0 k€)
Agriculture
La commune est dans le pays de Serres, une petite région agricole située dans le nord-ouest du département de Tarn-et-Garonne[27]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 39 | 24 | 19 | 16 |
SAU[Note 14] (ha) | 1 094 | 1 054 | 1 036 | 973 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 24 en 2000 puis à 19 en 2010[29] et enfin à 16 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[30],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 094 ha en 1988 à 973 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 28 à 61 ha[29].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Couyssels[31].
- Chapelle de Saint-Julien-de-Couyssels. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1972[32].
- Chapelle du Claux. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1971[33].
- Église Saint-Hilaire de Ferrussac. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[34].
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Roquecor. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[35] . Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[35].
- Église de Saint-Martin de Roquecor. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[36]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[36].
- Chapelle Orthodoxe de Roquecor. Paroisse orthodoxe en formation[37].
- Château de Canussel.
- La Tour de l'ancien Château.
- "Lou Roc des Nobis" jardins et grottes.
Le village. Château de Couyssels. Chapelle de Saint-Julien-de-Couyssels. Chapelle du Claux.
Héraldique
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Coupé au premier, parti en I d'or au lion à la queue léopardée de gueules et au II de sable à l'ours d'or passant, au second d’azur à l'arche d'alliance d'argent accostée, en chef de deux étoiles d'or[38]
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Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[28].
- Cartes
- « Carte hydrographique de Roquecor » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Roquecor » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Roquecor » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Roquecor » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Roquecor » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Roquecor », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « la Petite Séoune »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Entreprises à Roquecor », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Roquecor - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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- Château de Couyssels
- « Ruines de la chapelle de Saint-Julien-de-Couyssels », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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- « 82-TARN_ET_GARONNE » [archive du ], sur www.labanquedublason2.com (consulté le ).
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