Rouez

Rouez (prononcé [ʁwe] ; nommé également non officiellement Rouez-en-Champagne[1]) est une commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 791 habitants[Note 1] (les Rouéziens).

Rouez-en-Champagne redirige ici.

Rouez

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement Mamers
Intercommunalité Communauté de communes de la Champagne Conlinoise et du Pays de Sillé
Maire
Mandat
Ludovic Robidas
2020-2026
Code postal 72140
Code commune 72256
Démographie
Gentilé Rouéziens
Population
municipale
791 hab. (2019 )
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 08′ 23″ nord, 0° 06′ 51″ ouest
Altitude Min. 92 m
Max. 171 m
Superficie 33,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Sillé-le-Guillaume
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sillé-le-Guillaume
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Rouez
Géolocalisation sur la carte : France
Rouez
Géolocalisation sur la carte : Sarthe
Rouez
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Rouez

    La commune fait partie de la province historique du Maine[2], dans la Champagne mancelle.

    Géographie

    Rouez-en-Champagne est située sur la Vègre.

    Lieux-dits et écarts

    la Raterie, la Lande, la Goupillère, Courville, le Bray, les Rosiers, le Coq Hardy, Coulettre, Le Bois Aubert [3]...

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Rouez est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[4],[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sillé-le-Guillaume, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (65 %), terres arables (31,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %), zones urbanisées (1,1 %), forêts (0,1 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    Seigneurie annexée à la terre de Goupillère, il existait en outre douze fiefs.

    La commune participa à la chouannerie.

    XIIIe et XIVe siècles

    En 1392 y est présent Gilles de Quatrebarbes, seigneur de Coulettre[11].

    XVe et XVIe siècles

    Guillaume d’Avaugour, seigneur de Coulettre à Rouez-en-Champagne, est capitaine de 100, puis de 200 hommes d’armes en 1418[12].

    Guyonne de Villeprouvée entre 1524 et 1526, veuve de Guy d’Avaugour, seigneur de Coulettre[pas clair]. Claude d'Avaugour, entre 1556 et 1564 veuve de Jacques Clerambault, vicomte de Montreveau à qui elle avait transmis la seigneurie de Coulettre[13].

    XXIe siècle

    Un Rouézien, Serge Le Grou (mort fin 2007), propriétaire de plusieurs immeubles à Paris, de terres et de fermes en Sarthe, a fait de Rouez-en-Champagne, où il élevait des chevaux, son légataire universel en lui léguant l’équivalent de 38 millions d’euros, principalement sous forme de biens immobiliers[14]. En contrepartie, la municipalité dû prendre des engagements. Les exigences de Serge Le Glou comporteraient, entre autres choses, la construction d’une cinquantaine de petits pavillons que la commune réservera à des personnes âgées n’ayant pas les moyens de se payer une place en maison de retraite[14]. Par décret en date du , la fondation Serge et Andrée Le Grou est reconnue comme établissement d'utilité publique[réf. nécessaire].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
             
    1805 1830 Julien Latouche    
    1831 1860 Désiré Jacques René Fournier    
    1864 1882[Passage contradictoire] Hortense Cosson    
    1876[Passage contradictoire] 1883 Louis Julien Guilleu    
    1889 1897 Ernest Fournier    
    1909 1918 Hortense Nouard    
    1939 1977 Clément Veau    
        Mlle Gouin    
    avant 1995 1995 Bernard Houlbert    
    juin 1995 mai 2020 Paul Melot[15] SE Animateur sécurité
    mai 2020[16] En cours Ludovic Robidas SE Cadre à la SNCF
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[18].

    En 2019, la commune comptait 791 habitants[Note 4], en augmentation de 1,28 % par rapport à 2013 (Sarthe : −0,46 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4911 8751 8832 0422 3392 3462 3712 3482 362
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2412 0772 0311 9391 9221 7831 7411 6831 587
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5441 4511 3301 1601 1371 0711 046982988
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    965923819767689715787778775
    2019 - - - - - - - -
    791--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La fromagerie et la famille Faussurier

    En 1931, Roger Faussurier achète la fromagerie[21].

    Le 11 mai 1956, Jacques Faussurier, fils de Roger Faussurier et de Liliane Soyer, meurt dans un accident de la route à côté de Domfront-en-Champagne.

    Le 7 juillet 1960, Roger Faussurier meurt..

    Le 6 novembre 1965, Michel Letard et son épouse Simone Faussurier, fille de défunt Roger Faussurier et de Liliane Soyer, meurent dans un accident de la route.

    Le 25 novembre 1965, Liliane Soyer, veuve Roger Faussurier et les héritiers, décident de vendre la fromagerie à la société Besnier située à Laval (Mayenne).

    Les mines d'or et d'argent

    En 1975, des géologues découvraient à quelques kilomètres du Mans dans la Sarthe le plus gros amas sulfuré polymétallique d'Europe.

    Parmi les métaux contenus dans le minerai, outre le fer, le cuivre, le plomb et le zinc se trouvent également l'argent et l'or. Ces métaux précieux se sont concentrés dans la partie supérieure du gisement appelée « chapeau de fer ».

    L'ouvrage de Pierre-Christian Guiollard raconte l'histoire de la découverte de ce gisement, ses origines géologiques et l'exploitation dès 1989 de son « chapeau de fer ».

    Plus de deux tonnes d'or et sept tonnes d'argent seront extraites en quatre ans du sous-sol de Rouez-en-Champagne.

    L'abbaye de Champagne

    Vestiges de l'abbaye cistercienne de Champagne fondée en 1188 par Foulques Riboul, démolie partiellement à l'exception des cuisines et de l'aile occidentale remaniée en 1740 et qui comprend un cellier (seul vestige de l'abbaye primitive du XIIe siècle) avec une voûte et des piliers médiévaux et des peintures murales représentant un paysage ainsi qu'un escalier principal en chêne construit en 1740 avec sa rampe massive et ses 33 marches taillées dans la masse du bois.

    Église Saint-Martin

    L'église Saint-Martin.

    Église des XIe et XVe siècles, avec remaniements au XIXe siècle.

    Histoire de l'église
    Façade de l'église Saint-Martin.
    • Les bras du transept furent élevés à la charnière des XVe et XVIe siècles.
    • Retable de la Nativité de 1641, dont le tableau central représente l'Adoration des trois rois mages et est entouré des statues du pape Urbain avec sa croix papale à trois branches et de saint Martin, avec sur la corniche deux anges de style baroque entourant Joseph avec l'Enfant Jésus. Au pied du Christ crucifié, statue de la Vierge en terre cuite du XVIIe siècle.
    • Vers 1642, l’église s’est enrichie d’un décor remarquable comptant les deux retables, du chœur et de la chapelle méridionale, donnés par Urbin de Gennetay, curé de la paroisse. Présentant un style maniériste, ils sont caractéristiques des réalisations de l’architecte lavallois Pierre Corbineau. Contemporaines des retables, les statues en terre cuite qui les décorent ainsi que celle de sainte Pétronille de la nef sont attribuées à un des fils du sculpteur manceau Gervais I Delabarre.
    • Saint Sébastien et saint Jean-Baptiste, deux statues en terre cuite du mur occidental sont les œuvres du sculpteur manceau Noël Mérillon.
    • Statue équestre en pierre de saint Martin (XVIe siècle) et deux retables.
    • Le retable nord et la statue en terre cuite de saint Jacques le Majeur furent réalisés en 1727 par Pierre Lorcet. Dans la même chapelle est conservé un groupe du Calvaire, comptant un Christ en croix en bois du XVIIe siècle et des statues de la Vierge et de saint Jean l’Évangéliste en terre cuite de la fin du XVIe siècle.
    • Les restaurations des XIXe et XXe siècles ajoutèrent les deux bas-côtés et amputèrent l’église d’une travée.
    • Destruction de la nef romane et ajout de bas-côtés néogothiques et en 1902, amputation d'une travée, pour élargissement de la route.
    Prêtres
    Liste des prêtres
    Périodes Identités Naissance Décès
    1803-1826 Jardin Jean Baptiste Francois Eloy 1753
    1827-1858 Martiniere Francois 1789 1858
    1858- Leveque Francois Pierre Jean 1803
    1859-1873 Pommerais Louis René 1822 1878
    1873-1898 Boulard Francois 1826 1898
    1899-1908 Pignard Francois 1851
    1905-1928 Poisson Anatole Louis 01/05/1864 - Saint-Rémy-des-Monts
    1928- Cadoux Ange Jean Marie 1888 1937
    1937-1941 Bellanger Julien Louis 1901 1944
    1941-1955 Decaix Robert Alexandre Hippolite 1903 1969
    1955- Petiteau Georges 1890 1967
    1952-1995 Brossard Pierre 1932 2021
    Vitraux

    Quatorze vitraux ont été réalisés en 1921 par un maître verrier parisien, Charles Champigneulle. Le vitrail de la baie 6 a été exécuté par un maître verrier manceau, Albert Échivard en 1920.

    En 1922, ce même maître verrier a réalisé les vitraux d'un édifice voisin, ceux de l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Crissé. À cette date, la Première Guerre mondiale est toujours dans les mémoires et sur les vitraux figurés, dans la partie inférieure, des hommages aux soldats morts sont inscrits.

    • La baie 1 représente l'ange gardien avec la mention « En souvenir de Bernard ».
    • La baie 2 représente le Christ au Sacré-Cœur avec l'inscription « Don des familles Lecagneur, Lecesne, Guignard ».
    • La baie 3 de Charles Champigneulle représente saint François-d'Assise (1182-1226) qui entend les voix d'animaux avec la mention « En souvenir de François Poisson mort au champ d'honneur ».
    • La baie 4 du même artiste représente saint Guillaume (Guillaume X, comte de Toulouse et de Poitiers, mort en 1138) demandant au pape l'absolution de ses pêchés avec l'inscription « En souvenir de Guillaume Robin mort au champ d'honneur ».
    • la baie 5 représente saint Julien faisant jaillir la source avec la mention « La famille Charlot. En souvenir d'un heureux anniversaire  ».
    • La baie 6 a été réalisée en 1920 par Albert Échivard. Une scène autobiographique de la Première Guerre mondiale est figurée : le fils d'Albert, Maxime Échivard mort durant cette guerre, est représenté sous les traits du soldat et, sous les traits de Jeanne d'Arc, sa future belle-fille qui deviendra son épouse.
    • La baie 7 représente sainte Thérèse en pied avec la mention « Don de la famille Heuzard-Legouas ».
    • La baie 8 représente saint Henri de Bamberg (972-1024) avec la mention « Don de la famille Coulon ».
    • La baie 9 représente saint Serge, un martyr syrien, avec l'inscription « Don de la famille Legron ».
    • La baie 10 représente saint Séraphin (ou saint Étienne), avec la mention « En souvenir de Séraphin Brisard mort au champ d'honneur ».
    • La baie 11 représente saint Augustin d'Hippone (354-430) avec la mention « En souvenir d'Auguste Macais mort au champ d'honneur ».
    • La baie 12 représente Saint-Louis.
    • La baie occidentale représente La Charité de saint Martin.
    Presbytère de 1860

    Autres édifices remarquables

    • Ferme du XIIe siècle, prolongée au XVe siècle, une aile étant ajoutée au XVIIe siècle, avec ses fenêtres à meneaux.
    • Moulins de Cohardy dits aux deux roues du XIIIe siècle, dont les deux roues sont fixées en parallèle tout en étant indépendantes l'une de l'autre, chaque moulin étant mis en mouvement par une roue alimentée par le dessus. Ces deux moulins à blé, connus dès 1253, sont établis sur un bief de la Vègre.
    • Grange de la Frétinière, 1890, avec ses piliers d'angle et ses encadrements en brique et pierre de taille

    Héraldique

    Blason
    D'argent au lion de gueules.
    Détails

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2019.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Rouez est le nom retenu par l'Insee pour le code officiel géographique.
    2. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 1405
    3. « Cercle de recherches généalogiques du Perche-Gouët », sur perche-gouet.net.
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sillé-le-Guillaume », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Renaudin, op. cit., p. 178.
    12. A. Barbier, Manoir de Coulettre, étude préalable à la restauration, , pp. 6-7, Archives départementales de la Seine-Maritime, volume du canton de Sillé-le-Guillaume, commune de Rouez-en-Champagne, Coulettre. cité par Hélène Renaudin, Les logis nobles maçonnés et bâtis dans le nord-est du Maine (XIV-XVI), Université du Maine, 2014, p. 137, texte en ligne .
    13. Renaudin, op. cit., pp. 150-151.
    14. « Rouez-en-Champagne sur TF1 : « Jamais une commune en France n’avait hérité d’autant d’argent » », sur francebleu.fr, France Bleu (consulté le )
    15. Réélection 2014 : « De nouveaux maires et adjoints élus dès ce vendredi soir », Le Maine libre, (consulté le ).
    16. « Municipales à Rouez. Ludovic Robidas est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    21. « Patrimoine. Rouez-en-Champagne et sa fromagerie, une histoire d'amour... qui finit mal », actu.fr, 23 août 2017.

    Annexes

    Bibliographie

    • Laurent Maillet, « L'abbaye de Champagne. Le temporel d'une abbaye cistercienne du Maine au Moyen Âge », Revue Historique et Archéologique du Maine, 1998, pp. 97-144.
    • Pierre-Christian Guiollard, Les mines d'or et d'argent de Rouez : Rouez-en-Champagne (Sarthe), Fichous, Guiollard éiteur, , 130 p. (ISBN 2-9502503-5-1).
    • Hélène Renaudin, Les logis nobles maçonnés et bâtis dans le nord-est du Maine (XIV-XVI), Université du Maine, 2014 ([PDF] en ligne).

    Liens externes

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