Saint-Bresson (Gard)

Saint-Bresson est une commune française située dans l'ouest du département du Gard, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Bresson.

Saint-Bresson

Église de Saint-Bresson (Gard) - 27 mars 2013

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Pays viganais
Maire
Mandat
Patrick Darlot
2020-2026
Code postal 30440
Code commune 30238
Démographie
Population
municipale
62 hab. (2019 )
Densité 7,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 57′ 15″ nord, 3° 38′ 48″ est
Altitude Min. 229 m
Max. 708 m
Superficie 8,4 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Vigan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Vigan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Bresson
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Saint-Bresson
Géolocalisation sur la carte : Gard
Saint-Bresson
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Saint-Bresson

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau de Coularou et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Saint-Bresson est une commune rurale qui compte 62 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 316 habitants en 1856. Elle fait partie de l'aire d'attraction du Vigan. Ses habitants sont appelés les Saint-Bressonais ou Saint-Bressonaises.

    Géographie

    Carte

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 12,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 299 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 8,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Vigan », sur la commune du Vigan, mise en service en 1965[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 405,8 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, dans le département de l'Hérault, mise en service en 1946 et à 47 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Deux ZNIEFF de type 2[Note 4] sont recensées sur la commune[13] :

    • les « gorges de la Vis et de la Virenque » (9 620 ha), couvrant 16 communes dont 10 dans le Gard et 6 dans l'Hérault[14] ;
    • les « vallées amont de l'Hérault » (21 533 ha), couvrant 23 communes dont 22 dans le Gard et 1 dans l'Hérault[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Bresson est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[I 1],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Vigan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (93,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,8 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Une station de la culture de Ferrières (-3000) a été repérée sur le pic d’Anjeau. Des traces d’exploitation de minerai anciennes ont été repérées sur le territoire communal. Le site de Balcousels notamment aurait été exploité dès l’Antiquité[19],[20]. E. Germer-Durand mentionne l’apparition de Saint-Bresson dans les textes en 1248, dans les archives de l’abbaye de Notre-Dame du Bonheur, petit hôpital fondé en 1002 pour secourir les voyageurs traversant le massif de l’Aigoual. C’est en 1248 également, dans la charte n° 105 du cartulaire de ladite abbaye qu’il est fait mention pour la première fois de l’église de St Bresson, (« ecclesiae sancti Brixii de Arisdio »)[21].

    Sous l'ancien régime, la paroisse s'appelait Saint Bresson d'Hierle. L’histoire de la commune est liée à celle de Saint-Laurent-le-Minier, car certains habitants de Saint-Bresson travaillaient à la mine des Malines. Sa fermeture a été un évènement important pour Saint-Bresson.

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement les noms de Mont-aux-Truffes et de Mont-Truffier[22].

    Héraldique

    Les armes de Saint-Bresson se blasonnent ainsi :

    D'azur semé de fleurs de lys d'argent[23].


    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988  ? Bertin Bourrier    
    mars 2001 mars 2008 Roland Valette DVG  
    mars 2008 En cours Patrick Darlot    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

    En 2019, la commune comptait 62 habitants[Note 7], en augmentation de 14,81 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    204206258277300270312301300
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    316298298248272276250252229
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    23723221118315515115010786
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    827369534852646655
    2015 2019 - - - - - - -
    5662-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]13,2 %15,8 %14,9 %
    Département[I 5]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 41 personnes, parmi lesquelles on compte 78,7 % d'actifs (63,8 % ayant un emploi et 14,9 % de chômeurs) et 21,3 % d'inactifs[Note 8],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Vigan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 7]. Elle compte 11 emplois en 2018, contre 5 en 2013 et 5 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 27, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62,3 %[I 8].

    Sur ces 27 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 10 travaillent dans la commune, soit 36 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 87,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    9 établissements[Note 9] sont implantés à Saint-Bresson au [I 11]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 9 entreprises implantées à Saint-Bresson), contre 15,5 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations6351
    SAU[Note 10] (ha)146233460

    La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[27]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la culture de légumes ou champignons[Carte 3]. Une seule exploitation agricole ayant son siège dans la commune est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (six en 1988). La superficie agricole utilisée est de 0 ha[29],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[28].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Bresson » (consulté le ).
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Bresson » (consulté le ).
    9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Bresson » (consulté le ).
    12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Le Vigan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Saint-Bresson et Le Vigan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Le Vigan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Saint-Bresson et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Bresson », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF les « gorges de la Vis et de la Virenque » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF les « vallées amont de l'Hérault » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. Carte archéologique de la Gaule : le Gard, dir. Michel Provost,1999.
    20. Entre Causses et Cévennes : hommage à Adrienne Durand-Tullou. L’interprétation des mines médiévales d’Hierle. Gérard Verraes. Actes du colloque du mois de mai 2002.
    21. Dictionnaire topographique du département du Gard, Eugène Germer-Durand, 1868.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Le blason de la commune sur Gaso
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    27. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    28. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    29. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Bresson - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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