Saint-Cyr (Ardèche)
Saint-Cyr est une commune située dans le département de l'Ardèche, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Cyr.
Saint-Cyr | |||||
La place de la Bascule, intersection entre la route du Vivarais et la route Bleue. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Ardèche | ||||
Arrondissement | Tournon-sur-Rhône | ||||
Intercommunalité | Annonay Rhône Agglo | ||||
Maire Mandat |
Martine Ollivier 2020-2026 |
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Code postal | 07430 | ||||
Code commune | 07227 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 392 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 171 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 15′ 10″ nord, 4° 43′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 304 m Max. 410 m |
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Superficie | 8,12 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Annonay (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Annonay-1 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Géographie
Localisation
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La commune de Saint-Cyr occupe le plateau entre la vallée du Rhône et les abords d'Annonay. Sa limite nord, avec Colombier-le-Cardinal, se fait par le ruisseau de l'Ecoutay. Au contact de Peaugres, elle accueille sur son territoire une partie du Safari Parc. Au sud, la limite avec Vernosc se situe au sud du ruisseau de l'Eterpas qui devient ensuite le Torrenson. À l'est, à la Revicolle, la « pierre du Volant » marque sa limite avec Thorrenc, Saint-Étienne-de-Valoux et Saint-Désirat. Ce monolithe orné de la croix des Célestins bornait autrefois les limites territoriales du couvent[1].
Les communes limitrophes sont :
Géologie et relief, hydrographie
L'essentiel du territoire de Saint-Cyr s'étale sur le plateau d'Annonay, en bordure de la vallée du Rhône. La partie nord-est de la commune s'incline davantage vers la vallée, sur la rive droite du ruisseau de l'Ecoutay. Au sud, l'écoulement des eaux se fait par le ruisseau de l'Eterpas, qui devient ensuite le Torrenson.
Les surfaces agricoles restent importantes mais l'habitat individuel a récemment progressé. Une première zone industrielle est occupée à l'est du village. Une seconde est en principe réservée au sud-ouest de la commune le long de la nouvelle rocade[2].
La « route bleue »
Le village, avant la déviation de 1992, était traversé par la RN 82. Cette nationale, qui reliait Roanne à Andance, avait été créée et aménagée à partir de 1824. Son objectif était d'éviter aux usagers de la nationale 7 et aux vacanciers les encombrements de Lyon. D'où son surnom de "route Bleue"[3]. Elle passait donc par Saint-Étienne et par le col du Grand Bois. Sa traversée du centre de Boulieu fit « raccourcir » en 1845 les maisons du côté sud de la rue principale. À Saint-Cyr, elle occasionnait un mélange d'animation et de danger. La déviation ouverte en 1992 a maintenant limité la circulation aux usagers locaux.
Avant 1824, la route qui venait d'Andance montait aussi des Barges mais en débouchant à la Révicolle et en serpentant jusqu'au village. Un itinéraire encore plus ancien devait passer par Thorrenc et Solore, et rejoignant peut-être directement Annonay en passant au sud de Saint-Cyr[4].
Urbanisme
Typologie
Saint-Cyr est une commune rurale[Note 1],[5]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Annonay, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 37 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (73,7 %), forêts (12,2 %), zones urbanisées (7,2 %), cultures permanentes (3,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Toponymie
La christianisation des premiers siècles a donné au village le nom d'un martyr du IIIe siècle : saint Cyr d'Antioche, ville turque proche de la Syrie. Ce jeune garçon a perdu la vie à cinq ans en proclamant sa foi à un magistrat. Ses reliques avaient été rapportées en France au IVe siècle, ainsi que celles de sa mère sainte Julitte[12].
Histoire
Antiquité
Le village a des origines anciennes, mais ni la préhistoire, ni l'époque gauloise n'ont laissé de traces concrètes. Une voie romaine passait aux environs du bourg. En 1955, il a été retrouvé des vestiges d'une occupation gallo-romaine à Coin Bargieux, au nord-ouest de la commune. Des fragments de verre, de poterie, de plomb… attestent l'ancienne existence d'une grande ferme vers le Ier ou le IIe siècle de notre ère. Les fouilles ont montré aussi que ce site a été ensuite abandonné, puis réutilisé quelques siècles plus tard comme nécropole : 13 squelettes y ont été découverts dans des tombes de pierres dressées[13]. En 1972, au sud du village, un chenet en terre cuite et des tuiles romaines ont été découverts au lieu-dit les Mères. En 1975, d'autres tuiles ont été retrouvées au quartier de Colon, au sud du village[13]. Le secteur était donc bien habité déjà à cette époque. Le résultat des fouilles a été conservé au musée vivarois César-Filhol d'Annonay.
Moyen Âge
Sans nul doute, le village devait être formé au Moyen Âge. Mais la première attestation écrite de l'existence de l'église date seulement de 1299, où l'on sait que le futur cardinal Pierre de Colombier, fondateur du couvent et de l'ordre des Célestins, y a été baptisé. Une partie de la paroisse faisait d'ailleurs partie du territoire des Célestins, comme en témoigne la "pierre du Volant", toujours présente à la limite Est de la commune. On retrouve aussi le nom de la paroisse au XIIIe siècle dans le cartulaire de l'abbaye de Saint-Chaffre du Monastier en Haute-Loire[14].
Pour ce qui est du bâtiment d'église, il est probable qu'il repose sur des fondations anciennes, du moins du côté du clocher. La nef a été profondément reprise au XIXe siècle. Ses peintures de plafond datent de 1857 et son Campo Santo extérieur de 1860[15].
L'urbanisation du XXe siècle
Placée en 2e « couronne » par rapport à Annonay, c'est seulement dans les années 1970 que Saint-Cyr a été atteint par les demandes d'urbanisation. La population a alors augmenté au rythme de 19 % par an. À partir de 1985, des entreprises sont venues s'installer sur la zone industrielle créée à l'est du village. La construction d'équipements collectifs a dû suivre la croissance de la population: construction d'une école publique, d'une salle polyvalente, d'une nouvelle mairie… Une partie de l'ancien village a été aussi rénovée avec construction d'un immeuble et installation de commerces[16].
Chronologie[17]
- Ier s. : villa romaine à Bargieux
- Ier s. : autres sites gallo-romains
- IVe s. : nécropole à Bargieux
- Moyen Âge : constitution d'une paroisse
- Moyen Âge : élevage, culture de céréales et de vignes
- 1299 : baptême de Pierre de Colombier à l'église
- 1824 : début d'aménagement de la « route bleue »
- 1857 : Campo Santo et fresques de l'église
- 1909 : construction d'une école de filles
- 1918 : 17 morts à la guerre
- 1983 : fermeture de l'école publique
- 1985 : ouverture de la zone industrielle
- 1987 : mairie dans l'ancienne école de filles
- 1989 : réouverture d'une classe publique
- 1990 : construction de l'école publique
- 1990 : adhésion aux Saint-Cyr de France
- 1992 : déviation de la nationale
- 1993 : immeuble du centre commercial
- 2006 : salle polyvalente
- 2006 : réception des Saint-Cyr de France
- 2012 : nouvelle cantine intercommunale
- 2013 : nouvelle mairie et bibliothèque
Politique et administration[18]
Les Saint-Cyr de France
En 1990 s'est créée officiellement l'association des Saint-Cyr de France. Il existe en effet 48 communes qui portent ce nom en France, parmi lesquelles 27 ont adhéré à l'association. Saint-Cyr (d'Ardèche du Nord) a participé au premier rassemblement à l'invitation de Saint-Cyr-sur-Mer en 1989.
Chaque année, un rassemblement et une assemblée générale ont lieu un week-end de septembre. Une action humanitaire pour un enfant y est associée en souvenir du martyr du jeune saint Cyr.
En 2006, c'est Saint-Cyr en Ardèche du Nord qui a reçu ses homonymes les 22, 23 et 24 septembre. Une association s'est formée pour organiser la réception des 200 invités. Une centaine de bénévoles se sont mobilisés et 50 familles ont offert l'hospitalité. Pendant cinq jours se sont succédé buffets, animations et visites touristiques. L'association « Saint-Cyr 2006 » a décidé de rester prête à se mobiliser[16].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].
En 2019, la commune comptait 1 392 habitants[Note 3], en augmentation de 6,02 % par rapport à 2013 (Ardèche : +2,47 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
École publique 4 classes. Cantine intercommunale avec Colombier et Bogy.
Associations[25]
Anciens Combattants (depuis 1922), ACCA (1968), Comité des Fêtes (1982), Aînés Ruraux San Surus Club (1989), Union des Commerçants, Industriels et Artisans UCIA (1999), La Maison des Jeunes (2013).
OGEC, Amicale Laïque (1989).
Le club de foot en association avec Félines (Football Club Félines Saint-Cyr) se rendu célèbre dans la fin des années 1990 avec la réussite de ses équipes féminines. L'équipe une atteint même la première division nationale en 1999. Il a fêté ses 50 ans en 2014 et a atteint les 200 licenciés.
Football Club Félines St-Cyr Peaugres (1964), Tennis (1990), Sport Auto 07 (1992), St-Cyr Foot loisirs (1992), Amicale Boules (1995), St-Cyr Auto Sport (2004), Tennis de table (2005).
AFR : activités enfants, gym adulte, danse et yoga, dessin et sculpture sur bois, mémoire, anglais et informatique, Bibliothèque Alinéa (1996), St-Cyr 2006 (2006), Mémoires de St-Cyr (2010), Préserver St-Cyr.
Les Mémoires de St-Cyr
Ils se sont rassemblés à une petite dizaine en 2010, avec comme objectif de faire des recherches sur le passé collectif et généalogique familial. Ils présentent leurs découvertes dans un bulletin annuel. Leurs premières recherches ont permis de préciser le sort des 17 morts de la guerre de 1914-1918. Ils ont ensuite étudié le cadastre napoléonien de 1826 et les changements au village. Puis l'histoire des lieux de sépulture et l'évolution de la culture de la vigne[1]...
Services
Bibliothèque Alinéa. Salle polyvalente. Centre de loisirs AFR en été (2002).
Économie
Zone de Prachenet
La zone de Prachenet a été aménagée en 1984, sur 2 hectares, puis peu après sur 4. Une dizaine d'entreprises s'y sont installées.
« Décolletage Gay » a été la première à s'installer, en 1985. C'est aussi la plus importante de la zone. Elle a ensuite doublé par deux fois la surface occupée et ses effectifs et a atteint 7 000 m2 de bâtiments pour environ 50 salariés en 2013. Depuis 2005, l'entreprise fait partie du groupe Camelin Décolletage Industries.
La zone a accueilli aussi la société Art Déco, qui fabrique des cadres pour décoration murale. Elle a été créée à Annonay en 1992 par Denis Faveron, s'est développée à Roiffieux en 2001, puis est venue à St-Cyr en 2003. Elle occupe jusqu'à 40 salariés (selon les saisons) pour le marché national.
La zone accueille aussi une entreprise de métallerie et trois ateliers spécialisés dans le domaine de l'automobile : pièces détachées de 4x4, vente de voitures toutes marques et contrôle technique de poids lourds.
Deux autres entreprises sont installées sur Saint-Cyr mais à l'extérieur de la zone : une fabrique d'enseignes et un négociant en bois[26].
Commerces
Boulangerie, boucherie, bar tabac, coiffure, esthétique. Restaurant pizza.
Culture locale et patrimoine
L'église
De l'extérieur, le magnifique clocher se fait remarquer par ses petites tuiles de couleur. Cette couverture a été choisie en 1925, lors de la restauration de la charpente octogonale.
Le chœur et le clocher, avec leurs murs massifs, apparaissent comme les parties les plus anciennes du bâtiment, sans qu'une date précise puisse être avancée. La nef a subi des transformations plus récentes, avec au moins son agrandissement par le rajout de bas-côtés. L'intérieur de l'église n'en a pas moins une allure ancienne, surtout avec les peintures qui occupent la totalité de ses voûtes. Elles ont été réalisées en 1857, dans un style traditionnel, en trompe-l'œil dans des cadres fictifs[27]. Actuellement, l'église dépend de la paroisse catholique « Bienheureux Gabriel Longueville » [28],[29].
- L'extérieur nord de l'église, avec l'entrée du Campo Santo.
- Un intérieur décoré et restauré.
- Des peintures en trompe-l'œil au plafond.
Le Campo Santo
Le Campo Santo de Saint-Cyr est une curiosité rare, du moins en France. On en trouve davantage en Italie, où son nom signifie « Espace Saint ». Cet édifice a été édifié entre 1859 et 1861 par le chanoine Courty, curé de la paroisse, qui avait fait de nombreux voyages dans le nord de l'Italie où le style des cimetières l'avait impressionné[27]. Il s'agit d'une cour intérieure décorée face à l'entrée de l'église, à la fois nécropole et cloître. L'ensemble a été réalisé dans le style romano-byzantin, avec des couleurs rouges et ocre dominantes.
Le côté sud correspond à la façade d'entrée de l'église.
Une galerie est formée par des piliers de pierre ouvragés, reliés entre eux par des voûtes en demi-cercle. Sous ces arcades ont été appliquées aux murs les stations d'un chemin de croix, œuvre du sculpteur lyonnais Vermare.
La partie supérieure de la galerie est construite en briques rouges et forme de nombreuses niches dont quelques-unes sont occupées par des statuettes. Elle donne accès à un calvaire à personnages construit en pierres locales.
Les habitants du village sont attachés au Campo Santo qui permet les échanges après les offices. Les mariés s'y font prendre souvent en photo. On peut le visiter librement. Il a bénéficié d'une importante restauration en 1995[30].
Au fil du village
C'est de part et d'autre de la rue principale qu'on pourra trouver quelques maisons anciennes ouvragées, qui voisinent avec d'autres plus récentes.
On peut retrouver et parcourir les deux « violets » sauvegardés : il s'agit de chemins piétonniers étroits qui serpentent entre des murs de pierres. On trouvera, côté nord la « rue des Vieux-Murs », et côté sud « le Violet ». On peut prolonger la promenade au sud vers la « rue de la Voûte », ou vers le château d'eau qui offre un paysage ouvert vers Davézieux et la campagne[30].
Les rues sont indiquées par des plaques en terre cuite. Au bord de la route, Saint-Cyr dispose de deux monuments aux morts. Le premier, trop près de la route, a été laissé en place malgré la création d'un autre monument[18].
Des secteurs de promenade
Les balisages jaune et blanc des Petites Randonnées traversent le plateau de Saint-Cyr d'est en ouest et du nord au sud. Dans le secteur nord-est, au départ de Fontane ou de Morel, des sentiers vont longer les châteaux de Soras et de la Pinée, ainsi que le ruisseau de l'Écoutay. De l'autre côté du ruisseau, rive gauche (et donc sur la commune de Colombier-le-Cardinal), un petit sentier mène au rocher de la Vierge de la Pinée. De nombreuses plaques de remerciement ont été scellées sur le socle de la statue, datée de 1881 en remerciement d'une guérison à Lourdes[30].
Voir aussi
Sources et bibliographie
- Voyage autour d’Annonay, par Albin Mazon, 1901.
- Joëlle Dupraz et Christel Fraisse, L'Ardèche, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, coll. « Carte archéologique de la Gaule » (no 07), , 496 p. (ISBN 2-87754-069-3).
- Bulletins municipaux de Saint-Cyr, depuis 1987.
- Bulletins et archives de l'association Mémoires de Saint-Cyr.
- notices historiques locales.
- renseignements directs en mairie.
- Ardèche verte Haut Vivarais, guide officiel 1991 de l'Union Touristique.
- reportages du Dauphiné Libéré et notamment articles du 1er août 2013 de François Bassaget.
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Association Mémoires de St-Cyr
- archives de la Communauté d'Agglomération
- « Nationale 7. La Route Bleue »
- Le Dauphiné Libéré du 1er août 2013, page sur St-Cyr.
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- notice municipale locale
- Joëlle Dupraz et Christel Fraisse, L'Ardèche, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, coll. « Carte archéologique de la Gaule » (no 07), , 496 p. (ISBN 2-87754-069-3).
- Voyage autour d’Annonay, par Albin Mazon, 1901
- notices historiques locales
- bulletins municipaux et page du Dauphiné Libéré sur St-Cyr du 1er août 2013.
- dates issues des archives communales, et des articles et ouvrages historiques cités en bibliographie
- bulletins de l'association "Mémoires de St-Cyr"
- « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
- Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- D'après les bulletins municipaux de St-Cyr, depuis 1987, avec remise à jour. Les dates entre parenthèses sont les dates de création de l'association.
- sources: bulletins municipaux et renseignements pris directement auprès des entreprises
- articles du Dauphiné libéré et notamment page sur Saint-Cyr du 1er août 2013 et page sur l'église du mardi 7 août 2012.
- Site de la paroisse Saint-Christophe-lès-Annonay.
- Décret d’érection de la paroisse Bienheureux Gabriel Longueville
- reportages du Dauphiné Libéré et notamment articles du 1er août 2013 de François Bassaget.
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