Lagny
Lagny est une commune française située au Nord-Est du département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Lagny (homonymie).
Lagny | |||||
L'église. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays des Sources | ||||
Maire Mandat |
Sébastien Nancel 2020-2026 |
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Code postal | 60310 | ||||
Code commune | 60340 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
531 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 49 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 36′ 50″ nord, 2° 54′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 59 m Max. 163 m |
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Superficie | 10,77 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Thourotte | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 31 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Lagny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,1 %), forêts (17 %), zones urbanisées (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Histoire
Laigny-les-Châtaigniers (tel était l'ancien nom) [21], situé sur le canton de Lassigny (60), ne doit pas être confondu avec Lagny-le-Sec (60) ou Lagny-sur-Marne (77).
Des origines au Moyen Âge
L'origine du nom du village, qui s'étend sur une rue d'environ deux kilomètres, à mi-pente sur le flanc sud d'une colline de 160 mètres, peut provenir de l'assemblage du mot lanon (vue étendue sur une plaine) et de gny, dérivé du latin ignis (foyer, feu, forges, lieu d'extraction de minerai de fer).
Le village est en léger surplomb d'une voie romaine, à quelques kilomètres au nord de Noyon[22], ce qui lui conférait une position stratégique.
Il n'est pas rare d'y trouver des pierres taillées, ou polies, en particulier près des marais (rosy et Marais de la pierre), ce qui tend à prouver que le site est habité depuis des temps très reculés.
Le versant est de la colline (près du château d'eau) cache un ancien cimetière contenant des sarcophages en pierre dits de l'époque des Templiers (un exemplaire serait au musée de Noyon).
Sur la colline, dans la partie ouest, on peut découvrir « Ch'Catelet », butte de terre de quelques mètres de haut qui domine toute la région qui selon certains écrits aurait pu être un observatoire romain.
Le , la seigneurie de Laigny-les-Châtaigniers est vendue par Jeanne de Sains à Guillaume de Flavy[23].
Depuis le XVIe siècle
Vers l'extrémité Est de la colline, près du point géodésique, se trouvait « Ch'moulin d'heu » dont il ne reste que la citerne. Un second moulin se trouvait à l'emplacement de la ferme dite « Du moulin de bas » que l'on retrouve sur les cartes du XVIIIe. Au XIXe siècle, un troisième moulin était en service sur le lieu-dit « Penchemont », près de l'ancienne voie romaine.
Ce village possédait un château fortifié détruit une première fois le par les Bourguignons qui avaient levé le siège de Compiègne. Il fut reconstruit puis partiellement détruit sous Louis XV : dans les Archives Historiques et Ecclésiastiques de l'Artois et de Picardie publiées par P. Roger en 1842, on apprend que : « le marquis d'Harbouville possesseur de ce château, s'étant caché parmi les morts dans un combat, Louis XV fit détruire une des tours de son manoir. Les trois fils du marquis d'Harbouville, voulant réparer la faute de leur père, périrent les armes à la main dans moins d'une année. »
Le château fut ruiné vers 1792, puis de nouveau détruit en 1820 ; il reste quelques vestiges (près de l'église).
Certains lieux avaient des noms relativement significatifs, Ch'Carcan, Ch'ju d'Battoirs, la ruelle d'yô ou d'ieu (eau en Picard) qui menait aux nombreuses sources se déversant dans « Ch'Marais ».
Le village avait une activité agricole classique, avec de l'élevage et de nombreux métiers liés à l'exploitation du bois. En particulier, le châtaignier était utilisé pour la fabrication des échelles destinées à la cueillette des fruits. On y fabriquait aussi des tonneaux, des sabots, et du charbon de bois : des vestiges des fours subsistent sur le versant nord-est de la colline au lieu-dit « Ché Fours ».
Deux guerres mondiales
Village se trouvant sur le front de la Première Guerre mondiale, il fut, dès le début des hostilités, occupé par un régiment de uhlans. Durant cette occupation, le , à la droite de la mairie, les Allemands ont fusillé : Picart Paul, maire ; Flamant Denis, curé ; Lavacquery Fernand ; Lavacquery Octave ; Leclerc Jules. Pris comme otages, ils ont été obligés de creuser leur tombe avant de mourir fusillés en représailles d'une attaque imaginaire. Un garde allemand paniqué aurait tiré à la suite d'un bruit suspect. Une plaque commémorative] au nom des suppliciés est apposée au mur de la mairie. Le commandant a fait rassembler toutes les femmes sur la place du village en vue de faire "son choix" mais une d'entre elles, dont le nom était toujours prononcé à voix basse, s'est portée volontaire.
À la fin de la guerre en 1918, le village était pratiquement totalement en ruine. À ce jour, certaines « ruines » subsistent encore.
Un réseau de cagnas abritait les troupes allemandes à l'ouest de la colline qui domine le village à 160 mètres. Les entrées sont encore visibles de nos jours.
Lors de la Deuxième Guerre mondiale le village a relativement été épargné. Quelques bombardements aériens ont eu lieu près du marais où un convoi français avait été abandonné. Par contre le village a été évacué et plusieurs personnes ont été tuées sur la route de l'exode.
Du fait de son isolement des axes de communications, un réseau de résistance y a amené des équipages anglais et surtout américains qui ont séjourné plusieurs mois cachés dans quelques fermes, nourri par les familles. Il y a même eut un déserteur allemand que certains avaient pris pour un Anglais et qui fut maladroitement mis en contact avec ces aviateurs américains provoquant une angoisse énorme quand ceux-ci ont découvert son origine allemande. Heureusement ce déserteur était loyal, Schaefer, connu sous le surnom d'Alfred. Il s'est même engagé pour remercier la France disait-il, dans la Légion étrangère française et est mort en Indochine en 1948.
Un petit livre paru aux USA retrace le parcours de ces pilotes, abattus près de Péronne dans la Somme et qui ont trouvé refuge à Lagny d'avril à .
Un livre écrit par ces pilotes, paru aux États-Unis, retrace leur parcours dont un chapitre est consacré à Lagny.
Des années 1960 à aujourd'hui
Dans les années 1960, le village avait deux écoles, un bureau de poste, deux boulangeries, deux épiceries, un garage automobile, un maréchal-ferrant, un poissonnier, deux grainetiers, trois bistrots, un menuisier, un plâtrier, une entreprise de plomberie couverture, une entreprise de maçonnerie et de nombreuses fermettes.
À cette même époque, un marché aux fruits rouges se tenait sur la place du village vers fin juin et en juillet. Des centaines de kilos de cerises étaient chargées dans des camions chaque soir.
Vers 1964, le village a compté plus de 600 habitants, essentiellement des ouvriers de la Société Ballot employés à l'achèvement du canal du Nord à l'abandon depuis plus de 50 ans.
À ce jour, il ne subsiste qu'un bistrot et quelques exploitations agricoles. Le marché aux fruits rouges n'existe plus, les fruits, pour une grande partie, servent de nourriture aux sansonnets qui peuvent piller un cerisier adulte en quelques minutes.
Politique et administration
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2019, la commune comptait 531 habitants[Note 8], en diminution de 2,57 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 276 hommes pour 253 femmes, soit un taux de 52,17 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
- Ancienne école et mairie.
- L'église en 1918.
- Croix monumentale à l'entrée du village.
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lagny et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lagny et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Dictionnaire de la noblesse page 377, tome IV, seconde édition, Paris 1772 (sur GoogleBooks)
- Noyon
- Mélanges historiques et généalogiques (lire en ligne), page 57/318 et suivantes.
- « Le 19 septembre 1914, Lagny subit les horreurs de la Guerre », Patrimoine, sur https://www.lagny.fr (consulté le ).
- « Le mot du maire », sur https://www.lagny.fr/, (consulté le ) « Je finirai mes propos en rendant hommage aux personnes décédées cette année. Tout particulièrement deux habitants qui se sont investis au sein du conseil Municipal. Monsieur Gilbert AVÉ ancien conseiller Municipal de 2008 à 2014 décédé le 29 mars 2020. Et à une plus grande échelle Monsieur André Charles VAN MOORLEGHEM Maire de la commune de 1995 à 2008 mais élu au conseil municipal de notre commune de 1977 à 2008 décédé le 11 septembre 2020 ».
- « Tous les candidats », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Lagny », Cartes de France (consulté le ).
- « Le maire de Lagny Sébastien Nancel de nouveau candidat aux municipales », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Élu maire en 2008, l’actuel conseiller départemental (DVG) de Lassigny-Thourotte, Sébastien Nancel, briguera un troisième mandat à la tête de la municipalité de Lagny (...) Sébastien Nancel, fils du maire actuel (en partance) de Muirancourt, Jeannot Nancel, avait exercé dans ce village un premier mandat de conseiller municipal, de 1995 à 2001. Il avait été élu cette année-là au sein de la municipalité de Lagny, devenant en 2007 adjoint du premier magistrat d’alors, André Van Moorleghem ».
- « Compte-rendu du conseil municipal du 24 mai 2020 » [PDF], Les publications municipales > Comptes rendus des conseils municipaux, sur https://www.lagny.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lagny (60340) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
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