Saint-Esteben

Saint-Esteben est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Esteben

L'église de Saint-Esteben.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Régine Larranda
2020-2026
Code postal 64640
Code commune 64476
Démographie
Gentilé Donoztiritar
Population
municipale
411 hab. (2019 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 20′ 22″ nord, 1° 12′ 27″ ouest
Altitude Min. 118 m
Max. 465 m
Superficie 13,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Esteben
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Esteben
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Saint-Esteben
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Esteben

    Le gentilé est Donoztiritar[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Saint-Esteben se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 119 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 37 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 20 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Hasparren[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Saint-Martin-d'Arberoue (1,2 km), Isturits (3,1 km), Hélette (4,4 km), Armendarits (5,0 km), Méharin (5,2 km), Bonloc (5,8 km), Iholdy (6,7 km), Ayherre (7,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-Esteben fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays d’Arberoue (Arberoa), au nord-ouest de ce territoire. Au sud, le territoire d'Iholdy n'est distant que d'une centaine de mètres[11].

    Communes limitrophes de Saint-Esteben[11]
    Ayherre Isturits
    Saint-Martin-d'Arberoue
    Hélette Armendarits

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Saint-Esteben.

    La commune est drainée par l'Arbéroue, Garraldako erreka, un bras de l'Arbéroue, un bras de l'Arbéroue, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[12],[Carte 1].

    L'Arbéroue, d'une longueur totale de 27,3 km, prend sa source dans la commune d'Hélette et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans Le Lihoury à Orègue, après avoir traversé 8 communes[13].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[15].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

    • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 454 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labastide-Clair », sur la commune de La Bastide-Clairence, mise en service en 1986[19] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[20],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 411,1 mm pour la période 1981-2010[21]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 30 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[23], à 14,3 °C pour 1981-2010[24], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[25].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[27], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[28],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensée sur la commune[29],[Carte 3] : les « grottes d'Oxocelhaya et d'Isturitz » (204,6 ha), couvrant 3 communes du département[30] et une ZNIEFF de type 2[Note 9],[29],[Carte 4] : les « landes de l'Arberoue » (3 685,26 ha), couvrant 5 communes du département[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Esteben est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10],[32],[33],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35],[36].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (71,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,4 %), prairies (32,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,1 %), forêts (4 %), terres arables (0,6 %)[37].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

    Lieux-dits et hameaux

    Quatre quartiers composent la commune de Saint-Esteben[38] :

    • Herbeherea ;
    • Hergainea ;
    • Oihertxeta ;
    • Olheta 43° 19′ 47″ N, 1° 12′ 59″ O.

    Voies de communication et transports

    Saint-Esteben est desservie par les routes départementales D 14, D 151 et D 251.

    Toponymie

    Son nom basque est Donoztiri[1] (contraction de Don-Esteben hiri[39] ou Donestiri ; littéralement « Ville de Saint Esteben »).

    Le toponyme Saint-Esteben est documenté[40] sous les formes :

    • San-Estevan de Arberoa (1321, titres de la Camara de Comptos[41]),
    • Sant-Esteban (1513, titres de Pampelune[42]) et
    • Saint-Esteve d'Arberoue (1703, visites du diocèse de Bayonne[43]).

    Le toponyme Sorhaburu 'limite des champs' apparaît[40] sous la forme Soraburu (1621, Martin Biscay[44]).

    Histoire

    Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune porta le nom révolutionnaire de Garralde[45].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'or à l'arbre de sinople sommé d'une pie au naturel[46].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989 1995 Louis Mendivil    
    1995 2014 Christian Durruty    
    2014 En cours Régine Larranda    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Saint-Esteben fait partie de sept structures intercommunales[47] :

    • la communauté de communes du pays d'Hasparren Hazparneko Lurraldea ;
    • le SIVU Ikas Bide ;
    • le syndicat AEP de l'Arberoue ;
    • le syndicat d'assainissement Adour - Ursuia ;
    • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour la réalisation d'une maison de retraite dans la vallée de l'Arberoue ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

    La commune accueille le siège du SIVU Ikas Bide.

    Population et société

    maison rurale

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[49].

    En 2019, la commune comptait 411 habitants[Note 11], en diminution de 13,47 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    700702763694678656740795712
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    678630629612561548560567552
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    571582578515494478444441434
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    457454439420391359390451416
    2019 - - - - - - - -
    411--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose d'une école élémentaire publique[51]. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[52].

    Économie

    L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    Croix de chemin.

    La croix de chemin[53] située sur le bord de la route départementale D 14 date du XVIIe siècle.

    L'église Saint-Étienne[54] date du XVIIe siècle.

    Galerie

    Ancienne mairie.
    Le mur à gauche Sanoki.
    Détail du fronton de place libre.

    Équipements

    Enseignement

    La commune dispose d'une école élémentaire publique, et fonctionne en RPI (Regroupement Pédagogique Intercommunal) avec l'école maternelle publique de Saint Martin d'Arbéroue.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    9. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Saint-Esteben » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Saint-Esteben », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Saint-Esteben », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Saint-Esteben », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune de Saint-Esteben », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Esteben et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Esteben et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Esteben et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Saint-Esteben », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    11. Carte IGN sous Géoportail
    12. « Fiche communale de Saint-Esteben », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    13. Sandre, « l'Arbéroue ».
    14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    15. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    16. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    17. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    18. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Labastide-Clair - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Saint-Esteben et La Bastide-Clairence », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station Météo-France Labastide-Clair - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    22. « Orthodromie entre Saint-Esteben et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    25. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    26. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    27. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Esteben », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    30. « ZNIEFF les « grottes d'Oxocelhaya et d'Isturitz » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « ZNIEFF les « landes de l'Arberoue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    38. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, « Cadastre napoléonien / Saint-Esteben », (consulté le ).
    39. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 978-2-86781-396-2, lire en ligne).
    40. Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
    41. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda - Diccionario de Antiguedades del reino de Navarra ; 1840 ; Pampelune
    42. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
    43. Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    44. Martin Biscay : Drecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla 1622, petit in-4°
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Guy Ascarat
    47. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité », sur comdpt.pyrenees-atlantiques.pref.gouv.fr (consulté le ).
    48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    51. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la croix de chemin
    52. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Étienne

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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