Saint-François-Longchamp (commune déléguée)

Saint-François-Longchamp est une ancienne commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-François-Longchamp

Saint-François-Longchamp 1650 en été.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Saint-Jean-de-Maurienne
Intercommunalité Communauté de communes du canton de La Chambre
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Patrick Provost
2016-2020
Code postal 73130
Code commune 73235
Démographie
Gentilé Inversaires
Population 246 hab. (2014)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 24′ 38″ nord, 6° 20′ 57″ est
Altitude Min. 808 m
Max. 2 832 m
Superficie 12,97 km2
Élections
Départementales La Chambre
Historique
Commune(s) d'intégration Saint François Longchamp
Localisation
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Saint-François-Longchamp
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Saint-François-Longchamp
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Saint-François-Longchamp
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Saint-François-Longchamp

    La commune se trouve sur le versant nord de la vallée de Maurienne, entre 808 et 2 832 m d'altitude, et inclut une station de sports d'hiver.

    La commune devient une commune déléguée le après la fusion avec Montaimont et Montgellafrey pour donner naissance à Saint François Longchamp[1].

    Géographie

    Localisation

    Saint-François-Longchamp est une commune-station de sports d'hiver de Maurienne, proche de la Combe de Savoie.

    La commune est située sur la route du col de la Madeleine, col du Tour de France. Elle offre un panorama diversifié sur les massifs de Belledonne, de l'Oisans ou encore du Mont-Blanc.

    Géologie et Relief

    Le massif de la Lauzière vue depuis Saint-Francois-Longchamp.

    Le territoire de la commune est dominé à l'ouest par le massif de la Lauzière.

    Risques naturels

    Entre 2015 et 2017, Saint-François-Longchamp a été le siège d'un essaim de séismes ayant généré de nombreux séismes ressentis. La magnitude 3,7 a été atteinte à deux reprises fin . (Voir article détaillé Essaims de séismes de Maurienne.)

    Climat

    La commune possède un climat montagnard avec beaucoup de neige l'hiver, ce qui a favorisé la création de stations de ski.

    Voies de communications et transport

    La commune est accessible par la route RN 6 ou l'A43 (sortie Sainte-Marie-de-Cuines), en train depuis la gare de Saint-Avre-La Chambre à 15 km.

    L'hiver, de décembre à avril, des ski-bus gratuits sillonnent la station. L'été, ces mêmes ski-bus sont payants. De nombreux taxis sont disponibles depuis la commune de La Chambre pour permettre le trajet jusqu’à la station. Saint-François-Longchamp est une station de ski située à 12 km de la gare de Saint-Avre/La Chambre, et près de l'aérodrome de Saint-Rémy-de-Maurienne.

    Toponymie

    La commune a été créée en 1904 sous le nom de Saint-François-sur-Bugeon, du nom de la rivière qui traverse la commune, et deviendra Saint-François-Longchamp en 1969[2] quand le décret du associe le nom du village de Longchamp à Saint-François.

    Les recherches n’ont pas permis de trouver de forme selon la graphie de Conflans[3].

    Histoire

    Saint-François sur Bugeon

    Jusqu'en 1904, la commune était rattachée à celle de Montgellafrey. Le , les villages de l’Envers que sont l’Epalud, le Planey, les Covatières (village principal), le Bon-mollard et la Cublière se séparent de la commune de Montgellafrey pour former la nouvelle commune de Saint-François sur Bugeon[4]. Les forêts des deux communes demeureront dans l'indivision[5]. La commune compte alors 204 habitants. Le premier maire de cette jeune commune est François-Antoine Mollard, qui resta en poste durant 15 ans.

    Le , le hameau du Planey est détruit par un incendie. Vingt maisons disparaissent ainsi, faisant une victime[6].

    La Première Guerre mondiale de 1914-1918 fait 33 morts dans les deux communes de Montgellafrey et de Saint-François. Plus tard, le à 12 h 30 près du col de Montjoie au lieu-dit la Cloche des Vieux fut tué le dernier ours de France, une femelle de 105 kg qui décimait les troupeaux. La peau de l’ours (et la carcasse) fut vendue le à la boucherie Vivario de La Chambre. Sa dépouille, naturalisée est aujourd'hui exposée au muséum d'histoire naturelle de Grenoble[7].

    En 1928 est construit le refuge « Touring Club de France du col la Madeleine », à la place d’un ancien hospice puis d’une ancienne chapelle dédiée à sainte Madeleine dont les vestiges ont aujourd'hui disparus. La route du col de la Madeleine est alors en construction et atteint finalement le hameau de l’Epalud en 1932. En 1936, M. Teule, garagiste de métier à La Chambre, construit le premier téléski de ce qui deviendra plus tard la station de Saint-Francois-Longchamp. M. Adolf Grieder, citoyen suisse, construit le chalet « Joie de vivre » à 1 450 m d’altitude, qui sera le futur bâtiment de l’Association Touristique des Cheminots. En 1938, des réfugiés espagnols continuent la construction de la route du col de la Madeleine côté Maurienne. La route goudronnée arrive au plateau de Longchamp en 1955. La route, côté Tarentaise, arrive au col de la Madeleine en 1968 pour rejoindre celle de Maurienne enfin terminée après 20 ans de travaux.[réf. nécessaire]

    De 1938 à 1949, Jean Bernard prend la décision de faire démarrer la future station de sports d'hiver de Saint-François-Longchamp, avec M. Gabriel Julliard et le docteur Prallet d’Aiguebelle en créant une SCI qui deviendra la SAGLAT. Il acquiert petit à petit les droits ou les terrains nécessaires à la pratique du ski. Il sera par ailleurs le 1er moniteur diplômé (à Val-d'Isère) de Saint-François en 1938-39. Le financement des premiers bâtiments sera assuré par « les dommages de guerre », une pratique en usage au lendemain de la Seconde Guerre mondiale de 1939-1945. Saint-François se verra en outre offrir par la Norvège six chalets en bois en kit. Les actuels bâtiments Le Bouquetin (premier bâtiment des Airelles) ou le Télé sont des exemples de cette construction originale.[réf. nécessaire]

    Le , une coulée de neige dévalant le massif de la Lauzière atteint le télésiège du même nom et écrase les premiers pylônes au départ de ce dernier. Les passagers de ce télésiège qui sont montés avant le déclenchement seront hélitreuillés. Aucun blessé ne sera à recenser mais tout le départ du télésiège sera à reconstruire, rendant inaccessibles les pistes du domaine de Saint-François-Longchamp se trouvant sur ce versant[8].

    Construction de Saint-François-Longchamp

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    Les différents étages de la station.

    Au début des années 1950, le premier téléski, « les clochettes » est construit par Montaz-Mautino ; aujourd'hui Gimar Montaz Mautino est installé à la station basse (150 m de long, 30 m de dénivelé). C'est le premier téléski de la société Montaz-Mautino qui en construira par la suite 2 500 exemplaires. En 1952, Jean Pomagalski, fondateur de l'actuelle société Poma », construit le téléski Roc Noir sur un tracé différent de l’actuel.

    La mère de Jean-Claude Killy, champion olympique lors des jeux olympiques d'hiver de 1968, arrive de Val d'Isère et s’installe à la station basse en 1951 avec ses trois enfants. Le futur champion olympique à Grenoble s’entraîne sur les pentes du Roc-Noir, à l’époque équipé du téléski le plus long, le plus rapide et le premier mis en service en Savoie[9]. En 1952, La famille Daumas[Qui ?] arrive dans la station et s’installe d’abord à la station Basse au Télé, puis Roger Dumas termine la construction du Bouquetin en 1955. En 1954, le téléski de la lune est mis en service, il sera doublé par la suite et transformé en télésiège Lune Bleue plus tard. Quelques années plus tard, les premiers sauts de parachute sur neige de France ont lieu à Saint-François en 1956 et en 1957 depuis un avion venant de Chambéry (André Chambon)[9].

    En , Saint-François-sur-Bugeon devient Saint-François-Longchamp. La mairie est alors transférée du hameau du Planey à la station basse à 1 450 m[9]. Dans le même temps, le Tour de France, remporté cette année par le coureur Eddy Merckx, passe pour la 1re fois à Saint-François.

    L'année 1983 voit la liaison avec la station de Valmorel : le domaine skiable du Grand Domaine est né. En 1987, la maison du tourisme est inaugurée en présence de Fanny Cottençon, la marraine de l’évènement. Cette maison contient en outre une salle polyvalente, des bureaux et une salle de cinéma.

    En 1996, Remy Loisirs (aujourd'hui groupe Labellemontagne) prend en mains la destinée de la station, restructure les remontées mécaniques et fait installer des canons à neige modernes en 1997. L'année 1998 marque l’arrivée de l’autoroute A43, arrivant de Chambéry à La Chambre.

    En 2001, un télésiège très moderne à six places est construit aux Longes en remplacement des téléskis du Marquis et du Roc noir, et les premières constructions aux Longes sont alors réalisées. La station de Saint-François–Longchamp possède alors une capacité de 6 000 lits. La station continue également à se développer du côté de la Zac des raisins.

    Vue, depuis les pistes de ski, d'une partie du village, de Montgellafrey et du pic de la Lauzière (hiver 2011).

    En 2003 le secteur du Mollaret côté Montgellafrey continue de s’agrandir et en 2004 la route pastorale du lac de la Léchère est goudronnée jusqu’au lac à Montgellafrey.

    À partir de 2005, le secteur « village gaulois » est achevé et la Zac des raisins continue de se développer. Du côté de Montgellafrey, les travaux de construction des immeubles, garages et commerces du Plan Mollaret démarrent et seront achevés l'année suivante. En décembre le télésiège du Frêne, moderne de six places débrayable, remplace les deux téléskis dits Frêne 1 et Frêne 2 et améliore sensiblement la liaison avec Valmorel qui de son côté a également remplacé chaque année de nombreuses remontées mécaniques. L'année 2008 voit la suppression du télésiège de la Buffe et la création du télésiège des Clochettes au cœur de la station 1 450 m. L'année suivante, le télésiège de la Lune Bleue devient un télésiège débrayable de six places. Par ailleurs, le SIVOM de Saint-François-Longchamp/Montgellafrey lance la construction d’un centre de remise en forme.

    En 2010, le centre de remise en forme et balnéothérapie ouvre ses portes à Saint-François et l’hébergement 4 étoiles commence à apparaitre sur la commune avec les Chalets de la Madeleine et le hameau des Airelles.

    En 2013, Labellemontagne fait la seule extension de domaine skiable en Savoie avec la création du télésiège du Soleil Rouge qui ouvre tout le secteur des Balcons. Le SIVOM requalifie un ancien garage communal à l'entrée de la place de la Madeleine en un cabinet médical spacieux et offre de nouveaux locaux à la centrale de réservation de Saint-François-Longchamp

    Le, la commune devient une ancienne commune et prend le statut de commune déléguée, comme les communes de Montaimont et Montgellafrey. Ces trois communes sont déléguées de la nouvelle commune Saint François Longchamp qui prend le statut de commune nouvelle[1].

    Politique et administration

    Administration municipale

    L'hôtel de ville de Saint-Francois-Longchamp.

    Le conseil municipal comptait 11 membres élus.

    À la suite de la délibération du conseil municipal du , la commune a intégré la communauté de communes de la Vallée du Glandon le , se substituant au syndicat intercommunal du canton de La Chambre, désormais dissout.

    Listes des maires jusque 2016

    La commune a été créée en 1904 par partition de celle de Montgellafrey.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1904 1919 François Antonin Mollard    
    1919 1920 François Séraphin Vinit    
    1920 1945 Adolphe Séverin Vinit    
    1945 1947 Emile André    
    1947 1965 Joseph Vinit    
    1965 1982 Jean Bernard    
    1982 1995 Claude Daumas    
    1995 2001 Patrick Provost    
    2001 2014 Claude Mercier    
    mars 2014 31 décembre 2016 Patrick Provost    

    Liste des maires de la commune déléguée

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1er janvier 2017 En cours Patrick Provost    

    Jumelages

    La commune de Saint-François-Longchamp ne compte à ce jour aucun jumelage.

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Enversins car originaires des villages de l'Envers[10].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1906. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[12],[Note 1].

    En 2014, la commune comptait 246 habitants, en augmentation de 13,36 % par rapport à 2009 (Savoie : 3,73 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

               Évolution de la population  [modifier]
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2112001761571391379996132
    1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 2014 -
    223159221236194215245246-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[14].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Santé

    • Centre de balnéothérapie ;
    • Centre médical, avec un médecin et des infirmières.

    Sports

    • Club des sports ;
    • Centre sportif (terrains de tennis, piscines...).

    Station de sports d'hiver

    Saint-François-Longchamp

    La station de Saint-François-Longchamp Montgellafrey.
    Administration
    Pays France
    Site web www.saintfrancoislongchamp.com
    Géographie
    Coordonnées 45° 24′ 38″ nord, 6° 20′ 57″ est
    Massif
    Altitude 1650-1750
    Altitude maximum 2550
    Altitude minimum 1650
    Ski alpin
    Lié à Valmorel
    Domaine skiable Grand-domaine
    Remontées
    Nombre de remontées 48
    Téléphériques 0
    Funitels et funiculaires 0
    Télécabines 3
    Télésièges 13
    Téléskis 28
    Débit 56 421 (personnes/heure)
    Pistes
    Nombre de pistes 87
    Noires 8
    Rouges 18
    Bleues 37
    Vertes 24
    Total des pistes 165 km
    Installations
    Nouvelles glisses
    Wahouland, Oupoualland
    Ski de fond
    Nombre de pistes 50[15]
    Noires -
    Rouges -
    Bleues -
    Vertes -
    Total des pistes - km

    Station de ski : 2 550 m au sommet des pistes ; 152 km de pistes de ski alpin ; 50 km de ski de fond.

    Domaine relié au domaine de la commune de Valmorel, l'ensemble constituant la station dite du Grand-Domaine.

    À 13 km de la station, se trouve l'espace nordique du Grand Coin sur la commune de la Tour-en-Maurienne, au pied du col du Chaussy

    Station et domaine skiable de Saint-François-Longchamp-Montgellafrey en hiver.

    Station d'été

    • 90 km de sentiers balisés
    • 50 km de sentiers VTT balisés
    • 4 lacs en altitude
    • Sentier de découverte des espèces végétale (1 h praticable pour tous)
    • Une Luge 4 saisons
    • 2 city stades
    • Un mur d'escalade
    • Un Airbag
    • Parcours acrobatique en hauteur pour enfant
    • Piscine chauffée
    • Court de tennis
    • Minigolf
    • Alpinisme-escalade
    • Canyoning
    • Hydrospeed
    • Parapente
    • Rafting
    • Remontée mécanique ouverte
    • Via-Ferrata

    Cultes

    • Chapelle Saint-Anne.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal par ménage en France était de 25 574 €.

    Tourisme

    En 2014, la capacité d'accueil de la station, estimée par l'organisme Savoie-Mont-Blanc, est de 11 551 lits touristiques répartis dans 1 313 établissements[Note 2]. Les hébergements se répartissent comme suit : 6 meublés ; 12 résidences de tourisme ; 4 hôtels ; 4 centres ou villages de vacances / maisons familiales et une chambre d'hôtes[16].

    La station reçoit en 2015 le quatrième prix de « Meilleure Destination Européenne de ski d'Europe » (Best ski resorts in Europe 2016)[17].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine architectural

    • Les maisons colombines, maisons dont la particularité est que la charpente en bois est totalement séparée des murs, soutenues par des poutres en bois et des rochers.
    • La chapelle Saint-Anne.

    Patrimoine environnemental

    • Le col de la Madeleine régulièrement emprunté les coureurs du Tour de France.
    • Le Cheval noir est le point culminant 2 832 m de la région et accessible en été par un chemin indiqué sur les cartes IGN. En hiver, des randonneurs remontent la pente à l'aide de skis de randonnée lorsque les conditions d'enneigement sont bonnes car le risque d'avalanches est important dans cette zone.
    • Un site de Cheminée de fée est visible de la route qui monte depuis La Chambre. Les dimensions du grand chapeau, d'après l'ONF, font état d'une hauteur de la cheminée principale de 38 m, un volume de 45 m3 pour un poids de 130 tonnes.
    • Lac bleu et lac blanc.

    Personnalités liées à la commune

    Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Saint-François-Longchamp :

    • Fanny Cottençon, actrice et productrice, y réside régulièrement, en 1983 elle inaugure la maison du tourisme et est marraine de la salle de cinéma qui porte son prénom : le Fanny[18] ;
    • Jean-Claude Killy, skieur alpin, y résida et s’entraîna sur les pistes de la station[18] ;
    • Pierre Montaz, fondateur de la société de remontées mécaniques. Montaz Mautino y réside[18].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • André Bitz, Jean Prieur, La Rupture. Montgellafrey, Saint-François-sur-Bugeon, Saint-Jean-de-Maurienne, Derrier, 2008.
    • Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5), p. 121. ([PDF] lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    2. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'implique donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[16].

    Références

    1. « 73_PREF_Préfecture de la Savoie 73-2016-12-19-001 - Arrêté préfectoral, portant création de la commune nouvelle de Saint François Longchamp » [PDF], Recueil des actes administratifs de la Savoie, p. 118.
    2. Bernard Demotz et François Loridon, 1000 ans d'histoire de la Savoie : La Maurienne (Volume 2), Cléopas, , 845 p. (ISBN 978-2-9522459-7-5), p. 239
    3. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 24
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    4. Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche et Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5), p. 94.
    5. Revue de géographie alpine (Volume 29), 1941, p. 260.
    6. Daniel Dequier, La Maurienne d'autrefoi, 2002, La Fontaine de Siloé, 207 p., p. 148
    7. Musée d'histoire naturelle de Grenoble
    8. Article du 4 mars du journal Le Dauphiné
    9. André Bitz, Jean Prieur, La Rupture. Montgellafrey, Saint-François-sur-Bugeon, Saint-Jean-de-Maurienne, Derrier, 2008]
    10. « Le terme d'Enversain ou Enversin qui se retrouve dans d'autres lieux-dits de la commune de Saint-Christophe, et dans un écart de la commune d'Oz, signifie "terrain à l'envers", c'est-à-dire mal exposé. » Recueil des travaux de l'Institut de géographie alpine, Université de Grenoble. Institut de géographie alpine, 1918, vol. 6, p. 338
    11. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
    12. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
    15. Relié au domaine de Montainmont
    16. « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
    17. (en) « Best ski resorts in Europe 2016 », sur www.eu ropeanbestdestinations.com (consulté le )
    18. [PDF] « Saint-François-Longchamp - Col de la Madeleine; dossier de presse hiver 2013-2014 », sur le site de la commune de Saint-François-Longchamp (consulté le ), p. 3.
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