Saint-Gervais-d'Auvergne
Saint-Gervais-d'Auvergne (Sant Gervés d'Auvèrnhe en occitan[1]) est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Gervais.
Saint-Gervais-d'Auvergne | |||||
Clocher fortifié de l'église Saint-Gervais-et-Saint-Protais inscrite aux monuments historiques. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Puy-de-Dôme | ||||
Arrondissement | Riom | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Saint-Éloy | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Gaillard 2020-2026 |
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Code postal | 63390 | ||||
Code commune | 63354 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gervaisiens | ||||
Population municipale |
1 273 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 27 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 01′ 48″ nord, 2° 49′ 11″ est | ||||
Altitude | Min. 390 m Max. 742 m |
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Superficie | 47,35 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Éloy-les-Mines | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | mairie-saintgervaisauvergne.fr | ||||
Ses habitants, au nombre de 1 273 au recensement de 2019, sont appelés les Gervaisiens et les Gervaisiennes.
Géographie
Localisation
Située au nord-ouest du département du Puy-de-Dôme, la commune de Saint-Gervais-d'Auvergne est à 50 km au sud de Montluçon et à 60 km au nord-ouest de Clermont-Ferrand. La commune est au cœur des Combrailles.
Huit communes sont limitrophes[2] :
- Carte de la commune.
- Entrée de l'agglomération.
- Croix de chemin avec vue sur Mouly.
- Paysage à Ouches.
Géologie et relief
Le bourg est à 725 mètres d'altitude, sur une petite butte dominant la pénéplaine environnante. À l'est, la commune est délimitée par la Sioule (un affluent de l'Allier) et le méandre de Queuille qui enlace la presqu'île de Murat. Cette rivière coule dans une gorge qui entaille de 300 m le plateau granitique sur lequel est posé le reste de la commune.
Voies routières
Saint-Gervais-d'Auvergne est desservie par les routes départementales 227 (liaison vers Pionsat, au nord-ouest, et Manzat et Riom au sud-est) et 987 (ancienne route nationale 687, liaison vers Saint-Éloy-les-Mines au nord et Pontaumur au sud).
Le territoire communal est également traversé par les routes départementales 227b, 417 (vers Châteauneuf-les-Bains à l'est par le Grand Mayet), 513 (liaison de Saint-Priest-des-Champs à Sauret-Besserve par la halte de Saint-Priest - Sauret), 513a (liaison de la D 987 près du lieu-dit La Fauvieille à la D 513), 523 (vers Sauret-Besserve et Les Ancizes-Comps au sud), 531 (vers Le Bouchet, au sud-est de la commune), 532 (vers Espinasse à l'ouest), et 534 (partie du contournement de la ville)[2].
Transport ferroviaire
Une gare est implantée sur la ligne de Lapeyrouse à Volvic. Saint-Gervais-d'Auvergne se trouve sur le tracé de cette ligne reliant Montluçon à Clermont-Ferrand via Volvic, dont l'exploitation a cessé en 2007. En traversant la commune, la ligne offrait alors un point de vue sur la région.
- Gorges de la Sioule - Méandre de Queuille.
- La D987 - Près de l'étang Philippe.
- L'ancienne gare.
Urbanisme
Typologie
Saint-Gervais-d'Auvergne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].
L'habitat est relativement rassemblé sur le bourg et les hameaux répartis sur le reste du territoire sont peu peuplés au regard de celui-ci.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37,2 %), zones agricoles hétérogènes (35 %), forêts (24,9 %), zones urbanisées (2,3 %), eaux continentales[Note 2] (0,6 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Autrefois Saint-Gervais s'appelait parallèlement Mongolt. C'est vraisemblablement au Xe siècle que la cité prit son nom actuel en se plaçant sous la protection des deux saints, Gervais et Protais. On construisit alors un premier édifice religieux.
Le village et la commune se nomme Sant Gervés en occitan (dialecte nord-occitan auvergnat[9]).
Histoire
Au Moyen Age, Saint-Gervais était fortifiée d'un rempart précédé de fossés. Plusieurs portes permettaient l'accès à la cité. Dans l'enceinte de la ville existait un château féodal, lui-même entouré de fossés.
Au XVIIe siècle, Saint-Gervais change de physionomie. Les fossés sont comblés, le rempart et les portes détruites parce que gênants. La vieille forteresse seigneuriale est également éliminée. On construit alors un nouveau château qui existe encore et est aujourd'hui l'hôtel-restaurant Castel-Hôtel 1904[10].
Jusqu'au début du XIIe siècle, Saint-Gervais-d'Auvergne était du domaine des comtes d'Auvergne.
Alphonse de Poitiers (frère de Saint Louis) accorde à Saint-Gervais-d'Auvergne le statut de ville franche au cours du XIIIe siècle, ce qui lui permet de se développer.
Jusqu'en 1790, le bourg a abrité un grenier à sel.
Seconde guerre mondiale : Saint-Gervais-d'Auvergne appartenait à la Zone 13, zone de résistance. Des résistants prirent le maquis et participèrent à des faits de guerre.
Les dates importantes sont[11] :
- 10 avril 1943 : début de la création du Maquis de Chazelette (Hameau de Saint-Gervais), caché dans le vallon du Braynant au Moulin de Pailet (Commune de Sainte-Christine)
- 26 avril 1943 : arrivée du premier maquisard à Chazelette venant du Groupe Caille de Riom
- Vers le 15 juin 1943 : premier contact à Clermont-Ferrand de Paul Roche avec « Georges » (Gabriel Montpied) intendant des Maquis. Paul Roche prend le pseudonyme d’ « André ». On convient des jours d’arrivées des Maquisards en gare de St Gervais, du signe distinctif et du mot de passe
- 21 juin 1943 : « André » est nommé Chef Actif de Canton des M.U.R. pour St Gervais
- 10 août 1943 : attaque des GMR de Pétain et de la Milice contre le Maquis de Chazelette. Prévenu, le Maquis a décroché. Aucune arrestation
- 4 Novembre 1943 : « André » est nommé Chef du Sous-Arrondissement Militaire de Saint Gervais d’Auvergne comprenant les cantons de St Gervais, Pionsat, Montaigut et Menat, à la suite des accords entre les MUR (Coulaudon) et l’ORA (Garcie)
- 17 mai 1944 : mobilisation de la Trentaine de Commandement du Sous Arrondissement de Saint Gervais. Chef « André » (Paul Roche), adjoints « Lecomte » (Emile Jambrun) de Montaigut, « Ric » de Pionsat, « Raffin » (Georges Raphanel) de Menat. Premier cantonnement à Coterue (Gouttières)
- 3 juin 1944 : sabotage de la ligne SNCF, près de la gare de Gouttières, par la Trentaine de Commandement de Saint-Gervais
- 5 juin 1944 : sabotage de la ligne SNCF Montluçon-Gannat par la Trentaine de St Gervais
- 9 juin 1944 : les gendarmeries du Sous Arrondissement de St Gervais, (St Gervais et Pionsat) rejoignent le Maquis au P.C.de la Trentaine de Commandement à Péry de Charbonnières-les-Vieilles
- 10 juin 1944 : coupure de la ligne téléphonique Clermont-St Gervais par la Trentaine au point prévu par « Blanchard » à l’automne 1943
- 12 juin 1944 : sabotage du pont SNCF du Mamont près de St Gervais par la Trentaine. Le trafic sera interrompu jusqu’à la Libération
- 2 juillet 1944 : ratissage des 4 cantons du Sous Arrondissement par les troupes allemandes aidées par la Milice. Incendies des maisons de Coterue à Gouttières. 6 personnes sont arrêtées à Saint-Gervais et le Capitaine Lépine est arrêté au pont de Menat
- 11 juillet 1944 : arrivée des cadres du « Commandant Lavenue » (Louis Proust) à la Prade et Chazelette
- 22 juillet 1944 : à 200 m de Servant une voiture de la Trentaine de Saint-Gervais qui revenait de prévenir, dans la forêt proche, le Camp FFI-FTP Jean Chauvet de la présence de troupes allemandes est prise sous le feu d’une automitrailleuse. Les 4 occupants réussissent à s’échapper (Emile Jambrun, l’adjudant de gendarmerie Criqui, Henri Duron et Paulo Roffet)
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Saint-Gervais-d'Auvergne est membre de la communauté de communes du Pays de Saint-Éloy[12], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Éloy-les-Mines[13]. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[14]. De 2000 à 2016, elle était le siège de la communauté de communes Cœur de Combrailles[15],[16].
La commune est le siège du Syndicat mixte pour l'aménagement et le développement des Combrailles (SMADC), structure regroupant 102 communes de cette région auvergnate.
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[12]. Elle était chef-lieu de canton jusqu'en [17].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Éloy-les-Mines pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[12], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[17].
Élections de 2020
Le conseil municipal de Saint-Gervais-d'Auvergne, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[18], pour un mandat de six ans renouvelable[19]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15[20]. Les quinze conseillers municipaux sont élus au premier tour, le , avec un taux de participation de 65,29 %, se répartissant en : quatorze sièges issus de la liste de Jean-Claude Gaillard et un siège issu de la liste de Michel Portier[21].
Les quatre sièges attribués à la commune au conseil communautaire de la communauté de communes du Pays de Saint-Éloy sont issus de la liste de Jean-Claude Gaillard[21].
Chronologie des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].
En 2019, la commune comptait 1 273 habitants[Note 3], en diminution de 2,82 % par rapport à 2013 (Puy-de-Dôme : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
Le groupe scolaire accueille environ 150 élèves, de la petite section de maternelle au CM2.
Le collège Baptiste-Bascoulergue accueille à peu près le même nombre d'élèves, de la 6e à la 3e.
Les lycéens vont à Riom, aux lycées Virlogeux ou Pierre-Joël-Bonté[28].
Le lycée agricole des Combrailles (130 élèves, 80 stagiaires, 150 apprentis) forme des scolaires, des apprentis et des adultes aux métiers du chien et de l'animalerie dans le cadre de formations qualifiantes, en s'appuyant sur son chenil (15 races), son animalerie (200 espèces), son salon de toilettage et son réseau national de professionnels (éleveurs de chiens et chats, toiletteurs, animaliers, sociétés de gardiennage).
- Métiers de l’élevage canin et félin : BPA, Bac Pro, BP REA, BP éducateur canin.
- Métiers du Toilettage : Certificat de toilettage, Certificat de spécialisation en toilettage.
- Métiers du gardiennage : Agent cynophile de sécurité (maître chien).
- Métier de l’animalerie : Technicien-conseil vente en animalerie[29].
Manifestations culturelles et festivités
Depuis 1986 a lieu chaque année au mois de novembre, le Concours Charolais. Il se tient à la halle agricole Cœur de Combrailles depuis l'ouverture de celle-ci en 2002.
Un marché a lieu tous les lundis matin et huit lundis par an il se transforme en foire.
La fête patronale a lieu mi-juin. Elle s'ajoute aux nombreux bals, concours de belote et autres manifestations que diverses associations organisent tout au long de l'année.
De 2007 à 2016, la halle a accueilli début aout une des deux rencontres des Grands bals de l'Europe, évènement majeur de danse folk, organisées par l'Association Européenne des Amoureux de la Danse Traditionnelle. Ce grand festival de musique et de danses traditionnelles d'Europe et d'ailleurs rassemblait en moyenne 2 000 danseurs chaque soir. L'édition 2017 a été entièrement organisée à Gennetines, en banlieue de Moulins, dans le département de l'Allier.
Santé
L'EHPAD Maurice Savy accueille 38 personnes âgées.
Sports
L'Union Sportive Gervaisienne (USG) comporte cinq sections : basket-ball, boxe française, football, pétanque et tennis.
Économie
L'activité principale de la commune est agricole (élevage extensif de broutards de race charolaise destinés à l'exportation).
Hors l'usine de production hydroélectrique du barrage de Queuille, il n'y a pas d'activité industrielle sur le territoire de la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'Église Saint-Gervais-et-Saint-Protais avec quelques statues remarquables, ainsi que des contreforts médiévaux soutenant le clocher.
- Deux monuments aux morts: un auprès de l église (ancien cimetière) et un au cimetière.
- L'étang Philippe (onze hectares) et son camping sont des lieux agréables pour des vacances à la campagne en été.
- Le château de la Villatelle, détruit par un incendie[Quand ?]. Mme Revon, la propriétaire de ce château, fut une figure locale.
- La rivière à truite la Sioule et son méandre de Queuille
- L'Église Saint-Gervais-et-Saint-Protais
- L'Église Saint-Gervais-et-Saint-Protais
- Intérieur de l'église Saint-Gervais et Saint-Protais
- Chapelle latérale nord de l'église Saint-Gervais
- Monument aux morts auprès de l'église
- Monument aux morts au cimetière
- le château de Neufvialle[30]
Personnalités liées à la commune
- Étienne Maison (1847-1937) : homme politique mort à Saint-Gervais-d'Auvergne
Voir aussi
Bibliographie
- Ambroise Tardieu et Augustin Madebène, Histoire illustrée de la ville et du canton de Saint-Gervais d'Auvergne (Puy-de-Dôme), suivie d'un dictionnaire historique et archéologique des communes, paroisses, églises, chapelles, prieurés, commanderies, châteaux, fiefs, etc., compris dans ce canton, auto-édition, (lire en ligne)Histoire de la ville et du canton, des personnages dignes de mémoire et des familles locales (Armizon, Archimbaud, Aubignat, Barsse, Barthomivat, Bathiat, Batisse, Beneyton, Bottes, Beschard-Grand, Chaffraix, Chardonnet, Charvilhat, Clautrier, Colin, Cousson, Deslignères, Dufal, Durel, Durif, Faucon, Faure, Favier, Gaby, Géraud, Gouzonnat, Grand, Lelong, Madebène, Maison, Martin, Masson, Merilhon, Meissonnier, Meunier-Durif, Mombrun, De Neuville, Nony, Nouhen, Paitre, Parrin-Maugue, Payrard, Perol, Pradelle, Pracros, Rouchon, Saby, Sersiron, Tixier, Toulemont, Veysset, Vialette, Villiet).
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Saint-Gervais-d'Auvergne sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- (oc) Estève R., « Quauques novelas de la sason culturala estivala en Auvèrnhe », sur https://jornal.aprene.org/Jorn9/ ; site officiel d'Aprene !, .
- Géoportail (consulté le 21 avril 2017).
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- (oc) J.-P. Godonesca, « Pichon lexic d'occitan auvernhat de las Combralhas », Parlem ! Vai-i qu'as paur !, Thiers, Clermont-Ferrand, Institut d'études occitanes, vol. 123, .
- Site commercial de l'établissement propriétaire du château.
- « Chronologie des événements dans la Zone 13 », sur Musée de la Résistance de la Zone 13, (consulté le )
- « Commune de Saint-Gervais-d'Auvergne (63354) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Arrêté no 16-02964 du 19 décembre 2016 « prononçant la fusion des communautés de communes « Saint-Eloy Communauté », « de Pionsat » et « Cœur de Combrailles » étendue aux communes de Servant, Menat, Teilhet, Neuf-Eglise et Virlet […] à compter du », et arrêté rectificatif no 16-02981 du 22 décembre 2016, parus au recueil des actes administratifs no 63-2016-065 [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, 23 décembre 2016 (consulté le 23 décembre 2016), p. 114-126 et 140-142.
- « CC du Pays de Saint-Eloy (No SIREN : 200072080) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
- « CC Coeur de Combrailles (No SIREN : 246300917) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
- « Les communes », Communauté de communes Cœur de Combrailles (consulté le ).
- « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
- Loi no 2013-403 du relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51, et son décret d'application no 2013-938 du .
- « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL.
- Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Liste des maires de la commune depuis la révolution
- « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], sur mairesruraux63.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme, (consulté le ), p. 7.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], sur ac-clermont.fr, Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 13.
- Bulletin municipal Octobre 2010
- DAVID, château de Neufvialle Saint Gervais d'Auvergne, le gonfanon n°69, Argha
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