Saint-Laurent-d'Arce

Saint-Laurent-d'Arce est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Laurent.

Saint-Laurent-d'Arce

Portail au nord de l'église Saint-Laurent.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Blaye
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Cubzaguais
Maire
Mandat
Jean-Pierre Suberville
2020-2026
Code postal 33240
Code commune 33425
Démographie
Gentilé Saint-Laurentais
Population
municipale
1 484 hab. (2019 )
Densité 184 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 02′ 08″ nord, 0° 28′ 08″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 46 m
Superficie 8,07 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Gironde
Législatives Onzième circonscription
Localisation
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Saint-Laurent-d'Arce
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Saint-Laurent-d'Arce
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Laurent-d'Arce
Liens
Site web www.saintlaurentdarce.fr//

    Géographie

    La commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux et de son unité urbaine. Elle faisait auparavant partie de l'unité urbaine de Saint-André-de-Cubzac absorbée par celle de Bordeaux selon la délimitation de 2020.

    Communes limitrophes de Saint-Laurent-d'Arce
    Tauriac Cézac
    Prignac-et-Marcamps Peujard
    Saint-Gervais Virsac

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Moron.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 909 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gervais », sur la commune de Saint-Gervais, mise en service en 1995[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 784,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 25 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Laurent-d'Arce est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[17] et 986 879 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38 %), cultures permanentes (20,4 %), forêts (16 %), zones urbanisées (11,9 %), prairies (10,5 %), eaux continentales[Note 7] (3,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La commune doit son nom à saint Laurent, martyr du IIIe siècle, et au mot latin arx qui signifie « citadelle »[23].

    En gascon, le nom de la commune est Sent Laurenç d'Arce.

    Ses habitants sont appelés les Saint-Laurentais[24].

    Histoire

    La découverte de racloirs datant du Moustérien (entre 70 000 et 35 000 avant Jésus-Christ) indique que le site de la commune est occupé dès le Paléolithique moyen[23].

    À l’époque gallo-romaine, une citadelle est implantée, pour protéger la voie romaine qui relie Burdigala (Bordeaux) à Santonum (Saintes)[23].

    Au XVIIIe siècle, des carrières souterraines sont ouvertes pour l’extraction de la pierre de Bourg. Ainsi, la commune participe à la construction de la ville de Bordeaux ainsi que celle de ponts. Ultérieurement, de l'entre-deux-guerres jusqu'aux années 1950, les carrières de pierre, devenues inutilisées, sont transformées en champignonnières, pour la production de champignons de Paris[23].

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Au XIe siècle, une église paroissiale est bâtie, puis, au XIIe siècle, une chapelle dédiée à sainte Quitterie est construite par les Templiers au lieu-dit Magrigne. La paroisse se trouve sur un des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle[23]. Lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple la commanderie passa aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

    La chapelle est de style roman et n'a aucune fenêtre latérale à cause des bâtiments qui s'élevaient sur ses côtés. La nef unique est soutenue par de larges contreforts plats et bâtie avec de très belles pierres, elle est couverte d'un berceau brisé sans doubleau. Le chevet est plat et percé d'un élégant triplet aux ouvertures étroites et hautes. Léo Drouyn indique qu'un « cordon horizontal divise l'extérieur en deux étages, et les flancs nord et sud sont surmontés d'une corniche supportant des modillons semblables à ceux de la chapelle de la Magdeleine à Saint Émilion ». La porte du XIIIe siècle est surmontée d'une longue lancette et le pignon se termine par un clocher-arcade géminé. On retrouve des traces de peintures du XIIIe siècle ; Léo Drouyn conclut qu'elle doit être une des dernières ornées de peintures de cette époque.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1977 2001 Michel Carrique    
    mars 2001 2020 Jacques Bastide UMP-LR  
    2020 En cours Jean-Pierre Suberville    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Arrondissement

    La commune fait partie de l'arrondissement de Blaye depuis 2006[25].

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

    En 2019, la commune comptait 1 484 habitants[Note 8], en augmentation de 6,99 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    858719734787856835794859775
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    877882874849818827829881886
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    922855813700666711656597625
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    7037828771 0201 1401 0571 2601 2891 370
    2017 2019 - - - - - - -
    1 4491 484-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Laurent

    L'église Saint-Laurent est située au centre du village. Elle fut construite au XIe-XIIe siècle, puis dotée d'un puissant clocher barlong. Léo Drouyn indique : « Au XVIe siècle, on a rebâti l'église presque entière et on l'a fortifiée de manière à en faire une sorte de citadelle capable de résister longtemps à une troupe de gens armés. » Son portail construit en avant-corps, dont les voussures en arc brisé retombent sur des chapiteaux de feuillage correspond à la deuxième campagne de travaux, située au XIIIe siècle, et contemporaine de l'édification du clocher; il remplace probablement le premier portail roman[31]. Au fond de l'avant-corps, la porte est ornée au XVIe siècle de motifs du gothique flamboyant. La nef s'accompagne d'un bas côté voûté en étoile dont les clefs sont bordées d'un cordage. Jusque vers 1880, elle était entourée d'un vaste cimetière. L'église est inscrite à l'Inventaire des Monuments historiques par arrêté du [32].

    La chapelle Sainte-Quitterie de Magrigne

    Chapelle Sainte-Quitterie

    L'église Sainte-Quitterie est une chapelle des Templiers a été bâtie au XIIe siècle et elle est dédiée à sainte Quitterie. La chapelle était un sanctuaire au XIIIe siècle, attribué aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

    Abandonnée, envahie par les herbes folles, les animaux de la ferme, elle fut restaurée et rendue au culte en 1895. Un pèlerinage est organisé chaque année pour la fête de la Pentecôte. La chapelle est classée Monument historique par arrêté du .

    Héraldique

    Blason
    Taillé abaissé à senestre, au premier d'azur à l'église du lieu, faillie à senestre, au trait et maçonnée de sable, senestrée en chef d'une croisette de Malte de sable, surmontés de l'inscription « SAINT LAURENT D'ARCE » en lettres de sable ordonnées en arc de cercle, au second d'or au champignon accosté à dextre d'un autre plus petit et à la grappe de raisin feuillée, les deux meubles au trait de sable et rangés en bande[33].
    Détails
    Officiel, présent sur le site internet de la commune[34]

    Voir aussi

    Bibliographie

    • ARHAL, Magrigne, témoignage d’histoire, édition ARHAL, 1998
    • Claude Bardeau, Saint-Laurent d’Arx, 2002
    • ARHAL, Saint-Laurent d’Arce par ses cartes postales, édition ARHAL, 2008
    • Christophe Meynard, Phred, Le Cubzaguais, un siècle en 100 photos, éd. ARHAL, 2015

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Gervais - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Laurent-d'Arce et Saint-Gervais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Gervais - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Laurent-d'Arce et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. Saint-Laurent-d’Arce sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 26 décembre 2014.
    24. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
    25. Arrêté préfectoral du 22 mars 2006, p. 48.
    26. Annuaire des villes jumelées
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. Michelle Gaborit, notice Saint-Laurent d'Arce - église Saint-Laurent, in Léo Drouyn et la Haute-Gironde, Les albums de dessin, vol. 12, Éditions de l'Entre-deux-Mers, 2005, (ISBN 2-913568-33-5), p. 82
    32. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    33. Saint-Laurent-d'Arce sur Armorial de France.
    34. Saint-Laurent-d'Arce, histoire.
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