Saint-M'Hervé

Saint-M'Hervé est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 356 habitants[Note 1] (les Saint-M'Hervéens).

Ne doit pas être confondu avec Saint-M'Hervon.

Saint-M'Hervé

Mairie de Saint-M'Hervé.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Élisabeth Brun
2020-2026
Code postal 35500
Code commune 35300
Démographie
Gentilé Saint-M'Hervéens
Population
municipale
1 356 hab. (2019 )
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 10′ 43″ nord, 1° 06′ 58″ ouest
Altitude Min. 72 m
Max. 171 m
Superficie 29,68 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vitré
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vitré
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-M'Hervé
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-M'Hervé
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Saint-M'Hervé
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Saint-M'Hervé
Liens
Site web www.saintmherve.fr

    Géographie

    Saint-M'Hervé est située à l'est de la Bretagne, entre Vitré et Laval. La commune est traversée par la Vilaine avec notamment l'étang de Haute-Vilaine, qui est régulièrement touché par des proliférations de cyanobactéries[1].

    Le barrage de Haute Vilaine.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 845 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Launay-Villiers », sur la commune de Launay-Villiers, mise en service en 2001[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 858,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 46 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-M'Hervé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vitré, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,9 %), prairies (35 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), eaux continentales[Note 8] (2,4 %), mines, décharges et chantiers (2,1 %), zones urbanisées (1,3 %), forêts (1,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancto Herveo au XIe siècle[22], ecclesia de Sancto Merveio au XIIIe siècle, ecclesia Sanctii Mervei en 1516[23].

    Saint-M'Hervé porte le nom de son église paroissiale. Ce nom ne fait pas référence à Hervé, saint breton du VIe siècle, mais à un Mérovée de l'époque des Francs. L'ancienne commune de Saint-M'Hervon, également située en Ille-et-Vilaine, possède un nom similaire mais le sien réfère à un saint local appelé Maëlmon[24]. Saint-M'Hervé est mentionné pour la première fois au XIIIe siècle sous la forme latine ecclesia de Sancto Merveio (« église de Saint-Mérovée »)[23].

    Histoire

    Époque moderne

    La Gélinière est une maison de marchand de toile datant de la fin du XVIe siècle, qui présente notamment une tour d'escalier saillante, coiffée d'un épi de faîtage, sur sa façade.

    Selon Henri Sée, en 1774, le nombre des journaliers et domestiques à Saint-M'Hervé était de 345 sur une population totale qui s'élevait alors à 2 131 habitants[25].

    Révolution française

    Dans un rapport daté du , les autorités d'Ernée écrivent que des paysans d'Argentré, Le Pertre, Mondevert, Erbrée, La Chapelle-Erbrée, Bréal, Saint-M'Hervé, Montautour et Balazé avaient « porté leurs grain aux insurgés pendant leur séjour à Laval »[26].

    Saint-M'Hervé fait partie des communes déclarées totalement insurgées en 1793-1794[27]. La colonne ou canton d'Argentré, des chouans membres de la division de Vitré de l'Armée catholique et royale de Rennes et de Fougères, eut pour chef Toussaint du Breil de Pontbriand, secondé par Louis Hubert. Elle était divisée en plusieurs compagnies : compagnie d'Étrelles, compagnie d'Argentré-du-Plessis, compagnie de Saint-M'Hervé (capitaine : Pierre Carré, dit Piquet, lieutenants : Noël Coeffé, Pierre Hodeyer et Mathurin Combois), compagnie de La Chapelle-Erbrée, compagnie du Pertre, compagnie de Vitré.

    Deux combats menés par la Chouannerie contre les Républicains se déroulèrent à Saint-M'hervé, l'un en 1795, l'autre en 1796.

    Louis Hubert, né le à Saint-M'Hervé, fut un chef chouan qui participa notamment au combat de Saint-M'Hervé (1796), au combat du Pont de Cantache et fut tué le lors du combat de Touchenault.

    La Belle Époque

    Selon le journal La Croix, en 1891, 12 élèves sont inscrits à l'école laïcisée contre 92 à l'école « libre », congréganiste[28].

    Le Journal officiel du indique que Louis Félix Ollivier, député des Côtes-du-Nord, a déposé sur le bureau de l'Assemblée nationale une pétition hostile à la politique menée par le gouvernement d'Émile Combes signée entre autres par 328 habitants de Saint-M'Hervé[29].

    L'inventaire des biens d'église provoqua des difficultés : Le Journal du écrit : « À La Chapelle-Janson, Balazé, Saint-M'Hervé, les bourgs étaient barrés par des tas de fagots enflammés; les églises étaient entourées de charrettes enchevêtrées les unes dans les autres ; et les gendarmes étaient accueillis avec des gourdins et à coups de cailloux. Plusieurs officiers et plusieurs gendarmes ont été renversés et assez sérieusement blessés »[30].

    Héraldique

    Blason
    Échiqueté de gueules et d'hermine.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1989 juin 1995 Jacques Bougault   Comptable
    mars 2001 mars 2008 Bernard Beaudouin   Agent d'assurance
    mars 2008 23 mai 2020 Dominique Kerjouan[31] SE Enseignant
    23 mai 2020 En cours Élisabeth Brun[32] DVD Assistante maternelle
    Conseillère départementale de Vitré (2021 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

    En 2019, la commune comptait 1 356 habitants[Note 9], en diminution de 1,38 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +5,84 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2001 9051 9842 2082 0161 9901 8091 8341 926
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8841 9091 8731 7741 7741 7441 7121 6881 661
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6751 6901 5561 3251 3101 3071 3361 3461 292
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 2151 2171 1891 1931 1441 2131 3271 3601 375
    2018 2019 - - - - - - -
    1 3471 356-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'économie de Saint-M'Hervé tourne autour :

    • de l'activité agricole
    • d'une carrière d'extraction [37]
    • d'une base nautique [38], qui a accueilli le championnat de France de kayak en 2017[39]

    Transports

    La commune est desservie par la ligne de bus n°4 et la ligne N°10 (base nautique et plages de La Chapelle-Erbrée en été) de Vitré Communauté.

    Lieux et monuments

    L'église paroissiale de Saint-M'Hervé.

    La maison de la Gélinière fait partie d'une petite série de maisons concentrées sur la commune de Saint-M'Hervé. Ces maisons ont en commun leur plan symétrique à deux portes jumelles, la tour d'escalier couverte d'un toit conique située à l'arrière de la construction. La charpente de la tour  assez sophistiquée  comporte trois niveaux d'enrayure. Ce haut toit donne un aspect élancé et élégant à la tour. Au bas de la tour, une pierre d'évier en schiste est engagée dans le mur.

    La construction en moellons de quartzite et baies en granite est de belle qualité. Il reste devant la maison des traces d'une cour fermée et d'un portail

    Le style général de la maison et quelques détails de décor indiquent une datation de la fin du XVIe siècle ou du début du XVIIe siècle, des modifications ayant été effectuées au XVIIIe siècle. Cette maison aurait été construite pour des marchands de toile qui font partie des notables ruraux à cette époque prospère dans une région où était cultivé le chanvre. Les toiles étaient vendues à Saint-Malo pour la marine. La maison aurait été habitée par un chirurgien vitréen avant la Révolution. Ces dernières données constituent autant d'hypothèses non vérifiées.

    Culture

    Une copie du menhir du Champ Dolent a été fabriquée pour les besoins d'une série de télévision Le Champ Dolent, le roman de la Terre de Hervé Baslé. Cette copie se situe aujourd'hui à l'entrée de la commune, sur le carrefour RD 777 et RD 24. Saint-M'Hervé est la commune où se déroule l'intrigue de la série.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2019.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Les cyanobactéries inquiètent des riverains ».
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Launay-Villiers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-M'Hervé et Launay-Villiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Launay-Villiers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-M'Hervé et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Paris, Jean-Paul Gisserot, , 126 p. (ISBN 978-2-87747-482-5 et 2-87747-482-8, lire en ligne), p. 109.
    23. « Étymologie et histoire de Saint-M'Hervé ».
    24. Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne, Bonneton, , 231 p. (ISBN 978-2-86253-283-7), p. 90.
    25. Henri Sée, "Les classes rurales en Bretagne du XVIe siècle à la Révolution", 1906, page 307.
    26. Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, cité par Roger Dupuis, "De la Révolution à la Chouannerie", Nouvelle bibliothèque scientifique, Flammarion, 1988,[ (ISBN 2-08-211173-3)]
    27. Jean-Baptiste Kléber et Henri Baguenier-Desormeaux, "Kléber en Vendée (1793-1794) / documents publiés, pour la Société d'histoire contemporaine", 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111939x/f461.image.r=Saint-Aubin-des-Landes
    28. Journal La Croix du 26 avril 1891, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k212678g/f1.image.r=Balaz%C3%A9?rk=21459;2
    29. Journal officiel de la République française, n° du 13 mars 1903, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64666920/f15.image.r=Balaz%C3%A9?rk=21459;2
    30. Le Journal, no 4913 du 14 mars 1906, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k76257093/f4.image.r=Balaz%C3%A9?rk=386268;0
    31. « Municipales à Saint-M'Hervé. Second mandat pour Dominique Kerjouan, Ouest-France, 3 avril 2014.
    32. « Saint-M'Hervé. Élisabeth Brun a été élue maire », Ouest-France, (lire en ligne).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    37. « carrière de Saint-M'Hervé ».
    38. « base de loisirs de Haute Vilaine ».
    39. « Championnat de France de kayak 2017 ».

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail d’Ille-et-Vilaine‎
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.