La Chaize-le-Vicomte
La Chaize-le-Vicomte est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.
La Chaize-le-Vicomte | |||||
L'église Saint-Nicolas. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Vendée | ||||
Arrondissement | La Roche-sur-Yon | ||||
Intercommunalité | La Roche-sur-Yon-Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Yannick David 2020-2026 |
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Code postal | 85310 | ||||
Code commune | 85046 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vicomtais | ||||
Population municipale |
3 799 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 76 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 40′ 22″ nord, 1° 17′ 28″ ouest | ||||
Altitude | 87 m Min. 32 m Max. 112 m |
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Superficie | 49,74 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | La Chaize-le-Vicomte (ville isolée) |
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Aire d'attraction | La Roche-sur-Yon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Roche-sur-Yon-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Ses habitants sont appelés les Vicomtais et les Vicomtaises.
Géographie
Le territoire municipal de La Chaize-le-Vicomte s’étend sur 4 974 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 87 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 32 et 112 mètres[1],[2].
La commune de La Chaize-le-Vicomte est la commune la plus au centre du département de la Vendée. Elle est située à 10 km à l'est de La Roche-sur-Yon et à 40 km à l'est - nord-est des Sables-d'Olonne.
Urbanisme
Typologie
La Chaize-le-Vicomte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Chaize-le-Vicomte, une unité urbaine monocommunale[6] de 3 770 habitants en 2017, constituant une ville isolée[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,6 %), zones agricoles hétérogènes (27,9 %), prairies (17,3 %), forêts (9,1 %), zones urbanisées (3,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
Le nom de la commune se retrouve dans celui de Casa Vice-Comitis au XIe siècle, écrit aussi Cheza Vice-Comitis au XIIIe siècle, ce qui, en latin médiéval, peut signifier « Domaine du Vicomte »[13].
Durant la Révolution française, la commune porte les noms de « Basse-Chaize » et de « Haute-Chaize »[14].
Histoire
Vicomtes de Thouars
L'histoire de La Chaize est surtout liée aux vicomtes de Thouars. Au XIe siècle, Aimery IV y fait construire un château et un prieuré avec l'église Saint-Nicolas. Il accorde également des franchises aux habitants du bourg[15] : les taxes sont supprimées (sauf celles sur le marché hebdomadaire), chacun peut s’établir librement ou quitter de même le bourg. La Chaize qui doit son nom à ses fondateurs (la Maison du vicomte) fut un temps leur capitale (1104-1124) lorsque Geoffroi III vint y résider. Le bourg s'est développé autour du château et du prieuré, formant deux paroisses jusqu'à la Révolution, deux quartiers encore distincts et séparés par la vallée du Marillet.
Au XVe siècle, la seigneurie de La Chaize-le-Vicomte était rattachée à la vicomté de Thouars qui appartenait à la famille d'Amboise, puis à la famille de La Trémoille.
Du Moyen Âge à la Révolution
Du château des vicomtes de Thouars, ne restent que les remparts ouest ; du prieuré, le mur est. L'église Saint-Nicolas a connu bien des vicissitudes. Les protestants la brûlent, le . Le clocher, l'abside et les bras du transept se sont effondrés. Il faudra attendre 1757 pour qu'un nouveau clocher soit construit. Vendue en 1599 par la princesse de Condé, fille cadette du premier duc de Thouars, la baronnie de La Chaize est acquise en 1603 par la famille de Saligné qui possède déjà les seigneuries de Badiolle (au Bourg-sous-la-Roche) et de Saint-Florent-des-Bois[16]. Le château de La Chaize ayant été ruiné au XVIè siècle lors des guerres de religion, les nouveaux seigneurs résident en leur château de Badiolle qu'ils font reconstruire au XVIIè siècle (il n'en subsiste aujourd'hui que les anciens communs, le château ayant été détruit au XIXè siècle)[16]. En 1696, Julien de Saligné obtient l'union de ses trois seigneuries et leur érection en marquisat de la Chaize-le-Vicomte. Au XVIIIè siècle, le marquisat passe par mariage à la famille Boscal de Réals de Mornac[16]. Pendant la Révolution française, la localité est débaptisée et s’appelle « La Chaize-le-Peuple ». Elle devient un chef-lieu de canton. Le curé de la paroisse Saint Jean-Baptiste accepte de prêter le serment constitutionnel, ce qui permet de continuer un certain temps à y célébrer le culte. En revanche, le curé de la paroisse Saint-Nicolas étant réfractaire, l’église est fermée et, pendant la guerre de Vendée, elle sert d’abattoir et de boucherie pour l’armée républicaine. Le culte n’y redémarre qu’à partir de 1796, sous le Directoire. En revanche, les deux églises, considérées comme biens nationaux, n’ont jamais été achetées par des particuliers et n’ont pas souffert des transformations souvent mutilantes subies par d’autres églises. L’église Saint-Jean-Baptiste est néanmoins démolie en 1812. La vente comme biens nationaux de plusieurs logis nobles et de leurs terres engendre de grosses fortunes foncières à la Chaize. Lors du transfert du chef-lieu de la Vendée de Fontenay-le-Peuple à une commune du centre du département, Napoléon Ier a pensé établir la préfecture à la Chaize-le-Vicomte. C’est finalement La Roche-sur-Yon qui est choisie, sous le nom de Napoléon-Vendée.
Du XIXe siècle à nos jours
Au début du XIXe, l'activité artisanale est développée : tanneurs, tisserands. Sont également exploités du kaolin et des carrières d’ardoise. Vers 1870, la voie ferrée permet le développement du commerce, et notamment des foires aux bestiaux. Le milieu du XXe siècle a vu La Chaize quelque peu péricliter à cause de l'exode rural. Par la suite, la population augmente à nouveau en raison du rattachement de La Limouzinière en 1973[17]. Aujourd'hui, La Chaize tire profit de sa proximité avec La Roche-sur-Yon et l'autoroute A87 pour connaître un regain de dynamisme, aussi bien au niveau démographique (construction de zones résidentielles à la périphérie du vieux bourg) qu'économique (zone artisanale et commerciale dans le secteur de La Folie).
Ancienne commune de La Limouzinière
Le toponyme "La Limouzinière" dérive du nom d'homme Limousin avec le suffixe ière souvent ajouté au nom du défricheur pour nommer un lieu à partir du milieu du Moyen Âge[13]. La Limouzinière est citée pour la première fois en 1099 à travers son église (en latin ecclesia Lemozinaria)[17]. L'ensemble de cette paroisse faisait partie de la seigneurie, puis marquisat, de la Chaize-le-Vicomte : les petits seigneurs locaux en étaient les vassaux directs (les Ardias, la Vergne-Gestin) ou indirects (la Limouzinière, les Juraires)[16]. Les moyens de cette paroisse étaient modestes ; cela se voit au travers des difficultés d'entretien de l'église au XVIIè-XVIIIè siècle. C'est ainsi qu'en 1742, la voûte menaçant ruine est abattue et remplacée par un plafond en bois[17]. En 1790, sur le territoire de cette petite paroisse, est créée une commune. Celle-ci s'étendait alors sur toute la partie de l'actuelle commune de la Chaize-le-Vicomte située au sud des villages des Noyers et du Chatenay. Lors de la guerre de Vendée, en mars 1794, les troupes républicaines incendient l'église[18]. Après la Révolution, la paroisse ne sera pas rétablie : les ruines de l'église resteront en place de nombreuses années avant d'être déblayées au moins en partie en 1936[19],[18]. En 1808, la commune est amputée de toute sa partie orientale située à l'est du Marillet (section de la Vergne-Gestin), qui est donnée à la Chaize-le-Vicomte[20]. La population de la commune est faible et aura tendance à diminuer (291 habitants en 1836, 169 habitants en 1954) avec un "bourg" qui n'arrivera pas à se développer (25 habitants en 1954)[16]. Le seul investissement d'envergure de la commune sera la décision de construire une école publique en 1886[21]. Par arrêté préfectoral du 7 mars 1973, la commune de La Limouzinière est supprimée et réunie à celle de la Chaize-le-Vicomte[17].
Héraldique
Blasonnement :
De gueules aux trois écussons ovales, celui en pointe couché, le premier cousu d'azur à l'arbre arraché d'argent, accosté de deux croissants affrontés du même, surmonté d'une fleur de lys d'or ; le deuxième gironné de sable et d'argent de huit pièces ; le troisième cousu d'azur à la croix de Saint Louis d'or. |
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].
En 2019, la commune comptait 3 799 habitants[Note 4], en augmentation de 6,18 % par rapport à 2013 (Vendée : +4,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 919 hommes pour 1 866 femmes, soit un taux de 50,70 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,84 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Le siège de l'entreprise Bio Habitat fabriquant des habitats légers de loisir se trouve sur la commune.
Lieux et monuments
La commune compte deux monuments historiques :
- le logis de Saint-Mars, édifié au XVIe siècle, inscrit par arrêté du [32],
- l'église Saint-Nicolas, édifiée aux XIe et XIIe siècles, classée par arrêté du [33].
Autres lieux et monuments :
- Les Basses Prisons
- La place Saint-Jean
Personnalités liées à la commune
- Les frères Payraudeau.
- Michel Gaborit, peintre non figuratif. Il a reçu la distinction de Docteur Honoris Causa in Arts en 1993. Il vivait au hameau de la Vergne des Astiers. Il est décédé en 2006.
Cinéma
Une séquence du film Les Vieux de la vieille de Gilles Grangier, dans une maison de retraite, a été tournée dans la commune.
Musée
Musée d'ornithologie Charles-Payraudeau.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- « Péaud, André », [lire en ligne].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- La Chaize-le-Vicomte sur le site de l'Institut géographique national
- La Chaize-le-Vicomte sur le site de l'Insee
- Portail de la Vendée
- Portail des communes de France
- « Commune 26367 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
- « La Chaize-le-Vicomte », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de La Chaize-le-Vicomte », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 78.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Robert Favreau (historien), « Naissance des communes en Poitou, Aunis, Saintonge et Angoumois », in Robert Favreau, Régis Rech et Yves-Jean Riou (directeurs), Bonnes villes du Poitou et des pays charentais (XIIe – XVIIIe siècles) : Actes du colloque tenu à Saint-Jean-d’Angély les 24-25 septembre 1999, publiés par la Société des antiquaires de l'Ouest in Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers, 5e série, tome VIII (2002), à Poitiers. (ISBN 2-9519441-0-1), p 153
- Y. du Guerny, Dictionnaire topographique, historique et géographique de la Vendée - Canton de La Roche-sur-Yon, Luçon, Imprimerie H. Rezeau,
- « Dictionnaire des communes - La Limouzinière », sur www.archives.vendee.fr (consulté le )
- Louis Soubeyran, « Une petite commune de la Vendée : la Limouzinière (partie II) », Annuaire de la Société d'émulation de la Vendée, (lire en ligne)
- Eugène Louis, « De la Roche à la Limouzinière », Annuaire de la Société d'émulation de la Vendée, (lire en ligne)
- Louis Soubeyran, « Une petite commune de la Vendée : la Limouzinière (partie III) », Annuaire de la Société d'émulation de la Vendée, (lire en ligne)
- « Registre des délibération du Conseil municipal de La Limouzinière 1838-1900 (séance du 4 mars 1886) »
- Fiche biographique de CACAUD Henri sur le site du Comité des travaux historiques et scientifiques
- « La Chaize-le-Vicomte : Mme Danielle Loko élue maire », Ouest-France,
« C'est une femme qui succède à Bernard de Fontaines, récemment décédé, comme maire de La Chaize-le-Vicomte. ». - « La Chaize-le-Vicomte : Danièle Loko réélue maire », Ouest-France, .
- « Les élections de maires », Ouest-France,
« Danièle Loko a été réélue maire de La Chaize-le-Vicomte hier soir. ». - « Yannick David réélu maire pour un 2e mandat consécutif », Ouest-France, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Chaize-le-Vicomte (85046) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
- Notice no PA00125656, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00110066, base Mérimée, ministère français de la Culture.