Saint-Sulpice-de-Faleyrens

Saint-Sulpice-de-Faleyrens est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine). Elle est une des huit communes faisant partie de la juridiction de Saint-Émilion qui est classée au patrimoine mondial de l'Humanité par l'Unesco pour son paysage viticole historique qui a survécu intact et est en activité de nos jours.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Sulpice.

Saint-Sulpice-de-Faleyrens

La mairie.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Saint-Émilionnais
Maire
Mandat
Yvan Dumonteuil
2020-2026
Code postal 33330
Code commune 33480
Démographie
Gentilé Saint-Sulpiciens, Saint-Sulpiciennes
Population
municipale
1 316 hab. (2019 )
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 31″ nord, 0° 11′ 21″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 20 m
Superficie 18,17 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Libourne
(banlieue)
Aire d'attraction Libourne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Coteaux de Dordogne
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Saint-Sulpice-de-Faleyrens
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Saint-Sulpice-de-Faleyrens
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    Localisation

    Saint-Sulpice-de-Faleyrens se trouve près de la Dordogne, au cœur du vignoble de Saint-Émilion. Elle se situe à environ 40 minutes du centre de Bordeaux, à une heure du bassin d'Arcachon, et à quelques minutes de Libourne. Elle est traversée par la départementale 19 reliant Libourne à Branne.

    La partie sud-ouest de la commune à proximité de la Dordogne, qui la borde sur 10 km, est occupée par un paysage de palud, la partie nord-est est elle occupée par des vignobles produisant du vin d'appellation Saint-Émilion et Saint-Émilion Grand Cru. On peut également trouver des vignes produisant du Bordeaux et Bordeaux supérieurs[1].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Sulpice-de-Faleyrens[2]
    Saint-Émilion
    Moulon Vignonet
    Grézillac Branne Cabara

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 834 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Émilion », sur la commune de Saint-Émilion, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 802,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 36 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Saint-Sulpice-de-Faleyrens[16],[17]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[18].

    ZNIEFF

    Saint-Sulpice-de-Faleyrens fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[19],[20], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sulpice-de-Faleyrens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Libourne, une agglomération intra-départementale regroupant 10 communes[25] et 36 306 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Libourne, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[28],[29].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (64,4 %), terres arables (13,5 %), zones agricoles hétérogènes (10 %), eaux continentales[Note 7] (5,4 %), prairies (4,4 %), zones urbanisées (2,3 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Économie

    L'activité principale de la commune est liée à la viticulture.

    Histoire

    Le couvent des cordeliers de St-Emilion y avait des fiefs, au lieu-dit Au Periley, au village de Courau &c.. En 1999, au même moment que la juridiction de Saint-Émilion, la commune de Saint-Sulpice-de-Faleyrens a été classée au Patrimoine mondial de l’humanité. La commune accueille un des plus anciens témoignages d’occupation humaine de la juridiction : un menhir monumental autour duquel les habitants se réunissent et fêtent depuis des millénaires, et même encore aujourd'hui, le solstice d’été[31].

    Son nom fait allusion à l'évêque de Bourges du XVIIe siècle saint Sulpice et à une communauté religieuse qui privilégiait les lieux champêtres, la faleyre, désignant la fougère en occitan[32].

    Du Xe au XVIIIe siècle une unique institution, la jurade, administrait l’ensemble de l'ancienne juridiction de Saint-Émilion actuellement c'est la communauté de communes qui gère le territoire ainsi que les municipalités des huit communes la constituant. Tandis que la jurade est devenue l’ambassadrice du vin de Saint-Emilion à travers le monde[32].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

    En 2019, la commune comptait 1 316 habitants[Note 8], en diminution de 8,86 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1901 2081 2041 2641 2671 1071 2821 2001 229
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2121 2041 1371 1411 1141 1351 1031 1151 112
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1361 1801 1551 0101 0611 0681 1291 0941 121
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 1801 2191 3041 6251 6131 5831 5171 5081 456
    2017 2019 - - - - - - -
    1 3481 316-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989 2008 Georges Bonnefon DVD Président de la communauté de communes de la Juridiction de Saint-Émilion
    Mars 2008 en cours Yvan Dumonteuil DVD Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Lieux et monuments

    Depuis le , une zone de protection du patrimoine architectural et urbain (ZPPAUP) couvre l'ensemble du territoire afin de conserver au mieux l'unité architecturale et paysagère de la Juridiction[37].

    • Le menhir de Peyrefitte est le plus grand menhir d'Aquitaine. Il a été classé monument historique en 1889.
    • Église Saint-Sulpice. En témoigne encore aujourd’hui son abside romane qui a fait l’objet d’une inscription sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques dès 1925, huit décennies avant que l’église soit classée dans son ensemble monument historique, le [38].
    • Les paysages de Saint-Sulpice-de-Faleyrens sont classés au patrimoine mondial de l'UNESCO, comme pour les 7 autres villages entourant la commune de Saint-Émilion car elles offrent un remarquable exemple de paysage de vignoble historique qui nous est parvenu intact, et demeuré en activité jusqu'à nos jours[39].
    • Le château Lescours, dont l'ensemble date du XIVe siècle.

    Saint-Sulpice-de-Faleyrens autrefois

    Personnalités liées à la commune

    Jean-François Fonteneau propriétaire du Saint-Emilion Grand Cru « Château Gros Caillou »[40]

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. http://www.saintsulpicedefaleyrens.com/situation/geographie.php
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Émilion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Sulpice-de-Faleyrens et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Émilion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Sulpice-de-Faleyrens et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    17. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    18. Espèces, INPN, consulté le .
    19. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    20. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    21. Espèces, INPN, consulté le .
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Unité urbaine 2020 de Libourne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    26. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    27. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    28. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. Source: http://www.juridiction-saint-emilion.org/presentation/index.php?option=com_content&view=article&id=69&Itemid=57
    32. Source: http://www.saintsulpicedefaleyrens.com/situation/histoire.php
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    37. Dossier de Presse 1999-2009, 10e anniversaire de l'inscription de la Juridiction de Saint-Emilion sur la liste du Patrimoine mondial de l'Humanité au titre des Paysages Culturels
    38. « Eglise Saint-Sulpice », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    39. « Juridiction de Saint-Émilion », sur UNESCO Centre du patrimoine mondial (consulté le ).
    40. Château Gros Caillou

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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