Sainte-Hélène (île)

Sainte-Hélène[2], en anglais : Saint Helena, est une île volcanique de 122 km2, située dans l'océan Atlantique sud, à 1 856 km à l'ouest des côtes de l'extrême nord-ouest de la Namibie et à 3 286 km à l'est-sud-est de la ville brésilienne de Recife, et faisant partie de Sainte-Hélène, Ascension et Tristan da Cunha, territoire britannique d'outre-mer. Elle est découverte par le navigateur galicien João da Nova Castella le et nommée en l'honneur d'Hélène, mère de Constantin Ier. Dès 1657, elle devient possession de la Compagnie anglaise des Indes orientales.

Pour les articles homonymes, voir Sainte-Hélène.

Sainte-Hélène

Carte de Sainte-Hélène.
Géographie
Pays Royaume-Uni
Localisation Océan Atlantique
Coordonnées 15° 57′ S, 5° 42′ O
Superficie 122 km2
Point culminant Pic de Diana (818 m)
Géologie Île volcanique
Administration
Territoire britannique d'outre-mer Sainte-Hélène, Ascension et Tristan da Cunha
Démographie
Population 4 349 hab. (2016[1])
Densité 35,65 hab./km2
Plus grande ville Jamestown
Autres informations
Découverte 1502
Fuseau horaire UTC±00:00
Site officiel http://www.sainthelena.gov.sh/
Géolocalisation sur la carte : océan Atlantique
Sainte-Hélène
Îles au Royaume-Uni

Essentiellement connue comme lieu d'exil de Napoléon Ier du à sa mort le , l'île lui doit son intérêt touristique qui repose sur l'attrait des lieux qu'il a fréquentés. En 1890, le chef zoulou Dinizulu y est détenu, avant que les Britanniques y emprisonnent le général Piet Cronje et 6 000 Boers durant la seconde guerre des Boers.

Île forteresse sur le passage des navires de la Compagnie des Indes, elle perd son rôle stratégique lors de l'ouverture du canal de Suez.

Géographie

Malgré son isolement, l'île de Sainte-Hélène fait partie de l'Afrique du Sud-Ouest.

Formation

L'île a été créée par le point chaud de Sainte-Hélène, avec d'autres monts sous-marins ou guyots, formant une ligne de 800 km sur le fond de l'océan Atlantique sud. Sainte-Hélène serait âgée de 10 à 20 millions d'années[3].

Climat

Bien que l'île de Sainte-Hélène soit située dans la zone intertropicale, le climat qui y règne est méditerranéen à été tempéré (Csb) selon la classification de Köppen, ce qui est surprenant pour une latitude de seulement 16°S.

Histoire

Daumont : Vue de l'île de Sainte-Hélène (estampe, deuxième moitié du XVIIIe siècle, musée de la Compagnie des Indes).

Découverte du volcan

L'île est découverte par le navigateur galicien João de Nova, qui était au service du Portugal, le [4], jour de la fête de sainte Hélène selon l'usage antique et orthodoxe, qui lui vaut son nom.

Quelques aventuriers et esclaves la peuplent. Les voiliers, au cours de leurs longues traversées, y font escale pour renouveler leur provision d'eau douce et de vivres frais, ce qui lui vaut le nom d'« Auberge de l'Océan »[5]. En 1633, une flotte hollandaise en prend possession au nom des Pays-Bas qui l'annexe sans l'occuper. La Compagnie britannique des Indes orientales qui ne possède dans les mers australes aucun point de relâche pour ses navires, s'en empare en 1659 et l'aménage avant de la céder à la Couronne en 1834. Des gouverneurs sont alors nommés. De 1815 à 1821, l'île est prêtée au Gouvernement britannique comme lieu d'exil pour Napoléon[6].

Observations astronomiques

Présent sur l'île pendant deux ans au bout desquels il publie son Catalogue du ciel austral[7], Edmund Halley y observe également en 1677 le transit de Mercure ; à la suite de son observation, il imagine une méthode pour utiliser les transits, essentiellement ceux de Vénus pour déterminer la distance Terre-Soleil [8]. Une expédition britannique observe depuis l'île le transit de Vénus de 1761 dans ce but[8].

Lieu de déportation

L'isolement de l'île a conduit les Britanniques à y emprisonner certains des dirigeants de leurs ennemis, le plus célèbre de tous étant Napoléon Bonaparte.

Détention de Napoléon Ier

Sainte-Hélène - La vallée du Tombeau.

À la suite des Cent-Jours, Napoléon Ier fut exilé et déporté par les Britanniques sur Sainte-Hélène où il arriva le à bord du HMS Northumberland et y débarqua le [9]. L'arrivée de l'empereur entraîna une augmentation de la population de l'île : près de 1 500 soldats anglais (en plus des 800 militaires de la Compagnie des Indes) et 500 marins de la flottille de guerre, ainsi que des officiels du gouvernement britannique, accompagnés de leurs familles, sans oublier la petite colonie française qui vivait dans l'entourage de Napoléon Ier[10]. De plus, les Britanniques, craignant un débarquement de marins français pour libérer le prisonnier, revendiquèrent l'île de l'Ascension — jusque-là inhabitée — et y établirent une garnison.

Napoléon mourut le . Le lendemain, le gouverneur de l'île, sir Hudson Lowe, jusqu'alors en perpétuel conflit avec son ancien prisonnier, vint en personne s’assurer de sa mort et déclara alors à son entourage : « Hé bien, Messieurs, c'était le plus grand ennemi de l'Angleterre et le mien aussi ; mais je lui pardonne tout. À la mort d'un si grand homme, on ne doit éprouver qu'une profonde douleur et de profonds regrets[11]. »

Conformément à ses dernières volontés dans le cas où son corps ne devait pas être ramené en Europe, Napoléon Ier fut inhumé le près d'une source, dans la vallée du Géranium, dénommée depuis « vallée du Tombeau ». Le , toute la colonie française quitta l'île. Dix-neuf ans après la mort de Napoléon, le roi Louis-Philippe put obtenir du Royaume-Uni la restitution des cendres de l'ex-empereur. L'exhumation du corps de Napoléon eut lieu le , puis il fut rapatrié en France sur la frégate La Belle Poule jusqu'à Cherbourg, et inhumé aux Invalides à Paris.

En 1822, l'habitation de Longwood fut cédée à un fermier qui lui redonna l'usage de ferme qu'elle avait eue avant l'arrivée de Napoléon Ier, si bien qu'ensuite, les visiteurs constatèrent que la maison de l'empereur en détention abritait « moulin, silo, bottes de paille et même des chevaux. »[12]

À partir de 1854, l'empereur Napoléon III négocia avec le gouvernement britannique l'achat de Longwood House et de la vallée du Tombeau, qui devinrent propriétés françaises en 1858, sous le nom de « domaines français de Sainte-Hélène » et gérées depuis par le ministère des Affaires étrangères[13]. Le pavillon des Briars, première demeure de l'empereur sur l'île, fut adjoint au domaine en 1959, lorsque sa dernière propriétaire, l'écrivaine australienne Dame Mabel Brookes (1890-1975), petite-nièce de Betsy Balcombe, rachète le pavillon des Briars et l'offre à la France.

Dinizulu

Le roi des Zoulous Dinuzulu kaCetshwayo a été exilé à Sainte-Hélène de 1890 à 1897[14]. Il avait été reconnu coupable de haute trahison et de sédition pour avoir dirigé, à l'âge de 16 ans, ses régiments Usuthu et un petit commando boer de trois cents hommes en victoire[Quoi ?] contre les forces du chef Zibhebhu ka Maphitha et les Britanniques.

Zibhebhu était un allié important des Britanniques dans leur stratégie de diviser pour régner alors qu'ils poussaient à l'annexion du Zululand en 13 territoires plus petits, qui seraient gouvernés par des indunas complaisants. Cette décision démantèlerait le pouvoir de la maison royale zouloue.

Dinuzulu est arrivé sur l'île avec un entourage de 20 personnes, dont deux de ses femmes ; deux oncles dont Shingana ; la sœur de Harriette Colenso, Frances; un médecin, un traducteur et des conseillers. Il leur a été interdit de porter leur robe traditionnelle zouloue et imposé d'adopter les draps et les pantalons des Britanniques.

Dinuzulu a adopté les structures qui lui étaient imposées avec tout l'enthousiasme qu'il pouvait rassembler et, face à elles, a rapidement appris à écrire une écriture parfaite à la plume et à l'encre, et à jouer et composer au piano et à l'orgue.

Il le décrit dans une lettre : « Je joue du piano, le bateau est debout ; Je joue du Mariner's Jog et du Hornpipe, et je joue Für Elise. Je jouerai de l'orgue à la cathédrale Saint-Jacques quand je serai confirmé. Alors je n'aurai qu'une seule femme. Naturellement, la colline verte est à Eshowe, ce qui nous manque un peu.

N'importe quel jour, il pouvait être trouvé, fouet à la main, errant sur les affleurements rocheux de Sainte-Hélène en pantoufles de velours, cravates en soie et hauts-de-forme, menant parfois son entourage de fidèles serviteurs.

Il était aussi, semble-t-il, un homme à femmes. Au cours des 10 années où il a été exilé sur l'île, il a engendré sept enfants, dont Maglan Noden, aujourd'hui âgée de 80 ans, la « princesse Dinuzulu », celle dont Zulu avait lu dans les articles de Gray et Du Plessis.

Piet Cronjé

Piet Cronjé a été emprisonné à Sainte-Hélène de 1900 à 1902 lors de la seconde guerre des Boers.

Population

Il n'existe pas de population indigène sur l'île. Les habitants de l'île sont des Européens descendants de Britanniques, des Africains descendants d'esclaves et des Chinois. Tous les habitants parlent anglais ; il n'y a jamais eu de créoles et les populations d'origine non britannique ont perdu la langue de leurs ancêtres.

La population s'élève à environ 4 200 habitants en 2008 en incluant les visiteurs (3 900 en ne comptant que les autochtones), se répartissant pour la plupart dans l'intérieur de l'île, plus verdoyant. Cependant, celle-ci est en forte baisse, puisqu'elle a perdu 1 000 habitants depuis 1998.

La capitale de l'île est Jamestown, qui en est également la ville principale avec 864 habitants. Située sur la côte, s'étirant sur 1,5 km, mais dépourvue de port, elle est si encaissée entre deux montagnes que les habitants ne reçoivent aucune chaîne de télévision.

Le tourisme est rare, et les visiteurs sont surtout d'anciens habitants de Sainte-Hélène qui viennent rendre visite à leurs familles. S'il y a tout de même quelques centaines de vrais touristes (chiffre qui varie d'une année à l'autre), la vie reste chère sur place, l'île étant relativement isolée. Le prix d'un produit non fait sur place peut facilement être deux à trois fois plus élevé que son prix dans un magasin standard à Londres.

Politique

Élisabeth II détient le pouvoir exécutif sur l'île.

Sainte-Hélène est régie par une constitution datant de 1988. À Sainte-Hélène, le pouvoir législatif est exercé par un conseil législatif de quinze membres, dont douze sont élus par la population du territoire pour un mandat de quatre ans. Les trois autres sont le gouverneur et deux officiers désignés par la Couronne britannique.

Le pouvoir exécutif est détenu par la reine Élisabeth II, qui le délègue à un gouverneur, le gouverneur de Sainte-Hélène, Ascension et Tristan da Cunha – résidant à Plantation House –, nommé par elle sur conseil du gouvernement britannique. Un conseil exécutif existe également, comprenant le gouverneur et ses deux officiers, et six membres élus choisis par le gouverneur parmi les douze du conseil législatif. Le gouverneur est Philip Rushbrook depuis le .

Divisions administratives

Les districts de Saint-Hélène.
DistrictSuperf.
km2
Pop.
1987
Pop.
1998
Pop.
2008[15]
Pop.
2016[1]
Densité
hab./km2
Alarm Forest5,4...28927638370,4
Blue Hill36,81901771531584,3
Half Tree Hollow1,61 0751 140901984633,2
Jamestown3,9...884714629161,9
Levelwood14,841537631636925,0
Longwood33,4...96071579023,6
Sandy Bay16,130525420519312,0
Saint Paul's11,4...90879584374,0
Total121,75 6445 1574 2554 34935,3

Ces districts sont réduits à deux : Est et Ouest. Quatorze hectares forment les domaines français de Sainte-Hélène.

Présence française

Après la détention de Napoléon Ier en 1815 à Longwood, la France est devenue propriétaire des bâtiments et des terrains ayant servi à accueillir l'empereur sur l'île. Ce domaine, qui est détenu par le ministère des Affaires étrangères de la France, regroupe trois territoires : la maison de Longwood, la vallée du Tombeau et le pavillon des Briars.

Le domaine est actuellement administré par un consul honoraire et conservateur du Domaine, Michel Dancoisne-Martineau (en)[16], successeur de Gilbert Martineau.

Drapeau et armoiries

Drapeau.
Armoiries.

Flore et faune

Flore

La végétation de l'île comptait de nombreuses espèces endémiques au moment de sa découverte mais a été fortement dégradée par la présence de l'homme. La destruction a commencé peu de temps après la découverte par les Portugais en 1502, avec l'introduction de chèvres. Comme il n'y avait aucun animal herbivore sur l'île, la flore n'était pas adaptée au pâturage. Plus tard, avec l'établissement d'une population permanente par la Compagnie anglaise des Indes orientales en 1659, de nombreuses plantes, comme Phormium tenax, ont été introduites, lesquelles ont créé de nouveaux paysages. De plus, les arbres ont été fortement utilisés pour la construction, la cuisine ainsi que la distillation de l'arrack.

Si l'intérieur ainsi que la côte, au moment de sa découverte de l'île, était probablement couverts par une dense forêt tropicale, le paysage actuel est très différent. Il y a trois grandes zones de végétation : les fourrés de fougères arborescentes, sur les plus hautes parties de l'île ; des pâturages aux altitudes moyennes, et enfin une zone complètement érodée, sur les parties basses.

Certaines espèces comme Acalypha rubrinervis et Nesiota elliptica (olivier de Sainte-Hélène) ont maintenant disparu. D'autres espèces, comme Pelargonium cotyledonis sont devenues rares ou en voie d'extinction. Une espèce particulière est entrée dans l'Histoire: il s'agit du saule pleureur qui ombrageait le tombeau de Napoléon[17].

En 1996 a été créé le parc national du Pic de Diana protégeant autour du sommet éponyme 81 hectares de végétation et de faune[18],[19].

Faune

Seule parmi les six espèces d'oiseaux terrestres endémiques de l'île à survivre à l'arrivée de l'homme[20], le pluvier de Sainte-Hélène figure sur le blason et le drapeau de l'île. Les espèces d'oiseaux terrestres disparues à cause de la chasse, de la destruction de la forêt primaire subtropicale et des espèces prédatrices introduites sont le râle de Sainte-Hélène (Aphanocrex podarces), la huppe de Sainte-Hélène (Upupa antaios), le pigeon bleu, le coucou de Sainte-Hélène (Nannococcyx psix) et une sous-espèce de pétrel.

Sur cette île se trouve également un des plus vieux animaux terrestres en vie, une tortue géante des Seychelles appelée Jonathan.

Accès à l'île

Voie maritime

L'île est accessible par bateau et occasionnellement par avion depuis la construction d'un aéroport mais ne possède pas de port à quai ; les passagers et les marchandises sont débarqués par des transbordeurs. Un navire britannique le RMS St Helena (RMS pour Royal Mail Service, le dernier bateau postal britannique encore en service), mi-cargo, mi-paquebot fait désormais la liaison depuis l'Afrique du Sud ainsi qu'avec l'île de l'Ascension. Avant , il fallait quatorze jours au RMS St Helena, pour parcourir les 8 000 kilomètres qui séparent Cardiff au pays de Galles de Jamestown, avec une escale à Tenerife aux îles Canaries.

Voie aérienne

Après beaucoup de controverses, le projet d'aéroport est abandonné en raison de la crise économique mondiale en 2009. Cependant, le nouveau gouvernement britannique du Premier ministre David Cameron décide en de relancer le projet qui est adopté en . C'est une société sud-africaine, Basil Read, qui obtient le contrat de 200 millions de livres, l'aéroport devant ouvrir en 2015 (date du 200e anniversaire de l'arrivée en exil de Napoléon), avec des vols réguliers entre l'île et l'Afrique du Sud[21]. L'ouverture est reportée à la suite d'un vol test soulignant de « dangereuses conditions climatiques » lors de l'approche. Finalement, l'aéroport est inauguré le . Cependant, des tests effectués par un Boeing 737 de British Airways, montrent que les vents balayant l'île rendent très difficile l'atterrissage. Ainsi, au , aucune ligne n'a encore été ouverte sur l'aéroport et son avenir demeure incertain[22]. Le gouvernement de l’île annonce en 2017 qu'une ligne régulière devrait voir le jour pour un avion de quatre-vingts places[23]. Le premier vol commercial a lieu le samedi . La compagnie aérienne est Airlink. L'avion est un Embraer 190 de moins de cent places.

Dans la culture

L'île est le lieu abritant le roman allégorique El Criticón.

Bernard Moitessier décrit Sainte‑Hélène à l'occasion d'une escale lors de sa traversée de l'océan Atlantique en solitaire dans son récit Vagabond des mers du Sud.

Annexes

Bibliographie

  • (en) David L. Smallman, Quincentenary : A Story of St Helena, 1502-2002, Hypatia Publications, , 171 p. (ISBN 978-1-872229-47-8, lire en ligne).
  • Michel Dancoisne-Martineau, Je suis le gardien du tombeau vide, Paris, Flammarion, , 419 p. (ISBN 978-2-08-139527-5, lire en ligne).
  • Bernard Chevallier, Michel Dancoisne-Martineau et Thierry Lentz (dir.), Sainte-Hélène. Île de mémoire, Fayard, 2005, (ISBN 978-2213626451).
  • Jean Mendelson, Sainte-Hélène, 2015, Arles, Portaparole, 2018.

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. « Census 2016 – summary report » [PDF], St Helena Government (consulté le ).
  2. Commission de toponymie de l'IGN - Institut national de la statistique et des études économiques, Pays indépendants et capitales du monde : Entité géopolitiques dépendantes au 01.09.2007, Paris, , 10 p. (lire en ligne), p. 6.
  3. (en) William Jason Morgan et Jason Phipps Morgan, « Plate velocities in hotspot reference frame: electronic supplement », Geological Society of America Special Papers, vol. 430, (DOI 10.1130/2007.2430(04), lire en ligne)
  4. Jules-Sébastien-César Dumont d'Urville, Voyage pittoresque autour du monde, tome II, p. 547.
  5. Ulane Bonnel, Sainte-Hélène, terre d'exil, Hachette, , p. 17.
  6. Jacques Macé, Dictionnaire historique de Sainte-Hélène, Tallandier, .
  7. Jean-Michel Faidit, La comète impériale de 1811 : son découvreur Flaugergues, son influence sur Napoléon, le vin de la comète, Toulon, Les Presses du Midi, , 131 p. (ISBN 978-2-8127-0312-6), p. 7
  8. Jean-Eudes Arlot (Coordination) et al. (préf. Jean-Pierre Luminet), Le passage de Vénus, EDP sciences, , 227 p. (ISBN 978-2-86883-731-8), chap. 2 (« Histoire des observations des passages »)
  9. Thierry Lentz, Napoléon, Éditions La Boétie, , p. 82.
  10. Michel Dancoisne-Martineau, Chroniques de Sainte-Hélène : Atlantique sud, Perrin, , p. 301.
  11. Napoléon, Larousse, , p. 91.
  12. Albert Benhamou, L'autre Sainte-Hélène : la captivité, la maladie, la mort et les médecins autour de Napoléon, 2010, p. 373.
  13. Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, « Sainte-Hélène : les domaines de Napoléon », (consulté le )
  14. https://www.news24.com/amp/citypress/trending/The-secret-history-of-King-Dinuzulu-20150920
  15. « 2008 Population Census of St Helena » [PDF], St Helena Government (consulté le ).
  16. « Les domaines français de Sainte-Hélène : l'achat de la maison de Longwood et du domaine de la tombe » sur le site www.napoleon.org, consulté le 5 juin 2017.
  17. « L'autre Saint-Hélène », sur le site lautresaintehelene.com, consultée le 26 novembre 2014.
  18. (en) « Diana's Peak Park », sur le site de Sainte-Hélène, consulté le 21 août 2017.
  19. [PDF] (en) The Peaks National Park (NP2): Management Development Plan 2013 – 2023., St Helena Government, 2013.
  20. UICN, Changement climatique et biodiversité dans l’outre-mer européen, 2008, p. 171, (ISBN 9782831713229) [lire en ligne].
  21. (en)« Remote UK island colony of St Helena to get airport », BBC 3 novembre 2011.
  22. Guerric Poncet, « Sainte-Hélène : un aéroport sans avion à 330 millions d'euros », (consulté le ).
  23. « Insolite : l’aéroport de Sainte-Hélène a (enfin) trouvé sa compagnie régulière », (consulté le ).
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