Soultz-sous-Forêts

Soultz-sous-Forêts (originellement Sulz, nom allemand/alsacien actuel : Sulz unterm Wald) est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Pour les articles homonymes, voir Soultz.

Soultz-sous-Forêts

Hôtel de ville de Soultz-sous-Forêts.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Haguenau-Wissembourg
Intercommunalité Communauté de communes de l'Outre-Forêt
(siège)
Maire
Mandat
Christophe Schimpf
2020-2026
Code postal 67250
Code commune 67474
Démographie
Population
municipale
3 190 hab. (2019 )
Densité 211 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 56′ 22″ nord, 7° 52′ 53″ est
Altitude Min. 137 m
Max. 508 m
Superficie 15,15 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Soultz-sous-Forêts
(ville isolée)
Aire d'attraction Soultz-sous-Forêts
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Wissembourg
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Soultz-sous-Forêts
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Soultz-sous-Forêts
Géolocalisation sur la carte : Bas-Rhin
Soultz-sous-Forêts
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Soultz-sous-Forêts
Liens
Site web http://www.soultzsousforets.fr/

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    Le , la commune fusionne avec le village de Hohwiller.

    La commune fait partie du parc naturel régional des Vosges du Nord et de la réserve de biosphère transfrontalière des Vosges du Nord-Pfälzerwald. Elle est connue pour avoir été le berceau pendant tout le XIXe siècle de l'élevage d'une race de pigeon domestique, appréciée pour sa chair, le huppé de Soultz[1], aujourd'hui répandu dans d'autres régions.

    Géographie

    La localité se trouve au cœur de la région naturelle de l'Outre-Forêt[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Soultz-sous-Forêts est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Soultz-sous-Forêts, une unité urbaine monocommunale[6] de 3 177 habitants en 2017, constituant une ville isolée[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Soultz-sous-Forêts, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,1 %), forêts (37,1 %), zones urbanisées (13,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %), prairies (0,5 %), cultures permanentes (0,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Histoire

    Des fouilles archéologiques ont permis de localiser un habitat gallo-romain à l'est de la ville[13]. Au XIIIe siècle, la localité fait partie de la seigneurie des Fleckenstein et en est le centre administratif. Le château fort du Fleckenstein se situait à l'entrée Sud du village en 1274, il a aujourd'hui disparu.

    En 1346 Soultz est élevée au rang de « ville » et est fortifiée d'une enceinte.

    Soultz devient Soultz-sous-Forêts en 1750. Cette précision est nécessaire pour la poste.

    À partir de 1790 Soultz-sous-Forêts devient chef-lieu de canton.

    Le XIXe siècle est celui de « l'âge d'or » de la commune. Le bourg devient une vraie petite ville sur le plan urbanistique. L'activité commerciale et artisanale se développe et Soultz-sous-Forêts obtient l'autorisation de tenir un marché. L'administration cantonale joue pleinement son rôle. Le chemin de fer, soutenu par Frédéric Muntz, le maire de l'époque, entre pour la première fois en gare de Soultz le à 11 heures 30[14].

    Le XXe siècle est plus difficile et plus contrasté. C'est le siècle du développement puis du déclin de l'exploitation pétrolière. La première partie de siècle est encore marquée par quelques avancées significatives comme l'adduction d'eau en 1924[14].

    L'après-guerre est pleine de contrastes. L'implantation de deux usines importantes dans les années 1960 assure une prospérité qui ne se dément pas. Les années 1970 voient également s'ériger un nouveau concurrent au centre de l'Outre Forêt : la commune de Betschdorf. Après plusieurs fusions, elle devient la deuxième localité de l'arrondissement, après Wissembourg. En 1982, Hohwiller associe son destin à celui de Soultz-sous-Forêts[14].

    La Seconde Guerre mondiale à Soultz-sous-Forêts

    La ville de Soultz-sous-Forêts a vécu cette guerre comme toute l’Alsace, et ce d’autant plus, qu’elle était à proximité de deux lieux stratégiques. À l’ouest de la commune, les puits de pétrole et la raffinerie de Pechelbronn étaient un moteur économique pour la région et permettaient une richesse énergétique. Au nord se situe la ligne Maginot qui témoigne encore aujourd’hui de l’arsenal militaire mis en place dans la région. La gare de transbordement de Soultz-sous-Forêts joua un rôle primordial dans la construction et le ravitaillement du fort de Schœnenbourg via une ligne de chemin de fer militaire dite voie de 60[15].

    Les pasteurs de Soultz-sous-Forêts

    Liste des pasteurs de Soultz-sous-Forêts[16] :

    • Georg Keller, né en 1557 à Wildberg, Wurtemberg, 1582-1622, fils d'Andreas Cellarius. Il dut déménager à cause des troubles de la guerre (Wegen den Kriegswirren musste er wegziehen). Il décéda le à Soultz-sous-Forêts, âgé de 74 ans.
    • Friedrich Keller, fils du précédent, instituteur à Soultz et pasteur à Drachenbronn, 1623-avant 1635, il fut pasteur à Wernersbeg, village au sud d'Annweiler am Trifels, Palatinat, d'où il fut expulsé en 1635, puis fut pasteur à Ober- et Niederbetschdorf 1635+1651, également pasteur à Hatten, 1648+1651.
    • Johann Burckard Gauckler, de Mötzingen, Wurtemberg, 1622-1635.
    • Hieronimus Bancowitz, pasteur de Hohwiller, administra toute la région de 1635-1664. Ses paroisses allèrent de Roedern jusqu'à Lembach.
    • Johann Daniel Hattenbach, 1664-1680.
    • Wolfgang Johann Mayer, de Schwobach, 1680-1681.
    • Johann Balthasar Becker, 1681-1707.
    • Georg Bartholdi, Hesse-Darmstadt, 1707-1713.
    • Johann Michael Bender, 1713-1744.
    • Gottfried Heinrich Rapp, 1744-1752.
    • Johann Reinhard Koenig, 1752 † 1782.
    • Johann Philipp Wegelin, 1782 † 1799.
    • Friedrich Weber, 1799-1808.
    • Heinrich Casimir Hermann Weitzmann, 1808 † 1835.
    • Friedrich August Schaller, 1835-1839.
    • Ludwig Philipp Heydenreich, 1840-1851.
    • Christian Friedrich Hauth, 1852.

    Héraldique

    Les armes de Soultz-sous-Forêts se blasonnent ainsi :
    « De sinople aux trois fasces d'argent. »[17].


    Politique et administration

    Pôle des services de la mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Armand Sturm[18]    
    Frédéric Laeuffer[19]    

    (décès)
    Frédéric Jung[20]    
    Rémy Christ[21]   Maire honoraire
    Alfred Schmitt DVD  
    Pierre Mammosser[22] PS Consultant retraité
    Président (2014 → 2020) puis 2e vice-président (2020 → ) de la CC de l'Outre-Forêt
    En cours Christophe Schimpf[23]   Enseignant spécialisé et directeur adjoint de collège
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

    En 2019, la commune comptait 3 190 habitants[Note 3], en augmentation de 5,11 % par rapport à 2013 (Bas-Rhin : +2,76 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1671 2591 4431 6851 9682 0161 8771 9471 882
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    1 6501 7401 6671 5631 5711 6201 5661 5641 582
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5041 5471 5151 4391 5271 5891 7131 4391 571
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 6981 8771 9242 2892 1852 4942 6452 9703 173
    2019 - - - - - - - -
    3 190--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Un groupement européen d'intérêt économique (GEIE), dans le cadre d'un projet européen[28] piloté par le bureau de recherches géologiques et minières français, mène depuis 1987 une expérimentation d'exploitation de l'énergie géothermique pour une production d'électricité à Soultz-sous-Forêts. Pour cela trois forages de 5 000 m de profondeur ont été creusés[29]. Projet prévu pour fin 2008[28]. Les premiers kilowattheures ont été produits à l'été 2008 et différentes nouvelles techniques pour une meilleure exploitation de la chaleur (utilisation des failles existantes dans le socle granitique, de l'eau souterraine, etc.) ont pu être validées. Cette expérience a aussi souligné le risque sismique de forage et d'injection d'eau à très grande profondeur[28]. Ainsi les opérations menées ont généré 50 000 séismes, dont une grosse dizaine d'une magnitude supérieure à 2 sur l'échelle de Richter donc perceptible par l'homme. Une centrale de géothermie profonde est inaugurée le [30].

    L'économie repose sur un tissu industriel avec deux principaux employeurs, Gunther Tools/Walter et CEFA, et sur un réseau d'une centaine de PME et artisans. L'entreprise la plus ancienne est le fabricant de pains azymes Paul Heumann (société fondée en 1907)[31].

    Lieux et monuments

    Édifices religieux

    • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul (XXe siècle) et son orgue. Elle occupe l'emplacement de la cour d'honneur de l'ancien château Geiger[37],[38].
    • Synagogue de Soultz-sous-Forêts : reconstruite en 1827, elle remplace un édifice plus ancien, puis démolie en 1897 et remplacée par la synagogue actuelle. Endommagée au cours de la Seconde Guerre mondiale, elle a été reconstruite en 1962[47],[48].

    Personnalités liées à la commune

    Bibliographie

    • (fr) Henri Bacher, Soultz-sous-Forêts et ses environs, Alsatia, Guebwiller, 1924, 101 p.
    • (de) Keller Friedrich : (2582) Die evangelischen Geistlichen der Pfalz seit der Reformation. Georg Biundo - 1968
    • Jean-Laurent Vonau, Soultz-sous-Forêts : de la seigneurie au bourg-centre, Strasbourg, Éd. Coprur, , 318 p. (ISBN 2842080181)

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Alain Raveneau, Inventaire des animaux domestiques en France, éd. Eclectis, 1994, 360 pages, p. 287, article : Huppé de Soultz
    2. « Outre-Forêt », in Alsace, Gallimard, Paris, 2007, p. 213.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Soultz-sous-Forêts », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Soultz-sous-Forêts », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Notice no IA00118987, base Mérimée, ministère français de la Culture Des fouilles archéologiques ont permis de localiser un habitat gallo-romain à l'est de la ville
    14. Tiré du site internet de la commune : http://www.soultzsousforets.fr/ville_et_patrimoine/historique_33.php
    15. Tiré du site internet de la commune : http://www.soultzsousforets.fr/ville_et_patrimoine/seconde_guerre_mondiale_168.php
    16. Extrait du livre Das Pfarrbuch der Graffschaft Hanau-Lichtenberg, pp. 419 et 420, de Ludwig Albert Kiefer, ancien pasteur à Balbronn, Bas-Rhin.
    17. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
    18. Une page de l'histoire locale, soultzsousforets.fr, commune de Soultz-sous-Forêts - Hohwiller
    19. [PDF] Soultz Hohwiller Actualités, n°12, décembre 2013, p. 25
    20. [PDF] Soultz Hohwiller Actualités, n°12, décembre 2013, p. 25
    21. [PDF] Soultz Hohwiller Actualités, n°12, décembre 2013, p. 25
    22. [PDF] Liste des maires au 1er avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
    23. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    28. Matthieu Quiret, « La géothermie profonde livre son énergie », sur www.lesechos.fr, (consulté le ).
    29. http://www.brgm.fr/geothermie.htm
    30. « Inauguration de la centrale de géothermie profonde à Soultz-sous-Forêts », sur France 3 Grand Est (consulté le ).
    31. Le fabricant alsacien de pains azymes Paul Heumann fête ses 110 ans en 2017, Traces Ecrites News, 8 décembre 2016
    32. Notice no Saline de 1740, base Mérimée, ministère français de la Culture IA00119008
    33. Notice no PA67000008, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. Notice no Château de Bode, base Mérimée, ministère français de la Culture IA00118997
    35. Notice no IA00118996, base Mérimée, ministère français de la Culture château des sires de Fleckenstein
    36. Notice no IA00118993, base Mérimée, ministère français de la Culture Château érigé en 1750 par François Frédéric de Geiger, bailli de la seigneurie de Soultz
    37. Notice no IA00118988, base Mérimée, ministère français de la Culture Église Paroissiale Saint-Pierre, Saint-Paul
    38. Notice no IM67005276, base Palissy, ministère français de la Culture orgue (grand orgue) église paroissiale Saint-Pierre, Saint-Paul
    39. Notice no IA00118989, base Mérimée, ministère français de la Culture Temple
    40. Notice no IA00119010, base Mérimée, ministère français de la Culture Église Saint-Jean-Baptiste, Temple
    41. Notice no PA00085007, base Mérimée, ministère français de la Culture Église protestante
    42. Notice no IM67005293, base Palissy, ministère français de la Culture orgue (grand orgue) du temple
    43. Notice no IM67005308, base Palissy, ministère français de la Culture orgue (petit orgue) église paroissiale Saint-Jean-Baptiste ; temple
    44. Notice no PA00084752, base Mérimée, ministère français de la Culture Église simultanée Saint-Jean-Baptiste de Hohwiller
    45. Notice no IM67005307, base Palissy, ministère français de la Culture orgue (grand orgue) église paroissiale Saint-Jean-Baptiste ; temple
    46. Bernard Vogler, « Liste de localités ayant de nos jours une église simultanée », in Antoine Pfeiffer (dir.), Protestants d'Alsace et de Moselle : lieux de mémoire et de vie, SAEP, Ingersheim ; Oberlin, Strasbourg, 2006, p. 298 (ISBN 2-7372-0812-2).
    47. Notice no PA00132522, base Mérimée, ministère français de la Culture Synagogue de 1897
    48. Notice no IA00118990, base Mérimée, ministère français de la Culture Synagogue
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