Teissières-de-Cornet
Teissières-de-Cornet est une commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Teissières-de-Cornet | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Cantal | ||||
Arrondissement | Aurillac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Bassin d'Aurillac | ||||
Maire Mandat |
Thierry Crueghe 2020-2026 |
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Code postal | 15250 | ||||
Code commune | 15233 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
301 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 32 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 58′ 16″ nord, 2° 21′ 22″ est | ||||
Altitude | Min. 577 m Max. 754 m |
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Superficie | 9,32 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Aurillac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Naucelles | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Géographie
La commune comprend le Bourg, ainsi que les villages de Cornet, la Calmetoune (section de la Calmette qui se développe beaucoup), Puezac, Sournac, Boissières, le Quiers, Lacombe, Lacombe Basse. La commune est bien imbriquée dans la commune de Crandelles, puisque le nouveau hameau de La Calmette se trouve enclavé dans celle-ci (entourée par le Bourg, le Bourret et Leyritz). De plus, la section de Puezac vient jusqu'au hameau de Leyritz ; la dernière maison semble appartenir à ce hameau, mais se situe en réalité sur Puezac.
Urbanisme
Typologie
Teissières-de-Cornet est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aurillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 1],[I 2].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (69,9 %), zones agricoles hétérogènes (30,1 %)[4].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 140, alors qu'il était de 130 en 2013 et de 110 en 2008[I 3].
Parmi ces logements, 81,5 % étaient des résidences principales, 14,4 % des résidences secondaires et 4,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4 % des appartements[I 4].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Teissières-de-Cornet en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (14,4 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 92,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90,1 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 5].
Typologie | Teissières-de-Cornet[I 3] | Cantal[I 6] | France entière[I 7] |
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Résidences principales (en %) | 81,5 | 67,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 14,4 | 20,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 4,1 | 11,9 | 8,2 |
Histoire[5]
L'église sous la protection de Saint Méen (abbé breton venu du Pays de Galles) avait trois chapelles, depuis environ cent ans elle n'en a plus que deux, consacrées, l'une à Notre Dame de la Miséricorde, et l'autre à St Clair. Cette église recèle un trésor : une Pietà, descente de Croix, statue polychrome datant du XVIIe siècle.
Politique et administration
Monsieur Pijoulat et Madame Alleyrangues ont précédé Thierry Crueghe dans ses fonctions de maire de la commune.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[7]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[8].
En 2019, la commune comptait 301 habitants[Note 3], en augmentation de 14,89 % par rapport à 2013 (Cantal : −1,59 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Voir aussi
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Site de l'Insee
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Teissières-de-Cornet » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Teissières-de-Cornet - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Teissières-de-Cornet - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Infos trouvés dans un bulletin municipal (2) et dans un article de la Montagne lors de l'inauguration 17/09/1994 (3)
- Liste des maires du Cantal, site de la préfecture du Cantal (consulté le 17 août 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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