Thimert-Gâtelles
Thimert-Gâtelles est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire, dans la région naturelle du Thymerais dans le pays Drouais. Vers l'an 1000, la ville était le centre du Thymerais avant de perdre de son importance à la suite de la destruction de son château et de l'abandon de son site au profit de la ville voisine de Châteauneuf.
Thimert-Gâtelles | |||||
La mairie, à Thimert. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Dreux | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Dreux | ||||
Maire Mandat |
Pascal Guerrier 2020-2026 |
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Code postal | 28170 | ||||
Code commune | 28386 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 245 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 29 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 34′ 12″ nord, 1° 15′ 08″ est | ||||
Altitude | Min. 174 m Max. 254 m |
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Superficie | 42,67 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Chartres (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Lubin-des-Joncherets | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.thimert-gatelles.fr | ||||
Géographie
Situation
- Thimert-Gâtelles dans son arrondissement.
- Carte de la commune de Thimert-Gâtelles.
Situé au cœur du Bassin parisien, dans la région naturelle de la Beauce, le territoire de la commune de Thimert-Gâtelles est parsemé de hameaux, bâtis autour de champs céréaliers (blé, orge).
Communes limitrophes
Lieux-dits et écarts
- Arpentigny : château d'eau peint.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1979 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,3 | 1,1 | 3 | 4,2 | 7,7 | 10,4 | 12,4 | 12,4 | 10 | 7,7 | 4,1 | 1,8 | 6,4 |
Température moyenne (°C) | 3,8 | 4,3 | 7,4 | 9,7 | 13,5 | 16,5 | 18,9 | 18,9 | 15,6 | 11,8 | 7 | 4,1 | 11 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,2 | 7,5 | 11,8 | 15,2 | 19,2 | 22,5 | 25,4 | 25,3 | 21,2 | 15,9 | 10 | 6,5 | 15,6 |
Record de froid (°C) date du record |
−17,6 06.01.1979 |
−15 11.02.12 |
−13 13.03.13 |
−4,5 08.04.03 |
−2 05.05.1979 |
0 04.06.1991 |
4,1 04.07.1984 |
4 31.08.1986 |
1,4 30.09.18 |
−4 30.10.1997 |
−9,5 30.11.10 |
−10,8 29.12.1996 |
−17,6 1979 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17,1 27.01.03 |
19,8 14.02.1998 |
24,5 17.03.04 |
29,6 20.04.18 |
32 27.05.05 |
36,5 29.06.19 |
41,1 25.07.19 |
41,8 05.08.03 |
35 15.09.20 |
30 01.10.11 |
21,4 01.11.15 |
15,9 07.12.00 |
41,8 2003 |
Précipitations (mm) | 57,3 | 44,5 | 48,5 | 47,8 | 59,9 | 46,9 | 53,8 | 38,3 | 49,2 | 60,2 | 54,6 | 61,3 | 622,3 |
Urbanisme
Typologie
Thimert-Gâtelles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[8],[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,5 %), forêts (5,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %), zones urbanisées (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Thimert-Gâtelles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment le Coinon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2001 et 2018[16],[14].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[17]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 70,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 558 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 523 sont en en aléa moyen ou fort, soit 94 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].
Toponymie
Thimert-Gâtelles depuis la réunion de la commune de Gâtelles en 1972.
Thimert est attesté sous les formes castrum Theodmerense en 1031, Tedmarum castrum en 1059, Themerium vers 1115, Tymer en 1169[21]. Issu de l'anthroponyme germanique, Theodemer ou (Teutmarus[21]), un prince mérovingien qui a aussi laissé son nom au pagus Theodemerensis (le Thymerais), le « pays de Théodemer ».
Gâtelles est attesté sous la forme Castellum au IXe siècle, en 1224 apparait la forme Gastale qui montre une attraction de l’ancien français gast, « terre aride, inculte », à l’origine de « gâtine » de même étymologie que le verbe « gâter ». Un an plus tard apparait le pluriel Gastellae qui sera à l’origine du nom actuel. Le toponyme désigne des terres incultes.
Histoire
Ancien Régime
Thimer (Tedmarum Castrum) est l'ancienne capitale du Thymerais. L'établissement de Castel-neuf a causé la dépopulation de Thimer. En pleine guerre contre ses vassaux normands, Henri Ier de France reprend le château de Thimert à Guillaume le Conquérant, duc de Normandie, causant sa destruction en 1059. Les pierres de ce château fort (situé vers l'actuel lotissement du Saint-Laurent), rasé en 1060, servirent à la construction de la cité de Castel-neuf (actuelle Châteauneuf-en-Thymerais).
XXe siècle
- 1972 : Thimert absorbe Gâtelles ;
- 2003 : entrée dans la communauté de communes du Thymerais ;
- 2014 : intégration dans la communauté d'agglomération du Pays de Dreux.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours
- Élection présidentielle de 2017[22] : 50,25 % pour Marine Le Pen (FN), 49,75 % pour Emmanuel Macron (REM), 81,33 % de participation.
- Élection présidentielle de 2012[23] : 62,41 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 37,59 % pour François Hollande (PS), 83,57 % de participation.
- Élection présidentielle de 2007[24] : 68,41 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 31,59 % pour Ségolène Royal (PS), 88,79 % de participation.
- Élection présidentielle de 2002[25] : 75,65 % pour Jacques Chirac (RPR), 24,35 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 82,63 % de participation.
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours
- Élections législatives de 2017[26] : 58 % pour Olivier Marleix (LR), 42 % pour Claire Tassadit Houd (REM), 40,05 % de participation.
- Élections législatives de 2012[27] : 60,98 % pour Olivier Marleix (UMP), 39,02 % pour Gisèle Boullais (PS), 60,11 % de participation.
- Élections législatives de 2007[28] : 67,68 % pour Gérard Hamel (UMP), 32,32 % pour Birgitta Hessel (PS), 58,35 % de participation.
- Élections législatives de 2002[29] : 69,89 % pour Gérard Hamel (UMP), 30,11 % pour Birgitta Hessel (PS), 60,31 % de participation.
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores
- Élections européennes de 2009[30] : 36,48 % pour Jean-Pierre Audy (UMP), 11,89 % pour Véronique Goncalves (DVD), 38,02 % de participation.
- Élections européennes de 2004[31] : 22,08 % pour Catherine Guy-Quint (PS), 12,99 % pour Jean Verdon (FN), 49,45 % de participation.
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores
- Élections régionales de 2010[32] : 39,56 % pour François Bonneau (PS), 43,67 % pour Hervé Novelli (UMP), 49,48 % de participation.
- Élections régionales de 2004[33] : 38,36 % pour Michel Sapin (PS), 39,13 % pour Serge Vinçon (UMP), 64,09 % de participation
Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours
- Élections cantonales de 2011[34] : 61,27 % pour Jean Pierre Gaboriau (MODEM), 38,73 % pour Christelle Minard (UMP), 61,50 % de participation.
- Élections cantonales de 2004[35] : 58,07 % pour Jean Pierre Gaboriau (DVG), 18,55 % pour Charles Schpiro (UMP), 67,72 % de participation.
Référendums
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l’Europe[36] : 58,13 % pour le Non, 41,87 % pour le Oui, 74,80 % de participation.
- Référendum de 1992 relatif à la ratification du traité sur l'Union Européenne[37] : 54,35 % pour le Non, 45,65 % pour le Oui, 73,89 % de participation.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].
En 2019, la commune comptait 1 245 habitants[Note 7], en diminution de 0,64 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,32 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Motte castrale arasée de Thimert
Découverte en par le biais de l'archéologie aérienne[46], les traces de la motte sont situées sur la commune de Thimert, à quelques mètres des limites de Châteauneuf (sortie de Châteauneuf, à droite sur la route qui va sur Bigeonette en passant par le lieu-dit le Printemps), elle est sans aucun doute la motte qui fut occupée par Guillaume, duc de Normandie, l'été 1058 et que dut assiéger le roi de France Henri Ier pour essayer de l'en déloger. L'armée royale assiégeait encore Thimert quand le roi Henri Ier mourut à Dreux le . Elle fut rasée pour ne pas retomber aux mains des ennemis.
Chapelle Saint-Laurent
Située sur la route départementale 939 de Chartres à Thimert (actuelle Grande rue), l'ancienne chapelle de la léproserie de Thimert est limitée aujourd'hui à sa façade de style roman[47]. Endommagée en 1940 par un bombardement, la toiture s'effondra en partie en 1952 et ses murs furent finalement démolis vers 1969.
En 1210 Gervais de Châteauneuf lui confirme les dons de ses prédécesseurs. On signalait encore quelques lépreux à la fin du XVIe siècle. Néanmoins, les dispositions prises pour la suppression des léproseries par Louis XIV poussent à la création d'un hôpital à Châteauneuf destiné à recevoir les malades du bourg et de Thimert en 1696. La chapelle resta cependant encore longtemps le centre d'un petit pèlerinage régional.
Chapelle Notre-Dame de Lorette
Cette chapelle du XVe siècle accolée à une ferme faisait partie de l'ancien château d'Arpentigny dont il reste également les douves[48]. Elle fut profanée par le seigneur Jean de Gravelle qui dut la remettre en état en 1649. La chapelle est ouverte une fois par an le pour un pèlerinage local à Notre-Dame de Lorette. Un retable du XIXe siècle, d'origine inconnue, met en scène des épisodes de la vie de la Sainte Vierge inspirés des apocryphes. Le bénitier en pierre inclut des armoiries d'époque.
Chapelle Saint-Thomas
La chapelle se situe près de la porte du pont Tabarin (Thimert) et est dédiée à saint Thomas Becket évêque de Cantorbéry (Canterbury). Elle est construite en maçonnerie de pierres de silex et couverte en tuile à partir de 1189 par Édouard Grin.
Hors des fortifications, elle eut à subir les différents sièges que la ville de Châteauneuf eut à soutenir à diverses reprises, qui ont entraîné des dégradations très sérieuses nécessitant des réparations et même une restauration complète.
Cette chapelle a été fermée au culte en 1789 et vendue comme bien national. Elle est toujours dans le domaine privé.
Ferme fortifiée du Clos Cailleau Guillandru
Propriété privée, visible de la route, cette ferme fortifiée date du XIIIe siècle et montre l'insécurité qui régnait dans la région lors du conflit opposant les rois de France au duc de Normandie et lors des guerres de religion. Sa porte du XIIIe siècle en moellon et brique surmontée d'un ancien blason martelé à la Révolution est flanquée d'une tour et d'une échauguette. Le reste de la ferme est du XVIIIe siècle, avec colombier.
Ferme fortifiée de La Balivière
Connue en 1734 sous le nom de château de la Ballivière qui dépendait de Longueville, cette ferme fortifiée est aujourd'hui une propriété privée. Elle garde les traces d'anciens fossés, d'une imposante tour ronde du XVIe siècle, d'une tour logis carrée près de l'enclos de l'ancien jardin, ainsi que les restes d'un portail Renaissance en pierre et brique.
Voir aussi
Articles connexes
- Château de Tresneau
- Châteauneuf-en-Thymerais
- Région naturelle du Thymerais
- Communauté de communes du Thymerais jusqu'à 2014
- Communauté d'agglomération du Pays de Dreux depuis 2014
- Canton de Châteauneuf-en-Thymerais jusqu'à 2015
- Canton de Saint-Lubin-des-Joncherets depuis 2015
- Site Natura 2000 - Arc forestier du Perche d'Eure-et-Loir
- Liste des sites Natura 2000 d'Eure-et-Loir
- Liste des monuments historiques d'Eure-et-Loir
- Liste des communes d'Eure-et-Loir
Liens externes
- Site de la mairie
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Le rond du Roi se situe sur la Route Forestière Royale de la forêt domaniale de Châteauneuf-en-Thymerais, délimitant notamment les territoires des communes de Thimert-Gâtelles et Saint-Maixme-Hauterive
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- Résultats de l’élection législative 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats de l’élection législative 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats de l’élection législative 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats de l’élection européenne 2009 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats de l’élection européenne 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats de l’élection régionale 2010 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats de l’élection régionale 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats de l’élection cantonale 2011 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats de l’élection cantonale 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats du référendum 1992 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Église de Gâtelles », notice no PA00097221, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Pierre de Thimert », notice no PA00097222, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Société d'Histoire et d'Archéologie du Drouais et du Thimerais
- Clochers de France - Gérard Lepoint, « Vestiges de la chapelle Saint-Laurent de Thimert », sur https://www.clochers.org, .
- Clochers de France - Gérard Lepoint, « Ancienne chapelle Notre-Dame-de-Lorette d'Arpentigny », sur https://www.clochers.org, .
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