Thury (Yonne)

Thury est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

Pour les articles homonymes, voir Thury.

Thury

Vue de la mairie et du monument aux morts sur la place de l'Église, depuis la tour de l'église Saint-Julien.

Blason
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Auxerre
Intercommunalité Communauté de communes de Puisaye-Forterre
Maire
Mandat
Claude Conte
2020-2026
Code postal 89520
Code commune 89416
Démographie
Gentilé Thurycois
Population
municipale
439 hab. (2019 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 35′ 14″ nord, 3° 17′ 43″ est
Altitude Min. 222 m
Max. 328 m
Superficie 23,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Vincelles
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Thury
Géolocalisation sur la carte : France
Thury
Géolocalisation sur la carte : Yonne
Thury
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Thury

    Ses habitants sont appelés les Thurycois.

    Géographie

    Géologie et relief

    Au secondaire (Jurassique - 205 à 140 millions d'années) « la séparation de l'Amérique du Sud et de l'Afrique a créé un bras de mer chaude à vie organique produisant pour la Forterre un calcaire plus compact – ainsi la carrière d'Aubigny est constituée de calcaire corallien de mer chaude. »

    Au Crétacé (fin de l'ère secondaire – 140 à 65 millions d'années) « le refroidissement de la mer produit une craie composée d'une quantité importante de silice colloïdale (craie du Sénonien). Il y a ensuite décalcification des argiles (ou formation des argiles de décalcification) en Puisaye et Pays d'Othe. En se retirant progressivement, la mer donnera le lac de Beauce. »

    Relief et géologie

    Huit failles principales fossilisées parcourent les plateaux calcaires de la Puisaye et de la Forterre, dont une qui traverse Thury selon une direction sud-nord et se prolonge en passant par le hameau de Grangette. Le sol de la Forterre est constitué par les calcaires du Jurassique supérieur (terrain secondaire). Les couches sédimentaires se succèdent du sud-est au nord-ouest : l'oxfordien, le kimméridgien et le portlandien ; lequel s'enfonce ensuite sous le crétacé inférieur de la Puisaye…". (Maurice Lecestre).

    La Forterre "continue les plateaux calcaires de basse Bourgogne (Tonnerrois et Auxerrois) et en forme la partie Sud-Ouest. Elle est en contact direct avec la Puisaye à l'ouest et le Nivernais au sud. Les limites entre la Puisaye et la Forterre sont très nettes : elles se trouvent à l'endroit où les couches du Jurassiques supérieures – ère secondaire (Forterre) s'enfoncent sous celle de l'Infra-Crétacé (Puisaye).Pour Thury, la ligne de démarcation passe par la Malrue."

    " La Forterre se caractérise par des coteaux secs, pierreux assez dénudés traversés par les anciennes routes blanches, sur lesquels sont établis des villages agglomérés construits en pierre calcaire. Au nord, la Forterre s'arrête à la vallée de l'Ouanne, au sud elle se continue jusqu'à la limite du département et à l'Est elle finit quand commencent les forêts de la rive gauche de l'Yonne en englobant la partie Ouest de la forêt de Frétoy. "

    Points remarquables

    Thury : hauteur 225 m. Les Lieux-dits de la commune les plus élevés sont : les Grands Moulins, 327,5 m. - la Justice, 327 m. - le Moulin Buteau, 325 m. -le Roichat, 303,6 m – le Bois de Mont, 301,2 m. – Marchat, 292 m

    Les points culminants des environs se situent à Taingy, 388 m. (Moulin de Taingy), à Perreuse, 373 m et à l'ancien moulin de la Montagne des Alouettes, 366,8 m.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Thury est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,8 %), forêts (8,2 %), zones urbanisées (3 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Tauriacus en 578 (Saint Aunaire) ; Tauriacum en 913 (Saint Géran) ; de Thuraco en 1369 (pouillé) ; de Thoriaco au XIVe siècle (pouillé).

    Tauriacum désignait à l'origine un domaine ou une propriété d'un dénommé Taurus[8], calque probable du gaulois Taruos. Le suffixe gallo-roman -acum est d'origine gauloise et est souvent précédé d'un nom de personne, en indique la propriété. Le nom originel de Chitry (le Fort), par exemple, fut construit sur le même mode, Chistriacum, que Thury. Les noms actuels des villages dont la terminaison est -y sont issus de cette origine gauloise ou gallo-romaine : Aisy, Arcy, Augy, Chemilly, Cheny, Chichy, Courgis, etc.

    Thury peut aussi s'expliquer par un appellatif *turra, d'origine prélatine, peut-être gauloise, qui a donné naissance à une longue liste de microtoponymes, car elle est restée vivante jusqu'à notre époque ; dans le patois tureau signifie « hauteur », suivi du même suffixe -acum déjà évoqué dans l'hypothèse précédente. Ainsi : Thoires, Thorey, Thorigny, Thurey, Toury-Lurcy, Tharot[9]. Cependant, les formes les plus anciennes indiquent qu'il s'agit, dans ce cas, d'un ancien Tauriacu-, forme difficilement compatible avec cette hypothèse.


    Histoire

    Premiers habitats

    Les premières traces d'occupation du sol remonte à l'homme de Néanderthal -40 000 ans – des silex taillés retrouvés en sont la preuve.

    Au Néolithique (6000 en Europe – jusqu'à l'âge du bronze 3000) un superbe broyon en pierre polie qui servait à écraser le grain. Ces objets découverts par M. Creusard sont visibles dans la tour de l'église.

    Âge du bronze (3000 -1000 > jusqu'à l'âge du fer) en 1862, au hameau de Gemigny "en nivelant le tertre circulaire élevé de main d'homme, de 40 m. de diamètre et entouré de fossés, il a été découvert, dans la propriété de M. Chavance, un anneau de bronze, une hachette et une petite clef à poignée tréflée en bronze" (Max Quantin).

    Des gallo-romains à la Renaissance

    La voie romaine d'Auxerre à Entrains forme la limite entre les communes de Thury et de Sougères-en-Puisaye. La voie romaine joignant Lyon à Boulogne dite « chaussée d'Agrippa » passe par Avallon, Auxerre et Sens. Près de la commune voisine de Sougères-en-Puisaye et tout à côté un climat la Citadelle existe sur la commune de Thury.

    En 596 le règlement de saint Aunaire, 18e évêque d'Auxerre (572-605), inclut Thury (Tauriacus) dans les trente principales paroisses du diocèse[10].

    . Depuis, son nom a changé plusieurs fois pour prendre définitivement à la Renaissance son nom actuel.

    Durant la guerre de Cent Ans, le village fut pillé par une bande armée et la population décimée dans un champ appelé depuis Les Cris en référence aux hurlements des gens.

    Des sarcophages de pierre, dont certains contenaient des squelettes, ont été découverts aux lieux-dits les Cercueils , la Fosse-aux-Prêtres, les Cris, et la Vallée de la Croix. La même pierre a servi à la fabrication des tombes découvertes à Tannerre-en-Puisaye et qui datent de la fin de l'Empire romain et du début du Moyen Âge[11].

    L'église a relevé un temps de l'abbaye de Crisenon, la terre étant un fief de la seigneurie de Druyes. À la fin du XVe siècle, l'église relevait de l'abbaye Saint Laurent de Cosne (Ordre de Saint Augustin) tandis que la terre faisait alors partie des possessions en Puisaye d'Antoine de Chabannes, comte de Dammartin en Goële, baron de Toucy et de Perreuse, seigneur de Saint-Fargeau, de Puisaye et autres lieux.

    Les hameaux de Grangette et de Collangette, quant à eux, étaient des fiefs de l'abbaye Saint-Germain d'Auxerre.

    Politique et administration

    La municipalité de Thury fut créée en 1793. Faisant partie du département de l'Yonne, elle fut chef-lieu de canton, dépendant du district de Saint-Fargeau.

    En 1801, Thury fut intégré au canton de Saint-Sauveur et à l'arrondissement d'Auxerre.

    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1983 Robert Barba    
    1983 1989 Jack Allard    
    1989 2014 André Grossier[12]    
    2014 En cours Claude Conte    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[14].

    En 2019, la commune comptait 439 habitants[Note 2], en diminution de 2,23 % par rapport à 2013 (Yonne : −1,69 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9459019539909999991 0761 0641 103
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1421 1171 1181 0161 0131 0051 0041 000939
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    925898904748715688646652643
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    574545488495470461461461452
    2017 2019 - - - - - - -
    439439-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L’activité de la commune de Thury est essentiellement agricole. En effet, de nombreuses exploitations agricoles constituent la plus grande partie du tissu économique local ; néanmoins, le bourg de Thury compte quelques commerces et services (un marchand d’électroménager, un charcutier-traiteur) mais aussi plusieurs entreprises du bâtiment dans le bourg et dans les hameaux, une entreprise d'entretien des espaces verts, une micro-entreprise d'informatique industrielle, un service de toilettage canin à domicile, des artisans d’art, un camion a pizza, une agence communale postale, une école primaire et des chambres d’hôte au hameau de Grangette et Moulery.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Classée Monument Historique par arrêté du , l'église Saint-Julien est de style gothique flamboyant avec quelques éléments du début de la Renaissance.

    L'église actuelle a été construite, à l'emplacement et autour d'un ancien édifice, en deux à trois phases de travaux entre le dernier quart du XVe siècle et le premier quart du XVIe siècle.

    Le « massif occidental », édifié entre la toute fin du XVe siècle et 1521, est exceptionnel pour un village. Il est composé d'un portail de style gothique flamboyant et de la façade du bas côté nord avec sa porte seigneuriale.

    Le marché passé, le 1521, entre le maçon Antoine Cas et « l'ymagier » François Faulconnier concernant les sculptures du portail, mentionné par différents auteurs (Abbé Jean Lebeuf, etc.), est conservé aux Archives départementales d'Auxerre.Il y est « fait marché… pour faire de son métier la vie de Saint Jean en huit histoires pour le portail de l'église de Thury, comme les ymages qui sont au portail neuf de l'église d'Auxerre. »

    Les portes originelles du portail, caractéristiques de la Renaissance, sont conservées en l'état.

    Personnalités liées à la commune

    • Dominique de Savelli, écuyer, seigneur de Champeaux et de Grangette. Dominique de Savelli s'unit avec Jeanne de Drouard, la fille légitime d'Edme de Drouard et de Jeanne de Masquin. Leur mariage religieux fut célébré à Thury le vendredi . Il est le descendant des Savelli, princes romains qui donnèrent trois papes à la Chrétienté.
    • Frédéric Auguste Théophile Guillier, chirurgien puis officier de santé à Thury. Frédéric Auguste Guillier, né le à Thury s'unit avec Louise Charles Clémence Arrault, le mardi à Bassou. Il défraiera la chronique locale et sera l'objet d'attaques virulentes dans le journal royaliste "la Bourgogne". Il sera inquiété en 1852, après le coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte, lors de la répression de la révolte de Puisaye. Il fut gracié par la Commission mixte de 1852 (dossiers BB/22/131/1 à 189 ) et put donc mettre fin à son exil préventif en Belgique. Rentré à Thury, il fut surveillé "ostensiblement"[17].
    • Casimir Félix Angilbert, maire de Thury de 1893 à 1913, juge suppléant en 1902 au tribunal de commerce de la Seine. Casimir Félix Angilbert, né le à Thury, sera tout d'abord clerc de notaire à Choisy-le-Roi, puis directeur de société (Horlogerie-Joaillerie) à Paris en association avec son cousin Henry Chevau. Il s'unira à Sens (89) avec Emélie Roulina, originaire de Chateaurenard (45). Lors de ses nombreux séjours à Thury, il séjournera au château de style Napoléon III qu'il fera construire sur une ancienne propriété de ses cousins Chavance. Il y recevra ses parents et alliés (Gressin, Cellier, Chavance, Chevau, Baumier…). Sous sa mandature, il créera la bibliothèque municipale (1899) qu'il dotera personnellement de 200 volumes ; il y fera construire, à ses frais, une vaste bibliothèque murale. Il fera planter de marronniers une allée menant de sa demeure à celle de son cousin germain Alix Angilbert ; cette allée, dont il laissera la libre disposition à la commune, deviendra le mail-promenade du bourg.
    • Louis Briot (1905 - 1973), homme politique français, député de l'Aube est né à Thury (où il est enterré)[18],[19].
    • Blanche Rosalie Breitman, grand-mère de Dominique Strauss-Kahn, est née le à Thury[20] - ?). Elle épouse le à Paris[20] André Fellus Shemaoun (né à Tunis en 1887 - ?)[20].

    Héraldique

    D'azur à la bande d'argent, accompagnée en chef d'un lion du même, couronné d'or, armé et lampassé de gueules, et en pointe de deux fleurs de lys aussi d'argent.


    Vie culturelle

    • Foire aux graines, en février, le plus près du 25.
    • Fête patronale de la Saint Julien, 3e dimanche d’août.
    • L'académie de musique de chambre de Thury, du 1er au . Concerts les jours impairs dans les villages du canton.
    • Les Journées du Patrimoine, visite historique et architecturale commentée du village (durée 2 heures) et ouverture de plusieurs sites (pressoir, forge, mairie, cadastre de 1825, église et clocher, etc.).
    • Le club des aînés, club « Printemps malgré tout », participe à diverses manifestations au sein de la commune et organise chaque année pour ses membres, plusieurs voyages à vocation culturelle.
    • La bibliothèque avec plus de 4 000 volumes en fonds propre, contribue à la promotion de la culture. Dépositaire de la bibliothèque départementale, elle ouvre l’accès à plus de 150 000 livres.
    • Le P’tit Thurycois, journal communal, quatre parutions par an.
    • Tous les cinq ans, un spectacle historique donné par les Thurycois, retrace les « grandes heures » de Thury.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Pierre Bourgoin, À travers les Archives, Thury un village de Puisaye, chez l'auteur & Clamecy : imprimerie Labbalery, 1988, 208 p.
    • J.-F. Picot, Recherches dans les diverses séries des Archives départementales de l'Yonne, dans les registres des délibérations municipales, dans les archives familiales - Recherches faisant l'objet de publications dans "Le P'tit Thurycois", journal trimestriel de la commune.
    • G. Goujon, La Puisaye, essai de définition d’une région naturelle du bassin parisien, Delagrave Paris 1911 – Reprint Ed. GEDA 2001. (page 62)
    • M. Lecestre, Un modeste pays de Bourgogne, la Forterre, in Pays de Bourgogne, no 18, oct 1957, p. 15-19.
    • J.-P. Moreau, La vie rurale dans le sud-est du bassin parisien entre les vallées de l’Armançon et de la Loire – étude de géographie humaine, Société des Belles-Lettres, Paris 1958. (P ; 33 et sq, p. 183)
    • J-B. Robineau-Desvoidy, Essai statistique sur le canton de Saint-Sauveur en Puisaye, 1838 – Reprint le Livre d’Histoire-Lorisse, Paris 2002.
    • G. Taverdet, Noms de lieux en Bourgogne, Ed. Christine Bonneton, .
    • M. Pignard-Péguet, Histoire des communes de l’Yonne, Paris 1913 (p. 167).
    • Y. Sassier, Recherches sur le pouvoir comtal en Auxerrois du Xe au début du XIIIe siècle, Auxerre 1980 (pp ; 12, 102 & 166).
    • Abbé Jean Lebeuf, Mémoires concernant l'histoire ecclésiastique et civile d'Auxerre et de son diocèse, tome 4, pièces justificatives p. 316, Paris 1743.
    • M. Quantin, Département de l'Yonne Répertoire archéologique, 1868 - reprint Res Universis, 1991 (p. 61).
    • B. Decaris, ACMH Département de l'Yonne - Thury - Église Saint-Julien -étude préalable à la restauration de l'édifice, Paris, .
    • P.-C. Dugenne, Dictionnaire Biographique Généalogique et Historique de l’Yonne, 7 vol. à la Société Généalogique de l’Yonne (1996-2004). pour Frédéric Guillier, tome 2 - et les familles de LA COUDRE(t.3) - de Michau (t.3)- de Montcorps (t.3) - de Richoufftz (t.4) et de Savelli, (t.5). Consultable à la Bibliothèque municipale d'Auxerre, vente à la S.G.Y.

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris 1978. p. 670, article Tauriac.
    9. Gérard Taverdet, Noms de lieux de Bourgogne, éditions Christine Bonneton, Paris 2007. p. 46 et 126, articles Thorey, Thury & Turra.
    10. Jean Lebeuf (abbé), Mémoires concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre..., vol. 1, Auxerre, Perriquet, , 886 p. (lire en ligne), p. 117.
    11. M. Déy, Histoire de la Ville et du Comté de Saint-Fargeau, Auxerre, 1856. p. 26-27.
    12. Conseil général de l’Yonne, Ma Commune, consulté le 3 janvier 2014.
    13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    17. J-F Picot, extraits tirés de le P’tit Thurycois no 47 (2006) et no 48 (2007).
    18. Biographie politique.
    19. Site de l'Assemblée nationale.
    20. « Acte de naissance de Blanche Rosalie Breitman, p. 7 / 311 », sur archivesenligne.yonne-archives.fr, Archives départementales de l'Yonne (consulté le ).
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