Treillières
Treillières est une commune de l'Ouest de la France, dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Elle fait partie de la Bretagne historique.
Treillières | |||||
Mairie de Treillières. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Châteaubriant-Ancenis | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes d'Erdre et Gesvres | ||||
Maire Mandat |
Alain Royer 2020-2026 |
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Code postal | 44119 | ||||
Code commune | 44209 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Treilliérains | ||||
Population municipale |
9 617 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 331 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 19′ 51″ nord, 1° 37′ 27″ ouest | ||||
Altitude | Min. 9 m Max. 74 m |
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Superficie | 29,05 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Treillières (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Nantes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de La Chapelle-sur-Erdre | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.treillieres.fr/ | ||||
Toponymie
La localité est attestée sous sa forme latine Treliera[1] ou Trelieram dès 1123[2].
Le nom gallo de la commune est Trelièrr, en écriture ELG[3].
Géographie
- Situation
Treillières est situé dans la vallée du Gesvres, affluent de l'Erdre, à 14 km au nord de Nantes.
Les communes limitrophes sont : Nantes, Orvault, Vigneux-de-Bretagne, Notre-Dame-des-Landes, Grandchamps-des-Fontaines et La Chapelle-sur-Erdre.
Selon le classement établi par l'Insee en 2010, Treillières est une commune urbaine monopolarisée qui fait partie de l'aire urbaine de Nantes et de l'espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Liste des communes de la Loire-Atlantique).
Treillières est la seule commune limitrophe de Nantes qui ne soit pas membre de Nantes Métropole, au grand dam de nombreux habitants et de certains élus qui souhaitaient que la commune modifie ses liens d'intercommunalité. Cependant, lors d'un référendum organisé en 2002, les Treilliérains se sont exprimés majoritairement en faveur du maintien au sein de la Communauté de communes d'Erdre et Gesvres[5].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nort-sur-Erdre », sur la commune de Nort-sur-Erdre, mise en service en 1950[12] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 754,5 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 17 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[16], à 12,5 °C pour 1981-2010[17], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[18].
Urbanisme
Typologie
Treillières est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Treillières, une unité urbaine monocommunale[22] de 9 219 habitants en 2017, constituant une ville isolée[23],[24].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[25],[26].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,8 %), terres arables (27,3 %), prairies (18,1 %), zones urbanisées (15,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), forêts (1,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].
Histoire
Une charte de Louis le Gros mentionne le bourg de Treillières en 1123[29].
En 1613, Guillaume Mouton, recteur de la paroisse, fit reconstruire l'église paroissiale de Treillières[30]. L'église fut démolie et remplacée par une autre en 1839, à l'exception du chœur qui fut conservé jusqu'en 1895, date de son remplacement[30].
À la fin du XVIIIe siècle, lors de la création des départements français, la population de Treillières oscillait autour de 1 200 habitants.
Treillières, comme toute la Loire Atlantique, fait partie de la Bretagne « historique » et le revendique avec le drapeau Breton (gwenn-ha-du) flottant sur sa mairie.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
La vie politique de Treillières est entièrement dominée par deux associations : Vivre à Treillières (gauche, opposition depuis 2012) et Treillières Autrement (se définissant sans étiquette, divers droite, majorité depuis 2012)[31].
Liste des maires
Population et société
Démographie
Treillières connaît actuellement une très forte croissance, d'environ +30 % tous les 10 ans, en raison de la proximité de la ville de Nantes (dont elle est la seule commune limitrophe à ne pas être membre de Nantes Métropole), et du prix presque raisonnable des terrains (comparé à ses voisines La Chapelle-sur-Erdre et Orvault).[réf. nécessaire]
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2019, la commune comptait 9 617 habitants[Note 6], en augmentation de 16,91 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +7,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,7 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 4 731 hommes pour 4 728 femmes, soit un taux de 50,02 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,58 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Treillières compte deux écoles primaires publiques, Alexandre Vincent et Joseph Fraud, une école primaire privée, Sainte-Thérèse, ainsi que deux collèges, le Haut-Gesvres (public) et Helder Camara (privé)[40].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 42 664 €, ce qui plaçait Treillières au 1 424e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[41].
Culture et patrimoine
Monuments civils
- Villages de Garambeau et de la Ménardais (maisons en granit)
- Moulin de Launais et autres moulins restaurés.
- Le château de Gesvres (XVIIe siècle), maison seigneuriale, bâti par César de Renouard, trésorier général des États de Bretagne[42].
- Le château du Haut-Gesvres (1836)[43].
- Autres châteaux XIXe : Fayau, Champaux, La Louinière, la Rivière.
- Traces de la voie romaine Nantes à Brest à La Guitonnais.
- Fours à pain à Garambeau.
- Rives du ruisseau de Gesvres
- Points de vue des crêtes sur le bocage.
- Château de Gesvres
- Château de la Rivière ou du Haut-Gesvres
- Château de la Louinière
- Château de Champeau
Monuments religieux
- La fontaine Saint-Symphorien (Ve siècle). Elle est actuellement enserrée dans un terrain privé.
- L'église Saint-Symphorien restaurée 1836 néo-classique. Clocher « en poire » rare.
- La chapelle Notre-Dame des Dons (et son if pluriséculaire), ancien lieu de pèlerinage, restaurée XVe siècle.
Cette chapelle dont l'origine remonte au XIVe siècle, fut totalement reconstruite en 1460 par le duc François II.
Avec sa femme Marguerite de Foix il vint y faire des dévotions en 1472 pour obtenir une postérité : sa fille Anne de Bretagne naquit 4 ans plus tard et y vint elle-même en février 1489, quelques jours avant de devenir duchesse de Bretagne (). Elle y revint également en novembre 1498, peu de temps avant son mariage avec Louis XII. En 1838, la chapelle fut placée par erreur dans le cadastre sur les terres du propriétaire du Château de Gesvres, Joseph Guillet de la Brosse, qui refusa néanmoins d'en assurer l'entretien, allant même jusqu'à commencer sa démolition pour en récupérer les matériaux à des fins personnels. Elle tomba alors en ruine jusqu'à ce qu'elle fut restaurée dans les années 1980 par des catholiques sédévacantistes, qui l'utilisent encore aujourd'hui[42],[44]. - La chapelle de La Louinière.
- Croix des quatre communes.
Héraldique
Blasonnement : |
Logo
La mairie de Treillières s'est dotée d'un logo[45].
Personnalités liées
- Edmond Doré-Graslin (1820-1899), homme politique.
- Eugène Guillet de La Brosse (1857-1939), industriel, propriétaire du château de Gesvres.
Pour approfondir
Bibliographie
- Treillières, un village au Pays Nantais, 1800 à 1945, Jean Bourgeon, Éditions Coiffard
- Treillières, La vie est dans le pré, Des origines à la Révolution, Jean Bourgeon, Éditions Coiffard
Sources
- « Registres de 1567 à 1801 », sur Archives départementales de Loire-Atlantique
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Treillières sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 35.
- « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- « Treillières. L’extension du parc d’activités de Ragon est en cours », Ouest-France.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Nort-sur-Erdre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Treillières et Nort-sur-Erdre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Nort-sur-Erdre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Treillières et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Treillières », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Histoire de Treillières, site de la mairie de Treillières
- Registres paroissiaux 1567-1801, p. 19.
- « Le nouveau conseil municipal est installé depuis vendredi », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Treillières. La Ville rend hommage à ses anciens maires », Ouest-France, (lire en ligne).
- Le Château du Haut-Gesvres
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Treillières (44209) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
- Communauté de Communes d'Erdre & Gesvres, « Établissements scolaires », sur Site Internet Treillieres (consulté le ).
- « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
- Le château de Gesvres
- Le domaine de Haut-Gesvres
- Chapelle Notre-Dame des Dons
- « Logo de Treillières », sur un site inconnu (consulté le ).
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