Vauciennes (Oise)

Vauciennes est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Vauciennes.

Vauciennes

Église Saint-Léger.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Valois
Maire
Mandat
Roger Mora
2020-2026
Code postal 60117
Code commune 60658
Démographie
Population
municipale
691 hab. (2019 )
Densité 109 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 14′ 14″ nord, 3° 01′ 52″ est
Altitude Min. 71 m
Max. 167 m
Superficie 6,36 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crépy-en-Valois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Vauciennes
Géolocalisation sur la carte : France
Vauciennes
Géolocalisation sur la carte : Oise
Vauciennes
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Vauciennes

    Géographie

    Communes limitrophes de [1]
    Vez
    Vaumoise Coyolles (Aisne)

    La commune comporte deux hameaux, le Plessis-au-Bois au sud-sud-ouest et Chavres au sud-ouest, ce dernier formant une enclave dans une partie de la forêt de Retz représentant elle-même une quasi-exclave de la commune de Coyolles, reliée toutefois par une bande d'une trentaine de mètres de large à son territoire central. Vauciennes possède par ailleurs une seconde exclave au sein de Coyolles, localisée à peu de distance au sud de son chef-lieu.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 712 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Passy-en-Valois », sur la commune de Passy-en-Valois, mise en service en 1987[9] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 727,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 53 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Vauciennes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,1 %), forêts (20,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,7 %), zones urbanisées (4,6 %), eaux continentales[Note 8] (3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Pour Vauciennes : Vulceniae, Wolceniae, Velcianas, Volceniae (1205), Weuciennes (1207), Woulcieines (1258), Vauciannes (1277), Voulcienne, Voucies, Valcienne, Vautienne, Vouciennes, Vaulciennes, Vaucienne (1836)[23].

    Pour Châvres : Capriae, Chaures, Choavres[24].

    Histoire

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    Georges Guynemer et son escadrille étaient basés à Vauciennes au début de la Première Guerre mondiale[25].

    La sucrerie de Vauciennes est fondée en 1858. Au cours de son existence, cette usine a comporté une sucrerie, une raffinerie, une distillerie et une râperie. Elle fut bâtie en 1858 sous la raison sociale Petitfils et Cie, équipée d’une machine à vapeur et d’une fabrique de noir animal. Elle fut jusque dans les années 1958, une coopérative agricole avec l’installation de nouvelles machines automatiques. De modifications juridiques en rachats, l’usine a fermé le dernier jour de la campagne : le . En 2001, c’est tout le site qui est rasé, changeant totalement le paysage. Cette disparition brutale a marqué tous les esprits notamment celui des ouvriers qui travaillaient depuis longtemps et vivaient dans les maisons ouvrières bâties vers 1920.

    Politique et administration

    La mairie, rue de l'Église.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988  ? Georges de Cornois    
    mars 2001 En cours
    (au 23 octobre 2014)
    Roger Mora   Employé
    Réélu pour le mandat 2014-2020[26]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

    En 2019, la commune comptait 691 habitants[Note 9], en augmentation de 1,02 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    402402438409496477481484464
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    434564629566649630610615600
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    622733712685802856837753812
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    737717710813763661581674683
    2019 - - - - - - - -
    691--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 358 hommes pour 332 femmes, soit un taux de 51,88 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ou +
    0,6 
    6,2 
    75-89 ans
    7,3 
    15,2 
    60-74 ans
    18,5 
    19,7 
    45-59 ans
    17,3 
    21,8 
    30-44 ans
    24,4 
    11,0 
    15-29 ans
    13,4 
    25,8 
    0-14 ans
    18,6 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Lieux et monuments

    Monuments historiques

    Église Saint-Léger, élévation sud.

    Vauciennes compte trois monuments historiques sur son territoire :

    • Église Saint-Léger (inscrite monument historique par arrêté du [33]) : elle a été édifiée entre la fin du XIIe siècle et le second quart du XIIIe siècle, quand fut bâtie la nef. Le style gothique primitif règne partout, sauf dans les bas-côtés, qui ne datent que de 1628. L'église est de dimensions modestes et présente, en quelque sorte, le plan minimal pour une église gothique complète : nef de trois travées accompagnée de bas-côtés, transept et un court chœur avec une abside à cinq pans. La façade occidentale avec sa grande rosace qui a perdu son remplage et son portail à la quintuple archivolte ; les chapiteaux de la nef avec leur sculpture naturaliste ; et l'abside avec ses hautes et étroites baies encadrées par les colonnettes à chapiteaux des ogives et formerets, font preuve du soin qui pouvait être apporté aux petites églises rurales de la région. Cependant, l'église Saint-Léger a très tôt été pénalisée par le sol marécageux du village, qui a fait renoncer à l'édification de deux chapelles orientées et d'un clocher proprement dit, et nécessité plusieurs reprises. L'humidité a fini par ronger la sculpture de la plupart des chapiteaux, et si le sol a été refait, les fondations baignent toujours dans l'eau[34].
    • Manoir du Plessis-aux-Bois (inscrit monument historique par arrêté du , y compris le pavillon d'entrée, les murs de clôture et le colombier[35]).
    • Église Sainte-Geneviève de Chavres (inscrite monument historique par arrêté du [36])[37].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Communes limitrophes de Vauciennes » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes de Vauciennes » sur Géoportail..
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Passy-en-Valois - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Vauciennes et Passy-en-Valois », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Passy-en-Valois - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Vauciennes et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Valois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 173.
    24. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Valois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 175.
    25. Ministère de la Défense, « Guynemer, 1894-1917, "Faire face" » (consulté le ).
    26. « Vauciennes », Cartes de France (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vauciennes (60658) », (consulté le ).
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    33. « Église Saint-Léger de Vauciennes », notice no PA00114938, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. Dominique Vermand, Églises de l'Oise, canton de Crépy-en-Valois : Les 35 clochers de la Vallée de l'Automne, Comité Départemental de Tourisme de l'Oise / S.E.P Valois Développement, , 56 p., p. 46.
    35. « Manoir du Plessis-aux-Bois », notice no PA60000020, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Chapelle de Chavres », notice no PA00114937, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. Dominique Vermand, Églises de l'Oise, canton de Crépy-en-Valois, op. cit., p. 47.
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