Verneuil d'Avre et d'Iton
Verneuil d'Avre et d'Iton est une commune nouvelle française située dans le département de l'Eure, en région Normandie. Elle est née de la fusion de Verneuil-sur-Avre et de Francheville.
Verneuil d'Avre et d'Iton | |
Maison à tourelle à Verneuil-sur-Avre. | |
Héraldique |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | Communauté de communes Interco Normandie Sud Eure (siège) |
Maire Mandat |
Yves-Marie Rivemale 2020-2026 |
Code postal | 27130 et 27160 |
Code commune | 27679 |
Démographie | |
Gentilé | Vernoliens, Vernoliennes |
Population municipale |
7 614 hab. (2019) |
Densité | 136 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 44′ 22″ nord, 0° 55′ 43″ est |
Altitude | Min. 147 m Max. 197 m |
Superficie | 56 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Verneuil d'Avre et d'Iton (ville isolée) |
Aire d'attraction | Verneuil d'Avre et d'Iton (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Cantons de Breteuil et de Verneuil-sur-Avre |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | verneuil-davre-et-diton.fr |
Géographie
Localisation
Au sud du département de l’Eure à 23 km de l’Aigle, 39 km de Mortagne-au-Perche dans l’Orne et à 40 km d’Évreux préfecture du département
Hydrographie
L'Avre est une rivière qui passe à proximité de Verneuil (au sud de la RN 12) et prend sa source dans la région naturelle du Perche. Elle sert de frontière naturelle entre les régions Normandie et Centre-Val de Loire. L'Avre est un affluent en rive gauche de l'Eure, donc sous-affluent de la Seine. Depuis 1893, huit de ses sources situées à Rueil-la-Gadelière et Verneuil-sur-Avre sont captées pour alimenter en eau potable, grâce à un aqueduc, les 8e, 9e, 16e et 17e arrondissements de Paris à partir du réservoir de Saint-Cloud.
L'Iton, autre affluent de l'Eure, coule à plus de 6 km de Verneuil-sur-Avre. Lors de la fondation de la ville, Henri Beauclerc fait creuser un bras forcé de 11 km, partant du Becquet à Bourth, traversant la commune de Francheville pour alimenter en eau les fossés de la nouvelle ville. Verneuil était située sur le territoire du duché de Normandie et l'Avre marquait la frontière avec le territoire du royaume de France, zone ennemie.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rueil », sur la commune de Rueil-la-Gadelière, mise en service en 1948[7] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 663,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 39 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Verneuil d'Avre et d'Iton est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Verneuil d'Avre et d'Iton, une unité urbaine monocommunale[17] de 8 170 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18],[19].
Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Verneuil d'Avre et d'Iton, dont elle est la commune-centre[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes :
- Vernolium en 1131 (Roger de Hoveden) ;
- Vernullium en 1194 (Guillaume de Neubridge) ;
- Vernuel en 1280 (grand cartulaire de Saint-Taurin) ;
- Vernoel en 1389 (aveu des religieuses du Trésor) ;
- Verneul en Perche au XVe siècle (chronique normande de Pierre Cochon) ;
- Vernul en 1417 (registre de la charité de Notre-Dame-de-la-Couture) ;
- Vernueil lez Perche en 1467 (ordonnances des rois de France) ;
- Vernieul en 1469 (monstre) ;
- Vernueil en 1594 (lettres patentes d'Henri IV) ;
- Verneuil en 1689[22] ;
- Verneuil-sur-l'Avre en 1835[23] ;
- Verneuil-sur-Avre en 1857[24].
Sous l'Ancien Régime, la ville s'appelait Verneuil-au-Perche ou simplement Verneuil. Elle est devenue commune et chef-lieu de canton sous le nom de Verneuil, nom encore fréquemment employé dans le langage courant. La dénomination Verneuil-sur-Avre semble s'être mise en place au milieu du XIXe siècle. La forme Verneuil est la plus couramment utilisée, notamment dans les ouvrages de référence[25] ; la forme actuelle a été officialisée en 2017.
Verneuil peut venir de vern (aulne) et ialos (clairière).
En fusionnant avec Francheville, traversée par l'Iton dont un bras mort irrigue les fossés de Verneuil-sur-avre, la commune fusionnée prend le nom de Verneuil d'Avre et d'Iton.
Histoire
Moyen Âge
Verneuil-sur-Avre est fondée en 1129 par Henri Ier, troisième fils de Guillaume le Conquérant, sur les paroisses de Pullay et de Poiley[26], après la révolte des nobles de 1118-1120[27]. Certains des principaux révoltés sont Richer de l'Aigle, Robert de Neubourg et Eustache, comte de Breteuil, tous possessionnés autour de Verneuil. Henri Beauclerc, une fois ces révoltés soumis, crée donc trois bourgs fortifiés à Verneuil-sur-Avre pour contrôler la région[26].
Le quartier Saint-Martin, situé au sud de l'Avre, dépendait des seigneurs du Thymerais. Ce face-à-face a donné lieu à de nombreuses confrontations entre les deux parties :
- siège de Verneuil, en 1173, par Louis VII le Jeune contre Henri II, roi d'Angleterre et duc de Normandie,
- bataille de Verneuil, victoire anglo-bourguignonne, le ,
- prise de Verneuil par le roi de France Charles VII à la fin de la guerre de Cent Ans, le ,
- Verneuil est alors réuni au comté du Perche.
Révolution française
Verneuil fut chef-lieu de district de 1790 à 1801. L'église de la Madeleine se trouva transformée en temple de la Raison (il en subsiste quelques traces sur la façade, à droite du porche et la statue de la déesse est conservée à la mairie). En 1844, Gauville est rattachée à Verneuil.
Seconde Guerre mondiale
Durant la Seconde Guerre mondiale, la Wehrmacht y installa un camp de prisonniers militaires, dit camp de l'École des Roches. Un grand nombre de soldats français victimes de la débâcle de 1940 y transitèrent avant d'être transférés dans des camps notamment autrichiens. Deux mille soldats canadiens, capturés le lors de l'opération Jubilee (tentative de débarquement à Dieppe), y furent également détenus, du 20 au , avant d'être transportés en Allemagne.
Dans la nuit du 12 au , un des 504 avions de la RAF partis bombarder Milan, le Halifax JD125 code KN-A du 77th Squadron, fut abattu par le chasseur Focke-Wulf 190 piloté par l'Allemand Detlef Grossfuss du 2./JG2. Aucun des sept membres de l'équipage (six Britanniques et un Canadien) n'y survécut. Seuls six corps furent retrouvés, ceux des sergents Griffiths, Gray et Bacon, les trois autres (parmi lesquels le pilote Clinch, les aviateurs Hoyne, Gallantree ou le Canadien Donald Dufton) n'ayant pu être identifiés, ce qui explique la présence de six stèles dont trois anonymes au cimetière communal.
Le , cinq FFI du réseau « Quand Même » (André Chasles, Jacques et Bernard Girard, Jean Pothin et Marius Bazille) étaient fusillés par les Allemands en compagnie du parachutiste commando canadien Hector Sylvestre qui avait rallié la Résistance. Celui-ci appartenait à la compagnie A du 1er bataillon parachutiste canadien (3e brigade parachutée, 6e division aéroportée). Cinq jours plus tard, le , la ville de Verneuil était libérée par les Américains de la 28e division d'infanterie et de la 2e division blindée. Les corps des six suppliciés reposent toujours au cimetière communal où ils furent transportés après la Libération, un rond-point porte le nom de Donald Dufton et une rue celui d'Hector Sylvestre.
Le , Verneuil-sur-Avre et Francheville fusionnent.
Héraldique
Blasonnement :
Parti, au 1 : d'or, au lion de gueules, au chef d'azur à trois fleurs de lys d'or ; au 2 : d'azur à la fleur de lys d'or.
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Politique et administration
La commune nouvelle regroupe les communes de Francheville et de Verneuil-sur-Avre, qui deviennent des communes déléguées, le [29]. Son chef-lieu se situe à Verneuil-sur-Avre.
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Verneuil-sur-Avre (siège) | 27679 | Interco Normandie Sud Eure | 31,97 | 6 680 (2014) | 209
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Francheville | 27265 | CC du Canton de Breteuil sur Iton | 24,03 | 1 276 (2014) | 53 |
Liste des maires
Économie
- La ville possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de l'Eure.
- Un domaine Center Parcs est situé à 9 km à l'ouest de Verneuil-sur-Avre, sur les communes des Barils et de Pullay.
Culture locale et patrimoine
- Église de la Madeleine (XIIe et XVIe siècles), monument historique avec sa tour culminant à 56 mètres, en gothique flamboyant, visible bien au-delà du canton jusqu'à la cathédrale de Chartres (l'hiver), et devenue le symbole de la ville. Très comparable à la tour de Beurre de Rouen, bien qu'un peu plus petite, elle a également inspiré[réf. nécessaire] les architectes de la Tribune Tower à Chicago, gratte-ciel de 141 mètres de hauteur érigé en 1925.
- Église Notre-Dame XIIe siècle et XXe siècle.
- Tour Grise (XIIIe siècle)[32], monument historique, élevée par Philippe Auguste, elle tire son nom d'une pierre de couleur marron utilisée pour sa construction et nommée grison.
- Abbaye Saint-Nicolas (XVIIe siècle).
- Espace Saint-Laurent, ancienne église transformée en lieu d'expositions.
- Vestiges de l'église Saint-Jean (XVIe siècle) bombardée en 1944.
- Le centre de loisirs Center Parcs (Les Bois-Francs).
- La gare de Verneuil-sur-Avre.
- Église de la Madeleine.
- Nef de l'église de la Madeleine.
- Ancien moulin de la tour Grise.
- Rue du Canon.
- La Tour Grise.
- Rue Notre-Dame.
- Maison à tourelle, rue Notre-Dame.
- Rue des marronniers.
- Abbaye Saint-Nicolas.
Personnalités liées à la commune
(Par ordre chronologique de date de naissance)
- Artus Fillon, né à Verneuil, évêque de Senlis (~1522-1526) et donateur ayant permis l'achèvement de la Tour de La Madeleine.
- Paul-Alexis Blessebois, dit Pierre-Corneille Blessebois, aventurier et écrivain.
- Gabriel-François Villette (v.1744-18..), pharmacien en chef aux armées, né à Verneuil.
- Jacques Nicolas Lacour, général, baron d'Empire, né à Verneuil.
- Le comte de Frotté, royaliste contre-révolutionnaire, fusillé à Verneuil.
- Prudent Louis Aubéry du Boulley, compositeur[33].
- Louise Colet, femme de lettres, amie de Gustave Flaubert.
- Edmond Demolins, pédagogue et fondateur de l'école des Roches.
- Paul Gires, médecin, fondateur de l'École française de stomatologie, mort à Verneuil.
- Maurice Augustin Storez (1875-1959), architecte qui restaura de nombreuses maisons locales, mort à Verneuil.
- Maurice de Vlaminck, peintre établi pendant plus de cinquante ans à Rueil-la-Gadelière près de Verneuil, inspiré par les villages et paysages des environs. Le collège de Verneuil porte son nom.
- Jérôme Carcopino, historien, secrétaire d'État à l'Éducation nationale et à la Jeunesse de 1941 à 1942, né à Verneuil.
- Jean-Paul Sevilla, pianiste concertiste, professeur honoraire à l'Université d'Ottawa (Canada).
- Geneviève Moll, journaliste, morte à Verneuil.
- Richard Peduzzi, scénographe, peintre et créateur de mobilier français.
- Pascal Quignard, écrivain, né à Verneuil.
- Louis Petiet, homme d'affaires et homme politique, ex-maire de Verneuil et ex-conseiller général de l'Eure.
- Nicolas Miguet, éditeur de presse.
- Bérangère Sapowicz, footballeuse internationale française (gardienne de but), née à Verneuil.
Enseignement
- L'école des Roches, fondée en 1899 par Edmond Demolins, est la première école nouvelle française.
- Lycée de la Porte-de-Normandie.
- Collège Maurice-de-Vlaminck.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Rueil - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Verneuil d'Avre et d'Iton et Rueil-la-Gadelière », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rueil - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Verneuil d'Avre et d'Iton et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Verneuil d'Avre et d'Iton », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 229.
- Georg Bernhard Depping, Histoire de la Normandie sous le règne de Guillaume-le-conquérant et de ses successeurs, tome 2, Rouen, Frère, 1835 (t. 2, page 125).
- Voir Congrès archéologique de France, par la Société française d'archéologie, volume 23, Derache, Paris, 1857 : Verneuil-sur-Avre figure en titre page 161 (« Séances tenues à Verneuil-sur-Avre ») et à la table des matières page 390 ; dans le reste de l'ouvrage, c'est la forme Verneuil qui est utilisée.
- Pierre Larousse, « Grand dictionnaire universel du XIXe siècle », sur gallica.bnf.fr (consulté le ), p. 918
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 229.
- Astrid Lemoine-Descourtieux, La frontière normande de l'Avre, IIe partie. Bourg castraux et centres administratifs nouveaux, PURH, 2011.
- Malte-Brun, la France illustrée, 1882.
- « Recueil des actes administratifs des services de l'État dans l'Eure », sur eure.gouv.fr, (consulté le ).
- « Yves-Marie Rivemale élu maire de la commune nouvelle Verneuil d’Avre et d’Iton », Paris Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- Bernard Geffroy, « Municipales. Yves-Marie Rivemale réélu à 70 % à Verneuil-d'Avre-et-d'Iton », Le Réveil Normand, (lire en ligne)
- Notice no PA00099613, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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