arinca

Mot cité par Pline (Nat. 18, 81)^[1][2].

Étymologie incertaine^[2], X. Delamarre cite J. André, lequel proposait la racine *arə- (labourer), sans certitude^[1].

arinca

1. (Botanique) Sorte de blé.
2. (Botanique) Petit épeautre (incertain)^[2].

• ^[1] : Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, préf. de Pierre-Yves Lambert, Errance, Paris, 2003, 2^e éd. ISBN 2-87772-237-6 (ISSN 0982-2720), p. 54
• ^[2] : Jean-Paul Savignac, Dictionnaire français-gaulois, La Différence, Paris, 2004 ISBN 978-2729115296, p. 66

Mot gaulois synonyme, en latin, de olyra ; issu de l’indo-européen commun *arenko ^[1] (« sorte de céréale ») qui donne le grec ancien ἄρακος, arakos (« sorte de légumineuse »), le français dialectal ^[2] (Dauphiné) riguet.

arinca \Prononciation ?\ féminin

1. (Botanique) Petit épeautre.
   • olyram arincam diximus vocari. Hac decoctā fit medicamentum, quod Aegyptii atheram vocant, Pline. 22, 25, 57, § 121.

• « arinca », dans Félix Gaffiot, Dictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage
• ^[1] Julius Pokorny, Indogermanisches Etymologisches Woerterbuch, radical *arenko
• ^[2] « arinca », dans Charlton T. Lewis et Charles Short, A Latin Dictionary, Clarendon Press, Oxford, 1879 → consulter cet ouvrage