contre-finesse
Français
Attestations historiques
- (XVIIIe siècle) Qu’il s’en moque [d’un argument captieux] ; il est plus subtil de s’en mocquer que d’y respondre ; qu’il emprunte d’Aristippus cette plaisante contre-finesse : Pourquoy le deslierai-je, puisque, tout lié, il m’empesche ? [1]
Traductions
Références
- Montesquieu, I, 190
- Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de la langue française, par Émile Littré (1872-1877), mais l’article a pu être modifié depuis. (contre-finesse)
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