encomium

Du latin encōmium (« éloge »), issu du grec ancien ἐγκώμιον enkōmion (« ode élogieux, éloge, louanges »), de ἐγκώμιος enkōmios (« qui se rapporte à la victoire »), de κῶμος kōmos (« festivités, divertissement »).

encomium \ɑ̃.kɔ.mjɔm\ masculin

1. (Désuet) Dictionnaire.[1][2]
2. Genre littéraire de la rhétorique grecque visant à faire l’éloge d’une personne, d’une chose, d’idée.
   • […] le texte d’Érasme appartient à un genre bien particulier : il s’agit d’une déclamation, qui relève du genre démonstratif (ou épidictique), et plus précisément encore d’un encomium par lequel il s’agit de louer une personne, une chose, une idée. De plus, il s’agit d’une sous-espèce bien singulière d’encomium : un pseudo-encomium, c’est-à-dire un éloge paradoxal, par lequel l’auteur fait l’éloge, sur un mode facétieux, parodique ou satirique, d’un sujet ridicule en employant un ton très sérieux […] — (Un paradoxal éloge de la folie érasmienne : le Triumphe de prudence, Jean Thenaud, Jean-François Vallée, cometes.org)

• communie
• communié
• méconium

Du latin encōmium (« éloge »), issu du grec ancien ἐγκώμιον enkōmion (« ode élogieux, éloge, louanges »), de ἐγκώμιος enkōmios (« qui se rapporte à la victoire »), de κῶμος kōmos (« festivités, divertissement »).

encomium

1. Panégyrique, éloge.

• (Royaume-Uni) : \ɛŋ.ˈkəʊ.mɪ.əm\
• (États-Unis) : \ɛn.ˈkoʊ.mɪ.əm\, \ɪn.ˈkoʊ.mɪ.əm\
• États-Unis  : écouter « encomium [ɛnˈkoʊ.mɪ.əm] »

Du grec ancien ἐγκώμιον enkōmion (« ode élogieux, éloge, louanges »), de ἐγκώμιος enkōmios (« qui se rapporte à la victoire »), de κῶμος kōmos (« festivités, divertissement »).

encomium

1. Éloge.