larronner
Français
Étymologie
- De larron, voleur.
Notes
- (XVIe siècle) Tant feirent et tracasserent, pillant et larronnant qu’ils arriverent à Seuillé. [1]
Verbe
larronner \la.ʁɔ.ne\ intransitif 1er groupe (voir la conjugaison)
- Être larron, se livrer au vol.
- Sache qu’à mes yeux la plus grande sottise, la plus basse platitude qu’un homme puisse faire, c’est de s’adonner au métier de larron.
- « Où m’avez-vous vu larronner ? » demanda Puffo d’un air sombre
- « Si je t’avais vu larronner en ma compagnie, je t’aurais cassé les reins ». — (George Sand [Amantine Aurore Lucile Dupin, baronne Dudevant], Revue des Deux-Mondes, 1er juin 1858, page 487) - – Les gens de la ville ne larronnerons point mon peuple. Qui gruge le vilain, gruge le roi ! — (Henri Béraud, Le Bois du templier pendu, Les Éditions de France, Paris, 1926)
- Sache qu’à mes yeux la plus grande sottise, la plus basse platitude qu’un homme puisse faire, c’est de s’adonner au métier de larron.
Traductions
Références
- François Rabelais, I, 27
- Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de la langue française, par Émile Littré (1872-1877), mais l’article a pu être modifié depuis. (larronner)
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