Église Saint-Gervais-Saint-Protais de Paris

L'église Saint-Gervais-Saint-Protais de Paris, généralement connue sous le nom d'église Saint-Gervais, est située sur la place Saint-Gervais, dans le quartier Saint-Gervais, auxquels elle donne leurs noms, dans le 4e arrondissement, à l'est de l'Hôtel de Ville.

Pour les articles homonymes, voir Église Saint-Gervais-Saint-Protais et Église Saint-Gervais.

Église Saint-Gervais-Saint-Protais

Façade de l'église, vue l'ouest
Présentation
Culte Catholique romain
Dédicataire Saints Gervais et Protais
Type Église paroissiale
Rattachement Archidiocèse de Paris
Début de la construction 1494
Fin des travaux XVIIe siècle
Style dominant Gothique flamboyant
Classicisme (façade)
Protection  Classé MH (1862)
Site web paris.fraternites-jerusalem.org
Géographie
Pays France
Région Île-de-France
Département Paris
Ville Paris
Arrondissement 4e arrondissement
Coordonnées 48° 51′ 20″ nord, 2° 21′ 16″ est

Depuis 1975, les offices sont célébrés par les Fraternités monastiques de Jérusalem, qui rassemblent des moines et des moniales, qui vivent l'esprit de la solitude monastique au cœur des grandes villes.

Historique

Première église

Église Saint-Gervais-Saint-Protais sur le plan de Truschet et Hoyau (c.1550)
Vue de la façade au milieu du XIXe siècle (photographie d'Édouard Baldus, entre 1852 et 1857)

Bâtie sur les fondations du premier lieu de ̩culte connu de la rive droite à Paris, une basilique fondée entre 387 et 576 à côté d’un cimetière gallo-romain sur le monceau Saint-Gervais, butte non inondable dans un territoire marécageux. Elle est également la plus ancienne paroisse en dehors de la première cathédrale de l'Île de la Cité, datant probablement de la deuxième moitié du XIe siècle[1].

L'église est citée dans le testament d'Ermintrude : baselicae Domni Gervasi, anolo aureo, nomen meu[m i]n se habentem scribtum[2],[3].

Le duo des Saints Saint Gervais et saint Protais est très populaire à l'époque de la fondation de cette église, et on compte de nombreuses fondations d'églises sous leur invocation au cours de cette période (aux alentours du XVIe siècle).

Église actuelle

Chevet en 1887 (Jean Eugène Durand, photographe).

La construction de l'église actuelle, commencée en 1494, s'est déroulée sur une période de 150 ans environ. Des dates laissées par les artisans en rappellent la progression. La chapelle de la Vierge est achevée en 1517, le chœur en 1540 et le transept en 1578. Après une longue période d'interruption, probablement causée par les guerres de religion, la nef est réalisée entre 1600 et 1620, juste avant la façade ouest.

Intérieur de l'église après le bombardement du 29 mars 1918.
Traces actuelles de ce bombardement.

Cette façade, due à l'architecte Salomon de Brosse, est construite de 1616 à 1621. Le jeune François Mansart en a reproduit les deux niveaux supérieurs (ionique et corinthien) sur la façade de l'église conventuelle des Feuillants (1623-1624)[4].

L'église est classée au titre des monuments historiques en 1862, par le biais de la liste éponyme[5].

Le 29 mars 1918, un obus allemand tiré par un canon de type Pariser Kanonen, improprement appelé Grosse Bertha tomba sur l'église tuant 92 personnes et en blessant 68 autres. L'obus pulvérisa le toit de la nef pendant l'office du Vendredi saint. Ce fut le bombardement le plus meurtrier de la guerre. Quelques traces de cet événement subsistent sur le pilier à l'angle ouest de la nef et du transept sud.

L'église fut restaurée une première fois sous la maîtrise d'œuvre de l'architecte Baltard entre 1827 et 1844, puis une nouvelle fois entre 1863 et 1869, avec notamment la réfection des chapelles (décor) et des vitraux. Des travaux furent encore entrepris en 1957 et plus récemment vers 2000 et en 2013.

En 1975, la paroisse est confiée à Pierre-Marie Delfieux par le Cardinal Marty, afin qu'il y établisse les Fraternités de Jérusalem. En 2015, sept frères et quinze sœurs sont installés dans le monastère attenant à l'église[6].

Les offices monastiques en direct de l’église avec les Fraternités monastiques de Jérusalem sont diffusés sur la chaîne chrétienne KTO[7].

Liste des curés

Liste des curés de Saint-Gervais du Concordat à nos jours :

  • 1802-1812 : Antoine Chevalier
  • 1812-1814 : Pierre de La Rue
  • 1815-1823 : Jean-Baptiste Frasey
  • 1823-1824 : Martin Casset
  • 1824-1827 : Étienne Hunot
  • 1827-1831 : Pierre Haumet
  • 1831-1847 : Gabriel Rouvières
  • 1847-1853 : Jean-Baptiste Leve
  • 1853-1865 : Guillaume Chenailles
  • 1865-1873 : Claude Borel
  • 1873-1902 : Joseph De Bussy (frère de Louis de Bussy)
  • 1902-1907 : Auguste Mailles
  • 1907-1929 : Marcel Gauthier
  • 1929-1948 : Louis Brochard
  • 1948- : René Laine

Description

Plan

Plan de l'église (Est en haut).

L'église relève d'un plan allongé avec transept non saillant. Elle possède une tour-clocher avec abat-sons jouxtant le chœur. Ce dernier, entouré d'un déambulatoire bordé de chapelles, est composé de quatre travées tout comme la nef. Si l'architecture de l'église Saint-Gervais est d'aspect globalement gothique, la façade est en revanche inspirée par le classicisme français.

Extérieur

L'église reste encore relativement insérée dans le milieu urbain ; la façade Est n'est visible que du sud-est et celles du Nord et du Sud sont masquées par des constructions. La façade sud est toutefois accessible par une voie qui la longe : le passage du Gantelet.

Sur une des deux tourelles d'angle du transept sud, se trouvent deux cadrans solaires verticaux. Un troisième cadran est installé sur la tour clocher.

Seule, la face ouest est bien dégagée depuis l'agrandissement de la place adjacente au XIXe siècle. Réalisée entre 1616 et 1620 par l'architecte Claude Métezeau et le maître-maçon Claude Monnart, ce dernier s'en inspire pour concevoir la façade occidentale de la cathédrale Saint-Étienne de Châlons[8]. Cette façade, qui donne sur la place Saint-Gervais et son orme, se compose d’un corps central à trois niveaux et de deux ailes à deux niveaux seulement : le rez-de-chaussée est orné de colonnes doubles et cannelées[9]. Le premier étage qui reprend le même agencement est orné de niches abritant la statue de saint Gervais sculptée par Antoine-Auguste Préault et de saint Protais par Antonin Moine. Le dernier étage est formé d’un grand fronton curviligne en partie évidé, contrebuté par des ailerons. Les deux ailes sont couronnées de la statue de saint Matthieu et saint Jean l'Évangéliste[10]. Pour rattacher la façade à la nef gothique, large et élancée, l'architecte a ajouté une travée et érigé une chapelle en quart de cercle ogival aux extrémités. Cette façade présente la particularité de disposer des colonnes des 3 ordres : dorique au rez-de-chaussée, ionique au premier étage, corinthien au second étage. Annonçant un style nouveau en France, le classicisme, il s'agit de première façade d'une église monumentale à reprendre le vocabulaire classique des ordres selon la mode à l'antique qui prévalait aux XVIe et XVIIe siècles[11].

Le clocher de l'église est un des points hauts du centre du Paris ; de nombreuses vues de la ville ont été prises de son sommet, notamment la célèbre carte postale Vue des sept ponts[12].

Intérieur

Globalement, l'intérieur de l'église relève du gothique tardif. On trouve deux niveaux d'élévation avec de grandes arcades en arcs brisés et des fenêtres hautes à remplages. L'église Saint-Gervais-Saint-Protais de Paris possède une voûte à liernes et tiercerons à la croisée du transept et quadripartite dans la nef.

Chœur
Nef
Chapelles

Depuis la chapelle Sainte-Anne, on peut accéder à une curiosité : la Chapelle dorée. Concédée à Antoine Goussault et sa femme Geneviève Fayet en 1628 et construite avant 1634, cette chapelle minuscule, qui ne se visite qu'exceptionnellement, possède une décoration remarquable de style Louis XIII la recouvrant entièrement[13]. Cette décoration se compose de petits panneaux figurant des scènes de la Passion et de la Résurrection dans une boiserie richement ornée de différents motifs. Au-dessus de l'autel se trouve une œuvre de Claude Vignon, Le Christ au mont des oliviers.

Les œuvres d'art

Une cinquantaine d'objets sont classés Monuments historiques[5].

Vitraux

L'église possède une grande variété de vitraux réalisés depuis la Renaissance :

  • parmi les vitraux datant du XVIe siècle, ceux réalisés par Jean Chastellain : La Sagesse de Salomon (baie no 16) réalisée en 1531 et dans la chapelle de la Vierge datant de 1517, restaurée par Baltard, on trouve des vitraux réalisés par Jean Chastellain décrivant la vie de la Vierge : Mariage de la Vierge et La Vierge au Temple (baies no 0), les vitraux consacrés à Anne et Joachim (baie no 1) puis La Visitation et Le doute de saint Joseph (baie no 2). On lui attribue aussi les deux anges du tympan de la baie no 18.
Vitrail : la Sagesse de Salomon
  • les vitraux réalisés probablement sur des dessins de Jean Cousin (1490-1561) en 1540 près du maître-autel : La Guérison du paralytique (baie no 103), La Résurrection de Lazare (baie no 105)et Le Martyre de saint Laurent (baie no 108).
  • des vitraux du début du XVIe siècle se trouvent dans les baies du côté nord des chapelles du chœur : verrière de sainte Marie-Madeleine (baie no 15) réalisée entre 1494 et 1503 par celui désigné sous le nom de convention de maître de la Vie de saint Jean-Baptiste, le vitrail de la Vie de saint Jacques (baie no 11) dont il subsiste des fragments, puis la progression de la construction des chapelles se faisant de l'ouest vers la chapelle d'axe, sont réalisés avant 1517 les vitraux de la chapelle des Trois-Maries (chapelle Sainte-Geneviève-et-Sainte-Barbe) qui illustrent la Vie de sainte Isabelle de France (baie no 9) et La Passion (baie no 7). De ces vitraux il ne subsiste que les tympans, car la confrérie de Sainte-Geneviève obtient en 1734 l'autorisation d'« éclaircir » sa chapelle[14]
Vitrail restauré du « Baptême du Christ » (XVIIe siècle)
  • la reprise des travaux de construction de l'église à la fin du XVIe siècle va permettre la mise de verrières hautes dans la nef au début du XVIIe siècle - vitrail Le lavement des pieds (baie no 117) vers 1600-1605, Apparition de saint Jacques à la bataille de Clavijo (baie no 124) vers 1610-1620.
Autre vitrail du XVIIe siècle (détail)
  • des vitraux du XIXe siècle, dont la verrière de sainte Philomène (posée en 1894), exécutée par Henri Carot sur un carton de Henry Lerolle.
  • des vitraux abstraits réalisés dans la seconde moitié du XXe siècle par le maître-verrier Sylvie Gaudin sur les thèmes de La Nativité, Le Baptême, La Crucifixion, La Pentecôte et La Résurrection.
  • des vitraux modernes réalisés par le maître verrier Claude Courageux pour les baies hautes du vaisseau central sur Adam et Ève, L'Arche de Noé, les grands patriarches et leurs épouses[15].
Autres vitraux

Tableaux

L'église abrite une copie ancienne de L'Inhumation de sainte Pétronille de Giovan Francesco Barbieri Guercino (original à Rome, musées du Capitole), parfois donnée au maître lui-même, ainsi qu'une grande toile de Sebastiano Ricci, Saint Grégoire le grand et Saint Vital intercédant pour les âmes du Purgatoire.

Dans les années 1960, on pouvait voir deux tableaux de Claude Vignon : dans l'entrée à droite L'Adoration des mages et, plus loin, Le martyre de Saint-Matthieu, qui a été découpé, volé et retrouvé.

Statuaire

La chapelle située au sud de la chapelle de la Vierge abrite le cénotaphe du chancelier de France Michel Le Tellier[16] sculpté par Pierre Mazeline (1686)[17] en collaboration avec Simon Hurtrelle[18].

Les statues de René Potier (1579-1670), premier duc de Tresmes (en), de son épouse Marguerite de Piney-Luxembourg, et de leur fils Louis, provenant du couvent détruit des Célestins, ont été transférées dans la même chapelle.

On trouve à l'entrée de la chapelle conduisant à la sacristie, une porte en fer-forgé réalisée en 1741 par le serrurier Valet[17].

Maquette

L’église de Saint Gervais a la particularité de posséder la maquette en bois du projet de sa façade. C'est une pièce exceptionnelle, car c'est l'unique maquette d'un projet d'architecture du XVIIe siècle conservé aujourd'hui[19]. Datée de 1615, elle est l’œuvre de l'architecte Salomon de Brosse, et fut exécutée par le menuisier Antoine de Hancy[20].

Chaire

La chaire, de facture assez simple, comporte des panneaux avec des bas-reliefs en bois ainsi que quatre statues représentant les Évangélistes associés aux quatre figures du Tétramorphe. Saint Jean avec l'aigle, Saint Luc avec le taureau, Saint Mathieu avec l'ange et Saint Marc avec le lion.

Stalles

Comme dans la plupart des églises parisienne, "Saint-Gervais" possède des stalles. Ces rangées de sièges prévues pour les moines ou chanoines se trouvent alignées dans le chœur et possèdent la caractéristique de permettre deux positions : ou bien « assise » ou bien (si le siège est relevé) debout, avec appui sur une « miséricorde ». Les stalles de "Saint-Gervais" remontent au XVIe siècle.

Elles sont illustrées principalement par des motifs représentant les métiers des paroissiens de l'époque, certains censurés depuis car estimés trop licencieux (femmes dénudées...). Parmi les motifs, figurent également des blasons de rois de France (Henri II, François Ier) en raison de la fréquentation de l'église par la cour à la Renaissance.

Les orgues

Grandes orgues
Grandes orgues (détail)

L'église Saint-Gervais accueillit, pendant plus de deux siècles, à partir de 1653, une grande dynastie de musiciens français : les Couperin, organistes de l'orgue de tribune. L'orgue de Louis et François Couperin est aujourd'hui encore présent à l'intérieur de l'église.

Le grand orgue de tribune

Construit par Thierry au XVIIe siècle, enrichi par François-Henri Clicquot en 1768, mis au goût du jour par L. P. Dallery en 1843, restauré par la firme Danion-Gonzalez en 1974 et revu par Muhleisen (2003). Il a conservé son buffet du XVIIIe siècle.

Il comporte 5 claviers et un pédalier pour 41 jeux ; traction mécanique des claviers et des jeux.

La famille Couperin s'y est illustrée aux XVIIe et XVIIIe siècles, fournissant à l'église tous ses organistes titulaires depuis Louis Couperin (1626-1661) jusqu'à son arrière-arrière-petite-nièce Céleste-Thérèse (1792-1860).

Composition de l’orgue

Trois claviers de 51 notes, un clavier de 32 notes, un clavier de 27 notes et pédalier de 28 notes.

I Positif
Montre08′
Bourdon08′
Montre04′
Nazard022/3
Doublette02′
Tierce013/5
Larigot011/3
Plein-jeu V rangs000
Cromorne08′
Trompette08′
Clairon04'
II Grand Orgue
Montre16′
Bourdon16′
Montre08′
Bourdon08′
Dessus de flûte04′
Prestant04′
Nazard022/3
Quarte02′
Doublette02′
Tierce013/5
Grosse fourniture II rangs000
Fourniture III rangs000
Cymbale IV rangs000
CornetV rangs000
Grosse trompette08′
Trompette08′
Voix humaine08′
Clairon04′
III Bombarde
Bombarde16′


IV Récit
Cornet V rangs0000
Hautbois08′


V Echo
Flûte08′
Nazard022/3
Trompette08′
Pédale
Bourdon16′
Flûte8′
Flûte8′
Bombarde16′
Trompette8′
Clairon4′
  • Accessoires :
    • Accouplements Positif/GO.

L'orgue de chœur

Orgue Daublaine-Callinet (1845) dans son buffet XIXe siècle; revu par Gutschenritter (1967) et Dargassies (1992).

La console comporte 2 claviers de 54 notes et un pédalier de 30 notes ; traction mécanique des claviers et des jeux ; 16 jeux, dont, (15 réels).

Les orgues sises aux transepts

Personnalités

  • Barbe Acarie (1566 - 1618), mystique parisienne et paroissienne de Saint-Gervais.
  • Nicolas de Bouillé (1722 - 1767), chanoine de Lyon, premier aumonier du Roi a été inhumé le dans le chœur de l'église Saint-Gervais-Saint-Protais, où se trouve une épitaphe.

Organistes et compositeurs, la famille Couperin

François Couperin, compositeur et organiste
  • Louis Couperin (1626 - 1661) devient en 1653 organiste titulaire de l'église Saint-Gervais (à sa suite, cette charge restera dans la famille Couperin jusqu'au début du XIXe siècle).
  • Charles Couperin (1638 - 1679), frère de Louis Couperin, titulaire à partir de 1661
  • François Couperin (1668-1733), fils de Charles Couperin, titulaire à partir 1679, mais entre en fonction lors de ses 18 ans, en 1685. Il a été baptisé en l'église Saint-Gervais le .
  • Nicolas Couperin (1680 - 1748), fils de François Couperin, titulaire de 1733 à 1748
  • Armand Louis Couperin (1727 - 1789), fils de Nicolas Couperin, titulaire à partir de 1748
  • Pierre-Louis Couperin (1755 -1789) fils de Armand Louis Couperin, titulaire à partir de 1773
  • Gervais-François Couperin (1759 -1826), fils de Armand Louis Couperin, titulaire de 1818 à 1826.
  • Céleste-Thérèse Couperin (1792 - 1860), fille de Gervais-François Couperin, titulaire à partir de 1826, et pour quelques mois.

Notes et références

  1. Adrien Friedmann, Paris, ses rues, ses paroisses du Moyen Âge à la Révolution,, Plon, , p. 68-70
  2. Telma : Chartes originales antérieures à 1121 conservées en France, Testament d'Ermentrude
  3. Amédée Gabourd, Histoire de Paris depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, Gaume frères et J. Duprey éditeurs, Paris, 1863, tome 1, p. 112 (lire en ligne)
  4. Jean-Pierre Babelon et Claude Mignot, François Mansart : Le génie de l’architecture, Paris, Gallimard, , 303 p. (ISBN 2-07-011592-5)
  5. « Église Saint-Gervais-Saint-Protais », notice no PA00086257, base Mérimée, ministère français de la Culture
  6. Philippe Baverel, « Ces religieux des villes font vivre l’église Saint-Gervais depuis 40 ans », leparisien.fr, 8 novembre 2015.
  7. « Direct à St-Gervais »
  8. Jean-Pierre Ravaux, Châlons-en-Champagne. la Cathédrale Saint-Etienne, Monum, , p. 19.
  9. Les colonnes centrales sont surmontées d'un fronton.
  10. Aline Dumoulin, Paris d'église en église, Massin, , p. 72.
  11. Site du patrimoine religieux
  12. Voir par exemple cette photo.
  13. Chapelle Dorée sur le site Paris.catholique
  14. Françoise Gatouillat, Claudine Lautier, La première Renaissance (1500-1520), dans Vitraux parisiens de la Renaissance, p. 53-55, Délégation à l'Action Artistique de la Ville de Paris, Paris, 1993 (ISBN 2-905118-46-6)
  15. Aline Dumoulin, Alexandra Ardisson, Jérôme Maingard, Murielle Antonello, Reconnaître Paris, d'église en église, p. 71-76, Massin, Paris, 2008 (ISBN 978-2-7072-0583-4)
  16. Hurtaut & Magny, Dictionnaire historique de la ville de Paris, tome III, 1779, page 154
  17. Jacques Hillairet - Dictionnaire historique des rues de Paris - T.2, p. 421
  18. Jacques-Benjamin Saint-Victor - Tableau Historique Et Pittoresque de Paris: Depuis Les Gaulois..., Volume 3, voir ici
  19. Cojannot (Alexandre) et Gady (Alexandre), Dessiner pour bâtir. Le métier d’architecte au XVIIe siècle, Paris, co-édition Le Passage-Archives nationales, 352 pages, 286 illustrations.
  20. « Maquette : modèle de la façade occidentale de l'église », notice no PM75000951, base Palissy, ministère français de la Culture.

Voir aussi

Bibliographie

  • Jean Marot, Daniel Marot, L’architecture française ou recueil des plans, élévations, coupes et profils des églises, palais, hôtels et maisons particulières de Paris, et des chasteaux et maisons de campagne ou de plaisance des environs et de plusieurs autres endroits de France, bâtis nouvellement par les plus habiles architectes et levés et mesurés exactement sur les lieux, planche 128, P.-J. Mariette (voir)
  • Paul de Coubertin, Le Livre d’or des Victimes du bombardement de l’Église Saint-Gervais, (lire sur Wikisource)

Article connexe

Liens externes

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