Émerchicourt

Émerchicourt est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Émerchicourt

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Valenciennes
Intercommunalité CCCœur d'Ostrevent
Maire
Mandat
Régis Roussel
2020-2026
Code postal 59580
Code commune 59192
Démographie
Gentilé Émerchicourtois
Population
municipale
847 hab. (2019 )
Densité 166 hab./km2
Population
agglomération
334 571 hab. (2019)
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 32″ nord, 3° 14′ 41″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 71 m
Superficie 5,11 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Valenciennes (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Somain
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Denain
Législatives 19e circonscription du Nord
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Émerchicourt
Géolocalisation sur la carte : France
Émerchicourt
Géolocalisation sur la carte : Nord
Émerchicourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Émerchicourt
Liens
Site web https://www.emerchicourt.fr/

    Géographie

    Localisation

    Denain est à 11 km de Émerchicourt, Douai à 14 km, Valenciennes à 28 km, Cambrai à 28 km et Lille à 46 km, Maubeuge à 42 km.

    Vue du village.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 709 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 33 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Émerchicourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[17] et 334 571 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Somain, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,2 % en 2018), néanmoins en légère diminution par rapport à 1990 (83,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,3 %), zones urbanisées (7,6 %), mines, décharges et chantiers (6,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4 %), prairies (0,9 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 354, alors qu'il était de 340 en 2014 et de 351 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 95,8 % étaient des résidences principales, 0 % des résidences secondaires et 4,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,2 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Émerchicourt en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,7 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Émerchicourt en 2019.
    Typologie Émerchicourt[I 1] Nord[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 95,8 90,6 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0 1,6 9,7
    Logements vacants (en %) 4,2 7,8 8,2

    Toponymie

    Emernchicourt,J. de Guise. Ermenci curtis, cartulaire de Vicogne; 1154. Ermicicurt, id; 1188. Ermici cort, id;1208 [25].

    Histoire

    Moyen Âge

    • En 1154 le pape Adrien IV confirme dans une bulle la possession par l'abbaye de Vicoigne[réf. nécessaire].
    • En 1181, le sieur d'Emerchicourt, prévôt de Douai, blesse en combat singulier un de ses parents. Pour le punir le comte de Hainaut brûle ses propriétés et rase le manoir seigneurial. Le sieur de Rœulx, neveu du délinquant, tue par vengeance un des familiers du comteau prix de la ruine complète de ses propriétés[réf. nécessaire].
    • En 1200, Adam de Mastaing donne sa part dans la dîme d'Émerchicourt à l'abbaye de Vicoigne[26]

    Première Guerre mondiale

    Un aérodrome militaire est implanté par l'armée allemande en 1916-1917. Il devient britannique à la fin 1918[27],[28].

    Depuis 1945

    Le , un avion militaire s'écrase à Assevent : une formation de cinquante avions à réaction canadiens, effectuant un exercice de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord, (OTAN), est prise dans une bourrasque de neige au-dessus de Maubeuge. Deux appareil s'écrasent, l'un à Assevent, l'autre à Émerchicourt. Les pilotes ont pu sauter en parachute[29].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1824 dans l'arrondissement de Valenciennes du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la dix-neuvième circonscription du Nord.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bouchain[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Denain.

    La commune relève du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes Cœur d'Ostrevent située dans le Douaisis, créée en 2000, et qu'elle souhaitait quitter depuis plusieurs années car elle est située dans l’arrondissement de Valenciennes.

    Elle obtient d'être rattachée le à la communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut[30],[31],[32],[33], par un arrêté préfectoral du , mais cette décision est annulée par la justice et la commune réintègre le la communauté de communes Cœur d'Ostrevent[34] tout en prévoyant prévoit de réintégrer prochainement la communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[35]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1801 1816 Philippe Eugène Dupire    
    1816 1824 Cosmes-Joseph Defontaine    
    1824 1852 Auguste-César Defontaine    
    1852 1962 Joseph Haýéz    
    1862 1903 Philippe Remy    
    1903 1912 Cyprien Oblin    
    1912 1914 Rémi Lemoine    
    1914 1919 Gustave Dessin   Faisant fonction de maire
    1919 1935 Émile Thuillot    
    1935 1940 Auguste Dufour    
    1940 1944 Alfred Locquet   Président de la délégation spéciale nommée par le gouvernement de Vichy
    1944 1953 Auguste Dufour    
    1953 1965 Narcisse Midavaine
    (7 août 1930 - 21 mars 2011)
       
    mars 1965 mars 2001 Jean Midavaine PCF  
    mars 2001 mars 2008 Daniel Dufour PCF  
    mars 2008[36] juillet 2020 Michel Loubert PCF  
    2020[37] En cours
    (au 10 juin 2022)
    Régis Roussel
    (né le 19 décembre 1965)
       


    Équipements et services publics

    Enseignement

    • Groupe scolaire Louis-Aragon[38]

    Équipements sportifs

    • Salle des sports Narcisse-Midavaine

    Équipements culturels

    • Médiathèque Denis-Diderot[39]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1806. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].

    En 2019, la commune comptait 847 habitants[Note 8], en diminution de 1,17 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861
    7142344549638683191
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    226329322336307330348370425
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    377300504502473457461578645
    1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2019
    673773936921974962884880847
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 422 hommes pour 447 femmes, soit un taux de 51,44 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ou +
    0,7 
    6,0 
    75-89 ans
    7,3 
    22,0 
    60-74 ans
    24,7 
    19,2 
    45-59 ans
    18,1 
    16,0 
    30-44 ans
    14,6 
    19,9 
    15-29 ans
    18,3 
    17,0 
    0-14 ans
    16,2 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[44]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,1 
    75-89 ans
    8,1 
    14,3 
    60-74 ans
    15,6 
    19,2 
    45-59 ans
    18,6 
    19,6 
    30-44 ans
    18,7 
    20,7 
    15-29 ans
    19,1 
    20,7 
    0-14 ans
    18,5 

    Économie

    Un établissement de l'entreprise Saint Gobain Glass France, qui produit en 2017 du verre plat par le procédé du « float-glass », est implantée dans la commune[45],[46].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Motte castrale d'Hasencort[47]
    • Église paroissiale, rue de l’Égalité. Elle daterait du XIe siècle et se trouve au cimetière dans le vieux village d’Émerchicourt[48].
    • La Chapelle Notre Dame des Orages, très ancien édifice actuellement situé derrière la verrerie d'en Haut sur la route qui reliait l’ancien village d’Azincourt au village d’Aniche, mais initialement implanté non loin de la vielle ferme d’Azincourt, le long du chemin d’Emerchicourt à Abscon. Une procession annuelle des paroissiens y avait lieu annuellement afin de protéger les récoltes contre les orages[49].

    Héraldique

    Blason
    D'argent à une truie de sable passant sur une terrasse de sinople.
    Détails
    Depuis 1154 Émerchicourt porte les armoiries de l'abbaye de Vicoigne avec une truie symbole de fécondité. Chaque année depuis 2002 ceci est prétexte à la fête communale Les Pourchiaunades en rappel de cet animal et de cette histoire qui va atteindre le millénaire.
    Les armoiries d'Emerchicourt : D'argent à une truie de sable passant sur une terrasse de sinople a comme Curgies les armoiries de l'Abbaye de Vicoigne qui possédait la totalité du village avant sa fusion avec le village d'Azincourt à la révolution. Armes confirmées en 1154 par le pape Adrien IV
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Émerchicourt », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .


    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Pecquencourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Émerchicourt et Pecquencourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Pecquencourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Émerchicourt et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Somain », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Page 402 - Statistique archéologique du Département du Nord - seconde partie - 1867- Librairie Quarré et Leleu à Lille, A. Durand 7 rue Cujas à Paris - archive du Harvard College Library - numérisé par Google Books
    26. Stanislas Bormans, Joseph Halkin, Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome XI, 1re partie, Année 1200.
    27. Jérôme Grosse, « Emerchicourt », sur http://www.anciens-aerodromes.com/, (consulté le ).
    28. « Juin 1917 - Aérodrome d'Emerchicourt , verrerie d'en haut », Centre de Mémoire de la Verrerie d'en Haut à Aniche, (consulté le ).
    29. Cent ans de vie dans la région, tome 3 : 1939-1958, La Voix du Nord éditions, hors série du 17 juin 1999, p. 59.
    30. « Le mot du maire », sur https://www.emerchicourt.fr, (consulté le ) « Après 8 années de combats, d’acharnement, de discussions, d’interventions, nous sommes enfin sur la dernière marche avant l’accès à notre changement d’intercommunalité (de la CCCO à la CAPH) ».
    31. Jérémy Lemaire, « Émerchicourt fait son entrée par la porte… du Hainaut : Des années que le maire d’Émerchicourt plaidait pour son rattachement complet au Valenciennois. Depuis le 1er janvier, la commune a officiellement quitté la communauté de communes Cœur d’Ostrevent pour rejoindre la Porte du Hainaut. Et concrètement, ça change quoi ? », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    32. Bruno Place, « Émerchicourt : le caillou dans la chaussure de la CCCO », L'Observateur du Douaisis, no 837, , p. 21 « Voilà qu’on nous enlève une commune. Là, j’avoue, c’est l’incompréhension totale. » Frédéric Delannoy, dans son discours de vœux, a réagi au départ annoncé d’Émerchicourt de la CCCO pour rejoindre la CAPH. Pour le président, les raisons du départ d’Emerchicourt sont « incompréhensibles », « voire inexplicables », regrettant « un schéma intercommunal à la carte » dans lequel « une commune peut quitter une intercommunalité pour une autre sans délibération du conseil communautaire de départ » (...) Mais il se pourrait que les suites du feuilleton soient plus judiciaires que politiques ».
    33. « Ostrevent : départ d’Émerchicourt : que va faire Cœur d’Ostrevent (CCCO) ? », La Voix du Nord, (Il y est finalement arrivé. Michel Loubert, maire d’Émerchicourt, claironnait depuis des années que sa commune, qui géographiquement appartient au Valenciennois, allait rejoindre la CAPH et quitter tous les syndicats intercommunaux du Douaisis auquel il appartenait., consulté le ) « Il y est finalement arrivé. Michel Loubert, maire d’Émerchicourt, claironnait depuis des années que sa commune, qui géographiquement appartient au Valenciennois, allait rejoindre la CAPH et quitter tous les syndicats intercommunaux du Douaisis auquel il appartenait. ».
    34. « Émerchicourt réintègre Cœur d’Ostrevent mais prépare déjà sa sortie », sur La Voix du Nord, (consulté le )
    35. « Les anciens maires », Le village, sur https://www.emerchicourt.fr (consulté le ).
    36. « Émerchicourt : Michel Loubert candidat à un nouveau mandat : Michel Loubert, élu en 2008, a décidé de se représenter. Il est à la tête d’« Écrivons ensemble une nouvelle page pour Émerchicourt », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    37. V. A., « Maire d’Émerchicourt : pour Régis Roussel, le moment était venu », La Voix du Nord, (Maire d’Émerchicourt : pour Régis Roussel, le moment était venu, consulté le ) « Conseiller municipal dès 1995, ensuite adjoint à deux reprises : pour Régis Roussel, le chemin était tout tracé. Le 4 juillet, il est, à 54 ans, devenu maire d’Émerchicourt ».
    38. « Groupe scolaire Louis Aragon », sur https://www.emerchicourt.fr (consulté le ).
    39. « Médiathèque Denis Diderot », sur https://www.emerchicourt.fr (consulté le ).
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Émerchicourt (59192) », (consulté le ).
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    45. « Inauguration de la nouvelle ligne « Float » de Saint Gobain Emerchicourt », sur https://www.emerchicourt.fr, (consulté le ).
    46. J-J C. (Clp), « Émerchicourt - Saint-Gobain redémarre et ça, c’est une bonne nouvelle : Avec redémarrage du « float-glass » de Saint-Gobain et l’entrée de la commune dans la CAPH, il y a de quoi bien accueillir 2017 », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
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