Angeac-Charente
Angeac-Charente est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Cet article concerne Angeac-Charente. Pour l'autre commune s'appelant Angeac dans le même département, voir Angeac-Champagne.
Angeac-Charente | |||||
La mairie d'Angeac. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Cognac | ||||
Maire Mandat |
vacant 2020-2026 |
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Code postal | 16120 | ||||
Code commune | 16013 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Angeacais | ||||
Population municipale |
319 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 30 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 37′ 53″ nord, 0° 04′ 26″ ouest | ||||
Altitude | Min. 15 m Max. 100 m |
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Superficie | 10,81 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Charente-Champagne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation et accès
Angeac-Charente est une commune située à l'ouest du département de la Charente, à 18 km à l'ouest d'Angoulême et à 9 km à l'est de Jarnac, sur la rive sud de la Charente.
Elle est aussi située à 3,5 km de Châteauneuf-sur-Charente qui est le chef-lieu de son canton et à 21 km de Cognac[1].
La D 10, d'Aubeterre à Jarnac par Montmoreau, Blanzac, Châteauneuf et Saint-Même, qui passe au sud-ouest de la commune, est la route la plus importante. Des routes départementales de moindre importance traversent la commune, comme la D 154 et la D 404 qui dessert le bourg et traverse la Charente[2].
La voie ferrée d'Angoulême à Saintes traverse la commune à 300 m du bourg, mais la gare la plus proche est celle de Châteauneuf, desservie par des TER entre Angoulême, Jarnac, Cognac, Saintes, Saujon et Royan.
Hameaux et lieux-dits
La population est disséminée dans de nombreux hameaux. Le bourg d'Angeac est peu important ; il est bâti autour de son église.
Le centre de population le plus important est le village des Bergeries, près de la ligne de chemin de fer, et s'étend aux Barrauds, près de la mairie, avec le bourg comprenant l'église.
Les autres hameaux sont: Lasdoux, au pied des grands bois qui couvrent le sud de la commune ; le Moulin, sur un bras de la Charente vers l'ouest ; chez Guignard et chez Laumel Thomas, près de la route de Châteauneuf à Cognac ; Rivière, chez Piet et chez Bajot, dans la vallée de la Charente ; Ortre, sur la route d'Angeac à Bouteville, etc.[2].
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune occupe le calcaire datant du Crétacé, comme les zones situées au sud et sur la rive gauche de la Charente entre Angoulême et Cognac.
Le Jurassique supérieur occupe toutefois une étroite bande (de moins de 200 m) en bordure de la vallée de la Charente, entre chez Liauroy et Ortre. Il s'agit du Purbeckien, marnes, argiles et gypse de la fin du Jurassique mordant sur la période du Crétacé inférieur, et amorçant la zone du Pays-Bas située plus à l'ouest.
Le Crétacé supérieur[Note 1] s'étage entre le Cénomanien dans les parties basses, le Turonien (ou Angoumien) au centre et le Coniacien sur les hauteurs au sud-ouest de la commune. Une cuesta sépare le Turonien inférieur du Turonien supérieur (calcaire plus dur, à rudistes), et marque le bord sud de la vallée de la Charente, entre Lasdoux et chez Guignard. On retrouve cet escarpement vers l'est en direction de Châteauneuf, La Couronne et le plateau d'Angoulême, et vers l'ouest en direction de Saint-Même.
La vallée de la Charente est occupée par des alluvions du Quaternaire. Ces alluvions sont récentes pour la partie inondable, et plus anciennes sur une terrasse entre le bourg et Ortre[3],[4],[5].
Le sud de la commune consiste en un plateau boisé qui correspond au sommet de la cuesta et dont les pentes sont recouvertes de vignobles de cognac. Le point culminant est à une altitude de 100 m, situé sur ce plateau (borne IGN). Le point le plus bas est à 15 m, situé le long de la Charente en face de Saint-Simon. Le bourg est à 21 m d'altitude[2].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Charente, le ruisseau des Moulins-d'Angeac, un bras de la Charente, canal de terre-neuve, la Noue, le Pontillon, le ruisseau d'Echalette et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[7],[Carte 1].
La Charente, d'une longueur totale de 381,4 km, prend sa source dans la commune de Saint-Léger-les-Vignes et se jette dans le Golfe de Gascogne, après avoir traversé 117 communes[8]. Elle limite la commune sur son flanc nord-est.
Entre le fleuve et le Brassour ou Brassiaud, qui est un bras du fleuve, s'étend une île très vaste connue sous le nom de prairie d'Angeac.
Le ruisseau d'Échalette, sorti de la fontaine de Lasdoux, limite la commune à l'est et rejoint la Charente après un cours de quelques kilomètres. À l'ouest, le Pontillon est un autre ruisseau très court, entre chez Guignard et Ortre. Le ruisseau des Moulins d'Angeac est un autre petit bras de la Charente, qui prolonge le Brassour et passe au pied du Moulin et chez Bajot[2].
Gestion des cours d'eau
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne[6] qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
Typologie
Angeac-Charente est une commune rurale[Note 2],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (40,4 %), terres arables (27,3 %), forêts (20,5 %), zones agricoles hétérogènes (11,8 %)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Les formes anciennes sont Andiaco en 770[17], Angiaco au XIIIe siècle[18], Angeaco[19].
Angeac serait issu du latin Andiacum ou villa Andii ce qui signifie que le village aurait été construit autour de la propriété d'un riche gallo-romain nommé Andius, avec le suffixe -acum pour indiquer le lieu[20],[17].
Le terme Charente a été rajouté au nom de la commune en 1801 pour la différencier de son homonyme Angeac-Champagne[21],[22].
Histoire
En 768, le roi Charlemagne, nouveau roi des Francs, après que l'Aquitaine eût été conquise par Pépin le Bref entre 760 et 768, descendit à Angoulême et y rassembla une armée, afin de contrer le duc Waïfre qui s'était révolté. Il séjourna à Mornac en mai et Angeac en juillet. Il alla ensuite sur le bord de la Dordogne pour s'y faire livrer les révoltés, et y construire la forteresse de Fronsac, face au pays des Vascons encore insoumis.
Son fils Louis le Pieux, devenu roi franc d'Aquitaine, avait l'un de ses cinq palais royaux à Angeac[23],[Note 3],[24]. Ce château était situé sur la Charente[Note 4], donc entre les bourgs d'Angeac et Vibrac.
Sous l'Ancien Régime, Angeac était une dépendance du château de Vibrac.
Les seigneurs de Vibrac n'avaient pas de logis à Angeac, leur château étant à proximité de ce bourg. Cependant, au Bois Rond, on pouvait remarquer au début du XXe siècle une vieille ruine en grand appareil, qui devait être une dépendance du château et dont la destination semble avoir été de recevoir les produits de la dîme dus par les tenanciers d'Angeac[25].
La voie de chemin de fer Angoulême-Cognac, ouverte en 1867, traverse la commune mais la gare la plus proche était celle de Saint-Amant-de-Graves avant d'être celle de Châteauneuf-sur-Charente.
Politique et administration
Liste des maires
La commune a été créée Angeac Charente en 1793 pour devenir Angeac-Charente en 1801.
Démographie
Les habitants sont appelés les Angeacais[26].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].
En 2019, la commune comptait 319 habitants[Note 5], en diminution de 12,12 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
C'est au XVIIIe siècle qu'Angeac-Charente a été le plus peuplée, au temps du transport sur le fleuve par les gabares.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 157 hommes pour 167 femmes, soit un taux de 51,54 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Agriculture
La viticulture est une activité importante d'Angeac-Charente, qui est située dans la zone d'appellation d'origine contrôlée cognac, en Petite Champagne[32].
De petits producteurs de cognac, de pineau des Charentes et de vin de Pays charentais sont installés dans la commune.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un Regroupement pédagogique intercommunal (RPI) entre Bonneuil, Bouteville et Angeac-Charente. Bouteville accueille l'école maternelle et Angeac-Charente et Bonneuil les écoles élémentaires[33].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
L'église paroissiale Saint-Pierre, située dans le bourg, a été construite au XIVe siècle.
Un couvent des Cordeliers a existé au village des Minimes[34].
Patrimoine civil
Un des ponts coudés daterait du XIIe siècle[35].
- Pont sur le Brassour, un bras de la Charente.
- Pont sur la Charente, en limite avec Vibrac.
Alors que le manoir de la Motte a été détruit, il reste le manoir des Bergeries mentionné en 1679 et le manoir du moulin qui porte la date de 1765 sur son portail[36]. Le Moulin serait de la fin du XIXe siècle[37].
Les lavoirs sont nombreux et non datés : celui d' Angeac, ceux d' Ortre, de Ladoux et des Bergeries sont très accessibles.
- Lavoir d'Angeac.
Un château d'eau se dresse à Angeac entre la D 10 et la D 154.L'édifice est géré par le Syndicat Mixte Alimentation Eau Potable et Assainissement (S.M.A.E.P.A).
Il dessert les communes de Châteauneuf, Angeac, Graves Saint Amant, Mosnac, Saint Simeux, Saint Simon et Vibrac,
Un mémorial dédié à Claude Bonnier a été érigé au nord-est de la commune le long de la D 404 reliant Angeac à Vibrac. Le monument est placé à l’endroit même où Claude Bonnier, en provenance de Londres, a atterri en avion dans la nuit du 14 au . Engagé dans les Forces françaises libres, il a rejoint, à Chasseneuil, le Colonel Chabanne, chef du maquis de Bir Hacheim. Arrêté après une dénonciation en 1944, il se donnera la mort pour ne pas trahir ses compagnons. Des bornes placées tout au long de la RN 141 signalent la « Route Claude Bonnier, Chemin de la Liberté » en hommage à cette grande figure de la Résistance.
Patrimoine paléontologique
Depuis les années 1990, on exhumait régulièrement des ossements datant de l'époque quaternaire : défenses ou des vertèbres de mammouth, ou encore des silex qui sont visibles au Musée d'Angoulême.
En , il a été rendu public qu'un gisement d'ossements de dinosaures dans des couches fossilifères datant du Crétacé inférieur (environ 135 Ma) a été découvert dans des carrières de la commune. La richesse du site serait importante en raison de la découverte d'un grand fémur de sauropode, un grand dinosaure rare[38],[39].
Ce site est l'un des plus riches gisements à dinosaures de France. Plus de 400 ossements furent exhumés dès la première campagne de fouille de 2010[40]. Mais ce qui est surtout remarquable c'est l'exceptionnelle qualité de conservation des ossements. On y trouve une grande diversité de fossiles datant du Crétacé inférieur, il y a 130 millions d'années. L'os du squelette de sauropode que l'on y a découvert appartient au plus grand sauropode connu en Europe. Ce fémur mesure 2,20 mètres de long ce qui suggère un poids d'une quarantaine de tonnes pour environ 35 mètres de long. S'y trouve également des fossiles de dinosaures herbivores et carnivores de neuf mètres de haut mêlés à des restes d'animaux aquatiques. La plupart des fossiles appartiennent à trois espèces de dinosaures, deux types de tortues et trois espèces de crocodiles.
Jadis, le site était un marécage qui s'étendait sur la région d'Angeac ce qui fait que les animaux morts étaient rapidement enfouis sous un dépôt argileux protecteur. Cela a permis de fossiliser la végétation, ce qui est très rare. Sur le site de fouille, on y a donc découvert à foison des fossiles de bois fossilisés, de feuilles et de graines ce qui permet de reconstituer la flore et donc l'écosystème du Crétacé inférieur, une époque très peu documentée en Europe.
En effet, les dinosaures du Crétacé inférieur sont rares en France et ne sont connus, la plupart du temps, que par des restes fragmentaires. Ainsi, seuls trois genres de dinosaures ont été identifiés à ce jour : l'ornithopode Iguanodon et les deux théropodes Genusaurus et Erectopus[40].
Patrimoine environnemental
La commune bénéficie de deux zones Natura 2000 : la zone Natura 2000 de la Charente amont qui couvre la Charente et ses berges (l'ensemble de son lit majeur) et celle des chaumes boissières, composée de pelouses calcicoles et de forêt de chênes verts[41]. De nombreux bois sont présents sur le territoire communal et sont essentiellement regroupés vers le sud-ouest.
Personnalités liées à la commune
- François Gabart (1983-), skipper français, qui y a habité de sa naissance jusqu'à l'âge de 18 ans.
- Arthur Traquet (1998-), club de Vibrac, vice-champion de France de canoë biplace homme cadet 2014 avec Théo Desvignes[42]
Héraldique
Blasonnement :
Losangé de gueules et d’or.
Commentaires : Blason d’Angeac-Charente. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Angeac-Charente sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Catillus Carol, « Angeac-Charente », (consulté le )
- Angeac-Charente: les découvertes de la première campagne de fouilles, article DinoNews daté du .
- Historique des découvertes paléontologiques, article de Futura-Sciences, .
- « Angeac-Charente », base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Angeac-Charente », base Palissy, ministère français de la Culture
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Il n'y a pas véritablement de Crétacé inférieur dans le nord et l'est du Bassin aquitain. Le Crétacé supérieur est directement en contact avec le Jurassique supérieur.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Ses quatre autres résidences étaient Doué-la-Fontaine, Ébreuil, Le Palais-sur-Vienne, Chasseneuil-du-Poitou, son lieu de naissance.
- Comme celui de Jarnac, plus en aval.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Angeac-Charente » sur Géoportail (consulté le 19 juin 2022).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale d'Angeac-Charente », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- Sandre, « la Charente »
- « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur https://eau-grandsudouest.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 18.
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 283
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 140
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Jean-Marie Cassagne et Stéphane Seguin, Origine des noms de villes et villages de Charente, Jean-Michel Bordessoules, , 311 p. (ISBN 978-2-913471-06-1, BNF 37182568), p. 14
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 85
- Luc Bourgeois, Jean François Boyer, « Les palais carolingiens d’Aquitaine : genèse, implantation et destin », dans L. Bourgeois, C. Rémy (dir.), Demeurer, défendre et paraître, Orientations récentes de l’archéologie des fortifications et des résidences aristocratiques médiévales entre Loire et Pyrénées, Actes du colloque de Chauvigny, 14-16 juin 2012, Chauvigny, 2014, p. 67-118.
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 43-44
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Angeac-Charente (16013) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
- Site de l'inspection d'académie de la Charente
- Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac..., Abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
- « Pont d'Angeac », notice no IA00041561, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Logis du Moulin », notice no IA00041567, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Le Moulin », notice no IA00041568, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Article du journal Sud Ouest du 20 février 2010
- [PDF] Archéoportail
- La Charente abrite l'un des plus importants gisements à dinosaures de France. Communiqué de presse du CNRS, 30 septembre 2010. Voir en ligne.
- « Zones Natura 2000 d'Angeac-Charente » sur Géoportail (consulté le 23 février 2010).
- « Championnat de France 2014 à Metz », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )
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