Mornac (Charente)

Mornac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine). Elle fait partie du Grand Angoulême.

Pour les articles homonymes, voir Mornac.

Mornac

Mairie de Mornac.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Francis Laurent
2020-2026
Code postal 16600
Code commune 16232
Démographie
Gentilé Mornacois
Population
municipale
2 151 hab. (2019 )
Densité 92 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 40′ 52″ nord, 0° 16′ 22″ est
Altitude Min. 61 m
Max. 178 m
Superficie 23,48 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Touvre-et-Braconne
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Mornac
Géolocalisation sur la carte : France
Mornac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Mornac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Mornac
Liens
Site web www.mornac.fr

    Ses habitants sont les Mornacois et les Mornacoises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Mornac est une commune située à 10 km à l'est d'Angoulême.

    Mornac est devenue une zone résidentielle de l'agglomération d'Angoulême. Petit village il y a 20 ans, elle a connu une très forte hausse de constructions individuelles ces toutes dernières années.

    Mornac est aussi à 3,5 km à l'est de Ruelle-sur-Touvre, chef-lieu de son canton, 11 km au sud-ouest de La Rochefoucauld et 18 km à l'ouest de Montbron[2].

    La D 699, route d'Angoulême à Montbron, ancienne route nationale 699, la traverse d'ouest en est. La commune est aussi traversée par la D 113, qui reste sur les hauteurs entre les Favrauds et le Quéroy. La D 106, à l'est de la commune, va du Quéroy à Garat. La N 141 d'Angoulême à Limoges, route Centre-Europe Atlantique, borde le nord de la commune lorsqu'elle traverse la forêt de la Braconne[3].

    La voie ferrée Angoulême-Limoges traverse la commune où elle avait une gare au Quéroy. La gare la plus proche est la gare de Ruelle, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune comprend le hameau du Quéroy, situé à l'est, ainsi qu'une partie des forêts domaniales de Bois Blanc au sud, et la Braconne au nord-est. Le Quéroy est situé sur la route de Montbron et touche presque celui de la Brouterie. Il a donné son nom à la gare du Quéroy-Pranzac située sur la ligne d'Angoulême à Limoges et marquant l'embranchement de la ligne de Nontron et Thiviers.

    Les autres hameaux sont les Theils près des Riffauds (commune de Ruelle), le Maine Quérand, les Mesniers, Bois Marceau et les Gibauds qui entourent le bourg, la Brouterie et Ronzac près du Quéroy.

    La commune compte aussi la résidence Chabasse, cité construite par les Américains dans les années 1950, ainsi que des lotissements plus récents qui s'étendent à l'ouest du bourg jusqu'à Fourville (commune de Ruelle)[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est située en zone calcaire datant du Jurassique supérieur (Oxfordien dans une grande moitié est et Bois Blanc, et Kimméridgien à l'ouest). Un système de failles a rehaussé légèrement la partie oxfordienne. Le bourg est situé dans une vallée sèche donnant sur les sources de la Touvre qu'emprunte la route d'Angoulême à Montbron[4],[5],[6].

    La moitié orientale de la commune est un plateau faiblement incliné vers l'est portant la forêt de la Braconne, et Bois Blanc au sud. Ce plateau fait partie du karst de La Rochefoucauld et on peut trouver des gouffres comme la Fosse de l'Ermitage qui fait 50 m de profondeur et 200 m de diamètre, ou la Fosse Redon en limite de la Braconne.

    Une vallée sèche ou combe traverse la commune d'est en ouest et entaille le plateau. Se dirigeant vers la Touvre à Magnac, elle passe au pied du bourg.

    La commune contient le point culminant de la région d'Angoulême, qui est de 178 mètres, au Puy de Nanteuil. De cet endroit on peut voir le bassin d'Angoulême à l'ouest, et la forêt de la Braconne à l'est, et par delà, le Massif central avec la Charente limousine qui commence avec le massif de l'Arbre en direction de Montembœuf culminant à 353 mètres.

    Le point le plus bas est à 61 m, situé en limite ouest de la commune près de la route d'Angoulême. Le bourg est à environ 90 m d'altitude et le Quéroy à 135 m[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Mornac.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Bellonne[8],[Carte 1].

    À cause de son sol karstique, aucun cours d'eau ne traverse la commune et sa principale vallée est sèche. Toutefois, dû au relief important de ses têtes de vallées ou combes, quelques fontaines sont au pied du Puy de Nanteuil, en particulier près du bourg comme la Font Michaud et celle du Maine Quérand.

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.

    Données climatiques
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
    Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,7
    Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
    Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Mornac est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angoulême, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[15] et 109 055 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,3 %), terres arables (20,2 %), zones agricoles hétérogènes (12 %), zones urbanisées (10,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes anciennes Mornac, Mornaco en 1110[21].

    Il s'agit d'une formation toponymique gauloise ou gallo-romaine en -acum, suffixe d'origine gauloise à valeur locative ou d'appartenance, précédé du nom de personne gallo-romain Morinus ou Maurinus (dérivé de Maurus), d'où Morinacum, « domaine de Morinus »[22].

    Le nom de Quéroy serait issu du latin quadrŭvium signifiant « carrefour »[23] qui a donné carrouge, « carrefour », en ancien français[24]. En effet, deux voies antiques se croisaient à cet endroit.

    Limite dialectale

    La commune est située à la limite entre langue d'oïl (domaine du saintongeais, à l'ouest, Mornac-village) et langue d'oc (dialecte limousin) (à l'est, le Quéroy)[25].

    Histoire

    Antiquité

    La commune était traversée par deux voies antiques supposées romaines qui se coupaient au Gros Chêne près du Quéroy.

    Les vestiges d'une habitation antique située le long de cette dernière voie a été retrouvée au Puy de Nanteuil[28].

    Ancien Régime

    En 768, le roi Charlemagne, nouveau roi des Francs, après que l'Aquitaine eût été conquise par Pépin le Bref entre 760 et 768, descendit à Angoulême et y rassembla une armée, afin de contrer les fils de Waïfre qui s'étaient révoltés. Il séjourna à Mornac en mai et Angeac-Charente en juillet. Il alla ensuite sur le bord de la Dordogne pour s'y faire livrer les révoltés, et y construire la forteresse de Fronsac[29].

    Au cours du Moyen Âge, Mornac se trouvait sur un itinéraire secondaire est-ouest entre Montbron et Angoulême fréquenté par les pèlerins qui allaient au sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle et aux reliques de saint Eutrope à Saintes[30].

    Sous l'Ancien Régime, le château des Ballans était longtemps possédé par la famille des Graviers, avant d'être la propriété du comte de Monstiers-Mérinville[Note 3].

    Époque moderne

    Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Roumazières par Montbron appelée le Petit Mairat; il y avait deux stations, l'une au bourg de Mornac et l'autre au Quéroy. La commune était alors essentiellement rurale[31].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
     ?  ? M. Fargeas
    (décédé en 1919)[32]
       
    maire en 1919  ? Jean Dussaigne SFIO Propriétaire cultivateur
    1931 1943 Jean Brunelière
    (1865-1948)
      Écrivain
    mars 1977 juillet 2016[33] Jacques Persyn FG-ex-PCF Retraité de l'Éducation nationale,
    conseiller général du canton de Ruelle-sur-Touvre (2001-2015),
    conseiller départemental du canton de Touvre-et-Braconne (2015-2016)
    juillet 2016 En cours Francis Laurent[34] DVG-PCF premier adjoint (2014-2016),
    conseiller municipal (1989-2014)
    Conseiller départemental (suppléant) depuis 2021

    Intercommunalité

    Mornac a rejoint en 2012 la communauté d'agglomération du Grand Angoulême, formant ainsi sa 16e commune[35]. Elle est remplacée en 2017 par le Grand Angoulême qui compte 38 communes.

    Élection présidentielle de 2002 (second tour)

    Inscrits : 1488 - Abst. : 13,91 % - Jacques Chirac : 1000 voix (86,06 %) - Jean-Marie Le Pen : 162 voix (13,94 %)

    Élections législatives de 2002 (second tour)

    Inscrits : 1493 - Abst. : 40,12 % - Jean-Claude Beauchaud (PS) : 500 voix (61,12 %) - Brigitte Miet (UMP) : 318 voix (38,88 %)

    Élection présidentielle de 2007 (second tour)

    Inscrits : 1669 - Abst. : 11,44 % - Ségolène Royal : 854 voix (60,78 %) - Nicolas Sarkozy : 551 voix (39,22 %)

    Élections législatives de 2007 (second tour)

    Inscrits : 1675 - Abst. : 34,34 % - Martine Pinville (DVG) : 704 voix (67,43 %) - Philippe Mottet (UMP) : 340 voix (32,57 %)

    Élection présidentielle de 2012 (second tour)

    Inscrits : 1722 - Abst. : 14,81 % - François Hollande : 930 voix (67,88 %) - Nicolas Sarkozy : 440 voix (32,12 %)

    Élections législatives de 2012 (premier tour)

    Inscrits : 1723 - Abst. : 39,23 % - Martine Pinville (PS) : 558 voix (54,17 %) - Elise Vouvet (UMP) : 157 voix (15,24 %) - Marie-Hélène Boutet de Monvel (FG) : 110 voix (10,68 %) - Marie-Christine Cardoso (FN) : 104 voix (10,10 %) - Vincent You (DVD) : 38 voix (3,69 %) - Cyril Tardat (EÉLV) : 30 voix (2,91 %) - Dominique de Lorgeril (DVD) : 8 voix (0,78 %) - Michel Deboeuf (NPA) : 8 voix (0,78 %) - Catherine Tarrus (NC) : 7 voix (0,68 %) - Jean-Pierre Courtois (LO) : 4 voix (0,39 %) - Alain Chailloux (DVD) : 3 voix (0,29 %) - Danièle Duclaud (DVD) : 2 voix (0,19 %) - Jean-Carlo Sitzia Le Blond (DVD) : 1 voix (0,10 %)

    Élection présidentielle de 2017 (second tour)

    Inscrits : 1798 - Abst. : 21,52 % - Emmanuel Macron : 764 voix (64,26 %) - Marine Le Pen : 425 voix (35,74 %)

    (Source : Ministère de l'Intérieur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Presidentielles/elecresult__presidentielle-2017/(path)/presidentielle-2017/075/016/016232.html)

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[36].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

    En 2019, la commune comptait 2 151 habitants[Note 4], en diminution de 1,78 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    9795061 0159811 1461 0891 027990971
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    937944893884921895851809806
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    810791710649666725692707914
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    7271 1381 3811 8001 8642 0402 0612 2192 176
    2019 - - - - - - - -
    2 151--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 057 hommes pour 1 105 femmes, soit un taux de 51,11 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ou +
    0,5 
    6,9 
    75-89 ans
    8,1 
    21,8 
    60-74 ans
    22,4 
    23,8 
    45-59 ans
    24,2 
    17,3 
    30-44 ans
    17,6 
    13,4 
    15-29 ans
    10,7 
    16,7 
    0-14 ans
    16,5 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Mornac possède une école maternelle comprenant trois classes et une école élémentaire comprenant six classes. Le secteur du collège est Ruelle[43].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale Saint-Martin date du XIIe siècle. Elle possède deux cloches, l'une datant de 1564 et classée monument historique au titre objet depuis 1943, l'autre datant de 1724 et inscrite monument historique depuis 2004. Sa chaire en bois sculpté est aussi classée monument historique depuis 1908[44].

    Le logis du Quéroy qui était un ancien prieuré a été restauré.

    Patrimoine civil

    • Château des Ballands

    Patrimoine environnemental

    Sentiers de randonnée

    Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune.

    Personnalités liées à la commune

    • Lucien Deschamps (1906-1985) : peintre, ayant un succès local grâce à ses tableaux représentant la vie charentaise, a vécu au logis du Quéroy[45].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. En Charente, les marquis puis comtes de Mérinville (Loiret) possédaient aussi les terres de Brigueuil et Montrollet.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Mornac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Mornac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    11. « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 d'Angoulême », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 124,168
    22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 481.
    23. Stéphane Gendron, La toponymie des voies romaines et médiévales : les mots des routes anciennes, Errance, , 196 p. (ISBN 2-87772-332-1, lire en ligne), p. 61
    24. Site du CNRTL : étymologie de carrefour
    25. Statistique monumentale de la Charente, p. 55
    26. Statistique monumentale de la Charente, p. 165
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    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

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