Chazelles (Charente)
Chazelles (Chaselas en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
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Chazelles | |||||
Mairie de Chazelles. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes La Rochefoucauld - Porte du Périgord | ||||
Maire Mandat |
Jean Marc Brouillet 2020-2026 |
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Code postal | 16380 | ||||
Code commune | 16093 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chazellois | ||||
Population municipale |
1 587 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 62 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 38′ 53″ nord, 0° 22′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 84 m Max. 146 m |
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Superficie | 25,80 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Val de Tardoire | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.chazelles.fr | ||||
Géographie
Localisation et accès
La commune de Chazelles se trouve dans le département de la Charente, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 19,5 km par la route[Note 1] à l'est d'Angoulême[3], préfecture du département, et à 13 km au sud de La Rochefoucauld-en-Angoumois[4], bureau centralisateur du canton de Val de Tardoire dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2].
Chazelles est une commune rurale et résidentielle, faisant partie de l'aire urbaine d'Angoulême, également proche du Périgord vert, qui commence à 15 km de là, à partir de la commune de Varaignes (Dordogne).
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Pranzac (2,8 km), Saint-Germain-de-Montbron (4,9 km), Vouzan (5,1 km), Bouëx (5,2 km), Vilhonneur (5,6 km), Bunzac (6,1 km), Rancogne (6,2 km), Sers (6,6 km).
À l'écart des grandes voies de communication, Chazelles est desservie par peu de routes d'importance et on peut y accéder depuis Angoulême par la route de Montbron (D 699) et la D 412 depuis le Quéroy (commune de Mornac). Le bourg est situé à mi-distance entre la D 699 qui passe à 2,5 km au nord du bourg et la D 4, route d'Angoulême à Nontron qui passe au sud par Bouëx et Marthon.
La D 33 de La Rochefoucauld à Marthon par Pranzac qui longe la vallée du Bandiat dessert le bourg, ainsi que transversalement la D 73 de Bouëx à La Rochefoucauld par Saint-Paul[6].
Communes limitrophes
Géologie et relief
Chazelles est positionnée en plein sur le karst de La Rochefoucauld, bloc calcaire parcouru par de nombreuses fissures, dans lesquelles coulent des eaux souterraines. Le terrain date du Jurassique moyen à supérieur (Bajocien à l'est, à Oxfordien à l'ouest).
Les flancs de la vallée du Bandiat sont recouverts par endroits par des colluvions, sables argileux, tandis que le fond est occupé par des alluvions (sable et galets) datant du quaternaire (Pléistocène)[7],[8],[9].
La nature du sol explique la présence de nombreuses cavités et grottes dans les environs et la commune, les plus connues étant les grottes du Quéroy. Accessoirement, ce sol calcaire explique aussi l'absence notable de caves dans la plupart des maisons chazelloises, tandis que comme partout en Charente (mais peut-être plus qu'ailleurs) des puits à usage domestique ont été aménagés dans les cavités déjà naturellement creusées par les eaux.
Le relief de la commune est celui d'un plateau d'une altitude moyenne de 120 m. La vallée du Bandiat traverse la commune, elle est large et peu encaissée. Le point culminant de la commune est à une altitude de 146 m, situé à l'ouest, aux grottes du Quéroy. Le point le plus bas est à 84 m, situé dans la vallée du Bandiat au nord du bourg. Celui-ci, situé au bord de la vallée, est à environ 95 m d'altitude[6].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[10]. Elle est drainée par le Bandiat, Canal du Vieux Bandiat, et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[11],[Carte 1].
Chazelles est traversée par le Bandiat, qui irrigue ses plaines et traverse son bourg. D'une longueur totale de 91,2 km, ce cours d'eau prend sa source en Haute-Vienne, dans la commune de La Chapelle-Montbrandeix, et se jette dans la Tardoire à Agris, après avoir traversé 22 communes[12].
De par la nature karstique du sol, pas d'autre cours d'eau irrigue la commune. Les eaux souterraines glissent via un axe (schématique) allant de Montbron et La Rochefoucauld vers Touvre et Angoulême.
- Le Bandiat.
- Réseaux hydrographique et routier de Chazelles
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[13]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [14].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
Typologie
Chazelles est une commune rurale[Note 3],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,7 %), zones agricoles hétérogènes (26,7 %), forêts (25,3 %), prairies (6,9 %), zones urbanisées (5,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Hameaux et lieux-dits
Affichant une densité démographique de 59 habitants/km2, Chazelles voit sa population répartie en de multiples lieux-dits appelés « villages » tant ils sont organisés socialement distinctement. Ainsi Chazelles n'est pas une commune macrocéphale, mais se constitue de plusieurs petits hameaux disséminés. Les principaux sont, hormis le bourg, la Gare, la Combe, Saint-Paul, le Luquet, la Morandie, la Pipaudie, Treille, le Grand Maine, l'Age Martin, chez Picard, Rochepine, chez Poirier, la Chambaudie, les Prats[6].
Toponymie
Les formes anciennes sont prope Chasellas, de Chasellis vers 1300[21], de Chazellis (non daté)[22].
L'origine du nom de Chazelles remonte à casellas (casa et suffixe diminutif -ella), qui signifie « petites maisons » (en ancien occitan ou roman), voire « hameau »[23],[24].
Histoire
Chazelles est occupée dès le Néolithique comme l'attestent les vestiges trouvés dans les grottes du Quéroy composées d'une dizaine de salles reliées par des galeries aux stalactites remarquables de blancheur.
Le chemin des Anglais, voie médiévale supposée romaine d'Angoulême à Limoges, passait sur la limite nord de la commune près de Saint-Paul.
Sous l'Ancien Régime, les deux paroisses de Chazelles et de Saint-Paul dépendaient de la baronnie de Montbron[27].
Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1638 pour Chazelles, et 1664 pour Saint-Paul.
Au XVIIIe siècle, le fer de la vallée du Bandiat était acheminé par charrois jusqu'à la fonderie de Ruelle pour faire des canons, et faisait halte à la Pipaudie[28].
En 1838 s'installe à la Charbonnière (pour quatre ans) une école d'agriculture dans cette commune rurale qui produisait alors surtout des céréales, mais aussi du chanvre, des châtaignes et du vin[29],[Note 5].
En 1845 ont été réunies les deux communes de Chazelles et de Saint-Paul, sans opposition de part et d'autre.
Au début du XXe siècle s'installent des ateliers de taille de pierres[27],[29], favorisés par l'arrivée du chemin de fer, la ligne d'Angoulême à Nontron. La gare de Chazelles était en face du bourg, de l'autre côté du Bandiat. La ligne a été mise en service en 1870, et a été fermée au trafic voyageurs en 1940. Des marchandises ont continué à circuler entre le Quéroy-Pranzac et Marthon jusqu'en 1985, date de la dépose de la voie.
Une foire mensuelle, importante pour le bétail, se tenait le 11 au XIXe siècle[30], et le 7 au XXe siècle[27].
Politique et administration
Créée Chazelle en 1793 dans le canton de Marton elle passe dans celui de La Rochefoucauld en 1801 et devient ensuite Chazelles[Note 6].
En 2010, la commune de Chazelles a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[31].
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2019, la commune comptait 1 587 habitants[Note 7], en augmentation de 4,07 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 789 hommes pour 792 femmes, soit un taux de 50,09 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Remarques
Chazelles a absorbé Saint-Paul en 1845[34].
Chazelles a passé en 2006 le cap des 1 500 habitants, et la préfecture de Charente a retenu le chiffre de 19 conseillers municipaux lors du scrutin de 2008.
Économie
Agriculture
La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[38].
Industrie
La commune de Chazelles est avant tout connue pour son sol calcaire pur, qui fut, comme ailleurs en Charente, la principale source de travail durant de nombreuses décennies. Si bien que Chazelles se revendique « capitale de la pierre », comme le rappelle une statue installée à proximité de l'ancienne gare. Quelques entreprises subsistent témoignant de ce savoir-faire. Cependant, malgré ce que prétend une légende persistante, arguant notamment du fait que New York a été fondé sur un site autrefois appelé « La Nouvelle Angoulême », il n'y a pas de pierre de Chazelles utilisée pour le socle de la statue de la Liberté à New York, qui est en fait constitué de béton et de granit provenant du Connecticut[39].
Plusieurs usines sont présentes, un fabricant de cheminées, inserts et poêles (Chazelles-Dargemont[40]), la scierie de parquets et lambris Plazer frères, les baignoires Sucal et l'usine d'emballage pharmaceutique Packetis (groupe autrichien MMP).
Une station de recompression du réseau de gaz naturel (GRTgaz) est sur la commune.
Commerces
Un boucher qui fait aussi une alimentation générale, tabac et presse et une alimentation générale qui livre à domicile. Un boulanger, qui fait aussi des tournées dans les villages avoisinants.
Artisans
En plus du salon de coiffure, se trouvent des artisans du bâtiment, maçons, plâtrier, peintre, charpentier, menuisiers, serrurier, tailleur de pierres, scieurs, et de l'agro-alimentaire, horticulteurs, éleveur de volailles.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
Chazelles possède une école primaire Jean-Jaurès. L'école maternelle et l'école élémentaire comprennent chacune quatre classes. Le secteur du collège est La Rochefoucauld[41].
Santé
Chazelle a une maison médicale avec médecins, dentistes, kinésithérapeute, infirmière et une pharmacie.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
L'église paroissiale Saint-Martin, unie au chapitre cathédral au XIIIe siècle, existait dès le début du XIIe siècle, ce qui est attesté par une date sur un chapiteau lui ayant appartenu et déposé au musée archéologique. Le clocher et le transept sont du début du XIIIe siècle. Elle a été souvent réparée, l'abside, probablement semi-circulaire, a été transformée ensuite en chevet plat, puis allongée, en 1854 et en 1882, la nef a été recouverte de voûtes en briques. Sont à signaler, d'une part appuyé contre la façade, un sarcophage en bâtière, dont la base est formée de trois arcs trilobés et, d'autre part, dans la sacristie, un fer à hostie du XVe siècle classé à titre d'objet[43],[44].
- La façade avec le sarcophage.
- Le clocher.
- La nef.
L'église Saint-Paul, ancienne église paroissiale située au lieu-dit éponyme, a été unie à Saint-Martin depuis 1845. Elle a été restaurée au XVIIe siècle et classée monument historique par arrêté du [45].
Patrimoine civil
Les grottes du Quéroy habitées depuis le Néolithique sont visitables l'été.
Le logis des Dumas, situé dans le bourg derrière la mairie, date initialement des XVe et XVIe siècles[46].
Le portique de la gare qui servait à charger les blocs de pierre sur les trains, est, à l'initiative de l'association locale "Les chats huants", qui œuvre à la valorisation du patrimoine chazellois depuis 2007, en procédure de classement. Le conseil municipal a voté le une délibération demandant officiellement à la DRAC le lancement de la procédure, qui ne devrait pas aboutir avant 2009 au moins.
- Le mini-golf des grottes du Quéroy.
- Le logis des Dumas.
- Ancien portique de la gare.
Patrimoine naturel
Les bords du Bandiat et moulins du bourg, du Picard, et de Rochepine sont en zone Natura 2000.
La promenade de l'ancienne voie ferrée (voie Angoulême-Thiviers, désaffectée) - Cette voie ferrée reliait sur une petite trentaine de kilomètres Pranzac à Nontron en Dordogne. Chazelles est la deuxième commune traversée à partir de la naissance de la ligne, qui intervient à partir de la voie ferrée Angoulême - Limoges sous la forme d'un embranchement ferré à Pranzac. Rails et traverses ont été retirés et, à Chazelles seulement, remplacés par un remblai calcaire rendant le tracé tout à fait praticable à pied, à vélo ou en poussette. Ce lieu de promenade est prisé des riverains mais demeure malgré tout parfois méconnu des Chazellois. Un projet d'aménagement de l'ensemble de la piste, entre Pranzac et Nontron est envisagé à l'état d'ébauche, mais reste freiné par le morcellement administratif du parcours (à cheval sur deux départements, au moins une dizaine de communes et cinq ou six communautés de communes).
Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse aussi le nord de la commune par les grottes du Quéroy.
Personnalités liées à la commune
- Laurent Deviau de Saint-Sauveur (1756-1836), général de brigade, est né à Chazelles.
- Louis Favraud (1920-1944), résistant, né à Chazelles, mort en action à Lussac-les-Églises[47].
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La carte d'État-Major indique la Charbonnière entre le bourg de Chazelles et la gare.
- Elle est néanmoins écrite Chazelles sur la carte de Cassini vers 1750, et Chazelle sur la carte d'État-Major vers 1850.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Chazelles » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- « Métadonnées de la commune de Chazelles », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Chazelles et Angoulême », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Chazelles et La Rochefoucauld-en-Angoumois », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Chazelles », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montbron », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Chazelles », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- Sandre, « le Bandiat »
- « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
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- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
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- « Église Saint-Paul », notice no PA00104292, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 244-246
- SOURCES : Mémoire des Hommes. — MémorialGenWeb. — Service historique de la Défense, Caen, AC 21 P 182782 (nc).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Catillus Carol, « Chazelles », (consulté le )
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