Varaignes

Varaignes est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Varaignes (homonymie).

Varaignes

Le château et le clocher de Varaignes.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Nontronnais (nouvelle)
Maire
Mandat
Ghislaine Le Moël
2020-2026
Code postal 24360
Code commune 24565
Démographie
Population
municipale
372 hab. (2019 )
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 35′ 56″ nord, 0° 31′ 54″ est
Altitude Min. 115 m
Max. 241 m
Superficie 16,60 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Périgord vert nontronnais
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Varaignes
Géolocalisation sur la carte : France
Varaignes
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Varaignes
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Varaignes

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    Géographie

    Généralités

    Limitrophe du département de la Charente, la commune de Varaignes est bordée au sud par le Bandiat et traversée par son affluent, le ruisseau de Varaignes.

    Elle est desservie par les routes départementales 75 (l'axe Nontron-Angoulême), 90 (qui passe dans le bourg) et 92.

    Le bourg est situé quatre kilomètres au nord-ouest de Javerlhac et seize kilomètres au nord-ouest de Nontron.

    Communes limitrophes

    Carte de Varaignes et des communes avoisinantes.

    Varaignes est limitrophe de sept autres communes dont quatre dans le département de la Charente. À l'ouest, Feuillade est limitrophe sur environ 550 mètres.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Varaignes est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j2, date du Bajocien, des calcaires oolithiques bioclastiques (localement niveau à polypiers) en alternance avec des calcaires cryptocristallins ou évoluant vers un faciès de calcaire crayeux (secteur nord-ouest). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 710 - Montbron » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Varaignes.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 115 mètres et 241 mètres[5],[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 16,60 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 17,25 km2[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Varaignes.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par le Bandiat et le ruisseau de Varaignes, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[14],[Carte 1].

    Le Bandiat, d'une longueur totale de 91,35 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de La Chapelle-Montbrandeix et se jette en rive gauche de la Tardoire en Charente à Agris, après avoir traversé 22 communes[15].

    Le ruisseau de Varaignes, d'une longueur totale de 13,5 km, prend sa source dans la commune de Saint-Estèphe et se jette dans le Bandiat à Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert, après avoir traversé six communes[16].

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 1 074 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marthon », sur la commune de Marthon, mise en service en 1991[25] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[26],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 822,8 mm pour la période 1981-2010[27]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 62 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[29], à 11,4 °C pour 1981-2010[30], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Varaignes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[33],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35],[36].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,9 %), forêts (38,4 %), prairies (10,4 %), terres arables (5,3 %)[37].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Varanha[38].

    Histoire

    Dès le XVIe siècle, cette région industrieuse fut un important centre sidérurgique avec de nombreuses forges.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Varaignes est rattachée au canton de Javerlhac qui dépend du district de Nontron jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Bussière-Badil dépendant de l'arrondissement de Nontron[5].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[39]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Périgord vert nontronnais.

    Intercommunalité

    Fin 1993, Varaignes intègre dès sa création la communauté de communes des Villages du Haut-Périgord (appelée dans un premier temps communauté de communes des Vals Crochet-Marcorive), dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Haut-Périgord. Au , celle-ci fusionne avec la communauté de communes du Périgord vert nontronnais pour former la communauté de communes du Périgord Nontronnais.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[40],[41].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1968 1977 Gabriel Delâge    
    1977 1983 Édouard Giry    
    1994 2001 Jean-Paul Laplagne    
    mars 2001[42]
    (réélue en mai 2020)
    En cours Ghislaine Le Moël SE[43]  

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Varaignes relève[44] :

    Jumelages

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[45].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[47].

    En 2019, la commune comptait 372 habitants[Note 8], en diminution de 11 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9098949091 0389599789801 0271 085
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0651 0411 0099379581 000884820820
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    785721743605628615598583483
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    516457436436432418415408424
    2014 2019 - - - - - - -
    414372-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    En 2013, Varaignes est organisée en regroupement pédagogique intercommunal[49] (RPI) avec les communes de Busserolles et Bussière-Badil au niveau des classes de primaire. La commune se charge des classes de cours élémentaire. Celles de cours moyen s'effectuent à Busserolles et le cours préparatoire à Bussière-Badil.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Marché des tisserands, chaque année en mai ou juin, pendant les trois jours du week-end de la Pentecôte (41e édition en 2022)[50].
    • Foire aux dindons, le de chaque année (54e édition en 2019[51]). Précédés d'une fanfare et entourés des membres éminents de la Confrérie du dindon de Varaignes auxquels se joignent d'autres membres de la Confrérie de la dinde de Licques[Note 9], les dindons défilent en remontant vers le village.

    Économie

    Emploi

    En 2015[52], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 189 personnes, soit 45,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-six) a augmenté par rapport à 2010 (quinze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 51 établissements[53], dont vingt-sept au niveau des commerces, transports ou services, dix dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept dans la construction, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et trois dans l'industrie[54].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Jean Baptiste, XIIe et XIIIe siècles, remaniée aux XVe et XIXe siècles.

    Patrimoine naturel

    La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin[55] depuis la création de celui-ci en 1998[56], adhésion renouvelée en 2011[57].

    La vallée du Bandiat et celle de son affluent le ruisseau de Varaignes sont protégées dans leur traversée du territoire communal au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I « Vallées du réseau hydrographique du Bandiat » dont la flore est constituée de près d'une centaine d'espèces de plantes, dont deux sont considérées comme déterminantes : l'aigremoine élevée, ou aigremoine odorante (Agrimonia procera) et la jacinthe des bois, ou jacinthe sauvage (Hyacinthoides non-scripta)[58],[59].

    Héraldique

    Blason
    Un dindon[60].
    Détails
    Une couleur n'est pas précisée dans le blasonnement ci-dessus.
    Veuillez faire apparaître la couleur inconnue en blanc (table d'attente) et l'argent en gris
    .
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[22].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Les deux confréries se sont « mariées » en 1988.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Varaignes » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Varaignes » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Varaignes », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 710 - Montbron de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Varaignes », sur le site de l'Insee (consulté le )
    11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    14. « Fiche communale de Varaignes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    15. Sandre, « le Bandiat »
    16. Sandre, « le ruisseau de Varaignes »
    17. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    18. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    19. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    20. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    21. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    22. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    23. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    24. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    25. « Station Météo-France Marthon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    26. « Orthodromie entre Varaignes et Marthon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    27. « Station Météo-France Marthon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    28. « Orthodromie entre Varaignes et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    29. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    30. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    31. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    32. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    33. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    34. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    35. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    38. Le nom occitan des communes du Périgord - Varanha sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 19 septembre 2021.
    39. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    40. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 16 septembre 2020.
    41. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
    42. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 10 septembre 2014.
    43. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 6.
    44. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    45. Site des villes et villages fleuris, consulté le 16 décembre 2020.
    46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    49. École élémentaire publique à Varaignes sur le site de l'académie de Bordeaux, consulté le 2 août 2013.
    50. Jacques Hésault, « Le 41e marché des tisserands a été une réussite », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20.
    51. Hervé Chassain, « Pourquoi on aime les dindons à Varaignes », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 11.
    52. Dossier complet - Commune de Varaignes (24565) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
    53. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    54. Dossier complet - Commune de Varaignes (24565) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
    55. Parc Naturel Régional Périgord - Limousin, DREAL Aquitaine, consultée le 4 mai 2019.
    56. Décret 98-150 du 9 mars 1998 sur Légifrance, consulté le 5 mai 2019.
    57. Décret 2011-998 du 24 août 2011 sur Légifrance, consulté le 5 mai 2019.
    58. [PDF] Vallées du réseau hydrographique du Bandiat, INPN, consulté le 4 mai 2019.
    59. Carte de localisation de la ZNIEFF 720012830, INPN, consulté le 4 mai 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.
    60. « 24565 Varaignes (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
    • Portail des communes de France
    • Portail de la Dordogne
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.