Vouzan
Vouzan (Vosan en occitan), est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Vouzan | |||||
Mairie de Vouzan. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | GrandAngoulême | ||||
Maire Mandat |
Thierry Hureau 2020-2026 |
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Code postal | 16410 | ||||
Code commune | 16422 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vouzanais | ||||
Population municipale |
811 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 50 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 36′ 11″ nord, 0° 21′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 107 m Max. 204 m |
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Superficie | 16,27 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Boëme-Échelle | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | vouzan.fr | ||||
Géographie
Localisation et accès
Vouzan est une commune située 16 km à l'est d'Angoulême, dont elle fait partie de l'aire urbaine.
Le bourg de Vouzan est aussi à 5 km au sud de Chazelles, 8 km à l'est de Garat et 13 km à l'est de Soyaux, chef-lieu de son canton[2].
À l'écart des grandes voies de circulation, la commune de Vouzan se trouve au sud de la D 4, route d'Angoulême à Nontron, qui passe à Garat et Bouëx, et au nord-est de la D 939, route d'Angoulême à Périgueux. La D 25, route d'Angoulême à Charras qui passe par Sers, fait la limite sud de la commune. L'ancien et le nouveau bourg sont desservis par la D 108, route de Sers à Saint-Germain-de-Montbron. La D 412, autre petite route transversale, irrigue aussi la commune et dessert les nombreux hameaux[3].
Hameaux et lieux-dits
Vouzan n'a pas de véritable centre bourg. Le Vieux Vouzan comprend le château et l'église, et le Nouveau Bourg la mairie, l'école et une église plus récente. D'autres nombreux hameaux et fermes composent la commune et s'échelonnent le long des routes : l'Agneau, le Maine Gaubrun, la Paillerie, le Marais, la Coquille, le Mas, Jard, le Chatelard, Mirande, la Rochette, Coudour, Chez Matignon, etc. Les hameaux de la Maison Neuve et l'Épaud se trouvent sur la D 25[3].
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune est située dans le calcaire du Bassin aquitain, à la limite du Jurassique au nord et du Crétacé au sud. La zone du Jurassique date entre le Callovien au nord-est (Mirande) et le Kimméridgien à l'ouest (chez Balluet).
Le calcaire crétacé (Cénomanien et Angoumien) occupe une grande moitié sud de la commune, et forme une cuesta regardant vers le nord-est, escarpement qu'on retrouve entre Grassac et le plateau d'Angoulême, limitant la zone crétacée de la moitié sud de la Charente.
Ce plateau est toutefois recouvert de dépôts du Tertiaire et du Quaternaire, sous forme de sable argileux, galets quartzeux, silex. Ces zones pauvres, situées en hauteur et souvent boisées (pin maritime et châtaignier), sont appelées localement landes ou brandes. La roche calcaire crétacée n'est donc visible qu'au centre de la commune, dans la cuvette où se situent les différents hameaux de Vouzan[4],[5],[6],[7].
La commune offre un relief assez contrasté. Les bourgs et hameaux se regroupent dans une vallée centrale orientée vers la vallée du Bandiat qui passe au nord. Des collines relativement hautes et boisées bordent le territoire communal, principalement au sud. Le point culminant de la commune est à une altitude de 204 m, situé en limite sud-est sur la D 34. Le point le plus bas est à 107 m, situé en limite nord-est à Mirande. Le Vieux Vouzan est à environ 140 m d'altitude et le nouveau bourg à 126 m d'altitude[3].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente et le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par des petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[9],[Carte 1].
Le ruisseau alimentant la commune de Vouzan prend sa source au sud de la commune, et coule de façon permanente vers le nord à partir du Moulin et de la mairie de Vouzan. Il passe aussi au pied du Chatelard avant de sortir de la commune et se dirige vers le Bandiat sans jamais l'atteindre car il s'enfonce sous terre au niveau du Grand Maine (commune de Chazelles) de par la nature karstique du sol.
À signaler aussi la fontaine de Fayan, située au sud de la commune au pied des Pascauds, alimentant le ruisseau du Roc affluent de l'Échelle sur la commune voisine de Sers, et dont l'eau disparaît par une perte au milieu d'un pré avant de réapparaître cent mètres plus loin[3].
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Le SAGE « Isle - Dronne», dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[11]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [12].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
Typologie
Vouzan est une commune rurale[Note 1],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,9 %), zones agricoles hétérogènes (28,4 %), terres arables (12,2 %), zones urbanisées (3,3 %), prairies (2,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Les formes anciennes sont in vicaria Vosinensi en 906[19], in vicaria Vosninse en 923, Vozen en 1060-1075, Vosinno en 1110, Vosino, Vosen[20], Vousonio, Vosenio en 1376, Vossen en 1405[21].
L'origine du nom de Vouzan est obscure. Elle semble cependant être d'origine gauloise et paraît représenter Vosinnum, variante du gaulois Vosonnum[22]. La forme Vosinum existait à l'époque carolingienne[23],[24].
Histoire
Antiquité
Des vestiges préhistoriques et antiques attestent l'ancienneté de l'occupation.
Au sud-ouest de la commune, des vestiges de la voie romaine de Poitiers à Périgueux par Rom et Montignac ont été observés. Elle est appelée la Chaussée.
Non loin du ruisseau près du cimetière, des vestiges de constructions antiques et de tegulae ont été localisés.
Au pied du château, on a retrouvé les restes d'un cimetière d'époque mérovingienne (tombes creusées dans le roc)[27],[28].
Le lieu-dit Mirande serait la villa Marendacus du cartulaire de l'abbaye de Saint-Cybard[29],[Note 3].
Moyen Âge
Vouzan a été le siège d'un archiprêtré jusqu'au XIIIe siècle, avant que ce dernier soit transféré à Grassac[30].
Entre le Xe et XVIIIe siècles, Vouzan était aussi le siège d'une viguerie, qui rendait la justice localement. Au nombre de six sous les Carolingiens, le comté d'Angoulême comptera une vingtaine de vigueries après son extension au XIe siècle[31].
La paroisse est restée unie au chapitre de la cathédrale d'Angoulême.
Dès le XIVe siècle la terre de Vouzan appartenait à la famille de Livenne. Pierre de Livenne, écuyer, est convoqué avec le ban des hommes d'armes de Saintonge en 1469. Son fils Jean de Livenne rend hommage pour ses terres le à l'évêque d'Angoulême[32].
Le château de Vouzan était le siège d'un fief, dont les seigneurs avaient le droit de haute, moyenne et basse justice. Pierre de Livenne en était possesseur en 1408. Il se disait le continuateur de Guillaume Brun, qui était seigneur de Vouzan au tout début du XIVe siècle[30].
Ancien Régime
Par un acte du , Seguin de Livenne partagea ses domaines entre ses deux fils : Étienne conserva Vouzan et Pierre eut la Bergerie[Note 4].
Au XVIIe siècle, Vouzan et la Bergerie furent de nouveau réunis entre les mains de la famille Raoul. Le , Charles Raoul, écuyer, seigneur de la Fontaine, acquit Vouzan pour la somme de 12 227 livres, d'Hubert Cumont, écuyer, seigneur de Chantemerlière, et d'Anne de Livenne, sa femme. En 1640, son fils, Samuel Raoul, se rendit acquéreur de la Bergerie.
Le , Marie Raoul, fille de Samuel, épousa Jacques d'Abzac, chevalier, marquis de Pressac, et lui porta en dot les terres de Vouzan et de la Bergerie. La famille d'Abzac conserva ces domaines jusqu'en 1720, date de leur vente à Noël Arnaud, écuyer, seigneur de Bouëx, pour 140 000 livres.
Lors des guerres de religion, l'église de Vouzan fut presque entièrement détruite.
Les registres de l'état civil remontent à 1616[30].
Mirande, situé actuellement en limite de la commune de Marthon, était un fief relevant de cette dernière baronnie. Le seigneur de Mirande appartenait, à la fin du XVe siècle, à François Dexmier, seigneur de Chenon, puis il est passé à la famille Delagarde, ou plutôt de Galard, dont l'un de ses descendants, Charles de Galard de Béarn, sera seigneur de Mirande et du Pouyaud au XVIIe siècle[33].
Époque moderne
En 1902, le château fut acquis par le comte de Thienne[34].
Au XIXe siècle et début du XXe siècle, la principale industrie était la production de charbon de bois, dont la majeure partie se vendait sur la place d'Angoulême[30].
Administration
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2019, la commune comptait 811 habitants[Note 5], en augmentation de 8,13 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 411 hommes pour 380 femmes, soit un taux de 51,96 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Agriculture
La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[42].
Équipements et services
Enseignement
L'école publique est un RPI entre Sers et Vouzan. Sers accueille l'école primaire et Vouzan l'école élémentaire, qui a deux classes. Le secteur du collège est Villebois-Lavalette[43].
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Le château de Vouzan, dont la façade nord est accostée d'échauguettes sur contreforts est du XVe siècle, alors que la chapelle castrale remonte au XIIe siècle mais a été rénovée au XVIIe siècle, période de construction du portail monumental couronné d'un parapet festonné. Une tour polygonale sectionnée est enclavée dans des bâtiments modernes. Il comporte aussi un pigeonnier carré, et un parc qui contient des vestiges archéologiques. L'ensemble a été inscrit monument historique le [44].
- L'église castrale
- L'entrée du château
Patrimoine environnemental
La forêt d'Horte.
Personnalités liées à la commune
- Dominique Piéchaud, artiste-sculpteur, médailleur, restaurateur du château dans les années 1980[réf. nécessaire].
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Il peut aussi s'agir de Marendat, ancien fief, dans la commune de Montbron.
- La Bergerie était un fief dans le sud de la paroisse, près du Peneaud. Il apparaît sur la carte de Cassini, et seul le Bois de la Bergerie est mentionné sur l'actuelle carte IGN.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Vouzan » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montbron », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Vouzan », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Antoine-Augustin Bruzen de de La Martinière, Le grand dictionnaire géographique et critique,
- Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 27,35,85,127,150,166
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 43,142,282
- Dottin in Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 730.
- Auguste Longnon, Atlas historique de la France, vol. 1, Hachette, , p. 209
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
- (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
- Robert Dexant, Châteaux de Charente, Paris, Nouvelles Éditions latines, , 30 p., p. 31
- L. Goutil, « Le cimetière de Vouzan et ses cavités ovoïdes » [PDF], (consulté le )
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 227
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 415
- André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 88
- Jean-Marie Ouvrard, « Maison de Livenne », (consulté le )
- Adolphe Mondon, Notes historiques sur la baronnie de Marthon en Angoumois, imprimerie Chasseignac, Angoulême, , 619 p. (lire en ligne [PDF]), p. 67
- « Dossier de protection, Château de Vouzan » [PDF], base Mérimée, ministère français de la Culture
- Article Charente libre du 10 mars 2014
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vouzan (16422) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- « Château de Vouzan », notice no PA00104549, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Catillus Carol, « Vouzan », (consulté le )
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